« Infrastructure as Code » ou comment accélérer les phases d’approvisionnement et de mise à disposition des environnements.
Un des points de friction les plus visibles dans le manque de collaboration entre dev et ops se trouve au niveau des phases de déploiement. C’est d’ailleurs l’activité qui se montre être la plus consommatrice en ressources : la moitié du temps de la production est ainsi consommée par le déploiement ou des problèmes liés au déploiement
2. « Continuous delivery »
Classiquement et dans nos organisations, la frontière entre les populations « dev » et « ops » se concrétise par la phase de déploiement où les études « livrent » ou parfois se « débarrassent » de leur code et où ce dernier va suivre un long chemin au travers des couloirs de la MEP (Mise En Production).
Cette citation de Poppendieck (« From Concept To Cash ») résume à merveille l’enjeu qui est soulevé :
« How long would it take your organization to deploy a changethat involves just one single line of code? »
3. Une culture de la collaboration voire un modèle organisationnel
Ces deux pratiques que sont « Infrastructure as Code » et « Continuous Delivery » peuvent être mises en œuvre dans l’organisation telle qu’elle existe traditionnellement (« Infrastructure as Code » chez les ops, « Continuous Delivery » chez les dev). Cependant, une fois que les études et la production auront atteint leur optimum local et un bon niveau de maturité, ces dernières se retrouveront toujours contraintes par cette frontière organisationnelle.