L application de la physique classique dans le golf.pptx
Lachartegraphique
1. La charte graphique
La charte graphique est un guide qui comprend les
recommandations d’utilisation et les caractéristiques des
différents éléments graphiques (logos, couleurs, polices,
symboles, calques..) qui peuvent être utilisés sur les
différents supports de communication de l’entreprise.
8. La charte graphique
Les couleurs
Le RVB, le CMJN et le pantone sont des standards colorimétriques
utilisés lors de créations graphiques
9. La charte graphique
Les couleurs
Le RVB
Il est utilisé pour l’affichage des écrans (interface graphique ou
publicité web)
Il regroupe les trois couleurs primaires monochromatiques
Rouge Vert Bleu
Sa valeur s’écrit en pourcentage ou en numéraire de 0 à 25
10. La charte graphique
Les couleurs
le CMJN ou quadrichromie
Il est utilisé pour l’impression
Il est composé des couleurs Cyan, Magenta, Jaune, Noir
Il ne s’exprime qu’en pourcentage (C 86 : M 85 : J 79 :
N : 100)
11. La charte graphique
Les couleurs
le principe du pantone
Le principe du pantone repose sur quinze couleurs primaires
12. La charte graphique
Les couleurs
le principe du pantone
black (noir primaire) ;
transparent white (transparent pour éclaircir la couleur) ;
yellow (jaune primaire) ;
warm red (rouge chaud) ;
rubine red (rouge rubis) ;
rhodamine red (rouge rhodamine, en fait magenta) ;
purple (violet) ;
reflex blue (bleu réflexe, sorte de bleu indigo très pur) ;
13. La charte graphique
Les typographies
La typographie, est la manière dont est composé un texte
du point de vue de la qualité des caractères et de la mise en
page. Elle permet de rendre visible et lisible la hiérarchisation de
l'information
14. La charte graphique
Les typographies
La graisse
En typographie, la graisse est l’épaisseur d’un trait ou d’un
caractère.
En augmentant la graisse d’un caractère maigre, on obtient un
caractère demi-gras, puis gras, et ainsi de suite.
Notas do Editor
La première identité visuelle de la SNCF apparaît en même temps que l'entreprise, en 1937. A cette époque, la culture de la communication n'existe pas. On ne cherche pas, à travers un logo, à adresser des messages. Il s'agit d'un monogramme, présent sur les matériels et les documents imprimés.
Avec cette première version. la SNCF unifie les réseaux. L' enchevêtrement des quatre lettres du sigle symbolise la réunion des différentes compagnies de chemins de fer sur le territoire.
Dès 1947, l'entreprise éprouve le besoin d'en changer. C'est l'après-guerre, beaucoup de gares et de lignes ont été dévastées, l'identité visuelle doit donc montrer que l'entreprise relève la tête. Ainsi, les capitales du sigle, légèrement inclinées vers le haut, traversent une carte de France, signifiant que la SNCF, est au cœur de la reconstruction du pays.
En 1967, la SNCF est en pleine période d'électrification et de performance technique (le record du monde de vitesse de 331 km/h. a été atteint en 1955), et elle souhaite le faire savoir. Après deux premiers monogrammes très institutionnels, elle en fait dessiner un troisième, déjà porteur d'idées fortes et d'une démarche commerciale. Les lettres épaisses et foncées évoquent la puissance et la stabilité de l'entreprise, tandis que l'italique donne l'impression de mouvement et de vitesse, accentuée par le liseré qui suggère une locomotive.
En 1985 le principe des quatre lettres est maintenu, avec des lignes doublées symbolisant le rail et la fluidité, tandis que l'inclinaison évoque la modernité et la pérennité.
Rapidement, on assiste à une multiplication des signes. Chaque entité donne à ses projets des logos souvent très éloignés de celui de l'entreprise (comme celui des TGV). L'identité visuelle de cette dernière se dilue, il faut lui redonner une unité. En 1992, c'est chose faite avec l' apparition de l'avant dernier logo, qui peut se décliner avec chacune des entités. Basé sur le précédent, il conserve la couleur bleue, et s'enrichit de deux signes forts: la flèche rouge, qui symbolise la puissance de l'entreprise et projette la SNCF dans l'avenir, et la barre d'appui grise, qui rappelle le rail, la voie ferrée, et assied la durée de l'entreprise dans le temps.
Le CMJN appelé plus techniquement quadrichromie est un standard colorimétrique pour l’imprimerie permettant de reproduire un large spectre de couleurs. Ces couleurs sont créées en mélangeant trois encres de bases : le cyan, le magenta et le jaune auxquels on ajoute le noir.
Le CMJN appelé plus techniquement quadrichromie est un standard colorimétrique pour l’imprimerie permettant de reproduire un large spectre de couleurs. Ces couleurs sont créées en mélangeant trois encres de bases : le cyan, le magenta et le jaune auxquels on ajoute le noir.
Le nuancier Pantone, que les imprimeurs appellent aussi « pantonier » et qui ne comprend pas moins de huit cents teintes, donne en fait les proportions de chacune de ces dix teintes de base. Certaines couleurs sont obtenues soit avec deux primaires (une teinte pure et un dopage soit transparent pour éclaircir, soit noir pour assombrir) soit avec trois primaires (deux teintes et un dopage) soit avec quatre primaires (trois teintes et un dopage).
Les teintes Pantone sont des couleurs normalisées et référencées dans un échantillonnage appelé nuancier ou « pantonier ». Elles sont principalement utilisées en imprimerie car le spectre CMJN ne permet pas d'obtenir toutes les teintes. Aussi, il convient souvent d'adjoindre à l'impression une cinquième voire une sixième teinte (ou plus) dite solide.
Elles relèvent de plusieurs gammes :
Pantone C (coated), pour le papier couché ;
Pantone U (uncoated), pour le papier non couché ;
Pantone M (matted), pour le papier mat.
En amont de la production de ces couleurs, il y a les guides Pantone, feuilles cartonnées de 15 × 5 cm imprimées d'un côté avec une série de couleurs de même tonalité, et reliées en opuscule. Une page donnerait par exemple toutes les variantes de jaune, du clair au foncé. Les livrets sont réimprimés annuellement pour éviter que les couleurs ne se délavent avec le temps. Les valeurs assignées aux différentes couleurs peuvent également varier avec le temps et les rééditions.
L'idée de base du système Pantone est de choisir une couleur d'après les guides, et d'utiliser les nombres correspondants pour obtenir la variante correspondante (par exemple en demandant du « Pantone 655 »). La correspondance entre ordinateurs (qui utilisent le système Rouge vert bleu - RVB) et machines d'impression (sous CMJN) est encore aujourd'hui approximative.
Les valeurs Pantone sont devenues une telle référence que le Parlement écossais a récemment débattu d'une mesure qui fixerait la couleur du drapeau à un Pantone 300, c'est-à-dire un bleu roi1.
Les couleurs Pantone sont utilisées pour la spécification des couleurs dans l'industrie du textile (Pantone for Fashion and Home) avec un référencement différent mais aussi dans l'industrie du plastique. Pantone se diversifie aujourd'hui en proposant des solutions pour l'étalonnage des couleurs sur les écrans informatiques (en collaboration avec Gretag Macbeth).
La liste de couleurs de Pantone est soumise à des droits de propriété intellectuelle (en tant que copyright et non pas comme brevet logiciel) et n'est donc pas libre d'utilisation, ce qui explique que les valeurs Pantone ne sont pas disponibles dans les logiciels libres tels que GNU Image Manipulation Program (The GIMP).
Le CMJN appelé plus techniquement quadrichromie est un standard colorimétrique pour l’imprimerie permettant de reproduire un large spectre de couleurs. Ces couleurs sont créées en mélangeant trois encres de bases : le cyan, le magenta et le jaune auxquels on ajoute le noir.
Le CMJN appelé plus techniquement quadrichromie est un standard colorimétrique pour l’imprimerie permettant de reproduire un large spectre de couleurs. Ces couleurs sont créées en mélangeant trois encres de bases : le cyan, le magenta et le jaune auxquels on ajoute le noir.