Ce livre blanc a deux objectifs :
1) montrer, au travers d'une mise en perspective de différentes études et sondages, le malaise actuel au sein de nos entreprises et les conséquences du stress sur leur fonctionnement.
2) Montrer que le bien-être au travail peut facilement devenir une force qui fédère, attire et motive les ressources nécessaires à l'innovation et au rebond dans une situation économique de crise.
2. Bien-être au travail : un atout pour l’entreprise
Sabine PERNET – Sophrologue – 922 rue des Chavattes – 62136 LA COUTURE - http://www.relaxationdynamique.fr
2
3. Bien-être au travail : un atout pour l’entreprise
3
Pourquoi un livre blanc ?
Partager pour mieux comprendre et analyser une situation complexe
en évolution permanente.
Malgré les crises que nous traversons l’entreprise doit
s’intéresser aux conditions de travail, non seulement parce
qu’elle en a l’obligation légale, mais aussi parce qu’elle y
trouvera autant d’intérêt que l’employé qui en bénéficiera ou la
collectivité au sein de laquelle elle évolue.
Notre vision et notre rapport à l’entreprise ont beaucoup
évolué ces quinze dernières années, influant sur nos vies
privées et notre engagement. Si rien n’est aussi important que
le drame humain que peut provoquer le burn-out, qui est la
manifestation extrême du stress, Il faut essayer d’en évaluer les
dégâts collatéraux pour en saisir toute la portée, mais aussi
élargir le débat pour parler du bien-être en général. Il faut voir
ce bien-être comme une force, un moyen de développer,
d’attirer et de conserver les ressources nécessaires pour
affronter les difficultés et se donner les moyens d’innover pour
rebondir.
La réflexion et le travail sur les processus internes restent la
première source de réduction du stress, mais il existe
également des actions simples et faciles à mettre en œuvre qui
peuvent améliorer le bien-être au travail.
Rassembler des
données
Bâtir une vision.
Proposer des
solutions
pragmatiques et
faciles à mettre en
œuvre.
Ce livre blanc a pour objectif de rassembler des données issues
de différentes études menées Sabine PERNETl’Europe pour rue des Chavattes – 62136 LA COUTURE - http://www.relaxationdynamique.fr
à travers – Sophrologue – 922 essayer
d’en dégager une perspective sur les impacts du stress sur
l’entreprise, mais aussi essayer d’apporter une piste de
4. Bien-être au travail : un atout pour l’entreprise
4
Un changement profond de
notre relation à l’entreprise.
Avec l’avènement d’internet, notre façon de travailler a plus
évolué durant ces dix dernières années que depuis la seconde
guerre mondiale.
Face-à-face
Réunion de travail
Courrier
Pièce jointe
Salle des archives
Bibliothèque
Fontaine à eau
Salle projet
Mémos et journaux
internes
Je suis sorti/présent
Câblé
9h-17h
2011
1998
Après la machine à vapeur et l’électricité, internet peut
certainement être considéré comme la troisième révolution
industrielle.
Conférence téléphonique
Webconference.com
Messagerie, email
Liens
Fichiers archivés
Wikipedia & Google
Communautés en ligne
Salon virtuel
Wikis, blogs, résaux
sociaux, podcast
Statut (in)disponible
Wireless
24/7
Cette évolution de nos moyens de communication, associée au
bond technologique des outils mis à notre disposition pour
travailler (ordinateurs portables, tablettes, Smartphones) a
profondément bouleversé notre rapport au travail : le nombre
d’informations à traiter chaque jour évolue de façon quasi
exponentielle.
Ces outils, et la mobilité qu’ils procurent, tendent également à
gommer la limite entre vie professionnelle et vie privée, le plus
souvent au détriment de la vie privée.
Il n’existe pas de cause
unique au stress
La vie privée et la vie professionnelle
s’entrecroisent de plus en plus et fournissent
autant de facteurs de stress que de membres de
l’entreprise.
Cette perte de repères entre vie privée et vie professionnelle
s’additionne au contexte économique et social difficile pour
créer un terrain favorable aux risques psychosociaux (RPS) dont
le stress est une des conséquences les plus mesurables en
raison de ses effets sur la santé.
Pour comprendre la mutation qui est en cours, il faut
rapprocher cette vision du baromètre 2013 réalisé par l'Institut
CSA pour Actineo (l'Observatoire de la qualité de vie au bureau)
qui fait apparaître que la qualité de vie au travail est devenue le
second facteur de bien-être, derrière l’intérêt du travail,
maisdevant le niveau de rémunération.
Ce changement doit être pris en compte par l’entreprise.
Sabine PERNET – Sophrologue – 922 rue des Chavattes – 62136 LA COUTURE - http://www.relaxationdynamique.fr
5. Bien-être au travail : un atout pour l’entreprise
5
Quels sont les impacts du stress pour
l’entreprise comme entité économique ?
Un coût social de 2 à
3 milliards par an.
50 à 60% des arrêts
de travail
Durée moyenne des
arrêts : 36 jours.
Au-delà du coût de mise en œuvre de la réglementation qui impose à l’employeur
d’évaluer les risques d’atteinte à la santé physique et mentale de ses salariés et de
mettre en place des mesures de prévention adaptées, le stress a des conséquences
en terme de souffrances et de préjudices pour la santé qui touchent et
désorganisent l’entreprise dans son ensemble.
Au travers de ses publications, l’Institut national de recherche et de sécurité pour la
prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles (INRS) liste des
conséquences beaucoup plus difficiles à chiffrer comme :
une augmentation de l’absentéisme et du turnover,
des difficultés pour remplacer le personnel ou recruter de nouveaux
employés,
des accidents du travail,
une démotivation, une baisse de créativité,
une dégradation de la productivité, une augmentation des rebuts ou des
malfaçons,
une dégradation du climat social, une mauvaise ambiance de travail,
des atteintes à l’image de l’entreprise…
Les dernières études chiffrées (2007 - NRS et Arts et Métiers ParisTech)
chiffraient le coût social du stress entre 2 et 3 milliards d’euros par an.
50 à 60% des arrêts de travail sont liés au stress et l’enquête européenne
menée par la Europeandepression association dans sept pays européens nous
donne une durée moyenne de ces arrêts de 36 jours.
Le dernier baromètre Monster a de quoi inquiéter les DRH : 87% des salariés
français souffriraient d’insomnies à cause de leur travail, plus de la moitié (53%)
au point de faire des cauchemars, et 52 % des salariés ont peur d’aller travailler
le lundi matin. Quand on sait que la reconnaissance de la faute inexcusable de
l'employeur est de plus en plus retenue en matière de santé mentale des
salariés, il devient impossible de continuer de fermer les yeux ou de tenter de
rejeter la faute sur la vie privée du salarié. Pour ceux qui en doutent encore, on
peut citer un arrêt récent (Cass. soc., 2eme civ., 19 sept 2013, n° 12-22.156) qui
condamne l'absence de réactivité de l'employeur face à une situation de stress
et d'anxiété du salarié (Les Échos).
Et que faire si ce stress touche le dirigeant ou un membre essentiel de l’équipe
de direction ? Que se passe t’il s’il devait s’arrêter à cause du stress ? Quels
seront les impacts, à moyens ou longs termes, sur l’entreprise ?
Et si le fait de prendre la situation en mains devenait une bonne pratique ?
Et si contribuer au bien-être au sein de l’entreprise devenait une force ?
Sabine PERNET – Sophrologue – 922 rue des Chavattes – 62136 LA COUTURE - http://www.relaxationdynamique.fr
6. Bien-être au travail : un atout pour l’entreprise
6
Gestion du stress et RPS : Un bilan en demi-teinte
Depuis le Rapport sur la détermination, la mesure et le suivi
des risques psychosociaux au travail, réalisé en 2008 à la
demande du Ministre de la santé par le magistrat P. Nasse et
le psychiatre P. Légeron, on sait que la prévention des risques
psychosociaux nécessite des actions qui s’exercent sur deux
plants bien distincts :
La prévention primaire : évaluation précise, par
l’entreprise, non seulement des facteurs de risques
mais aussi des populations les plus touchées. Ellea
pour objectif l’élimination ou le contrôle des
facteurs de risque en agissant directement sur les
facteurs pour réduire leurs impacts négatifs sur
l’individu. Il s’agit d’intervenir sur les causes des
risques psychosociaux plutôt que sur leurs
conséquences.
Les programmes de prévention secondaire, avec
pour but d’aider les individus à gérer plus
efficacement les exigences et les contraintes du
travail en améliorant leurs stratégies d’adaptation
aux sources de stress ou en renforçant leur
résistance au stress en soulageant les symptômes
associés au stress.
Ce même rapport, remis au premier ministre, préconise des
actions qui peuvent prendre plusieurs aspects :
la formation des individus à développer des
compétences spécifiques, à mieux gérer divers
types de situations de stress (gestion du temps, des
conflits, de l’agressivité, développement de
l’intelligence
émotionnelle,
restructuration
cognitive etc.) ou à développer des capacités
psychologiques (contrôle des émotions, attitudes
mentales efficaces) ;
la possibilité de pratiques de relaxation, d’exercices
physiques ou de la sieste au sein de l’entreprise ;
Les DRH confrontées au problème de stress trouvent une
aide précieuse auprès des psychologues du travail dont le
rôle est essentiel dans la mise en œuvre de la prévention de
premier niveau. Leur apport est incontestable dans le travail
de fond que représente la remise en question des structures
et du fonctionnement global de l’entreprise quand celui-ci est
la source même du stress.
Malheureusement, l’action s’arrête souvent à ce stade. Les
programmes de prévention secondaire sont trop souvent
“La formation des
individus à développer
des compétences
spécifiques à mieux
gérer divers types de
situations de stress.”
Nasse - Légeron
remis à plus tard, faute de savoir comme les mettre en œuvre,
quand ils ne sont pas purement ignorés.
Les entreprises les plus sensibilisées mettent en place des
plates-formes d’écoute pour les salariés, sous-traitées à des
opérateurs spécialisés.
Si le fait d’ externaliser ces plateformes se justifie par le besoin
d’anonymat des appels et une neutralité nécessaire dans leur
traitement, la distance et l’aspect impersonnel les cantonnent
dans un rôle souvent passif et consultatif.
Par conséquent, dans de trop nombreux cas, ce coup de fil
matérialise pour l’employé un constat d’échec. Il marque son
incapacité à faire face à la situation mais aussi celle de
l’entreprise à y répondre. La plateforme ne joue donc pas
pleinement son rôle de prévention initial.
D’une façon générale, nous sommes très éloignés de la
recommandation de développer de compétences spécifiques et
du fait d’institutionnaliser des pratiques comme le sport, la
sieste ou plus simplement la relaxation.
Pourtant, les chiffres et les situations que nous venons
d’exposer le montrent : le bien-être devient un élément
essentiel pour l’entreprise.
Il est possible, par des actions simples et peu coûteuses. Des
actions de proximité qui contribuent au bien-être au travail.
Entreprises, salariés, collectivités, tout le monde y gagne. Pour
l’entreprise, contribuer au bien-être des employés, c’est
investir dans l’image de l’entreprise mais aussi réduire
l’absentéisme et augmenter l’implication des salariés.
Pour le salarié, c’est moins de stress et donc moins de
problèmes de santé liés à ce stress mais aussi un
environnement qui donne envie de s’investir et de s’épanouir
dans son travail.
Sabine PERNET – Sophrologue – 922 rue des Chavattes – 62136 LA COUTURE - http://www.relaxationdynamique.fr
7. Bien-être au travail : un atout pour l’entreprise
7
Une approche plus humaine, plus proche
de l’individu.
“Faute de
connaissance,
de retours
d’expérience,
d’aide sérieuse
au choix ou par
peur de dérive
sectaire, trop
peu
d’entreprises se
lancent.”
Comme nous venons de le voir, le développement du bien-être en entreprise
nécessite à la fois une certaine proximité et surtout des outils qui permettent au
salarié d’être acteur de son bien-être. Il est plus efficace d’apporter des techniques
qui permettent de prévenir et de contrôler les impacts du stress que de prendre en
charge les soins pour en traiter les conséquences.
Au cours des dernières années, l’offre aux entreprises s’est considérablement
étoffée. Cependant, par manque d’informations, sans retours d’expérience ni d’aide
sérieuse au choix, ou par peur de dérive sectaire, seules quelques entreprises ont
osé avancer dans cette voie.
Pourtant, il existe une discipline qui a fait ses preuves dans le domaine sportif, qui
est utilisée dans le domaine médical comme dans l’armée et sur laquelle le MEDEF
s’est penché avec attention : la sophrologie.
Mise au point en 1960 par le neuropsychiatre Alfonso Caycedo, la sophrologie est
totalement indépendante de tout courant spirituel ou religieux. Technique de
relaxation,elle ne s’appuie que des exercices de respiration et de gestion de la
pensée.
Son seul objectif est d’assurer une détente physique et psychique propice à la
gestion du stress, à l’amélioration de la concentration, de la mémoire ou de la
créativité.
C’est probablement cette approche et le code déontologie suivi par les sophrologues
professionnels qui ont incité le CEGOS, leader mondial dans la formation en
entreprises, à proposer depuis plusieurs mois une formation fondée sur les
techniques de base de la sophrologie.
Cette formation destinée aux cadres et managers sous l’intitulé "Dynamiser ses
ressources avec la sophrologie", affiche des objectifs clairs:
Savoir se relaxer simplement au travail.
Mobiliser rapidement ses ressources au travail.
Réguler son stress professionnel au quotidien.
Cette formation est-elle LA solution pour autant ? Si elle réponds aux inquiétudes
sur le sérieux du prestataire et l’intérêt du contenu, peut-elle apporter une réponse
adaptée à chaque participant au travers d’un contenu standard et ramassé sur deux
jours ?
La réponse est, bien entendue, non. Mais on peut considérer qu’elle est un premier
pas vers le développement individuel de compétences et de savoir-faire propres à
assurer la gestion de son stress. Ce qui est déjà un premier pas important vers
l’objectif et il faut l’encourager.
Sabine PERNET – Sophrologue – 922 rue des Chavattes – 62136 LA COUTURE - http://www.relaxationdynamique.fr
8. Bien-être au travail : un atout pour l’entreprise
8
Une approche rationnelle, adaptée à vos
besoins et à ceux de vos collaborateurs
Pour prendre tout son sens, la démarche de développement du bien-être au travail
doit respecter plusieurs conditions essentielles :
“Chaque
personne au
sein de
l’entreprise est
unique, de part
sa personnalité,
son expérience
et sa culture.”
Elle doit se faire sur la base du volontariat. Le bien-être ne se décrète pas
et la démarche ne prend sons sens que si les participants s’y impliquent.
Elle doit respecter la culture, les convictions et les contraintes de chacun
des participants.
Elle doit s’inscrire dans le temps. Apprendre des techniques, changer des
habitudes, accepter de réfléchir à ses actes, ses valeurs et se remettre
parfois en cause demandent du temps.
Chaque personne au sein de l’entreprise est unique, du fait de sa personnalité, son
expérience et sa culture. Faire appel à un sophrologue au sein de l’entreprise plutôt
qu’une formation permet de répondre de façon adaptée à cette diversité en
donnant à chacun des réponses ciblées.
Entre le suivi individualisé et les séances de groupe, il est possible de s’adapter aux
contraintes de chacun, cadres comme dirigeants.
Par ailleurs, la sophrologie demande un minimum de pratique encadrée avant de
devenir autonome. Du fait de sa proximité, les interventions du sophrologue
peuvent se dérouler au sein de votre entreprise et ne nécessitent pas que le cadre
ou le manager s’absente. À durée égale, l’intervention du sophrologue, qui sera
étalée sur plusieurs semaines, va pouvoir s’appuyer sur l’intégration progressive des
techniques et accompagnera la mise en pratique là où une formation vous laisse
seul face à vos notes et vos souvenirs.
Les différentes organisations professionnelles, comme le Syndicat des Sophrologues
Professionnels, proposent des annuaires regroupant les professionnels répondant à
des critères de formations très strictes qui vous garantissent, au minimum, le niveau
de sérieux équivalent à celui du professionnel mandaté par l’organisme de
formation.
Une intervention au sein de votre entreprise vous permet également d’impliquer les
partenaires comme le CHSCT, le Comité d’entreprise et, pourquoi pas, la Médecine
du Travail.
De nombreux professionnels disposent d’un agrément de formateur, ou peuvent se
rapprocher de structures qui en disposent. Il est donc possible, en incluant une
partie de formation théorique en plus de la pratique, d’utiliser les mêmes budgets
qu’avec un organisme de formation.
L’intervention d’un sophrologue peut également entrer dans le cadre des activités
financées par le Comité d’Entreprise, pour le bien être du personnel.
Comme vous le constatez, tout est fait pour répondre à vos attentes.
Sabine PERNET – Sophrologue – 922 rue des Chavattes – 62136 LA COUTURE - http://www.relaxationdynamique.fr
9. Bien-être au travail : un atout pour l’entreprise
9
Quelles actions mettre en place ?
Il existe de multiples façons d’instaurer le bien-être en entreprise à l’aide de la sophrologie. Mais gardez en mémoire le principe du
volontariat et le fait que, pour certains cadres, participer à des groupes de relaxation n’est pas concevable en terme d’image.
Nous vous suggérons de proposer un premier cycle de découverte, comprenant 3 sessions de groupe d’une durée de 1 h chacune à
raison d’une séance par semaine. Cette première étape de découverte permet de vérifier que les techniques répondent aux besoins des
participants et qu’ils s’y sentent bien avant de vouloir aller plus loin.
Cette première étape validée, la sophrologie peut répondre de nombreux besoins particuliers comme ceux proposés ci-dessous.
Une Parenthèse hebdomadaire :
Proposée de façon hebdomadaire, pendant la pause du midi, une séance de relaxation
contribue à instaurer un espace de détente qui permet de « recharger les batteries » et
favorise le bien-être au travail.
Gestion du stress
Un arrêt de travail sur 10 est lié au stress. Nous vous proposons d’acquérir des techniques simples,
utilisables en toutes circonstances, pour faire face aux situations de stress, apprendre à vous faire
confiance et à mieux connaître et respecter vos limites.
Confiance en soi
La confiance en soi est un facteur important de la réussite personnelle et de la motivation. Elle se
développe et se travaille. Apprenez à vous faire confiance, à dépasser vos limites. Retrouvez une vision
positive de vous-même.
De la motivation à l’action
Passez à l’action, dépassez vos limites. Apprenez à vous motiver, à vous fixer des objectifs et, comme
les grands sportifs, vous préparer mentalement pour mieux les atteindre.
Sabine PERNET – Sophrologue – 922 rue des Chavattes – 62136 LA COUTURE - http://www.relaxationdynamique.fr
10. Bien-être au travail : un atout pour l’entreprise
Prêt à passer à l’action ?
Pour conclure ce livre blanc, je vous propose de
récapituler les points essentiels pour passer à
l’action :
Après
les
phases
indispensables
d’évaluation et de mise en place des actions
de prévention primaire, il existe de
multiples façons d’ancrer le bien-être en
entreprise à l’aide de la sophrologie.
Garder en mémoire le principe du
volontariat et le fait que, pour certains
cadres, participer à des groupes de
relaxation n’est pas concevable en terme
d’image.
Vous adresser à un organisme comme le
syndicat des sophrologues professionnels,
ou la chambre syndical des sophrologues,
vous assurera de trouver un sophrologue de
confiance et à proximité de votre entreprise.
Nous vous suggérons de proposer
systématiquement aux volontaires un
premier cycle de découverte, d’au moins 3
sessions de groupe d’une durée de 1 h
chacune. Cette première étape permet de
vérifier que les techniques répondent aux
besoins des participants et qu’ils s’y sentent
bien avant de vouloir aller plus loin.Cette
première étape validée, les séances peuvent
rester un moment de détente où chacun
viendra se ressourcer.
La sophrologie peut concerner de nombreux
domaines. Travailler avec un sophrologue de
proximité, c’est l’assurance de réponses
adaptées.
N’oubliez pas que ces interventions sur des
besoins particuliers ne peuvent-être que
ponctuelles.
L’objectif
reste
bien
l’autonomie de vos collaborateurs, mais
aussi le traitement du problème à la source
plutôt que ses conséquences.
Comme de grands groupes de la distribution, de
l’agro-alimentaire ou de l’informatique, faites
l’essai, vous serez certainement surpris des
résultats positifs !
Sabine PERNET – Sophrologue – 922 rue des Chavattes – 62136 LA COUTURE - http://www.relaxationdynamique.fr
10
11. Bien-être au travail : un atout pour l’entreprise
Sabine PERNET – Sophrologue – 922 rue des Chavattes – 62136 LA COUTURE - http://www.relaxationdynamique.fr
11
12. Bien-être au travail : un atout pour l’entreprise
Sabine PERNET - Sophrologue
922 rue des Chavattes
62136 LA COUTURE - FRANCE
http://www.relaxationdynamique.fr
Sabine PERNET – Sophrologue – 922 rue des Chavattes – 62136 LA COUTURE - http://www.relaxationdynamique.fr
12