Présentation faite lors de l'atelier sur le libre accès à l'information juridique organisé par la Section "Bibliothèques de droit" de l'IFLA à Dakar les 3 et 4 décembre 2018
1. Gestion
documentaire du
droit en Afrique à
l’épreuve du libre
accès :
Exercice d’idéation sommaire
***
Antonin Benoît Diouf, IDEP
L’Open Access à l’information juridique - Atelier IFLA – Dakar, 3 et 4 décembre 2018
12. Offre IDEP
Un patrimoine numérisé
de 5800 titres publiés en
et sur l’Afrique depuis
1922
Une vingtaine de bases
de données et gratuites
donnant accès à
plusieurs millions de
titres de publications
scientifiques
14. Quelques outils pour accompagner une démarche Open Access
Lazy Scholar est une extension de Chrome, Firefox et Opera qui
cherche dans l’index de Google Scholar si une version d’un article
scientifique (dont vous êtes en train de lire le résumé) existe en
version intégrale gratuite.
Recherche de documents grâce à cet agrégateur multidisciplinaire de revues et articles en
Open Access. Assure indexer uniquement des articles en Open Access validés par les
pairs pour garantir des résultats de qualité ce qui exclut les travaux d’étudiants, les présentations
d’affaires, etc. Tous les articles indexés suivent la voie dorée ou le modèle hybride. Possibilité de
partage de l’article sur Twitter, de copier le contenu du PDF au format txt
Unpaywall permet de trouver la version en libre accès des articles scientifiques. Extension
pour Chrome et Firefox qui utilise l’API oaDOI qui indexe une centaine de millions d’articles et
repère les versions des articles en libre accès grâce notamment aux DOAJ, CrossRef et
DataCite, à des archives ouvertes et à BASE. Il suffit de copier-coller le DOI d’un document et
oaDOI recherche une éventuelle version en libre accès.
Extensions de navigateurs
Moteur de recherche
15. Pour en savoir plus
https://www.youtube.com/watch?v=WnxqoP-c0ZE
Privés de savoir ?
16. @tonnyben
Ignorer ce qui est produit comme connaissance = DANGER => OPEN ACCESS
(Rapprocher la science des citoyens qui en sont en sourdine les bailleurs via les dépenses
publiques)