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MATERIEL FLOTTANT DE SAUVETAGE : Vol – 2.
Il comprend les embarcations de sauvetage, les radeaux rigides ou pneumatiques
–Engins – bouées – et des brassières. Combinaisons hypothermiques.
En principe la drome de sauvetage d’un navire permet de recevoir et de soutenir
plus de personnes que le navire n’en transporte. Elles doivent - être mises à l’eau
sûrement et rapidement dans des conditions d’assiette toujours défavorables + ou –
10°.
EMBARCATIONS.
Les dimensions ainsi que le nombre de personnes autorisées à recevoir, sont
inscrites en caractère indélébile – NOM et PORT D’IMMATRICULATION du navire.
• L’inventaire des objets d’armement et vivres est inscrit sur une planchette.
• La réserve en combustible est de 24 H à O4 noeuds.
RADEAUX DE SAUVETAGE :
RIGIDES OU PNEUMATIQUES.
• Se déplace automatiquement de leur dispositif d’arrimage – se gonfle et se sépare
du navire.
• Il est inscrit en caractère indélébile, le nom du fabriquant, le N° d’ordre dans la
série, le N° d’approbation, le nom de l’armateur ou du navire, le nombre de
personnes autorisé à recevoir ainsi que toutes indications destinées à faciliter la
mise en œuvre.
• Rations alimentaires de survie, tentes et dispositif de récupération d’eau de pluie.
• Visite ; 1 An – 8 Ans / Visites détaillées en usine ou en station service appropriée.
12 ans, ils sont condamnés sauf prorogation par l’administration après examen.
ENGINS DE SAUVETAGE - IDEM - RADEAU.
BOUEES DE SAUVETAGE.
Elles résistent aux hydrocarbures, portent le nom du navire et port
d’immatriculation. Les bouées doivent pouvoir toujours être larguées instantanément et
ne comporter aucun dispositif de fixation permanente.
BRASSIERES DE SAUVETAGE :
Soulèvent hors de l’eau la tête d’un évanoui.
RECHERCHE ET SAUVETAGE DES PERSONNES EN DETRESSE.
Les états qui ont ratifié la convention internationale sur la S. V. H. en mer,
s’engage à surveiller leur côte et à maintenir des moyens de recherche et sauvetage
approprié / adaptés, ils sont tenus à aucune obligation de secours d’un navire en danger
au large.
Les opérations S. A. R. lorsqu’elles se déroulent en mer, s’appelles : S A M A R / S E C M
A R.
La veille radio sur fréquence internationale de détresse est un facteur du sauvetage en
mer.
ALARME ET ALERTE :
La situation de détresse des personnes en mer peut ressusciter des faits survenus
initialement.
• A bord des navires ou embarcations.
2
• A bord des aéronefs.
L’alarme est donnée par le navire ou aéronef lui-même, par des témoins, par tout
service ou organisme ou toute personne ayant « INQUIETUDE. »
L’alerte consiste à transmettre l’alarme aux organismes des affaires maritimes, marine
nationale, armée de l’air, responsables de l’intervention et de la mise en œuvre des
moyens de recherche et de sauvetage.
AFFAIRES MARITIMES – CROSS.
Le C. R. O. S. S et Sous - CROSS, disposent des moyens appropriés pour
intervenir en mer, en zone côtière, vedettes marine marchande, canots et vedettes
SNGC, peuvent provoquer la mise en œuvre des moyens aériens, terrestres et
maritimes, public ou privé.
MARINE NATIONALE :
Participant aux opérations S A M A R et S E C M A R.
Opérations SECMAR : La marine nationale est chargée d’apprécier en fonction des
renseignements obtenus si une action est nécessaire.
Opération SAMAR : L’OACI rend les états responsables de la recherche et du
sauvetage des aéronefs dans des zones pour lesquelles ils assurent le service de
l’information en vol
(F. I. R.) Flight – Information – Région.
Le Commandant d’un navire qui reçoit un message de détresse de quelque source
que ce soit, est tenu de se porter à toute vitesse au secours des personnes en détresses
en les informant de ce fait.
Accusé Réception :
• Graphie - S. O. S - Indicatif navire… / … R. R. R / 3 Fois.
• Phonie – MAYDAY / 3 Fois…/ … ROMCO ou RECU M A Y D A Y. Nom du navire,
indicatif, position géographique, amer Zv, Gis, Vit, Rv, ETA.
Le capitaine d’un navire en détresse a le droit de réquisitionner les navires qu’il
considère capable de porter secours. Les capitaines des navires réquisitionnés ont
OBLIGATION de se soumettre à la réquisition.
Participation au Sauvetage : L’OACI distribue un manuel de recherche et de sauvetage
MERSAR, obligatoire aux navires sup. à 500 Tx effectuant 1°, 2°, et 3° catégories.
SIGNAUX DE DETRESSE :
Coups de canon, Son continu de brume, fusées à étoile rouge, SOS graphie,500
KHZ, MAYDAY, C.16, 2182 KHZ, NC code international des feux, Barils, huile, goudron,
fusées parachutes, fumigènes oranges, Mouvement lent des bras
Réponse navire sauvetage :
Fusées orange fusées à étoile blanches.
MERSAR : Manuel de recherche et de sauvetage 1980.
Catégorie de détresse :
1. A proximité des côtes : Où l’on peut disposer pour porter secours aux navires /
Aéronefs / Hélicoptère – service sauvetage – base à terre !
3
2. Accident survenu au Large : Navire ou aéronef à grand rayon d’action dans les
régions océaniques éloignées – il n’y a que des navires.
ABREVIATIONS :
• C. R. S…STATION RADIO COTIERE.
• C. S. S…COODINATEUR DES RECHERCHES EN SURFACE.
• D / F – RADIO-GONIOMETRE.
• E P I R B - RADIO BALISE POUR LA LOCALISATION DES SINISTRES.
• INTERCO - CODE INTERNATIONAL DE SIGNAUX…
• M E R S A R - MANUEL DE RECHERCHE.
• O. S. C - COMMANDANT SUR PLACE.
• R. C. C - CENTRE DE COORDINATION DES OPERATIONS DE SAUVETAGE.
• S. A. R - OPERATION DE RECHERCHE ET DE SAUVETAGE.
Règle 10 Chapitre V de la convention internationale de 1974 pour la SVHM –
Message détresse – obligation et procédure.
• Coordination entre navires – aéronefs – stations côtières –
• Coordination par les autorités basées à terre, R. C. C.
• Aéronefs et navires SAR.
• Navires de commerce prennent part aux opérations C. R. S, stations radio côtière
assurent la coordination, demeurer en liaison étroite avec les autorités S. A. R
basées à terre.
• O. S. C – où il n’y a pas de navire SAR spécialisé – l’un des navires devra effectuer
les fonctions de coordinateur des recherches en surface « CSS »
Mesures que doivent prendre les navires prêtant assistance :
Les navires peuvent recevoir le signal d’alarme, l’appel ou le message de détresse
directement d’un navire ou d’un aéronef qui est relayé par des C. R. S – Par signaux
émis par EPIRB considérés comme signaux de détresse – signaux visuels ou sonores
émis par des navires ou aéronefs en détresse.
Mesures immédiates :
• Accusé réception et le retransmettre.
• Relevés radio – goniomètre au cours de l’émission de détresse – 500 KHZ /
Goniomètre. Ou 2182.
• Communiquer identité – position – Vv – Vr – Rv – Rr – ETA – Zv.
• Assurer une veille d’écoute continue sur fréquence de détresse.
• Radar en route continu.
• A proximité du lieu du sinistre, mettre en service de veille renforcé.
• Positionner les autres navires.
• Tableau exact des circonstances de l’accident.
• Désigner le CSS avant l’arrivée du lieu du sinistre.
• Le CSS prévient le CRS.
• Le C S S.
De jour : Groupe « F. R ».
De nuit : Signal conventionnel distinctif.
• Imposer la discipline la plus stricte.
• Poster des vigils sur un rayon de 360°.
4
Méthode de recherche / Arrivée des lieux.
Les aéronefs SAR peuvent envoyer aux navires en détresse des radeaux –
attaches flottantes – radio/balises – émetteurs / récepteurs flottants –bouées colorantes
– fumigène – fusées parachutes – Hélicoptère / 50’ / D’< 300’
Préparation et déroulement des opérations.
• Etablir un certain nombre de diagrammes de recherche.
• Le CSS a la charge de déterminer puis de mettre en œuvre la méthode de
recherche ainsi de le modifier si besoin est – méthode de recherche – arrivée
d’autres navires météo - obtention renseignements supplémentaires.
• Elaboration et mise en œuvre du diagramme de recherche – point de repère –
position la plus probable + dérive + courant…
RATISSAGE EN SPIRALES CARRES.
4’ 2’ LE 1er
NAVIRE SUR LES LIEUX ;
. ‘4
PAR VOIES PARALLELES :
«3 NAVIRE S »
PAR SECTEUR/ Homme à la mer.
2’
La dérive peut varier considérablement selon le type de radeau de sauvetage - R P
A M continue de s’appliquer.
Fin des opérations : Rv – Navire – Choisi par O. S. C.
Le CSS doit informer le CRS la plus proche de la fin des opérations de recherche
en lui donnant le Nom et Destinations du navire.
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Ayant recueilli X Survivants – Etat de la mer et des survivants –nécessité soins
d’urgence – état du navire ou aéronef en indiquant s’il présente un Danger/Dg pour la
navigation.
DUREE DE SURVIE : en fonction de l’état de la mer.
45 minutes / 02°C - 01 h / 04°C - 03 h / 10°C - 06 h / 15 °C
BALISE MORSE ou indicatif d’appel : Navire 121,5/243 MHZ. Communication avec SAR
156 MHZ.
Communications : Engins de sauvetage radio électrique.
C’est un appareil Radio – électrique portatif pour embarcation et radeaux de
sauvetage : il doit être arrimé dans un endroit abrité, facilement accessible et être prêt
à être emporter dans toute embarcation en cas de situation critique. Navire Sup. à 199
personnes et Inf. à 1500, installation d’une radio – télégraphique pour embarcation de
sauvetage.
Tout radeau de sauvetage doit être conçu de façon à pouvoir résister aux
intempéries pendant 30 jours quel que soit l’état de la mer.
Armement radeau de sauvetage / S O L A S. B ou A.
1. Une bouée flottante avec ligne de vie flottante de 30 mètres.
2. Un couteau.
3. Une écope flottante.
4. Deux éponges.
5. Deux ancres flottantes avec aussières et lignes flottantes.
6. Deux pagaies flottantes.
7. 3 ouvres boites.
8. Un nécessaire pharmaceutique de 1ere urgence.
9. Un sifflet ou signal sonore équivalent.
10. 4 fusées parachutes.
11. 6 feux à main.
12. 2 signaux fumigènes.
13. Une lampe électrique étanche code morse + un jeu de piles et une ampoule
de rechange.
14. Un réflecteur radar efficace.
15. Un miroir de signalisation.
16. Un exemplaire de signaux de sauvetage.
17. Un jeu d’engin de pêche.
18. Une ration alimentaire 10 000 KILO – Joules pour chaque personne.
19. Récipients étanches contenant 1 + ½ litres FW/chaque personne ‘appareil
de désalissement.)
20. Une timbale inoxydable graduée.
21. Six doses médicament contre le mal de mer et un sac étanche pour
vomissement pour chaque personne.
22. Instruction pour la survie en mer.
23. Instruction mesures immédiates à prendre.
24. Un nombre suffisant de moyens de protection thermiques.
Dispositif de largage hydrostatique : Largue automatiquement le radeau à une
profondeur inférieur à 4 mètres pour capacité voir inscription indélébile ou certificat, un
radeau se mettant de travers ou à l’envers sur houle puisse se redresser
automatiquement par une seule personne.
Armement Embarcation de sauvetage :
Elles peuvent – être remorquée par un navire inférieur à 5 noeuds :
Embarquement de son plein chargement doit s’effectuer d’au moins 3 minutes.
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Toute embarcation doit être équipée d’un moteur à allumage par compression –
moteur muni d’un dispositif de mise en marche manuelle.
Embarcation pleine chargée – 6 noeuds / 24 h de D. O.
1. Un fanal à commande manuelle.
2. Un Nombre suffisant d’avirons – dames de nage (chaînes)
3. 2 gaffes.
4. une écope.
5. un manuel de survie.
6. un habitacle compas.
7. une ancre flottante.
8. 2 bosses de 15 mètres.
9. 2 hachettes.
10. récipients étanches 3 litres d’eau pour chaque personne.
11. un gobelet inoxydable gradué.
12. une timbale inoxydable graduée.
13. une ration alimentaire correspondant à 10 000Kj pour chaque personne.
14. 4 fusées parachutes.
15. 6 Feux à main.
16. 2 Signaux fumigènes.
17. une lampe électrique étanche pouvant être utilisée pour la signalisation du
code morse, piles et ampoules de rechange.
18. un miroir de signalisation.
19. un exemplaire des signaux de sauvetage.
20. un sifflet ou signal équivalent.
21. un nécessaire pharmaceutique de 1 ère urgence.
22. six doses de médicament contre le mal de mer.
23. un couteau de poche.
24. 3 ouvres boite.
25. 2 bouées couronnes de sauvetage /Lignes flottantes de 30 M.
26. une pompe à main.
27. un jeu d’engin de pêche.
28. des outils pour moteur / Caisse.
29. un extincteur portatif.
30. un projecteur.
31. un réflecteur radar.
32. un nombre suffisant de moyen de protection thermique ; dimension et
nombre de personnes autorisées /indélébile le nom et le port d’immatriculation.
Mesures à prendre dans un radeau de sauvetage.
• Pomper le fond du radeau, prendre connaissance du manuel immédiatement pour
instruction à prendre dés que le radeau est en mer, mettre des vêtements chauds,
gilet de sauvetage, rester dans l’eau un temps minimum pour éviter
l’hypothermie, rejoindre le radeau le plus vite possible.
• Eviter de fournir des efforts dans l’eau, nager le moins possible.
• Prescription et réglementation.
• Flottabilité (ne pas couler).
• Brassières et bouées de sauvetage.
• Combinaisons d’immersion.
• Etre hors de l’eau.
• Se faire récupérer. (conducteur de chaleur).
• Une fois à l’intérieur, mettre l’ancre flottante pour moins de dérive.
• Aider et récupérer le maximum de survivants.
• Monter les blessés sur le dos, sur le ventre.
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• Imposer une discipline rigoureuse.
• Prendre des comprimés contre le mal de mer. Même le marin le plus endurci a du
mal à se retenir sur un radeau, perte de force et d’énergie/ Chaleur.
• Sécher immédiatement les vêtements, mettre des vêtements secs.
• Vérifier le pneumatique / Trou d’air / étanchéité.
• Eviter tout ce qui peut refroidir (les courants d’air).
• Eviter les gilets réchauffer les blessés.
• Utiliser le dispositif de récupération d’eau de pluie.
• Ne rien prendre les 1 ères 24 heures.
• Bien rincer la bouche avant de boire.
• Ne pas vous exposer au soleil.
• Dormir et faire minimum d’effort.
• Prendre connaissance de l’inventaire existant.
• Récupérer d’autres radeaux, rester en contact permanent, poste émetteur –
récepteur.
• Prendre connaissance du manuel de survie et respecter vigoureusement les règles
de survie ; 04 jours.
• Ne jamais prendre d’alcool ni boire de l’urine, de l’eau salée, ni manger du
poisson.
• 24 heures après, distribuer les rations de survie.
• Fusées à main / Avion.
• Fusées parachutes de nuit.
• Enlever les semelles à semelles dures.
• Ne jamais donner à boire à un évanoui.
• Ne pas jeter les boites / Récupération de l’eau de pluie.
SURVIE :
Règle 13 : Page 389.
Les gouvernements contractants s’engagent, au point de vue de sécurité en
mer, d’avoir a bord un équipage suffisant en nombre et en qualité.
MOYENS INDIVIDUELS DE SAUVETAGE.
1. Prescription et réglementation.
2. Ne pas couler – flottabilité.
3. Brassières et bouées de sauvetage.
4. Combinaisons d’immersion.
5. Se faire récupérer, être hors de l’eau.
Brassières de sauvetage :
• Assurer la maintenance et équipements réglementaires, sifflet, ligne flottante,
phoscar, fumigène.
• Accessible et rapidement mises à l’eau.
• Nombre + 5% / Enfants ; + 10 % / Adultes.
Prescriptions générales :
• Confortables résistes dans l’eau.
• Facilement capelable.
• Sauter avec sans se blesser, échelle d’évacuation à 4,50 mètres.
• Retourne le corps d’un évanoui, épuisé, blessé.
• Maintien la bouche hors de l’eau de 1 à 12 cm.
• Flottabilité 24 heures.
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• Faible parcours à la nage.
Gonflables : Prescription – IDEM.
• Se gonflent automatiquement ou manuellement avec deux compartiments dont un
assure la flottabilité.
• Stabilité suffisante / percussion automatique en profondeur.
• Appareil lumineux sup. à 0,75 candelas / intensité lumineuse.
• Champ de vision 2’.
• Piles, source d’énergie sup. A 8 heures.
• Piles L.2A – Autonomie 12 heures / Feux à éclat. Supérieur à 50 minutes.
Spécification :
Brassières de sauvetage, Mousse synthétique, équipement – sifflet – bandes
réfléchissantes – ligne de repérage 2 mètres – sangles permettant à ajuster la taille.
Bouées de sauvetage ;
Nombre en fonction du longueur du navire au minimum.
Ex : Navire de charge de 100 mètres, 08 Bouées. Moitié lumineuse phoscars
/Fumigènes.
Man overboard :
Fumigène + phoscars doit être larguer à partir de la passerelle.
Bouée avec ligne flottante de 30 mètres, sinon 2 fois pont – Flottaison.
Sticker cord – Percutions automatique ou manuelle.
Spécification :
Fumée orange visible à 15’ - Lampes pouvant s’allumer au contact avec l’eau/
étanche ou piles, autonomie 2 heures, intensité lumineuse 0,2 candelas, de nuit –
phoscar – homme à la mer.
De jour, fumigène – IDEM repérage.
Man over-board combine les deux; Phoscar / Fumigène. Durée 15 minutes ; Noyé 10 s.
Phoscar 02 candelas Feux à éclat – 50’ - autonomie 2 heures.
Combinaison d’immersion :
Piel régolet ou pieal Sider. / Orange ou rouge vif.
• Montée en une seule pièce – assure la flottabilité et le redressement automatique
(par percussion), sinon un gilet qui permet de retourner un évanoui ou épuisé /
blessé ; 5 s.
• Le gilet se gonfle par percussion ou à la bouche. Climat méditerranéen / SOLAS
normes françaises.
• Protection 6 à 8 heures, eau 0 à 2°C.
• Capelage en 2 minutes. Etanche et résiste aux feux.
• Saut 5 mètres. Imperméable.
• Recouvre la totalité du corps sauf visage.
• Tablier protection contre les Embruns.
• Protection contre Le froid.
• Appareil lumineux – sifflet.
• Faible parcours à la nage.
Sacs isothermes : Caractéristiques IDEM.
• Protection thermique à l’air libre 20 à 30°C.
• Etanche, protège contre le froid et la chaleur.
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Entretiens :
Vérifier l’aspect général, pesée bouteilles CO2 / Un An – Station agrée / 5 Ans,
Graissage ouverture, tous les 3 mois.
MOYENS COLLECTIFS DE SAUVETAGE :
ETRE HORS DE L’EAU.
Radeaux de sauvetage :
Evolution drome de sauvetage ; radeaux + Embarcation.
• Navire de charge 300% de moyens collectifs de sauvetage, 1 place + ½ Radeau +
Embarcation.
• Mise à l’eau 10 minutes.
• Navire passagers : 01 Place + ¼ MCS / 125%….30 minutes…Temps prescrits
pour mettre tous les M. C. S.
• Radeaux de sauvetage ordinaires 06 à 20 places.
Caractéristiques :
• Poids 25 places ………….180 kg,
• Radeaux sous bossoirs / Capacité 40 à 60 places.
• Résistance mer.18 mètres. Hauteur 5 mètres.
• remorquage 3 noeuds
• Tente auto érectable.
• Navire – coule – largage hydrostatique.
• Facilité mise à l ‘eau, bossoir ou à la main.
• Facilité d’embarquement, ouverture échelle accès.
• Stabilité assurée – récupère les naufragés.
• Résistance hydrocarbure – mer – corrosion.
• Retournement par une personne.
Particularité :
2 Compartiments gonflable par CO2, 1 ou 2 bouteilles additionnées à l’azote afin
éviter congélation, odeur jasmin.
2 boudins + 1 Mat – CO2 Sifflement soupape – sécurité – dégagement des gaz.
Valves de gonflement ou dégonflement.
Plancher à air – 1er
geste.
Sangle de redressement
Visite 1 An – 12 à 17 Mois. Durée de vie 12 Ans, à 15 Ans changement ; IDEM
MK7/15 ans
Visite technique d’un radeau :
Révision par une station agrée par le constructeur et l’administration.
• Vérification pesée Bouteilles CO2.
• Détection de fuite par pesée – 12 à 17 mois.
• Vérification par ingénieur 5 an, gonflage à l’air.
• Percuter le CO2 / Bouteilles.
• Vérification tête de percussion.
• Vérifier l’étanchéité du radeau.
• Vérifier l’état général superstructure et clapet surpression – valve.
• Vérifier matériel à péremption, procéder à son remplacement si nécessaire –ration
– piles boites pharmaceutiques – F/W.
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• Conditionnement du radeau des poches sous vides – vider complètement l’air des
boudins – parquets – turbo soufflant.
ARMEMENT RADEAUX.
Grue ou manuel – dans des sacs ou conteneurs.
Armement fixe :
• Bouée avec ligne fixe.
• Couteau flottant.
• Ancre flottante.
• Notice d’emploi.
• Clapet etc.….
• Fascicule.
• Soufflet – gonfler le plancher.
• 25 rations alimentaires 2250 Kilojoules – boites de 500 g / 5 jours. L’humain
consomme 2300 à 2800 Kcal. – 37,5 l / FW par jour et par personne.
• 160 comprimés / Mal de mer …1er geste.
• Bien rincer la bouche avant de boire.
• Sacs de vomissement servent à stocker l’eau et comme oreillers /dormir. Poisson,
échauffement des pieds si besoin est.
Sacs isothermes :
Chauffage / refroidissement.
Mise à l’eau des radeaux / Soit jetable – automatique ou bossoirs.
Manuel :
Drisse – point fixe / pour rapprocher le navire. Essayer les échelles pour éviter
d’être mouillé. Le dernier coupe la drisse.
Automatique :
Navire sombre, Croc hydrostatique. Types MK7 ou H20 ; Visite 12 à 17 mois. Profondeur
1,5 à 4 mètres, Déclenchement. Vérifier que la drisse est attachée à l’anneau du Croc
hydrostatique – une bague de fixation attachée au berceau – ligne cassante.
H2O…Corps en plastique – guillotine – libération d’un ressort / Pénétration eau –
fonctionnement des 2 crocs 1,5 à 4 m. de profondeur – percussion du radeau /
Bouteilles CO2 grâce à la drisse et ligne cassante – libère le radeau en toute sécurité.
Radeau sous bossoir :
Grue manuelle. Peut - être percuté par le bossoir hydrostatique et manuel.
• Radeau en pleine charge.
• 3 drisses- 2 batayoles –1 pour percussion.
• Placer le croc de suspension.
• Fermeture du croc sous le poids du radeau
• Dés qu’il touche l’eau se désamorce – le croc se libère – attacher les batayoles –
percussion – affaler / dernière opération.
Les TOBOGANS :
Evacuation rapide par glissière. M. E. S sup. à 30 minutes – 45 places.
• Avantage – facilité glissière.
• Radeau stocké sur berceau incliné.
• Rapidité d’évacuation.
11
• Diminution du poids du drome.
• CNT Rd contenant 2 radeaux - 500 Passagers en 30 minutes.
Radeaux rigides : Prennent plus de place.
• Ne sont pas contenarisés.
• Se libèrent par les attaches cassantes.
• Assure sa propre flottabilité.
• Ils sont à mousse synthétique ou liège.
• Flottabilité par son propre matériau.
Premiers GESTES à faire :
• Couper la drisse et éloignement rapide.
• Ancre flottante pour élimination dérive.
• Etiquettes – manuel. Valve – consignes de sécurité.
• Organiser un quart / Surveillance.
• Pavois – bâche – éviter les embruns et pénétration de l’eau et du vent.
• Désigner une personne responsable.
• Un homme de veille.
• Ouvrir trousse d’inventaire.
• Distribuer contre mal de mer.
• Sceller le plancher.
• Manœuvre vers d’autres radeaux.
• Assurer ventilation radeau.
• Répartition des taches.
• Repêchage et repérage.
• Ramasser les épaves utiles, bidons sacs.
• Se protéger c/ la chaleur l’humidité et le froid.
• Signalisation – lampe et réflecteur radar.
• Soutenir le moral. Radeau salubre – mesure sanitaire draconien.
• Utiliser convenablement le matériel de survie disponible.
EMBARCATION DE SAUVETAGE :
Partiellement ou complètement fermé à redressement automatique – pulvérisation
aération extérieure autonome.
Caractéristique.
Cas défavorable – vitesse 5 noeuds –gîte 20°. – maximum 150 personnes – 75
Kg.
L’embarcation doit supporter pleine charge.
Navire de charge Maximum 35 places – résiste chute de 3 m. – durée embarquement 03
minutes, laisser 5 minutes motrices en marche.
Complètement fermée. Type WATERS CRAFT à pulvérisation extérieure.
Une bouteille d’air comprimée actionne la pompe pneumatique à l’eau (aspire l’eau
de mer) – Sinon pompe Japy Manuel.- 2 ou 3 Trous de chaque bords pour rames.-
Navire coule,largage hydrostatique. – surface anti –dérapant –redressement
automatique – changement câble tous les 5 ans et 3 ans pour renverser les galets.
CAPSULES :
Pour les navires citernes et plates – formes.
Canots de secours :
Prévu pour tous les navires. 5 à 6 personnes + un allongé. Ferry AV 20 %.
12
Rigide ou gonflé – vit. 6 noeuds – 04 h – Moteur hors bord manuel – vit. Remorqué 2
noeuds
Semi – rigide : Zodiac.
Se faire récupérer par des moyens de signalisation.
• Fusées parachutes / 6.
• Feux à main / 4.
• Fumigène / 2, De jour ou de nuit – Attire l’attention navires + Côte, aéronefs.
Tenir fermement et tirer le percuteur / Parfois 5 secondes de retardement / Lire
notice / Inconvénient ; le VENT.
Feux à main : Percussion manuelle – autonomie 60 s, Inconvénient, fumée toxique,
étincelle nocive pour les yeux.
Fumigène – durée 3 minutes – le jour – 10 à 15’.
MIROIR DE SIGNALISATION :
Attire l’attention des navires / Jour ou nuit.
Lampe torche. MORSE.
ROLE DE L’OFFICIER DE SECURITE.
INCENDIE - ABANDON -UNE FOIS PAR MOIS / Passager 2 fois par semaine.
OBJECTIF :
Formation équipage, se familiariser du matériel de sécurité, automatiser par des
entraînements, en évitant les routines / gestes naturels. Soit de jour ou de nuit.
Connaissance localisation du matériel de sécurité. Savoir entretenir et l’utiliser.
• Travail en équipe.
• Se familiariser devant situation critique.
• Permettent de contrôler la connaissance et capacité de l’équipage.
• Etat des engins afin assurer aux exercices maximums efficacité.
• Simulation et intéressement.
• Eviter d’aviser d’avance.
• Multiplier les exercices.
• Précéder de consignes et instructions.
• Créer l’effet de surprise.
• Equipage bien habillé – combinaison – chaussures.
• Exercices à n’importe qu’elle heure….Comme s’il s’agisse d’une vraie situation
critique !
Formation et consignes A l’équipage.
• Définir quelques situations critiques.
• Fonction de chaque équipage.
• Faire face à toute situation.
• Utilisation embarcation et radeau.
• Survie en mer.
• Problème d’hypothermie ; danger, froid, feux.
• Utilisation optimale matériaux de survie.
• Comment évacuer embarcation et percuter radeau ?
• Mesure à prendre dans l’eau.
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• Langage simple dans l’eau.
L’HYPOTHERMIE.
Le corps humain résiste jusqu’à 37°.C
Défense - Faire vibrer les muscles.
Créer chaleur. 36°C. Frisson….28°C. Mort certaine.
33/35….Excitante léger – 31/33°C…. Modéré dynamique. – 24 / 31°C. Seuil / Grave
torpeur.
35/36°C….Problème cardiaque. Muscles rigides.
34/35/36/….Rythme cardiaque et respiratoire = 22 minutes.
• Confusion mentale.
• Amnésie, troubles respiratoires – Rigidité musculaire, (cœur & muscles).
• Palpitation inférieure à 60 battements par minutes.
• Coma – arrêt cardiaque relâchement musculaire.
1ere & 2° phase - conscient / inconscient ; l’isoler, le réchauffer, douche chaude
progressive, ne pas frictionner (perte chaleur)- donner énergie – sucre, lait, tisane,
éviter alcool/thé/Café.
2° Phase : AMNESIE – Le déshabiller, couvrir sec et chaud, position P. L. S. (Position
latérale de sécurité.
AERONEFS et ASSISTANCE. A M V E R.
Aide en mer aux aéronefs.
Envoyer les messages de la position à AMVER – New York qui facilitera la répartition et
la mise en œuvre des moyens d’assistance. Seul les navires proches participent aux
recherches.
Service d’alerte:
• A. C. C : Air Control Centre.
• R. C. C (avion ) : Rescue Coordination Center.
• S. A. R : Search and Rescue.
Phases critiques:
• INCERFA - INCERTITUDE.
• ALERFA - ALERTE.
• DETRESFA - DETRESSE.
Déclenchement des phases critiques:
Lorsqu’un aéronef lance un message de détresse et d’urgence ; SOS / RADIO –
MAYDAY / PHONIQUE avec indicatif sur les fréquences radio télégraphiques / 500 KHZ
/8364 KHZ En Téléphonie /121,5 et 243 MHZ, le centre en vol « C. I, va déclencher les
phases lorsque le contact est perdu.
Recherches :
SIGNAUX DES NAUFRAGES :
De jour ; - Miroir – signaux réflecteurs – fumigène orange.
De Nuit ; - Fusées rouges – lampes portative – sifflets.
De jour comme de nuit, émettre des signaux de détresse radio – 500 KHz –
8364 KHz
14
C. I. V / R. C. C. / S. A. R.
Rôles des stations côtières maritimes.
Le RCC entre en liaison avec les stations côtières qui serviront d’intermédiaire
avec les navires et qui les alertent sur AVURNAV ou M. S. G. De détresse.
Les navires auront pour rôle – la recherche – sauvetage – aides aux aéronefs
amerris.
Participation aux recherches.
C’est une obligation de porter secours et de se rendre sur les lieux Par les moyens les
plus rapides. Le navire doit faire une veille attentive pour découvrir les naufragés et les
restes de l’appareil (canaux de sauvetage).
Les appareils SAR ont un rôle important de récupérer le lieu de détresse et ne peuvent
toujours pas porter secours.
Règle :
Tout navire survolé par un avion qui bat les ailes – fait des ronds – coupe le gaz et
indique une direction, doit comprendre que cet avion désire de l’aide – Contact radio.
Réponse du navire :
• Hisser une flamme blanche et rouge.
• Morse série de I.
• Changer de cap pour suivre la direction indiquée.
• Si ça se passe à l’AR, l’action est terminée.
• Je vous ai vu, je ne peux pas porter secours.
Manœuvre de sauvetage aux naufragés :
POSSIBILITE DE METTRE L’EMBARCATION :
• Se présenter au vent, à une distance de 50 mètres des naufragés (éviter de se
trouver au ⊥ du vent dérive.)
• Affaler l’embarcation sous le vent et la présenter au vent pour abriter les
naufragés.
• Le hissage du naufragé est délicat – le saisir avec un filin et lui éviter toute
participation musculaire (ils sont souvent blessés, refroidis, ou choqués).
• Avoir du matériel de secours – un infirmier et matériel de hissage.
IMPOSSIBILITE DE METTRE L’EMBARCATION.
Présenter le navire «au vent », les hélices le plus loin possible et laisser dériver
doucement sur les naufragés – Affaler les échelles – filets affalés le long du bord – mat
de charge – poutre poulie de retours jeter un canot pneumatique – bouées culottes –
flotteurs tous les 20 mètres – frapper des filins sur flotteur 5 à 6 m - projecteurs.

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  • 1. 1 MATERIEL FLOTTANT DE SAUVETAGE : Vol – 2. Il comprend les embarcations de sauvetage, les radeaux rigides ou pneumatiques –Engins – bouées – et des brassières. Combinaisons hypothermiques. En principe la drome de sauvetage d’un navire permet de recevoir et de soutenir plus de personnes que le navire n’en transporte. Elles doivent - être mises à l’eau sûrement et rapidement dans des conditions d’assiette toujours défavorables + ou – 10°. EMBARCATIONS. Les dimensions ainsi que le nombre de personnes autorisées à recevoir, sont inscrites en caractère indélébile – NOM et PORT D’IMMATRICULATION du navire. • L’inventaire des objets d’armement et vivres est inscrit sur une planchette. • La réserve en combustible est de 24 H à O4 noeuds. RADEAUX DE SAUVETAGE : RIGIDES OU PNEUMATIQUES. • Se déplace automatiquement de leur dispositif d’arrimage – se gonfle et se sépare du navire. • Il est inscrit en caractère indélébile, le nom du fabriquant, le N° d’ordre dans la série, le N° d’approbation, le nom de l’armateur ou du navire, le nombre de personnes autorisé à recevoir ainsi que toutes indications destinées à faciliter la mise en œuvre. • Rations alimentaires de survie, tentes et dispositif de récupération d’eau de pluie. • Visite ; 1 An – 8 Ans / Visites détaillées en usine ou en station service appropriée. 12 ans, ils sont condamnés sauf prorogation par l’administration après examen. ENGINS DE SAUVETAGE - IDEM - RADEAU. BOUEES DE SAUVETAGE. Elles résistent aux hydrocarbures, portent le nom du navire et port d’immatriculation. Les bouées doivent pouvoir toujours être larguées instantanément et ne comporter aucun dispositif de fixation permanente. BRASSIERES DE SAUVETAGE : Soulèvent hors de l’eau la tête d’un évanoui. RECHERCHE ET SAUVETAGE DES PERSONNES EN DETRESSE. Les états qui ont ratifié la convention internationale sur la S. V. H. en mer, s’engage à surveiller leur côte et à maintenir des moyens de recherche et sauvetage approprié / adaptés, ils sont tenus à aucune obligation de secours d’un navire en danger au large. Les opérations S. A. R. lorsqu’elles se déroulent en mer, s’appelles : S A M A R / S E C M A R. La veille radio sur fréquence internationale de détresse est un facteur du sauvetage en mer. ALARME ET ALERTE : La situation de détresse des personnes en mer peut ressusciter des faits survenus initialement. • A bord des navires ou embarcations.
  • 2. 2 • A bord des aéronefs. L’alarme est donnée par le navire ou aéronef lui-même, par des témoins, par tout service ou organisme ou toute personne ayant « INQUIETUDE. » L’alerte consiste à transmettre l’alarme aux organismes des affaires maritimes, marine nationale, armée de l’air, responsables de l’intervention et de la mise en œuvre des moyens de recherche et de sauvetage. AFFAIRES MARITIMES – CROSS. Le C. R. O. S. S et Sous - CROSS, disposent des moyens appropriés pour intervenir en mer, en zone côtière, vedettes marine marchande, canots et vedettes SNGC, peuvent provoquer la mise en œuvre des moyens aériens, terrestres et maritimes, public ou privé. MARINE NATIONALE : Participant aux opérations S A M A R et S E C M A R. Opérations SECMAR : La marine nationale est chargée d’apprécier en fonction des renseignements obtenus si une action est nécessaire. Opération SAMAR : L’OACI rend les états responsables de la recherche et du sauvetage des aéronefs dans des zones pour lesquelles ils assurent le service de l’information en vol (F. I. R.) Flight – Information – Région. Le Commandant d’un navire qui reçoit un message de détresse de quelque source que ce soit, est tenu de se porter à toute vitesse au secours des personnes en détresses en les informant de ce fait. Accusé Réception : • Graphie - S. O. S - Indicatif navire… / … R. R. R / 3 Fois. • Phonie – MAYDAY / 3 Fois…/ … ROMCO ou RECU M A Y D A Y. Nom du navire, indicatif, position géographique, amer Zv, Gis, Vit, Rv, ETA. Le capitaine d’un navire en détresse a le droit de réquisitionner les navires qu’il considère capable de porter secours. Les capitaines des navires réquisitionnés ont OBLIGATION de se soumettre à la réquisition. Participation au Sauvetage : L’OACI distribue un manuel de recherche et de sauvetage MERSAR, obligatoire aux navires sup. à 500 Tx effectuant 1°, 2°, et 3° catégories. SIGNAUX DE DETRESSE : Coups de canon, Son continu de brume, fusées à étoile rouge, SOS graphie,500 KHZ, MAYDAY, C.16, 2182 KHZ, NC code international des feux, Barils, huile, goudron, fusées parachutes, fumigènes oranges, Mouvement lent des bras Réponse navire sauvetage : Fusées orange fusées à étoile blanches. MERSAR : Manuel de recherche et de sauvetage 1980. Catégorie de détresse : 1. A proximité des côtes : Où l’on peut disposer pour porter secours aux navires / Aéronefs / Hélicoptère – service sauvetage – base à terre !
  • 3. 3 2. Accident survenu au Large : Navire ou aéronef à grand rayon d’action dans les régions océaniques éloignées – il n’y a que des navires. ABREVIATIONS : • C. R. S…STATION RADIO COTIERE. • C. S. S…COODINATEUR DES RECHERCHES EN SURFACE. • D / F – RADIO-GONIOMETRE. • E P I R B - RADIO BALISE POUR LA LOCALISATION DES SINISTRES. • INTERCO - CODE INTERNATIONAL DE SIGNAUX… • M E R S A R - MANUEL DE RECHERCHE. • O. S. C - COMMANDANT SUR PLACE. • R. C. C - CENTRE DE COORDINATION DES OPERATIONS DE SAUVETAGE. • S. A. R - OPERATION DE RECHERCHE ET DE SAUVETAGE. Règle 10 Chapitre V de la convention internationale de 1974 pour la SVHM – Message détresse – obligation et procédure. • Coordination entre navires – aéronefs – stations côtières – • Coordination par les autorités basées à terre, R. C. C. • Aéronefs et navires SAR. • Navires de commerce prennent part aux opérations C. R. S, stations radio côtière assurent la coordination, demeurer en liaison étroite avec les autorités S. A. R basées à terre. • O. S. C – où il n’y a pas de navire SAR spécialisé – l’un des navires devra effectuer les fonctions de coordinateur des recherches en surface « CSS » Mesures que doivent prendre les navires prêtant assistance : Les navires peuvent recevoir le signal d’alarme, l’appel ou le message de détresse directement d’un navire ou d’un aéronef qui est relayé par des C. R. S – Par signaux émis par EPIRB considérés comme signaux de détresse – signaux visuels ou sonores émis par des navires ou aéronefs en détresse. Mesures immédiates : • Accusé réception et le retransmettre. • Relevés radio – goniomètre au cours de l’émission de détresse – 500 KHZ / Goniomètre. Ou 2182. • Communiquer identité – position – Vv – Vr – Rv – Rr – ETA – Zv. • Assurer une veille d’écoute continue sur fréquence de détresse. • Radar en route continu. • A proximité du lieu du sinistre, mettre en service de veille renforcé. • Positionner les autres navires. • Tableau exact des circonstances de l’accident. • Désigner le CSS avant l’arrivée du lieu du sinistre. • Le CSS prévient le CRS. • Le C S S. De jour : Groupe « F. R ». De nuit : Signal conventionnel distinctif. • Imposer la discipline la plus stricte. • Poster des vigils sur un rayon de 360°.
  • 4. 4 Méthode de recherche / Arrivée des lieux. Les aéronefs SAR peuvent envoyer aux navires en détresse des radeaux – attaches flottantes – radio/balises – émetteurs / récepteurs flottants –bouées colorantes – fumigène – fusées parachutes – Hélicoptère / 50’ / D’< 300’ Préparation et déroulement des opérations. • Etablir un certain nombre de diagrammes de recherche. • Le CSS a la charge de déterminer puis de mettre en œuvre la méthode de recherche ainsi de le modifier si besoin est – méthode de recherche – arrivée d’autres navires météo - obtention renseignements supplémentaires. • Elaboration et mise en œuvre du diagramme de recherche – point de repère – position la plus probable + dérive + courant… RATISSAGE EN SPIRALES CARRES. 4’ 2’ LE 1er NAVIRE SUR LES LIEUX ; . ‘4 PAR VOIES PARALLELES : «3 NAVIRE S » PAR SECTEUR/ Homme à la mer. 2’ La dérive peut varier considérablement selon le type de radeau de sauvetage - R P A M continue de s’appliquer. Fin des opérations : Rv – Navire – Choisi par O. S. C. Le CSS doit informer le CRS la plus proche de la fin des opérations de recherche en lui donnant le Nom et Destinations du navire.
  • 5. 5 Ayant recueilli X Survivants – Etat de la mer et des survivants –nécessité soins d’urgence – état du navire ou aéronef en indiquant s’il présente un Danger/Dg pour la navigation. DUREE DE SURVIE : en fonction de l’état de la mer. 45 minutes / 02°C - 01 h / 04°C - 03 h / 10°C - 06 h / 15 °C BALISE MORSE ou indicatif d’appel : Navire 121,5/243 MHZ. Communication avec SAR 156 MHZ. Communications : Engins de sauvetage radio électrique. C’est un appareil Radio – électrique portatif pour embarcation et radeaux de sauvetage : il doit être arrimé dans un endroit abrité, facilement accessible et être prêt à être emporter dans toute embarcation en cas de situation critique. Navire Sup. à 199 personnes et Inf. à 1500, installation d’une radio – télégraphique pour embarcation de sauvetage. Tout radeau de sauvetage doit être conçu de façon à pouvoir résister aux intempéries pendant 30 jours quel que soit l’état de la mer. Armement radeau de sauvetage / S O L A S. B ou A. 1. Une bouée flottante avec ligne de vie flottante de 30 mètres. 2. Un couteau. 3. Une écope flottante. 4. Deux éponges. 5. Deux ancres flottantes avec aussières et lignes flottantes. 6. Deux pagaies flottantes. 7. 3 ouvres boites. 8. Un nécessaire pharmaceutique de 1ere urgence. 9. Un sifflet ou signal sonore équivalent. 10. 4 fusées parachutes. 11. 6 feux à main. 12. 2 signaux fumigènes. 13. Une lampe électrique étanche code morse + un jeu de piles et une ampoule de rechange. 14. Un réflecteur radar efficace. 15. Un miroir de signalisation. 16. Un exemplaire de signaux de sauvetage. 17. Un jeu d’engin de pêche. 18. Une ration alimentaire 10 000 KILO – Joules pour chaque personne. 19. Récipients étanches contenant 1 + ½ litres FW/chaque personne ‘appareil de désalissement.) 20. Une timbale inoxydable graduée. 21. Six doses médicament contre le mal de mer et un sac étanche pour vomissement pour chaque personne. 22. Instruction pour la survie en mer. 23. Instruction mesures immédiates à prendre. 24. Un nombre suffisant de moyens de protection thermiques. Dispositif de largage hydrostatique : Largue automatiquement le radeau à une profondeur inférieur à 4 mètres pour capacité voir inscription indélébile ou certificat, un radeau se mettant de travers ou à l’envers sur houle puisse se redresser automatiquement par une seule personne. Armement Embarcation de sauvetage : Elles peuvent – être remorquée par un navire inférieur à 5 noeuds : Embarquement de son plein chargement doit s’effectuer d’au moins 3 minutes.
  • 6. 6 Toute embarcation doit être équipée d’un moteur à allumage par compression – moteur muni d’un dispositif de mise en marche manuelle. Embarcation pleine chargée – 6 noeuds / 24 h de D. O. 1. Un fanal à commande manuelle. 2. Un Nombre suffisant d’avirons – dames de nage (chaînes) 3. 2 gaffes. 4. une écope. 5. un manuel de survie. 6. un habitacle compas. 7. une ancre flottante. 8. 2 bosses de 15 mètres. 9. 2 hachettes. 10. récipients étanches 3 litres d’eau pour chaque personne. 11. un gobelet inoxydable gradué. 12. une timbale inoxydable graduée. 13. une ration alimentaire correspondant à 10 000Kj pour chaque personne. 14. 4 fusées parachutes. 15. 6 Feux à main. 16. 2 Signaux fumigènes. 17. une lampe électrique étanche pouvant être utilisée pour la signalisation du code morse, piles et ampoules de rechange. 18. un miroir de signalisation. 19. un exemplaire des signaux de sauvetage. 20. un sifflet ou signal équivalent. 21. un nécessaire pharmaceutique de 1 ère urgence. 22. six doses de médicament contre le mal de mer. 23. un couteau de poche. 24. 3 ouvres boite. 25. 2 bouées couronnes de sauvetage /Lignes flottantes de 30 M. 26. une pompe à main. 27. un jeu d’engin de pêche. 28. des outils pour moteur / Caisse. 29. un extincteur portatif. 30. un projecteur. 31. un réflecteur radar. 32. un nombre suffisant de moyen de protection thermique ; dimension et nombre de personnes autorisées /indélébile le nom et le port d’immatriculation. Mesures à prendre dans un radeau de sauvetage. • Pomper le fond du radeau, prendre connaissance du manuel immédiatement pour instruction à prendre dés que le radeau est en mer, mettre des vêtements chauds, gilet de sauvetage, rester dans l’eau un temps minimum pour éviter l’hypothermie, rejoindre le radeau le plus vite possible. • Eviter de fournir des efforts dans l’eau, nager le moins possible. • Prescription et réglementation. • Flottabilité (ne pas couler). • Brassières et bouées de sauvetage. • Combinaisons d’immersion. • Etre hors de l’eau. • Se faire récupérer. (conducteur de chaleur). • Une fois à l’intérieur, mettre l’ancre flottante pour moins de dérive. • Aider et récupérer le maximum de survivants. • Monter les blessés sur le dos, sur le ventre.
  • 7. 7 • Imposer une discipline rigoureuse. • Prendre des comprimés contre le mal de mer. Même le marin le plus endurci a du mal à se retenir sur un radeau, perte de force et d’énergie/ Chaleur. • Sécher immédiatement les vêtements, mettre des vêtements secs. • Vérifier le pneumatique / Trou d’air / étanchéité. • Eviter tout ce qui peut refroidir (les courants d’air). • Eviter les gilets réchauffer les blessés. • Utiliser le dispositif de récupération d’eau de pluie. • Ne rien prendre les 1 ères 24 heures. • Bien rincer la bouche avant de boire. • Ne pas vous exposer au soleil. • Dormir et faire minimum d’effort. • Prendre connaissance de l’inventaire existant. • Récupérer d’autres radeaux, rester en contact permanent, poste émetteur – récepteur. • Prendre connaissance du manuel de survie et respecter vigoureusement les règles de survie ; 04 jours. • Ne jamais prendre d’alcool ni boire de l’urine, de l’eau salée, ni manger du poisson. • 24 heures après, distribuer les rations de survie. • Fusées à main / Avion. • Fusées parachutes de nuit. • Enlever les semelles à semelles dures. • Ne jamais donner à boire à un évanoui. • Ne pas jeter les boites / Récupération de l’eau de pluie. SURVIE : Règle 13 : Page 389. Les gouvernements contractants s’engagent, au point de vue de sécurité en mer, d’avoir a bord un équipage suffisant en nombre et en qualité. MOYENS INDIVIDUELS DE SAUVETAGE. 1. Prescription et réglementation. 2. Ne pas couler – flottabilité. 3. Brassières et bouées de sauvetage. 4. Combinaisons d’immersion. 5. Se faire récupérer, être hors de l’eau. Brassières de sauvetage : • Assurer la maintenance et équipements réglementaires, sifflet, ligne flottante, phoscar, fumigène. • Accessible et rapidement mises à l’eau. • Nombre + 5% / Enfants ; + 10 % / Adultes. Prescriptions générales : • Confortables résistes dans l’eau. • Facilement capelable. • Sauter avec sans se blesser, échelle d’évacuation à 4,50 mètres. • Retourne le corps d’un évanoui, épuisé, blessé. • Maintien la bouche hors de l’eau de 1 à 12 cm. • Flottabilité 24 heures.
  • 8. 8 • Faible parcours à la nage. Gonflables : Prescription – IDEM. • Se gonflent automatiquement ou manuellement avec deux compartiments dont un assure la flottabilité. • Stabilité suffisante / percussion automatique en profondeur. • Appareil lumineux sup. à 0,75 candelas / intensité lumineuse. • Champ de vision 2’. • Piles, source d’énergie sup. A 8 heures. • Piles L.2A – Autonomie 12 heures / Feux à éclat. Supérieur à 50 minutes. Spécification : Brassières de sauvetage, Mousse synthétique, équipement – sifflet – bandes réfléchissantes – ligne de repérage 2 mètres – sangles permettant à ajuster la taille. Bouées de sauvetage ; Nombre en fonction du longueur du navire au minimum. Ex : Navire de charge de 100 mètres, 08 Bouées. Moitié lumineuse phoscars /Fumigènes. Man overboard : Fumigène + phoscars doit être larguer à partir de la passerelle. Bouée avec ligne flottante de 30 mètres, sinon 2 fois pont – Flottaison. Sticker cord – Percutions automatique ou manuelle. Spécification : Fumée orange visible à 15’ - Lampes pouvant s’allumer au contact avec l’eau/ étanche ou piles, autonomie 2 heures, intensité lumineuse 0,2 candelas, de nuit – phoscar – homme à la mer. De jour, fumigène – IDEM repérage. Man over-board combine les deux; Phoscar / Fumigène. Durée 15 minutes ; Noyé 10 s. Phoscar 02 candelas Feux à éclat – 50’ - autonomie 2 heures. Combinaison d’immersion : Piel régolet ou pieal Sider. / Orange ou rouge vif. • Montée en une seule pièce – assure la flottabilité et le redressement automatique (par percussion), sinon un gilet qui permet de retourner un évanoui ou épuisé / blessé ; 5 s. • Le gilet se gonfle par percussion ou à la bouche. Climat méditerranéen / SOLAS normes françaises. • Protection 6 à 8 heures, eau 0 à 2°C. • Capelage en 2 minutes. Etanche et résiste aux feux. • Saut 5 mètres. Imperméable. • Recouvre la totalité du corps sauf visage. • Tablier protection contre les Embruns. • Protection contre Le froid. • Appareil lumineux – sifflet. • Faible parcours à la nage. Sacs isothermes : Caractéristiques IDEM. • Protection thermique à l’air libre 20 à 30°C. • Etanche, protège contre le froid et la chaleur.
  • 9. 9 Entretiens : Vérifier l’aspect général, pesée bouteilles CO2 / Un An – Station agrée / 5 Ans, Graissage ouverture, tous les 3 mois. MOYENS COLLECTIFS DE SAUVETAGE : ETRE HORS DE L’EAU. Radeaux de sauvetage : Evolution drome de sauvetage ; radeaux + Embarcation. • Navire de charge 300% de moyens collectifs de sauvetage, 1 place + ½ Radeau + Embarcation. • Mise à l’eau 10 minutes. • Navire passagers : 01 Place + ¼ MCS / 125%….30 minutes…Temps prescrits pour mettre tous les M. C. S. • Radeaux de sauvetage ordinaires 06 à 20 places. Caractéristiques : • Poids 25 places ………….180 kg, • Radeaux sous bossoirs / Capacité 40 à 60 places. • Résistance mer.18 mètres. Hauteur 5 mètres. • remorquage 3 noeuds • Tente auto érectable. • Navire – coule – largage hydrostatique. • Facilité mise à l ‘eau, bossoir ou à la main. • Facilité d’embarquement, ouverture échelle accès. • Stabilité assurée – récupère les naufragés. • Résistance hydrocarbure – mer – corrosion. • Retournement par une personne. Particularité : 2 Compartiments gonflable par CO2, 1 ou 2 bouteilles additionnées à l’azote afin éviter congélation, odeur jasmin. 2 boudins + 1 Mat – CO2 Sifflement soupape – sécurité – dégagement des gaz. Valves de gonflement ou dégonflement. Plancher à air – 1er geste. Sangle de redressement Visite 1 An – 12 à 17 Mois. Durée de vie 12 Ans, à 15 Ans changement ; IDEM MK7/15 ans Visite technique d’un radeau : Révision par une station agrée par le constructeur et l’administration. • Vérification pesée Bouteilles CO2. • Détection de fuite par pesée – 12 à 17 mois. • Vérification par ingénieur 5 an, gonflage à l’air. • Percuter le CO2 / Bouteilles. • Vérification tête de percussion. • Vérifier l’étanchéité du radeau. • Vérifier l’état général superstructure et clapet surpression – valve. • Vérifier matériel à péremption, procéder à son remplacement si nécessaire –ration – piles boites pharmaceutiques – F/W.
  • 10. 10 • Conditionnement du radeau des poches sous vides – vider complètement l’air des boudins – parquets – turbo soufflant. ARMEMENT RADEAUX. Grue ou manuel – dans des sacs ou conteneurs. Armement fixe : • Bouée avec ligne fixe. • Couteau flottant. • Ancre flottante. • Notice d’emploi. • Clapet etc.…. • Fascicule. • Soufflet – gonfler le plancher. • 25 rations alimentaires 2250 Kilojoules – boites de 500 g / 5 jours. L’humain consomme 2300 à 2800 Kcal. – 37,5 l / FW par jour et par personne. • 160 comprimés / Mal de mer …1er geste. • Bien rincer la bouche avant de boire. • Sacs de vomissement servent à stocker l’eau et comme oreillers /dormir. Poisson, échauffement des pieds si besoin est. Sacs isothermes : Chauffage / refroidissement. Mise à l’eau des radeaux / Soit jetable – automatique ou bossoirs. Manuel : Drisse – point fixe / pour rapprocher le navire. Essayer les échelles pour éviter d’être mouillé. Le dernier coupe la drisse. Automatique : Navire sombre, Croc hydrostatique. Types MK7 ou H20 ; Visite 12 à 17 mois. Profondeur 1,5 à 4 mètres, Déclenchement. Vérifier que la drisse est attachée à l’anneau du Croc hydrostatique – une bague de fixation attachée au berceau – ligne cassante. H2O…Corps en plastique – guillotine – libération d’un ressort / Pénétration eau – fonctionnement des 2 crocs 1,5 à 4 m. de profondeur – percussion du radeau / Bouteilles CO2 grâce à la drisse et ligne cassante – libère le radeau en toute sécurité. Radeau sous bossoir : Grue manuelle. Peut - être percuté par le bossoir hydrostatique et manuel. • Radeau en pleine charge. • 3 drisses- 2 batayoles –1 pour percussion. • Placer le croc de suspension. • Fermeture du croc sous le poids du radeau • Dés qu’il touche l’eau se désamorce – le croc se libère – attacher les batayoles – percussion – affaler / dernière opération. Les TOBOGANS : Evacuation rapide par glissière. M. E. S sup. à 30 minutes – 45 places. • Avantage – facilité glissière. • Radeau stocké sur berceau incliné. • Rapidité d’évacuation.
  • 11. 11 • Diminution du poids du drome. • CNT Rd contenant 2 radeaux - 500 Passagers en 30 minutes. Radeaux rigides : Prennent plus de place. • Ne sont pas contenarisés. • Se libèrent par les attaches cassantes. • Assure sa propre flottabilité. • Ils sont à mousse synthétique ou liège. • Flottabilité par son propre matériau. Premiers GESTES à faire : • Couper la drisse et éloignement rapide. • Ancre flottante pour élimination dérive. • Etiquettes – manuel. Valve – consignes de sécurité. • Organiser un quart / Surveillance. • Pavois – bâche – éviter les embruns et pénétration de l’eau et du vent. • Désigner une personne responsable. • Un homme de veille. • Ouvrir trousse d’inventaire. • Distribuer contre mal de mer. • Sceller le plancher. • Manœuvre vers d’autres radeaux. • Assurer ventilation radeau. • Répartition des taches. • Repêchage et repérage. • Ramasser les épaves utiles, bidons sacs. • Se protéger c/ la chaleur l’humidité et le froid. • Signalisation – lampe et réflecteur radar. • Soutenir le moral. Radeau salubre – mesure sanitaire draconien. • Utiliser convenablement le matériel de survie disponible. EMBARCATION DE SAUVETAGE : Partiellement ou complètement fermé à redressement automatique – pulvérisation aération extérieure autonome. Caractéristique. Cas défavorable – vitesse 5 noeuds –gîte 20°. – maximum 150 personnes – 75 Kg. L’embarcation doit supporter pleine charge. Navire de charge Maximum 35 places – résiste chute de 3 m. – durée embarquement 03 minutes, laisser 5 minutes motrices en marche. Complètement fermée. Type WATERS CRAFT à pulvérisation extérieure. Une bouteille d’air comprimée actionne la pompe pneumatique à l’eau (aspire l’eau de mer) – Sinon pompe Japy Manuel.- 2 ou 3 Trous de chaque bords pour rames.- Navire coule,largage hydrostatique. – surface anti –dérapant –redressement automatique – changement câble tous les 5 ans et 3 ans pour renverser les galets. CAPSULES : Pour les navires citernes et plates – formes. Canots de secours : Prévu pour tous les navires. 5 à 6 personnes + un allongé. Ferry AV 20 %.
  • 12. 12 Rigide ou gonflé – vit. 6 noeuds – 04 h – Moteur hors bord manuel – vit. Remorqué 2 noeuds Semi – rigide : Zodiac. Se faire récupérer par des moyens de signalisation. • Fusées parachutes / 6. • Feux à main / 4. • Fumigène / 2, De jour ou de nuit – Attire l’attention navires + Côte, aéronefs. Tenir fermement et tirer le percuteur / Parfois 5 secondes de retardement / Lire notice / Inconvénient ; le VENT. Feux à main : Percussion manuelle – autonomie 60 s, Inconvénient, fumée toxique, étincelle nocive pour les yeux. Fumigène – durée 3 minutes – le jour – 10 à 15’. MIROIR DE SIGNALISATION : Attire l’attention des navires / Jour ou nuit. Lampe torche. MORSE. ROLE DE L’OFFICIER DE SECURITE. INCENDIE - ABANDON -UNE FOIS PAR MOIS / Passager 2 fois par semaine. OBJECTIF : Formation équipage, se familiariser du matériel de sécurité, automatiser par des entraînements, en évitant les routines / gestes naturels. Soit de jour ou de nuit. Connaissance localisation du matériel de sécurité. Savoir entretenir et l’utiliser. • Travail en équipe. • Se familiariser devant situation critique. • Permettent de contrôler la connaissance et capacité de l’équipage. • Etat des engins afin assurer aux exercices maximums efficacité. • Simulation et intéressement. • Eviter d’aviser d’avance. • Multiplier les exercices. • Précéder de consignes et instructions. • Créer l’effet de surprise. • Equipage bien habillé – combinaison – chaussures. • Exercices à n’importe qu’elle heure….Comme s’il s’agisse d’une vraie situation critique ! Formation et consignes A l’équipage. • Définir quelques situations critiques. • Fonction de chaque équipage. • Faire face à toute situation. • Utilisation embarcation et radeau. • Survie en mer. • Problème d’hypothermie ; danger, froid, feux. • Utilisation optimale matériaux de survie. • Comment évacuer embarcation et percuter radeau ? • Mesure à prendre dans l’eau.
  • 13. 13 • Langage simple dans l’eau. L’HYPOTHERMIE. Le corps humain résiste jusqu’à 37°.C Défense - Faire vibrer les muscles. Créer chaleur. 36°C. Frisson….28°C. Mort certaine. 33/35….Excitante léger – 31/33°C…. Modéré dynamique. – 24 / 31°C. Seuil / Grave torpeur. 35/36°C….Problème cardiaque. Muscles rigides. 34/35/36/….Rythme cardiaque et respiratoire = 22 minutes. • Confusion mentale. • Amnésie, troubles respiratoires – Rigidité musculaire, (cœur & muscles). • Palpitation inférieure à 60 battements par minutes. • Coma – arrêt cardiaque relâchement musculaire. 1ere & 2° phase - conscient / inconscient ; l’isoler, le réchauffer, douche chaude progressive, ne pas frictionner (perte chaleur)- donner énergie – sucre, lait, tisane, éviter alcool/thé/Café. 2° Phase : AMNESIE – Le déshabiller, couvrir sec et chaud, position P. L. S. (Position latérale de sécurité. AERONEFS et ASSISTANCE. A M V E R. Aide en mer aux aéronefs. Envoyer les messages de la position à AMVER – New York qui facilitera la répartition et la mise en œuvre des moyens d’assistance. Seul les navires proches participent aux recherches. Service d’alerte: • A. C. C : Air Control Centre. • R. C. C (avion ) : Rescue Coordination Center. • S. A. R : Search and Rescue. Phases critiques: • INCERFA - INCERTITUDE. • ALERFA - ALERTE. • DETRESFA - DETRESSE. Déclenchement des phases critiques: Lorsqu’un aéronef lance un message de détresse et d’urgence ; SOS / RADIO – MAYDAY / PHONIQUE avec indicatif sur les fréquences radio télégraphiques / 500 KHZ /8364 KHZ En Téléphonie /121,5 et 243 MHZ, le centre en vol « C. I, va déclencher les phases lorsque le contact est perdu. Recherches : SIGNAUX DES NAUFRAGES : De jour ; - Miroir – signaux réflecteurs – fumigène orange. De Nuit ; - Fusées rouges – lampes portative – sifflets. De jour comme de nuit, émettre des signaux de détresse radio – 500 KHz – 8364 KHz
  • 14. 14 C. I. V / R. C. C. / S. A. R. Rôles des stations côtières maritimes. Le RCC entre en liaison avec les stations côtières qui serviront d’intermédiaire avec les navires et qui les alertent sur AVURNAV ou M. S. G. De détresse. Les navires auront pour rôle – la recherche – sauvetage – aides aux aéronefs amerris. Participation aux recherches. C’est une obligation de porter secours et de se rendre sur les lieux Par les moyens les plus rapides. Le navire doit faire une veille attentive pour découvrir les naufragés et les restes de l’appareil (canaux de sauvetage). Les appareils SAR ont un rôle important de récupérer le lieu de détresse et ne peuvent toujours pas porter secours. Règle : Tout navire survolé par un avion qui bat les ailes – fait des ronds – coupe le gaz et indique une direction, doit comprendre que cet avion désire de l’aide – Contact radio. Réponse du navire : • Hisser une flamme blanche et rouge. • Morse série de I. • Changer de cap pour suivre la direction indiquée. • Si ça se passe à l’AR, l’action est terminée. • Je vous ai vu, je ne peux pas porter secours. Manœuvre de sauvetage aux naufragés : POSSIBILITE DE METTRE L’EMBARCATION : • Se présenter au vent, à une distance de 50 mètres des naufragés (éviter de se trouver au ⊥ du vent dérive.) • Affaler l’embarcation sous le vent et la présenter au vent pour abriter les naufragés. • Le hissage du naufragé est délicat – le saisir avec un filin et lui éviter toute participation musculaire (ils sont souvent blessés, refroidis, ou choqués). • Avoir du matériel de secours – un infirmier et matériel de hissage. IMPOSSIBILITE DE METTRE L’EMBARCATION. Présenter le navire «au vent », les hélices le plus loin possible et laisser dériver doucement sur les naufragés – Affaler les échelles – filets affalés le long du bord – mat de charge – poutre poulie de retours jeter un canot pneumatique – bouées culottes – flotteurs tous les 20 mètres – frapper des filins sur flotteur 5 à 6 m - projecteurs.