La prescription néolibéral il est revenu ayant centralité dans la conduite des politiques publiques du gouvernement fédéral brésilien avec la montée en puissance de Michel Temer. Cette prescription a commencé de la possession de Fernando Collor (1990-1992). Avec la montée en puissance de Itamar Franco en tant que président de la République, en raison de l'empêchement de Fernando Collor, en Août 1992 et Fernando Henrique Cardoso élection (1995-2002), la politique néo-libérale a été reprise. Avec la stabilité monétaire réalisée par le Plan Real (1994) et maintenu la privatisation des entreprises d'Etat, a vu la promotion du commerce et de la libéralisation financière dans le pays, ainsi que les réformes du travail, les réformes de la sécurité sociale, entre autres 1995-2002 pendant le FHC gouvernement. Tout cela, a continué de 2003, avec la montée des gouvernements dirigés par le Parti des travailleurs (PT) avec l'adoption aussi des politiques de transfert de revenus tels que le programme Bolsa Família.

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LA DICTATURE NEO-LIBERALE EN PLEINE EVOLUTION AU BRESIL
Fernando Alcoforado *
La prescription néolibéral il est revenu ayant centralité dans la conduite des politiques
publiques du gouvernement fédéral brésilien avec la montée en puissance de Michel
Temer. Cette prescription a commencé de la possession de Fernando Collor (1990-
1992). Avec la montée en puissance de Itamar Franco en tant que président de la
République, en raison de l'empêchement de Fernando Collor, en Août 1992 et Fernando
Henrique Cardoso élection (1995-2002), la politique néo-libérale a été reprise. Avec la
stabilité monétaire réalisée par le Plan Real (1994) et maintenu la privatisation des
entreprises d'Etat, a vu la promotion du commerce et de la libéralisation financière dans
le pays, ainsi que les réformes du travail, les réformes de la sécurité sociale, entre autres
1995-2002 pendant le FHC gouvernement. Tout cela, a continué de 2003, avec la
montée des gouvernements dirigés par le Parti des travailleurs (PT) avec l'adoption
aussi des politiques de transfert de revenus tels que le programme Bolsa Família.
La montée de Michel Temer dans le bureau du Président de la République a été
caractérisée par le retour à l'adoption de prescription néo-libérale. Le récit adopté par le
gouvernement Temer est que les problèmes actuels des pays ont été causés par les
politiques économiques des gouvernements de PT. Peu importe qui a causé les
difficultés économiques, ce qui importe est la solution du problème. Si rien ne se fait,
l'omission devient coupable. Tel est le cas du gouvernement Temer qu'en plus d'être
complice des gouvernements désastreux de PT sont responsables de l'aggravation de la
crise actuelle pour ne rien faire pour le résoudre. Certes, la récession et le chômage n'a
pas commencé sous la présidence de Michel Temer. Mais aujourd'hui, l'économie
brésilienne est dans une situation critique, que les difficultés économiques sont devenus
des problèmes sociaux. Selon les calculs de la Banque mondiale, le chômage en 2017 va
créer entre 2,5 millions et 3,5 millions de nouveaux pauvres au Brésil au-delà des 13
millions de chômeurs en cours. Temer avait beaucoup de temps pour trouver des
solutions nécessairement une situation d'urgence. Cependant, rien présenté.
Gouvernement Michel Temer a assuré que la confiance des entreprises dans l'économie
à nouveau. Le résultat serait le retour de l'investissement et la croissance économique.
Rien ne se produisit, au contraire. Les investissements ont fortement baissé au cours de
2016. Les investissements ont chuté de 10,2%. Temer fait l'économie aggraver la
récession, que ce soit en ne faisant rien, en ce moment ce qui aggrave le chômage et les
problèmes sociaux. Temer établi la limitation de la politique des dépenses publiques qui
aggrave la récession et et il proposé des réformes de travail et de sécurité sociale qui
compromettent les intérêts de la population active. Il fait l´approfondissent de la
récession de l'économie qui est sur le point de se transformer en un bouleversement
social. Gouvernment Temer adopté plusieurs mesures qui exacerbent les problèmes
sociaux. Tel est le cas de ses propositions comme une suspension temporaire de la dette
des États au gouvernement fédéral qui applique la condition de gel des salaires pendant
trois ans et l'augmentation finale de sa contribution aux systèmes de protection sociale
de l'État. Et d'ailleurs, il y a un démantèlement en cours des banques fédérales, que le
préjudice sur l'offre de micro-crédit, le crédit à l'agriculture familiale et la génération de
revenus et de l'emploi.
Le ministre des Finances, Henrique Meirelles, a déclaré récemment que la récession a
pris fin au Brésil et que le pays est en pleine croissance, avec des signes de reprise. Il est
faux la déclaration du ministre parce que la récession continue et le pays ne se

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développe sans aucun signe de reprise de la croissance économique. PIB en 2016, par
exemple, a eu la chute tonitruante de 3,6%. Au cours des six derniers mois de l'année
dernière, la baisse cumulée du PIB était de 1,6% et le déficit dans le budget du
gouvernement fédéral en 2017 est proche de R$ 140 milliards. Le démantèlement de la
Prévoyance Sociale, placé par le gouvernement Michel Temer comme la sauvetage de
l'économie, laissera comme héritage un pays plus pauvre et inégale. Bien que la réforme
du Prévoyance Sociale et le réforme du travail, en plus de gel des dépenses publiques
pendant deux décennies approuvées à la fin de 2016, peut encourager les agents
économiques et d'attirer les investissements privés, cette prescription est incapable de
produire la croissance associée à l'inclusion social.
Étude de ANFIP (Association nationale des comptes fiscaux de l'administration fiscale
fédérale) sur la Prévoyance Sociale rapports que la Constitution de 1988 prévoit un
modèle tripartite de financement du secteur, selon laquelle l'Etat, les employeurs et les
employés contribuent également. Le déficit, ANFIP a dit, se pose parce qu'il ne tient pas
compte des taxes perçues par l'Etat pour faire la recette, comme la contribution sociale
sur le revenu net (CSLL) et contribution sociale au financement de la sécurité sociale
(Cofins) chargé aux entreprises. Pour démontrer la escroquerie du Gouvernement
Michel Temer sur le déficit de la Prévoyance Social, ANFIP a examiné le déficit
supposé de R$ 85,8 milliards déterminés en 2015 par le gouvernement. Le déficit,
mettre en évidence les chercheurs de l'organisation, il aurait pu être couvert avec une
partie de la R$ 202 milliards recueillis par les Cofins, les R$ 61 milliards recueillis par
la contribution sociale et R$ 53 milliards collectés par le PIS-PASEP. Depuis 1989,
aucun compte au gouvernement en tant que source de revenus de la sécurité sociale. Ce
faisant, l'Union nie que la partie de la Prévoyance Sociale faire partie de la sécurité
sociale, contrairement aux articles 194 et 195 de la Constitution.
Il convient de noter que l'espérance de vie moyenne au Brésil est de 75 ans. Le Brésilien
a une durée de vie moyenne avec santé, sans difficultés dans l'exercice de leurs activités
quotidiennes, du 65,5 ans, selon l'Organisation mondiale de la Santé. En d'autres termes,
la réforme proposée par Temer, les citoyens doivent jouir des pensions par six mois
avant d'être affectés par des maladies chroniques ou invalidantes. La proposition du
gouvernement de réformer la Prévoyance Sociale ne tient pas compte des inégalités
sociales et régionales et de genre pour rendre égaux les travailleurs de la campagne et la
ville, les hommes et les femmes, le même régime: minimum 65 ans et 25 ans de
cotisations, ou 49 années de travail contributif pour être admissibles à la retraite
complète à la fin de la vie.. Sur le terrain, les changements peuvent être dévastateurs.
Aujourd'hui, d'avoir accès au bénéfice d'un salaire minimum, juste l'agriculteur de
prouver qu'il a travaillé pendant 15 ans sans même avoir contribué à la sécurité sociale.
Face au degré élevé d'informalité et la saisonnalité des emplois dans la campagne, il est
difficile d'imaginer que les travailleurs de terrain contribueront à 25 ans pour profiter de
la retraite seulement à 65 ans. Si le Brésil d'aujourd'hui a 80% des personnes âgées
couvertes par la sécurité dans un proche avenir, ce pourcentage peut chuter de façon
spectaculaire.
Comme la réforme de la sécurité sociale, la réforme du travail du gouvernement Temer
a aussi un caractère antisocial parce que, en plus de supprimer les droits, augmente le
bénéfice des entrepreneurs au Brésil. La réforme du travail facilite la création d'emplois
temporaires et à temps partiel, qui donnent moins de droits aux travailleurs et peut
prendre la place des emplois traditionnels à base de CLT. Ils sont autorisés en plus de
deux heures supplémentaires par jour, car si de temps en temps. Juristes, avocats et le

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ministère du Travail contestant la légalité des mesures contenues dans la réforme du
travail, potentiellement contraires à la Constitution, par exemple, le journée de travail
maximum de 44 heures et la garantie du salaire minimum et défendre leur rejet tout à
fait. Anticipant la réforme du travail, le gouvernement Michel Temer a été approuvé par
la Chambre des représentants de la politique de sous-traitance sur le marché du travail
qui il est aussi une autre mesure antisociale du gouvernement actuel car il peut générer
plus d'emplois, mais devient précaire relations de travail et aplanit les salaires au profit
des employeurs. La Chambre des représentants a adopté une loi qui libère le sous-
traitance dans toutes les activités des entreprises et diverses activités de l'État. Le
gouvernement Michel Temer a réussi à ressusciter le texte, proposé il y a 19 ans par le
gouvernement néolibéral de Fernando Henrique Cardoso.
il se passe la dévastation sociale promue par le gouvernement actuel Michel Temer pour
achever les travaux entrepris pour le gouvernement Collor de application de la recette
néo-libérale au Brésil. Le peuple brésilien doivent balayer le pays non seulement des
politiciens corrompus et les partis, mais aussi les partisans du néolibéralisme qui
compromettent l'avenir du Brésil.
* Fernando Alcoforado, 77, membre de Bahia Académie de l'éducation, ingénieur avec doctorat en
planification du territoire et du développement régional pour l'Université de Barcelone, professeur
d'université et consultant en planification stratégique, la planification régionale et la planification des
systèmes énergétiques, est auteur de livres Globalização (Editora Nobel, São Paulo, 1997), De Collor a
FHC- O Brasil e a Nova (Des)ordem Mundial (Editora Nobel, São Paulo, 1998), Um Projeto para o
Brasil (Editora Nobel, São Paulo, 2000), Os condicionantes do desenvolvimento do Estado da Bahia
(Tese de doutorado. Universidade de Barcelona,http://www.tesisenred.net/handle/10803/1944, 2003),
Globalização e Desenvolvimento (Editora Nobel, São Paulo, 2006), Bahia- Desenvolvimento do Século
XVI ao Século XX e Objetivos Estratégicos na Era Contemporânea (EGBA, Salvador, 2008), The
Necessary Conditions of the Economic and Social Development- The Case of the State of Bahia (VDM
Verlag Dr. Müller Aktiengesellschaft & Co. KG, Saarbrücken, Germany, 2010), Aquecimento Global e
Catástrofe Planetária (Viena- Editora e Gráfica, Santa Cruz do Rio Pardo, São Paulo, 2010), Amazônia
Sustentável- Para o progresso do Brasil e combate ao aquecimento global (Viena- Editora e Gráfica,
Santa Cruz do Rio Pardo, São Paulo, 2011), Os Fatores Condicionantes do Desenvolvimento Econômico
e Social (Editora CRV, Curitiba, 2012), Energia no Mundo e no Brasil- Energia e Mudança Climática
Catastrófica no Século XXI (Editora CRV, Curitiba, 2015) et As Grandes Revoluções Científicas,
Econômicas e Sociais que Mudaram o Mundo (Editora CRV, Curitiba, 2016.