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Formation OAW - sciences ouvertes et participatives - 3 nov. 2020

  1. Sciences ouvertes et sciences participatives Mélodie Faury 2020-2021
  2. Objectifs de la formation Après une introduction aux sciences ouvertes et aux sciences participatives, nous nous poserons les questions suivantes : dans quelle mesure sciences ouvertes et sciences participatives sont-elles articulées aujourd’hui ? Peut-on parler d’appropriation des savoirs ouverts ? Quelles relations peut-on observer entre les savoirs académiques, les savoirs professionnels et les savoirs d’expérience ? Nous nous appuierons sur l’analyse de dispositifs actuels et identifierons les outils disponibles pour les chercheurs et leurs enjeux en termes de rapport aux sciences.
  3. Contexte « Les relations de la science avec la société se sont profondément modifiées au cours de l’histoire. A partir des années 70, la notion de progrès est réinterrogée face aux nouveaux défis environnementaux et sanitaires. Ceci met aujourd’hui au premier plan les questions posées par les citoyens aux chercheurs et aux institutions de recherche, ainsi que le besoin des chercheurs de faire comprendre la nature et l’importance de leur démarche à l’ensemble de la société. Le COMETS affirme ici qu’il y a urgence à construire une relation de confiance entre les citoyens et les scientifiques. Deux voies sont abordées : celle des sciences participatives et celle d’un dialogue science-citoyens renouvelé. » cnrs.fr/comets, 25 juin 2015
  4. Contexte « La voie des sciences participatives, en grand développement aujourd’hui grâce à internet, associe les citoyens amateurs aux activités scientifiques pour la collecte des données et parfois la co- création ou l’interprétation des résultats. Il en résulte un apport mutuel considérable, d’une part pour l’enrichissement de la production des connaissances, d’autre part pour la formation des citoyens aux méthodes et à l’esprit scientifique. Cette voie encourage les vocations pour les sciences chez les jeunes. Le COMETS formule des recommandations portant sur l’encadrement des pratiques des réseaux amateurs, sur l’importance de la validation des résultats, sur le respect de l’anonymat lorsqu’il s’agit de données privées, enfin sur le statut et la reconnaissance dus aux contributeurs. » cnrs.fr/comets, 25 juin 2015
  5. http://sciences-medias.ens-lyon.fr/article.php3?id_article=56
  6. La science ouverte à l’Université de Strasbourg
  7. Université de Strasbourg Une longue présence des sciences au cœur de la ville, portée par une politique de diffusion des savoirs très active : • Jardin botanique (1619) • Musée zoologique (1804 – cabinet Herrmann, 1988) • Planétarium universitaire (1981) • Un centre de CSTI devenu « Jardin des sciences » en 2008 • Nouveau planétarium et rénovation du musée zoologique (2020-22) 9 La Science ouverte à l’Université de Strasbourg Introduction générale La Science ouverte à l’Université de Strasbourg
  8. Université de Strasbourg Une volonté d’avoir une approche critique de la recherche et de s’interroger sur le rapport entre sciences et société : • Gersulp (1973) – Groupe de recherche sur l’étude des sciences et techniques en société • Un master Sciences et société (1993) • Vice-présidence Sciences en société depuis 2009 • Vice-présidence déléguée à la Science ouverte depuis 2017 • Lancement d’une Maison pour la science en Alsace (2012) 10 La Science ouverte à l’Université de Strasbourg Introduction générale La Science ouverte à l’Université de Strasbourg
  9. Université de Strasbourg Un site de premier plan en matière d’édition scientifique et de documentation : • Les bibliothèques de l’université (31 bibliothèques) • Une bibliothèque nationale et universitaire • Des presses universitaires (PUS) fondées en 1919 • Une URFIST (Unité Régionale de Formation à l'Information Scientifique et Technique) • Un Schéma Directeur de la Documentation en Alsace (SDDA) qui a financé des actions de structuration au niveau alsacien 11 La Science ouverte à l’Université de Strasbourg Introduction générale La Science ouverte à l’Université de Strasbourg
  10. Université de Strasbourg Des évolutions récentes allant dans la direction de la Science ouverte (1/2) : • Une archive institutionnelle propre à l’université (UnivOAK), couplée aux données de la recherche • Un passage des PUS à l’OpenEdition (livres & revues) • Un service d’appui aux données de la recherche • Des formations dédiées à la science ouverte par l’URFIST 12 La Science ouverte à l’Université de Strasbourg Introduction générale La Science ouverte à l’Université de Strasbourg
  11. Université de Strasbourg Des évolutions récentes allant dans la direction de la Science ouverte (2/2) : • Des programmes de recherche et sciences participatives sporadiques • Un comité d’éthique pour les chercheurs • La rédaction (en cours) d’un schéma stratégique visant à mieux articuler CSTI, Open Access & Edition, sciences participatives et actions Sciences / Société 13 La Science ouverte à l’Université de Strasbourg Introduction générale La Science ouverte à l’Université de Strasbourg
  12. Université de Strasbourg Une définition « strasbourgeoise » de la Science ouverte, qui tient compte de l’histoire et des forces en présence : • Open Access • Open Data • Open Edition • Co-construction des savoirs et interfaçage entre monde académique, milieux éducatifs et société civile • Sciences & recherches participatives • Responsabilité sociétale et éthique de la recherche 14 La Science ouverte à l’Université de Strasbourg Introduction générale La Science ouverte à l’Université de Strasbourg
  13. Université de Strasbourg 15 ACTIONS SCIENCES-SOCIETES Un écosystème La Science ouverte à l’Université de Strasbourg
  14. Les sciences ouvertes à l’université de Strasbourg et le lien aux sciences participatives
  15. Université de Strasbourg 19/09/2019 Open science et diffusion des savoirs L’OpenScience transforme les circuits de diffusion des savoirs en ouvrant l’accès aux publications et aux données à tous (ou presque). De ce fait, elle impacte la diffusion et la co- construction des savoirs.  La CSTI en a pris acte et a intégré cette dimension à sa stratégie nationale (2017).
  16. Université de Strasbourg 19/09/2019 Open science et diffusion des savoirs La diffusion de la science et de ses résultats en-dehors du milieu académique passent désormais par : - Le développement de plateformes et d’outils interactifs de médiation scientifique - L’utilisation des résultats et des données de la recherche dans un but pédagogique ou didactique - La création d’espaces et de temps de rencontre pluriels entre scientifiques, citoyens, société civile et monde économique - Un rapport renouvelé entre culture, arts et science (notamment patrimoine scientifique) - Une place accrue de la formation à et par les sciences dans la formation des enseignants et par des actions en mode projet touchant à la fois les élèves, leurs enseignants et leurs parents. A l’Unistra, une politique ambitieuse portée : • Par le développement de la plateforme de médiation des savoirs OSCAHR ; • Par le soutien aux actions pédagogiques et de médiation des sciences et savoirs (Jardin des sciences, Maison pour la science) • Par l’action convergente de différents acteurs (JdS, MSA, bibliothèques, URFIST, PUS)
  17. Université de Strasbourg 19/09/2019 Open science et recherches participatives L’Open Science pose aussi l’ouverture à la société dans l’épistémologie et la méthodologie de la science. Elles permettent notamment un changement du regard porté par les citoyens sur la science.  Le rapport de François Houllier (2016) sur les pratiques de recherche participative en France montre que le terrain est déjà largement exploité par les organismes de recherche (INRA, INSERM, IRD…) et par certaines disciplines (sciences sociales, linguistique, sciences du vivant…).
  18. Université de Strasbourg 19/09/2019 Open science et recherches participatives A l’Unistra, une politique portée par : • Par le lancement d’un appel à projet de science citoyenne et participative (IdEx, juillet 2019, doté de 100k€) Premiers lauréats : SigiAl (histoire médiévale) ; Médiations numériques et service aux personnes fragiles (ergonomie informatique). • Par le développement de dispositifs participatifs autour des grands enjeux sociétaux et scientifiques, associant les milieux scientifiques, économiques, artistiques et la société civile (ex : Forum des religions) Inspirations et partenariats : Université de Lausanne et Collaboratoire, INRA et OpenINRA, Muséum National d’Histoire Naturelle (MNHN) et programme Vigie-Nature, Vigie-Ciel La construction de programmes de recherche participative (citizen science) doit se faire là où cela fait sens pour la recherche. Elle peut prendre deux formes principales : collecte de données ou co-construction du projet de recherche. Elle suppose : - Le développement de collaborations structurées et formalisées entre la recherche académique et la société civile, - D’être soutenues par des méthodologies partagées et clairement établies, par des outils appropriés et par une convention-cadre garantissant l’intégrité de la recherche et les prérogatives de l’une et l’autre des parties.
  19. Exemples concrets de projets de sciences participatives
  20. https://www.inserm.fr/sites/default/files/2017-08/Inserm_Gram_Rapport_200309.pdf
  21. https://etude-nutrinet-sante.fr/
  22. https://www.youtube.com/watch?v=djX08KW_4cs&feature=emb_title
  23. https://www.mnhn.fr/fr/participez/contribuez-sciences-participatives
  24. https://www.mnhn.fr/fr/participez/actualites/open-portail-sciences-participatives https://www.open-sciences-participatives.org/home/
  25. https://www.youtube.com/watch?v=koxY91UEW4c&feature=emb_logo
  26. https://www.unil.ch/collaboratoire/fr/home.html
  27. https://www.unil.ch/collaboratoire/home/menuinst/recherche-et-societe.html
  28. https://www.joursavenir.org/activities/ncs/protocole
  29. https://scienceetbiencommun.pressbooks.pub/justicecognitive1/chapter/les-boutiques-des- sciences-et-des-savoirs-au-croisement-entre-universite-et-developpement-local-durable/
  30. https://boutiquedessciences.universite-lyon.fr/accueil-bds-72471.kjsp
  31. https://boutiquedessciences.universite-lyon.fr/videos-podcasts-144146.kjsp?RH=1547635339865
  32. https://www.accessavoirs.ulaval.ca/
  33. https://www.unistra.fr/index.php?id=29890
  34. https://sigial.hypotheses.org/
  35. https://oscahr.unistra.fr/
  36. https://www.vigie-ciel.org/
  37. https://www.vigie-ciel.org/
  38. http://www.vigienature.fr/
  39. https://maisons-pour-la-science.org/alsace/colleges-pilotes
  40. Université de Strasbourg La Science ouverte à l’Université de Strasbourg44 ART et CULTURE Supplementary elements Sciences physiques (nanomagnétisme, physique des particules, microscopie électronique, photonique, holographie, informatique géométrique et graphique – conception de capteurs et caméra ultra-rapide, astrophysique) – arts & culture visuelle – épistémologie – Open science Sophie Hedtmann et Emeline Dufrennoy
  41. 45 Sophie Hedtmann et Emeline Dufrennoy
  42. 46 Sophie Hedtmann et Emeline Dufrennoy
  43. 47 Sophie Hedtmann et Emeline Dufrennoy
  44. Sciences participatives : qu’est-ce que c’est ? Parfois appelées sciences citoyennes ou sciences collaboratives, les sciences participatives dans le domaine de la biodiversité regroupent principalement « des programmes de collecte d’informations impliquant une participation du public dans le cadre d’une démarche scientifique » (Collectif national des Sciences Participatives). Apparues dans les pays anglo-saxons au début du XXe siècle, les sciences participatives sont arrivées en France en 1989 avec le premier observatoire coordonné par le MNHN, le Suivi Temporel des Oiseaux Communs (STOC). Depuis, plus de 200 projets ont vu le jour sur des centaines d’espèces, aussi bien à l’échelle nationale que locale.
  45. Rapport Houllier, 2016 https://www.open-sciences-participatives.org/ressource/27
  46. https://www.open-sciences-participatives.org/uploads/img/resources/5b194eb844fd7_rapport-impression- sciences-participatives-fevrier-2016-web.pdf
  47. https://www.youtube.com/watch?v=XJeB_qs1Ufg
  48. « Les sciences participatives sont définies comme les formes de production de connaissances scientifiques auxquelles des acteurs non scientifiques-professionnels, qu’il s’agisse d’individus ou de groupes, participent de façon active et délibérée (rapport Houllier). La littérature distingue différents niveaux de participation, de l’information à la capacitation (empowerment) [Arnstein 1969]. Les sciences participatives se déclinent au pluriel. La grande diversité de disciplines, de sujets, d’acteurs, de méthodes et de finalités ne peut conduire à l’élaboration d’une définition unique et consensuelle, qui en réduirait le champ et la portée. » Rapport Houllier, 2016
  49. Quatre niveaux de participation peuvent être distingués (Muki Haklay) :
  50. « L’idée de «sciences citoyennes» recouvre elle aussi plusieurs acceptions. Elle désigne d’abord des sciences auxquelles contribuent des citoyens amateurs avec des professionnels de la recherche. On l’entend aussi comme les sciences ayant des vertus citoyennes, au service de la société dans leur organisation et leur fonctionnement (réf COMETS). Le terme « science citoyenne » a été forgé par Alan Irwin en 1995 dans son ouvrage Citizen Science où il explique comment on peut accumuler des connaissances sur l’environnement à partir d’expériences individuelles rapportées par un grand nombre de personnes. A peu près à la même époque, aux Etats-Unis, le terme «sciences citoyennes» se réfère à la participation du grand public à la recherche. » Rapport Houllier, 2016
  51. « Si les expressions de sciences participatives, sciences citoyennes, sciences collaboratives sont récentes, la participation du public ou du moins de certains publics à la prospection, à la récolte de données, d’échantillons, à la connaissance ce n’est pas d’hier et remonte en Europe, au moins pour la botanique, au XVIe siècle. Dans les sciences citoyennes, un vaste réseau de personnes collaborent. Les participants fournissent données expérimentales et des installations pour les chercheurs, posent de nouvelles questions et co-créer une nouvelle culture scientifique. Bien qu'ils ajoutent de la valeur, les volontaires acquièrent nouveaux apprentissages et compétences et mieux comprendre le travail scientifique de manière attrayante. À la suite de cette ouverture, mise en réseau et transdisciplinaire scénario, les interactions science-société-politique sont améliorées, ce qui conduit à une plus grande recherche démocratique fondée sur des preuves et une prise de décision éclairée. »
  52. « Aujourd’hui cependant, sous la rubrique des sciences citoyennes ou des sciences participatives semblent aujourd’hui s’épanouir de véritables success stories, recensées dans un rapport récent sur « Les sciences participatives en France ». Derrière les catégories de « science citoyenne », de « data citizenship », d’épidémiologie populaire, de FabLab, Living Labs, et autres tiers lieux, plates-formes d’échanges ou de dispositifs d’inclusion des savoirs autochtones, s’étale un ensemble diversifié d’initiatives et d’activités, plus ou moins organisées et formalisées, dans lesquelles sont engagés des « non-experts », contribuant (à des niveaux et des degrés variés) aux processus de mise à l’agenda, de prise de décisions, de conception de politiques et de production de connaissances à propos de la science et de la technologie. En somme, si la participation aux décisions et aux politiques de la science et de l’innovation semble être limitée, la participation à la production de données et de connaissances semble bel et bien vivante. » Rapport Houllier, 2016
  53. Les sciences participatives se déclinent au pluriel : - diversité de disciplines, - de sujets, - d’acteurs, - de méthodes - et de finalités Cette diversité est caractéristique des sciences participatives ; elle est aussi une composante intrinsèque de leur intérêt. Elle se manifeste par une sémantique non stabilisée et par la prolifération de typologies qui ambitionnent de décrire le phénomène. Pour autant, force est de constater que les acteurs impliqués n’ont pas toujours conscience de cette diversité. => Rapport Houllier
  54. Les connaissances scientifiques sont définies comme des connaissances validées par les pairs selon des normes de preuve en usage dans les communautés de recherche (réfutabilité, reproductibilité, etc.). Les connaissances scientifiques se distinguent des savoirs (savoirs d’action, savoir-faire, savoirs d’expérience, etc.) qui sont généralement non codifiés et liés à des situations locales. Dans certains projets, l’un des enjeux des sciences participatives est de croiser les connaissances scientifiques et des savoirs locaux, dans l’esprit de la démarche de croisement des savoirs et des pratiques développées par ATD Quart Monde [Tardieu, 2012]. Rapport Houllier, 2016
  55. « La participation est définie comme la compétence des citoyens ou des groupes à être concernés de manière directe par un problème et mobilisés par leur volonté de mieux connaître des phénomènes qui les concernent, ou d’agir sur leurs conditions propres ou sur leurs environnements proches ou lointains. La littérature distingue différents niveaux de participation, de l’information à la capacitation (empowerment) [Arnstein 1969]. Cette définition large regroupe toute une série d’activités qui font l’objet d’au moins autant d’appellations. La diversité des termes utilisés est en effet un symptôme des dynamiques en cours et du foisonnement des approches. » Rapport Houllier, 2016
  56. « En anglais, une liste non exhaustive comprend les expressions suivantes : citizen science (activités de recherche scientifique auxquelles des citoyens contribuent activement par un effort intellectuel ou par l’apport de connaissances pertinentes, d’outils ou de ressources), collaborative science, public engagement (implication de spécialistes sur la base de l’écoute, de la compréhension et de l’interaction avec des non spécialistes), participatory research, community based research, crowdsourcing, crowdcrafting, participatory experiments, collective intelligence, volunteer computing, human sensing [Socientize 2014]. En français, on retrouve les mêmes expressions, traduites ou non. Au Canada, où ces recherches s’appuient sur une longue tradition de soutien institutionnel, l’expression « sciences participatives » n’est pas ou peu utilisée mais les expressions telles que « l’engagement communautaire » et « la recherche partenariale, pour et avec la société civile », font désormais partie du lexique. » Rapport Houllier, 2016
  57. [Haklay, 2015]. Rapport Houllier, 2016
  58. Pour construire ces typologies, plusieurs critères peuvent être combinés : • Objectifs (apprentissage, évolution des pratiques, éclairage des politiques publiques, capacitation des publics, résolution de problèmes, contribution à une aventure scientifique, etc.) ; • Formes d’engagement (bénévolat, rémunération, durée précise ou non, individuel ou collectif, etc.) ; • Rôles des différents participants (problématisation, établissement du protocole, collecte, analyse, interprétation, etc.) ; • Publics visés (novices, spécialistes, étudiants, grand public, etc.) ; • Échelle du projet (locale, moyenne, globale) ; • Type de protocole (donnée opportuniste, fréquence de relevés imposée, nécessité ou non d’un préalable à l’observation, etc.). Rapport Houllier, 2016
  59. Cette typologie s’appuie principalement sur le rôle des publics et sur l’échelle du projet : Rapport Houllier, 2016
  60. distinguer trois grandes familles de dispositifs de sciences participatives : Rapport Houllier, 2016
  61. Le rapport entre les différents types de savoirs ALLISS
  62. Université de Strasbourg http://www.alliss.org/
  63. Université de Strasbourg
  64. Université de Strasbourg XXX
  65. https://www.youtube.com/watch?v=5jYj7wuji9c&feature=youtu.be
  66. Université de Strasbourg « En Alsace, une Maison habitée pour transformer l’enseignement des sciences » https://theconversation.com/en-alsace-une-maison-habitee-pour-transformer- lenseignement-des-sciences-92488 La Maison pour la science en Alsace
  67. Université de Strasbourg « En Alsace, une Maison habitée pour transformer l’enseignement des sciences » https://theconversation.com/en-alsace-une-maison-habitee-pour-transformer- lenseignement-des-sciences-92488 La Maison pour la science en Alsace
  68. Université de Strasbourg Dépasser le “modèle du code” De la diffusion des savoirs aux biens communs La science comme bien commun : quelles pratiques de chercheur.e.s ?
  69. Université de Strasbourg (Trench, 2008). De la diffusion des savoirs aux biens communs
  70. Université de Strasbourg
  71. Déclaration de Montréal, 2019
  72. https://journals.openedition.org/sociologies/14426
  73. Appropriation des savoirs ouverts « Le projet « Appropriation du savoir ouvert » consiste à étudier les usages sur les plateformes d’OpenEdition et s’intéresse d’une façon large au processus d’appropriation de ces contenus : de l’accès à la lecture, de la citation académique à toutes les formes de reprises, évocations, commentaires. « Appropriation du savoir ouvert » vise à mettre au point des indicateurs qualitatifs et quantitatifs pour étudier la propagation et l’appropriation des savoirs scientifiques dans différents espaces publics numériques. À terme, il permettra de proposer une évolution des standards bibliométriques vers des métriques alternatives en cours d’émergence, prenant en compte à la fois les usages de citation et de lecture.
  74. Appropriation des savoirs ouverts https://analytics.huma-num.fr/Huma-num/umberto_oe/
  75. Outils collaboratifs de recherche • Outils de stockage et de partage de fichiers • Outils d’écriture collaborative • Outils de brainstorming collectif • Outils de gestion de projets • Outils de gestion d’agendas • Outils de planification de réunions • Outils de réunions à distance Source : formation Marie-Laure Malingre et Alexandre Serres – URFIST Rennes (2014-2016)
  76. https://www.a-brest.net/IMG/pdf/Guide_pratique_du_travail_collaboratif.pdf https://www.sites.univ-rennes2.fr/urfist/ressources/outils-de-travail-collaboratif Ressources 2009, Alexandre Piquet
  77. https://www.diigo.com/list/urfistrennes/Outils-de-travail-collaboratif Ressources : mine d’or
  78. •Quelques définitions du travail collaboratif : –« un travail qui n'est plus fondé sur l'organisation hiérarchisée traditionnelle, et plus spécifiquement un nouveau mode de travail où collaborent de nombreuses personnes grâce aux technologies de l'information et de la communication » (Wikipedia). –« Le travail collaboratif est une situation dans laquelle plusieurs agents (dit partenaires) décident de coopérer, c'est-à-dire de produire et d'utiliser l'intelligence collective, dans le but de résoudre en commun un problème » (F. Aidouni). Quelques définitions Source : https://www.sites.univ- rennes2.fr/urfist/ressources/outils-de-travail-collaboratif
  79. Le travail coopératif Source : https://www.a- brest.net/IMG/pdf/Guide_pr atique_du_travail_collaborat if.pdf p.9
  80. Le travail collaboratif Source : https://www.a- brest.net/IMG/pdf/Guide_pr atique_du_travail_collaborat if.pdf p.10
  81. 88 Source : https://www.a- brest.net/IMG/pdf/Guide_pratique_du_travail_collaboratif.pdf p.12
  82. 89 • Très grande diversité des outils collaboratifs : – Fonctions collaboratives dans la plupart des outils actuels d’internet • Principaux critères de typologies: – Fonction principale – Rapport au temps : outils synchrones / asynchrones – Rapport à l’espace : outils présentiels / à distance – Coût : gratuits / payants – Implantation : en ligne / en local – Nature du code : open source / propriétaires Diversité et typologie des outils
  83. 90 Source : Guide pratique du travail collaboratif Typologie selon la fonction principale
  84. 91 Source : Guide pratique du travail collaboratif Typologie selon dimension spatio-temporelle de communication
  85. 92Source : Guide pratique du travail collaboratif Typologie des outils selon leurs fonctions
  86. Quelques exemples https://evento.renater.fr/
  87. Quelques exemples https://seafile.unistra.fr/
  88. Quelques exemples https://www.youtube.com/watch?v=_81BnTD3DGQ DISCORD https://discordapp.com
  89. Quelques exemples https://www.youtube.com/watch?v=vUi2_-30t7o https://slack.com/ https://formation-vng1859.slack.com/messages/CH7QASAG2 SLACK
  90. Quelques exemples https://trello.com/ TRELLO https://www.youtube.com/watch?v=DqmXYPNrHcw
  91. Quelques exemples http://piratepad.net PIRAT PAD
  92. Quelques exemples FEEDLY https://feedly.com/ https://www.youtube.com/watch?v=9RRcnw2flL8
  93. Quelques exemples Framindmap https://framindmap.org
  94. Quelques exemples hypotheses.org twitter.com
  95. Références https://www.participation-et-democratie.fr/sciences-citoyennes http://institut.inra.fr/Partenaires/Sciences-et-societe/Toutes-les-actualites/Livre-Blanc-Prendre-au-serieux-la-societe-de-la- connaissancealliss http://www.cnrs.fr/comets/IMG/pdf/comets-avis-sciences_citoyennes-25_juin_2015.pdf Gilles Bœuf, Yves-Marie Allain et Michel Bouvier, « L’apport des sciences participatives à la connaissance de la biodiversité en France », La Lettre de l’OCIM [En ligne], 144 | 2012, mis en ligne le 01 novembre 2014, consulté le 15 juillet 2019. URL : http://journals.openedition.org/ocim/1119 ; DOI : 10.4000/ocim.1119 http://www.sciences-participatives.com/Rapport https://www.mnhn.fr/fr/participez/actualites/open-portail-sciences-participatives Le Crosnier Hervé, Neubauer Claudia, Storup Bérangère, « Sciences participatives ou ingénierie sociale : quand amateurs et chercheurs co-produisent les savoirs », Hermès, La Revue, 2013/3 (n° 67), p. 68-74. URL : https://www.cairn.info/revue- hermes-la-revue-2013-3-page-68.htm Hubert Bernard, Aubertin Catherine, Billaud Jean-Paul, « Recherches participatives, recherches citoyennes ... une clarification nécessaire », Natures Sciences Sociétés, 2013/1 (Vol. 21), p. 1-2. DOI : 10.1051/nss/2013078. URL : https://www.cairn.info/revue-natures-sciences-societes-2013-1-page-1.htm https://sciencescitoyennes.org/reaction-de-sciences-citoyennes-a-la-publication-du-rapport-sur-les-sciences- participatives/?highlight=sciences%20participatives https://sciencescitoyennes.org/la-fsc-depose-un-cahier-dacteur-dans-le-cadre-de-la-mission-sciences-participatives/
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