projet economie de la mutualite

L’économie de la mutualité. Projet Collectif. Nov 2020
La prospérité émane des écosystèmes de l’entreprise

Projet: Approche et méthode qui postule que la prospérité émane des écosystèmes de
l’entreprises (réseaux d’entreprises, société au sens large, biosphères)
Thème: la valeur du bien commun
CONDITIONS DE REUSSITE
Ressources, connaissances, contacts,…
● Permettre à l’équipe projet de comprendre
les difficultés opérationnelles du la méthode
Economics of Mutuality → Témoignage de
Charlotte Z.
● Une approche phare du super collectif.
● Il faut un client pilote
● Etre didactique sur la notion d’écosystème
auprès des entreprises
● Savoir faire bouger le mindset des
entreprises qui raisonnent Faisabilité
d’abord (et créer ensuite la désirabilité avec
du marketing) pour les faire résonner
Désirabilité d’abord et comment y répondre
en créant de la prospérité pour tous. Le
piège de tomber amoureux de ton produit, le
syndrôme “drink too much your own
medicine”.
FICHE PROJET : DESCRIPTION DU PROJET
QUELS RESULTATS RECHERCHES ? EN QUOI CE PROJET VA CHANGER LE SYSTÈME, AVOIR DE
L’IMPACT ? QUAND ? COMMENT ?
Produire un toolkit qui comprend 1. Un argumentaire pour dirigeants 2. Une explication de la
methode avec ses grands postulats + chiffres 3. un format de réponse à appel d’offre avec des
exemples de livrables 4. un toolkit détaillé de déploiement.
Avoir produit un MVP de cela pour mars 2021, avec un client pilote.
Il y a déjà eu des expérimentations de la méthode EoM qui ont fait leur preuves mais qui
restent confidentielles.
POUR QUELS USAGERS ? QUELS COMMANDITAIRES ? LEURS ENJEUX ?
- Pour des consultants en innovation et transformation et leurs clients : des dirigeants
confrontés à des injonctions de changer leur business vers la durabilité et qui se demandent
comment concilier l’économique, l'environnement et le social?
QUELLE PROPOSITION DE VALEUR ?
- La meilleure stratégie de croissance c’est d’adresser les enjeux de son écosystème
collectivement. Il faut identifier les acteurs qui sont capables de se mobiliser en
communauté d’acteurs.
- L’entreprise intègre ces principes de réciprocité, d’action sur son écosystème, elle a des
impacts positifs sur les parties prenantes qu’elle touche en termes de capital social,
humain… mais aussi qu’elle est plus performante d’un point de vue purement économique
- Des travaux de recherche montrent que lorsque l’entreprise intègre ces principes de
réciprocité, d’action sur son écosystème, elle a des impacts positifs sur les parties prenantes
qu’elle touche en termes de capital social, humain… mais aussi qu’elle est plus performante
d’un point de vue purement économique"
Voici la ﬁche projet si votre équipe ne l’a pas rempli (1/2)

Entrepr
ise
pilote
Terrain d’exploration/expérimentation,
ReX pour amélioration du MVP
Experts
méthod
e EoM
Partagent la mécanique de la méthode
Economics of Mutuality
Les
consultants
en
transition
RSE dans le
Retail
Partagent les push-back de cette méthode
Partagent leur difficulté à répondre à une
appel d’offre.
...
Fournit / contribue à / est
responsable de…
Fournit / contribue à / est
responsable de…
Porteurs de projet
Le Super Collectif
FICHE PROJET : AVEC QUI Voici la ﬁche projet si votre équipe ne l’a pas rempli (2/2)
Dans les cercles indiquez les partenaires/contributeurs
(type de partenaire, nom de l’organisation partenaire
si vous la connaissez, nom de l’interlocuteur si vous le
connaissez. Barrez les mentions inutiles à côté des
cercles.

Contributions des travaux “Economics of
Mutuality” à la réﬂexion

"L’approche « Economie de la Mutualité a été développé par le centre de recherche Mutuality Lab de la Said Business School d’Oxford et
financée par Mars.
Elle s'efforce de redéfinir la définition de la prospérité en incluant des mesures d'externalités non financières telles que l'environnement, le
bien-être, le capital social et la finance mutuelle dans l’optimisation de la gestion de l'entreprise.
1-L'objectif de la méthodologie est d'intégrer toutes les autres parties prenantes dans la stratégie.
Toute entreprise a un but, et l'entreprise est pilotée selon un écosystème simple ne considérant que les actionnaires, les fournisseurs et les
clients (parfois les employés). Les revendications des autres parties prenantes (c'est-à-dire les parties prenantes ESG, les entreprises
adjacentes) dans l'écosystème ne sont pas prises en compte mais surveillées et éventuellement leur impact atténué ; l'entreprise pourrait
éventuellement avoir ou non un impact sur ces externalités.
En commençant par identifier les points faibles inexplorés de ces parties prenantes, en les classant pour trouver une opportunité pour un
nouveau rôle de l'entreprise dans l'écosystème pour créer de la valeur: intégration verticale, orchestration d'autres acteurs, nouveaux
produits ou services (produits adjacents ou services disruptifs). Ce mouvement créera un nouvel équilibre stratégique dans l'écosystème (un
nouvel équilibre de Nash).
2_ En faisant correspondre les objectifs (c'est-à-dire la satisfaction) d'un plus grand nombre de personnes, nous créons une valeur mutuelle
sur les actifs naturels, humains, sociaux et financiers (les quatre composantes de la prospérité), et nous nous attendons à un impact positif à
long terme sur les bénéfices de l'entreprise."
En termes économiques, changer les critères d'optimisation de chaque acteur impacte le Nash équilibre de l’écosystème. Mon travail est
basé sur le principe de La triple comptabilité en capital de Gray (1994) et moi avons inventé et a conçu un PnL mutuel pour piloter le
changement avec l'aide du professeur Bob Eccles (Président fondateur de Sustainability Accounting Standards Conseil d'administration -
SASB et l'un des fondateurs de l'International Integrated Reporting Council -IIRC) et Prof Jacques Richard (créateur de la comptabilité
CARE). La strategie d'un écosystème intégré Toute entreprise a un but, et l'entreprise est pilotée selon un écosystème"

7
JOHN MACKEY, RAJ SISODIA - CONSCIOUS CAPITALISM
Raj Sisodia claims “Conscious Capitalism” firms do better than the rest, he calls them “Firms of Endearment (FoE)”
Source: https://hbr.org/2013/04/companies-that-practice-conscious-capitalism-perform
Raj Sisodia looked at 28 companies he identified as the
most conscious — “firms of endearment” — based on
characteristics such as their stated purpose, generosity of
compensation, quality of customer service, investment in
their communities, and impact on the environment.
The 18 publicly traded companies out of the 28
outperformed the S&P 500 index by a factor of 10.5 over
the years 1996-2011.
×10

8
DOUG LENNICK - FRED KIEL, MORAL INTELLIGENCE
Moral Intelligence
Source: http://www.oxfordleadership.com/purpose-drives-performance-organisations/
https://www.strategy-business.com/article/00322?gko=14b90
Books:
Moral Intelligence: Enhancing Business Performance and Leadership Success by Doug Lennick and Fred Kiel
Return on Character: The Real Reason Leaders and Their Companies Win by Fred Kiel
“Fred Kiel at KRW international interviewed 84 CEOs and their executive teams in depth (while also doing a poll on 8,600
employees). The goal: to find the connection, if any, between the “character” of a leader and an organisation’s
performance. This was the first major study to show a measurable relationship between CEO character and business
success. The results revealed that CEOs who rated high on authentic purpose & values (referred to as virtuosos) achieved
a 9.35 percent return on assets (defined as net operating income as a proportion of total assets), while those tagged as
self-focused scored just a 1.93 percent, over a two-year period.”
×5

9
JIM COLLINS AND JERRY PORRAS, BUILT TO LAST, 1994
Source: https://www.ft.com/content/b22933e0-b618-11e5-b147-e5e5bba42e51
Source:
https://www.ey.com/Publication/vwLUAssets/ey-the-business-case-for-purpose/$FILE/ey-the-
business-case-for-purpose.pdf
Between 1926 and 1990 purpose companies return 6 times more than profit-driven rivals. Same study developed by EY
and HBS:
×6

10
KOTTER & HESKETT - CORPORATE CULTURE AND PERFORMANCE
Average Increase for
Twelve Firms with
Performance-Enhancing
Cultures
Average Increase for
Twenty Firms without
Performance-Enhancing
Cultures
Revenue Growth 682% 166%
Employment Growth 282% 36%
Stock Price Growth 901% 74%
Net Income Growth 756% 1%
Source :
https://www.forbes.com/sites/johnkotter/2011/02/10/does-corporate-culture-drive
-financial-performance/#2a221dac7e9e
John Kotter and James Heskett show in Corporate Culture And Performance, that over a decade-long period, purposeful,
value-driven companies outperform their counterparts in stock price by a factor of 12. It measure the difference in results over
an eleven year period between twelve companies that did and twenty companies that did not have this sort of culture.
×12

What is integrated value really? It is not yet set in stone, but I propose the following working definition: integrated value is the
simultaneous building of multiple ‘non-financial’ capitals (notably infrastructural, technological, social, ecological and human capital)
through synergistic innovation across the nexus economy (including the resilience, exponential, access, circular and wellbeing
economies) that result in net-positive effects, thus making our world more secure, smart, shared, sustainable and satisfying.
Implicit in these discussions and alternative measures of value creation is that there has often been a trade-off of financial capital
against other forms of capital, especially human capital (e.g. labour exploitation, discrimination, poor workplace health and safety),
social capital (e.g. negative community impacts, exclusion of poor populations, erosion of integrity through corruption) and natural
capital (e.g. resource depletion, pollution and destruction of ecosystems).
https://www.huffpost.com/entry/integrated-value-what-it-is-what-its-not-and-why_b_59cffdc3e4b0f58902e5ccbf?guccounter=1&guce_re
ferrer=aHR0cHM6Ly93d3cuZ29vZ2xlLmNvbS8&guce_referrer_sig=AQAAAGMuYuKzgdhyzYpNYZ-Yh2ZMDuwVso7YzZhABZXlAVnC
QtZbLYKiOZTFOVNmU4MLdRQNaZHlZPMlAxAWRWOS0eDDZrWthnvLvWlFIyjmMjgUUwkOaUYEd3VsEph6ZkoJe7bHbHwxu9Z7m7
kyLSfqXG5CnGDTCu2W2_xtwMXywGhU

"Ce que nous proposons, c’est de dire : l’entreprise a vocation à être responsable – régler un problème social et environnemental - pas pour
communiquer, mais pour structurer sa stratégie. Ce que notre travail de recherche a démontré, étude de cas par étude de cas, c’est que non
seulement lorsque l’entreprise intègre ces principes de réciprocité, d’action sur son écosystème, elle a des impacts positifs sur les parties
prenantes qu’elle touche en termes de capital social, humain… mais aussi qu’elle est plus performante d’un point de vue purement
économique"
https://www.usinenouvelle.com/editorial/il-faut-une-nouvelle-theorie-economique-le-modele-de-la-reciprocite-defend-bruno-roche.N990969
Ca remet en cause le modèle de Milton Friedman du capitalisme de l'Ecole de Chicago

La démarche en 6 étapes proposée par Lionel

14
ECOSYSTEM MAPPING BASED ON
ETHNOGRAPHIC INTERVIEWS + SURVEYS
SOCIOGRAPH
• 2455 QUESTIONNAIRES
• 5 STAKEHOLDER GROUPS
MANUF.
VET
OWNER
SHELTER
Super-mark
ets
SPT
Digital
retailers
BREEDER
Higher trust / positive perception
Moderate trust / mixed perception
Lower trust / Poor perception
Qualitative data only
Implemen
tation du
pilote
Accompag
ement
Faire
l’ecosysteme
Classifier les
brights spots
et les pain
points
Co-créati
on
1 Intention2 3 4 5 6

15
painpointsbrightspots
QU’EST CE QUI FAIT BOUGER LES GENS?
Bright spots
Opportunité
Intéressant
Ennuyant
SATISFACTION
IMPORTANCE
Implemen
tation du
pilote
Accompag
ement
Faire
l’ecosysteme
Co-créati
on
Intention
Classifier les
brights spots
et les pain
points

16
ATELIER DE CREATION
Ce que
l’entreprise fait
deja
Bright Spots + Pain Points
Nouvelles idées
PositifNegatif Implemen
tation du
pilote
Accompag
ement
Faire
l’ecosysteme
Co-créati
on
Intention
Classifier les
brights spots
et les pain
points

17
ATELIER POUR SELECTIONNER LES ACTIONS
Impact
Agent
P
P
…
P
P
…
P
P
…
P
P
…
P
P
…
DIRECT
INTERVENTION
PARTNERSHIPS
DISTRACTIONSIGNORE
TOP 3 ACTIONS

18
L'OBJECTIF D'UNE ENTREPRISE
EST DE RÉSOUDRE
PROFITABLEMENT
LES PROBLÈMES DES
GENS ET DE LA PLANÈTE;
ET PLUS DU TOUT, DE FAIRE DU
PROFIT EN DÉGRADANT LES GENS
ET LA PLANÈTE.
PERFORMANCE
INTENTION
DURABLE
INTENTION DE L’ENTREPRISE D'ORCHESTRE UN ÉCOSYSTÈME
Implemen
tation du
pilote
Accompag
ement
Faire
l’ecosysteme
Co-créati
on
Intention
Classifier les
brights spots
et les pain
points

19
Initiative pour créér du capital Human,
Social, et Natural
Dépense -> Investissement
Externaliser le cout dans un budget
spécifique
P&L ↑
inciter à en faire plus
épuisement du capital Humain, social, et
naturel
Gratuit -> Cout de Reconstitution
Internaliser les coûts de reconstitution
contre la pollution
P&L ↓
Incitation à en faire moins
DONNER DES METRIQUES POUR PILOTER
Implemen
tation du
pilote
Accompag
ement
Faire
l’ecosysteme
Co-créati
on
Intention
Classifier les
brights spots
et les pain
points

20
CHANGER LES CROYANCES
Implemen
tation du
pilote
Accompag
ement
Faire
l’ecosysteme
Co-créati
on
Intention
Classifier les
brights spots
et les pain
points
LES NOUVELLES CROYANCES PRENNENT LE PAS
SUR LES ANCIENNES LORSQU’IL Y A SUCCES
COLLECTIF GRACE A UN ARTEFACT DE LA NOUVELLE
CROYANCE

Ebauche de démarche par Edouard Luro avec
le double diamant du UK Design Council

Tracé (à modifier !) de la méthode d’accompagnement éventuelle du Super
Collectif avec positionnement des 1ers « projets » du Super Collectif (dont celui
de Lionel Khalil).
Source double diamant
https://wikiagile.cesi.fr/index.php?title=L%27approche_doubl
e_diamants
Projet Lionel : analyse de
données : ethno, surveys, big
data avec données client.
Délai: 1 mois, mais alerte sur
tps de recueil infos sur PP.
Projet Lionel : Carto de parties prenantes
(PP) = analyse d’écosystème utilisant la data
pour classer PP et analyse des aspects
positifs et négatifs de l’expérience des PP.
Représent° graphiq. = livrable ? Délai 1 mois
Brief client
et
discussions
pour poser
intentions
de départ
Super Collectif:
Synthèse avec parcours
utilisateurs pour alimenter
diag (outil possible: « service
blueprint ») = en anticipation
de l’atelier. Délai 1 mois
Complémentarité avec carto ?
Super Collectif: Atelier de
conception permettant au
client d’imaginer sa stratégie
RSE future.
Outil: Maquettage d’un
moment identifié comme clé
sur le parcours d’1
utilisateur (on transmets des
données d’entrée en début
d’atelier. Le client et 1 partie
prenante invitée
co-construisent des
scénarios et les maquettent)
?
Projet Lionel: Mise en place de
mesures chez le client avec impact
sur les projets existants RSE.
Identification d’opportunités et
définition de KPI et incentives.
3 mois
Suivi postérieur 6 mois
Boucle de
rétroaction
probable, c’est
à dire redéfinir
problématique
après proto
(reframing)
Super Collectif:
Prototypage appliqué à
RSE (simulation des
conséquences suite à
l’adhésion éventuelle à
nouveaux standards ?)
Mise en place, après.
Super Collectif: Etudes
terrain avec UX, ou experts
SHS + diag analyse de la
valeur + diags spécifiques RSE
(comparaison avec labels et
standards liés aux entreprises
à mission), à trier.
Application du projet
« business model
canevas incluant
l’environnement »
pour vision globale ?
Projet Lionel: Analyse du portefeuille
d’actions existantes RSE.
Super Collectif:
Elaboration d’une
première feuille de
route ?

_BMC arrive plus loin dans processus que je croyais (mon double diamant) selon Lionel mais Lionel
le place à un moment bien mieux adapté : au moment du design de solutions.
_Concernant les ateliers design thinking, c'est pas encore trop clair pour moi :vous parlez d'atelier,
après premier travail de cartographie de parties prenantes, pour embarquer quelques personnes en
interne, en les faisant travailler en groupe: c'est tactique pour éviter risques de projet de
transformation à venir.... et les habituer à nouvelle démarche ?
_Il y a un inconnu dans process de Lionel au début : travail sur la data de l'entreprise cliente pour
analyser infos de diverse nature : s'arrêter dessus. (ya infos financières, sur clients, ....ça renvoie à
ESG...)

Autres contributions à la réﬂexion

CR d’une réunion de préparation
1. Pourquoi Economics of Mutuality (EoM) c’est intéressant pour ceux qui n’ont pas démarré de démarche et pour ceux
qui en ont une pour l’accélérer (Orange, Kering). à Lionel
2. Les étapes de la démarche EoM à Lionel
3. Croisement avec d’autre approches complémentaires : la comptabilité extra financière (Dorothée B), le Framework for
Strategic Sustainable Development, la conduite du changement, le coaching de dirigeant… à Lionel et Jérémy font un
call avec Dorothée sur la partie Comptabilité.
4. Dans des modalités de mise en pratique dans une démarche consulting rassurante, comment injecter des phases de
participatif et de créativité à Sylvain + Edouard L. Par exemple il faudrait un atelier Solutions avec les parties
prenantes, pas Royal Canin seul. Comment rendre la démarche bcp plus participative. Comment ensemble refaire
nos BMC régulièrement ou tu regardes régulièrement si la valeur est au RDV. Car l’idée d’EoM c’est faisons tout cela
ensemble à la fin ce sera plus enrichissant pour chacun.
5. Comment le recontextualiser, dans le discours aux dirigeants, avec l’urgence reprise Post covid : le post covid passe
par renforcer les collaborations internes et externes, remobiliser les troupes, agréger les technologies existantes, se
focaliser plus que jamais sur ce qui est utile et écologique à à définir
6. pour la mesure de la performance il est important d'avoir un extended P&L pour mesurer le Retour sur
investissement des projets a impact
7. un projet d'accompagnement au changement de mentalité est aussi essentiel

Le dim. 11 oct. 2020 à 20:38, Lionel Khalil <lionel.khalil@gmail.com> a écrit :
Bonsoir,
pour approcher l'entreprise, je pense qu'il y a 3 types de documents :
- 1 convaincre que durable est compatible avec profit en se basant sur les exemples de
Mackey & Sisodia : Conscious Capitalistic firms do 10 times better than others
Lennick & Kiel in Moral Intelligence show that CEOs with authentic purpose have 4 times higher ROA than self-focused CEOs.
Collins & Porras : purpose companies return 6 times more than profit-driven rivals
Kotter & Heskett show purposeful, value-driven companies outperform their counterparts in stock price by a factor of 12
- 2 expliquer que la demarche se base sur
a) se recentrer sur l'ecosysteme
b) utliser l'energie collective existante comme moteur du changement.
- 3 proposer une demarche en 6 etapes
- 4 ) Pour l'ecosysteme, on fait l'analyse de l'ecosysteme actuel pour voir les forces en présences et les tensions, il est aussi possible de faire la fresque de la renaissance ecologique qui permet d'avoir une vision
utopique / fantasmée du futur.
- 5 Pour le choix du des bon projets, une matrice en 4 carrés comme ll'IVC qui croise un projet centré sur le collectif et un projet avec impact, Il faut aussi penser a inclure les elements de RSE actuel de l'entreprise
6 pour la création d'un nouveau rojet le BMC est utile
7 pour la mesure de la performance il est important d'avoir un extended P&L pour mesurer le Retour sur investissement des projets a impact
8 un projet d'accompagnement au changement de mentalité est aussi essentiel

quels groupements en mutualité favoriser ?
https://www.elgaronline.com/view/9781785367878/chapter01.xhtml
Par exemple : une collectivité locale + entreprise privée + associations sur projets urbains.
Pour Carrefour, filières qualité ca va être tous ces fournisseurs par filière. Sans inclure le conso.
C'est qui le patron inclue le conso.

Extrait du rapport
« Dans le contexte de
sortie de crise,
renforcer la capacité
d’innovation
est aujourd’hui
l’investissement
le plus rentable »
European Institute for creative
setrategies & innovation
Marc Giget - 02 juillet 2020
Voir notes de bas de page

https://www.youtube.com/watch?v=3YMcjWgCiOc

- Ford T: en bois, accessible
pour les ouvriers automobiles
- L’électronique issue des
techno militaires défense
- MS: plus besoin de
développeurs, d’intégration
- Apple en bois pour le plus
grand nombre

Aspirine : formule simple, le plus efficace et vendue de nos jours.

Marc Giget – Les mardi de
l’innovation
Innovations et sortie de
crise du Covid-19
https://www.youtube.com/watch?v=nggwkMCiosk

Marc Giget – Les mardi
de l’innovation
Innovations et sortie
de crise du Covid-19
https://www.youtube.com/watch?v=nggwk
MCiosk

« L’énergie se contractant, les flux physiques,
par définition, vont se contracter. Avec un
besoin accru de circulation mondiale des
denrées alimentaire en raison du
réchauffement climatique.
Les ingénieurs disent que l’efficacité énergétique ne peut pas
croître indéfiniment
Nous sommes une économie minière (hydrocarbures, forêts,
potasse, phosphates, minerais…) qui jette ces ressources, sur
une planète qui elle ne grossit pas.
La décroissance ou la contraction, est un cadre qui s’impose à
nous. Tant que l’on réfléchit en se disant la croissance va revenir,
et penser que ça va payer la dette, on est dans un cadre qui
relève d’Alice au pays des merveilles, et on perd son temps »
Jean Marc Jancovici
https://www.youtube.com/watch?v=Evcjl0a0ewM&feature=youtu.be

« Les politiques basées sur la logique de
l’effondrement et la recherche d’autonomie ne
résoudront pas cela, elles sont quasi suicidaires.
Le discours anticapitaliste sert à masquer ce que
nous ne voulons pas voir : la cause du déclin et
du saccage c’est nous, dans notre rivalité
naturelle dans nos besoins
collectifs d’énergie, de se nourrir,
d’assurer notre santé et notre
sécurité…. dans un espace fini et contraint. Le
capitalisme a été une réponse à l’arrêt de
l’extension territoriale : une substitution de
l’expansion territoriale par la pression sur les
ressources humaines. »
Vincent Mignerot
https://www.youtube.com/watch?v=s_0HpPHL0xY&feature=youtu.be

https://www.youtube.com/watch?v=
nggwkMCiosk

« L’Easybreath, masque
de plongée avec tuba
intégré, a été imaginé
dès 2007 par les équipes
de Subea, la marque de
plongée de Decathlon.
Dirigé par Espen Heier, le
centre de conception est
installé à Hendaye, au
Pays basque, au plus
près de l’Océan, dans les
locaux de l’ancienne
criée du port. C’est là
que des ingénieurs
passionnés de snorkeling
(balade aquatique
palmée) ont conçu un
masque à vision
panoramique à double
flux d’air, permettant de
chasser la buée. Il a fallu
cinq prototypes et dix
ans de tests pour obtenir
son design final.
Commercialisé en 2014,
au prix de 25 euros
depuis 2017,
l’Easybreath a connu un
succès immédiat et s’est
écoulé à plusieurs
millions d’exemplaires »

Max Weber (sociologue et philosophie allemand) : plus vous renforcez les technologies, plus il faut transmettre les valeurs, car les
techno sont neutres en soit, elle peuvent être utilisées pour le meilleur comme pour le pire

https://www.youtube.com/watch?v=8HATwHQMb6I

Apports d’Edouard LURO :
Cf expérimentation de dispositif avec le design thinking au service de la RSE chez Groupe
Hutchinson.
pour mieux comprendre impact d'incorporation d'un atelier design thinking dans ce cadre spécifique :
les 3 facteurs déterminants dans le renforcement de l'engagement RSE par la stratégie d'innovation
chez client sont :
- l’acceptation de la diversité des profils de cadres internes sélectionnés pour intégrer
programme/ateliers
- la stimulation de la motivation des acteurs par des valeurs communes
- la valorisation des compétences/communication pour aider acteurs à se réapproprier les
retombées des innovations.
J'en déduis que KPI peuvent être indicateurs de renforcement de la stratégie RSE chez personnes
impliquées...
.source: "Stratégie d'innovation par le design thinking et engagement RSE. Le cas Hutchinson."par
Sandra Fagbohoun

Apport de jeremy :
"Il est plus économique de produire de façon écologique". Autonomie en eau et en chauffage, panneaux photovoltaïques,
recyclage, reboisement, phytoépuration, suppression des produits chimiques et polluants, Emmanuel Druon a transformé
Pocheco SAS en entreprise modèle.
Livre coédité par Colibris, disponible ici : http://www.colibris-laboutique.org/livres/87-ecolonomie.html

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