Présentation des travaux du groupe de travail FFFOD "standards e-learning" par Pierre Radlovic, pilote du groupe, aux 13es rencontres du FFFOD - Saint-Brieuc, le 18/11/15.
2. Go Create Solutions est une société spécialisée dans le conseil appliqué à la
formation digitale, et plus particulièrement l’accompagnement à la mise en
place de solutions basées sur les standards XAPI / SCORM / AICC / QTI.
Dans le cadre du FFFOD je copilote le groupe de travail sur les standards e-
learning, depuis 2012, sur les étapes suivantes :
- Questionnaire sur les usages des standards e-learning
- Exemples de contenus SCORM 2004
- Présentation de xAPI
Présentation Pierre Radlovic
3. Le sujet que nous allons aborder aujourd’hui traite des standards e-learning et s’inscrit dans un
processus de formation digitale. Voici un exemple d’une formation mixte (blended learning) :
Présentation du périmètre
Web content
Classes virtuelles
Formation présentielle
Tutorat par
le formateur
En présentiel
En distanciel
(classe
virtuelle par
exemple)
Apprenants
Inscription / Accès libre
Convocation / Communication
LMS
inscription au dispositif /
Communication
Population touchée par
le dispositif
Logistique d’un
dispositif mixte
Tutorat, suivi,
reporting
Suivi et Reporting par les responsables
formation
SIRH
4. Les standards e-learning servent la logistique du dispositif en plusieurs endroits, nous allons aujourd’hui nous
intéresser plus particulièrement à la partie liée à la remontée des données de consultation et au suivi qu’il est
possible d’extraire.
Présentation du périmètre
Web content
Classes virtuelles
Formation présentielle
Tutorat par
le formateur
En présentiel
En distanciel
(classe
virtuelle par
exemple)
Apprenants
Inscription / Accès libre
Convocation / Communication
LMS
Communication /
inscription au dispositif
Population touchée par
le dispositif
Logistique d’un
dispositif mixte
Tutorat, suivi,
reporting
Suivi et Reporting par les responsables
formation
SIRH
6. Sommaire
Le travail du FFFOD
- Présentation rapide des publications réalisées sur SCORM et xAPI
- Quelques chiffres
De SCORM à xAPI
- SCORM & xAPI : une histoire d’évolution
- Qu’est-ce que xAPI ?
- Quelques exemples de suivi avec xAPI
xAPI en production
- solution la plus simple (exemple avec le contenu bande dessinée)
- solutions sur mesure (témoignages Gaïa / My Serious Game / Solunea)
9. Présentation rapide des publications réalisées sur SCORM et xAPI
Le groupe de travail sur les standards du FFFOD a réalisé plusieurs présentations sur
SCORM et xAPI depuis 2012 :
- 2012/2013 : Un questionnaire en ligne sur les usages des standards.
(http://fr.slideshare.net/fffod/synthese-enquetestandards ), avec vue + de 16.500 fois
- 2013/2014 : Des prototypes xAPI
(http://fr.slideshare.net/fffod/x-api-20140225 ), avec 1.400 vues sur SlideShare
- 09/09/2014 : Premiers retours sur des mises en production
(http://fr.slideshare.net/fffod/xapi-tin-can-en-production-webinar-du-9-sept-2014?related=1 ), avec 6.900 vues sur Slideshare
- 15/09/2015 : xAPI, un an après
(http://fr.slideshare.net/fffod/xapi-webconfrence-fffod-du-150915 ), avec 1.400 vues sur Slideshare
11. Lors de l’enquête sur les standards nous avons d’observé que le standard dominant était SCORM :
62,5% des répondants indiquent utiliser SCORM 1.2 et 54,2% utilisent SCORM 2004
54.2
62.5
29.2
25
20.85 SCORM 2004
(54,2%)
SCORM 1.2
(62,5%)
AICC-HACP
(29,2%)
QTI (25%)
Autre (20,85%)
Parts des participants indiquant utiliser parfois, souvent ou très souvent les éléments suivants :
58.35
58.35
54.2
50
37.5
33.35
12.5
12.5
12.5
Complétude (58,35%)
Temps (58,35%)
Score (54,2%)
Succès (50%)
Progression (37,5%)
Interactions (33,35%)
Objectifs (12,5%)
Objectifs partagés SCORM 2004
(12,5%)
Autre (12,5%)
Parts des participants indiquant utiliser souvent ou très souvent les éléments suivants :
Et que les variables utilisées étaient majoritairement dans l’ordre d’usage :
la complétude, le temps, le score, le succès.
Quelques chiffres
12. Mais lorsque l’on s’intéresse aux contenus sur étagère, l’usage des standards est
directement lié à ce que propose l’éditeur et / ou la facilité de mise en place :
Si pour 50% des répondants les contenus communiquent selon un standard,
Pour 29,2% c’est le fournisseur du contenu qui transmet les informations de suivi
Et pour 12,5% les contenus ne transmettent aucun suivi
Quelques chiffres
13. Et de nouvelles approches ne trouvent pas toujours de solution de gestion de suivi
standardisé :
• Portfolio inclus dans le LMS
• Outils collaboratifs
• Expérimentation de communauté de pratiques
• Classes virtuelles en télétutorat, forums pédagogiques thématiques
• Wiki, Blog, simulations
• Travail collaboratif sur wikis travail individuel sur blogs
• Serious Games, GED, UNT
• Liaison plateforme - réseau social d'entreprise.
Quelques chiffres
16. SCORM & xAPI : une histoire d’évolution
Comme nous l’avons vu, aujourd’hui les contenus de formation digitaux utilisent
massivement le standard SCORM.
SCORM a contribué à la croissance de la formation distancielle grâce à son
interopérabilité :
- Facilitation de la communication contenu / plateforme LMS (API:tracking)
- Facilitation de l’import dans le LMS (imsmanifest) :
- Création automatique du parcours et des règles de séquencement,
- Création automatique du point d’accès au contenu,
- Tout cela avec le nommage adéquat défini par l’auteur
17. SCORM & xAPI : une histoire d’évolution
SCORM a permis l’existence d’un marché basé sur de
multiples solutions LMS compatibles avec de nombreux
outils auteurs….
…mais SCORM n’est pas compatible avec les nouvelles
modalités : sites Web, applications mobiles, Moocs, …..
18. SCORM & xAPI : une histoire d’évolution
C’est pour palier aux manquements de SCORM dans le suivi des nouvelles
approches de formation digitale que xAPI a été conçu.
Au cahier des charges figurait notamment :
- Capacité à transmettre du suivi depuis tout type de support (web, app, simulateurs, ...)
- Modèle de données de suivi extensible (le modèle AICC/SCORM est défini)
- Modalités de communication du suivi souple (le SCORM définit un séquencement avec le LMS)
- Séparation du support et du suivi (en SCORM le contenu est « packagé » et inclus dans le LMS)
- Echange du suivi entre services (le SCORM ne précise le modèle de données pour le stockage du suivi)
- Utilisation des standards du Web (AJAX, JSON)
- Facilité de compréhension du standard (le standard SCORM comporte quelques centaines de pages)
19. SCORM & xAPI : une histoire d’évolution
xAPI a été conçu en plusieurs phases, à la demande d’ADL :
- Projet Tin Can : phase d’échanges entre de nombreux acteurs impliqués dans la
formation digitale, permettant de définir une solution bénéfique au plus grand
nombre, et simple d’application.
- API Tin Can : phase de description technique du standard, et ajustements au sein
de groupes de travail.
- xAPI : récupération du standard par ADL. xAPI prévoit des déclinaisons sous
forme de profils, dont le prochain CMI-5
20. Reprise du site tincanapi.com de Rustici : http://tincanapi.com/tin-can-evolution/
Avant MLearnCon '12 à San Jose, CA, en Juin 2012, ADL et la communauté complétèrent la
version 0.9 de Tin Can, et ADL l’annonça à la communauté e-learning. A ce moment, il y avait
déjà 15 entreprises / produits qui avaient adopté l'API Tin Can .
En Août 2012, la version 0.95 de l’API Tin Can a été finalisé. De nombreuses sociétés ont
présenté leur implémentation de Tin Can à DevLearn '12, et à la fin de 2012 , il y avait plus de
40 « adopters » de Tin Can .
Le nombre d’entités intéressées croît, lors de la sortie de la version 1.0 de Tin Can.
Le nom officiel de Tin Can donné par ADL est Experience API ou encore xAPI
Gaïa intègre un premier outil pour découvrir xAPI :
http://aero.gaia-consultants.com/
(log:for1/pwd:for1P)
Rustici propose des outils pour expérimenter Tin Can, dont un LRS public :
Endpoint: https://cloud.scorm.com/ScormEngineInterface/TCAPI/public/statements
Id: Test
Pwd: VGVzdFVzZXI6cGFzc3dvcmQ=
Rustici Software est reparti des livres blancs réalisés par LETSI sur le SCORM 2.0, et a mené
des entretiens avec une grande partie de l'industrie du e-learning. Ce projet a été appelé Tin
Can. Ce projet signifiait que l'industrie avait finalement pris des mesures concrètes en vue
d'améliorer les normes de e-learning .
SCORM & xAPI : une histoire d’évolution
xAPIenquelquesdates
21. La version actuelle est la version 1.0.1 :
Un patch de la version 1.0, la version 1.0.1 a été publié en Octobre 2013 pour clarifier quelques points. L’adresse
permettant d’accéder aux ressources liées à xAPI est : http://www.adlnet.gov/capabilities/tla/experience-api.html
Le groupe de travail du FFFOD présente les premiers retours d’expériences avec xAPI en 2013 :
http://fr.slideshare.net/fffod/scorm-et-tin-can-deux-standards-complmentaires-pour-les-formations-mixtes
http://fr.slideshare.net/fffod/x-api-20140225
http://fr.slideshare.net/fffod/xapi-tin-can-en-production-webinar-du-9-sept-2014
Le document lié à xAPI 1.0.1, ainsi que d’autres spécifications liées à AICC et SCORM, peuvent se trouver
à l’adresse suivante : http://www.gocreate-solutions.com/fr/knowledge.html
SCORM & xAPI : une histoire d’évolution
xAPIenquelquesdates
23. SCORM & xAPI : une histoire d’évolution
xAPI, pour faire simple, est ainsi un standard qui se base sur une logique d’envoi
/ réception de données de suivi ente un contenu et un serveur d’enregistrement
du suivi (appelé LRS pour Learning Record Store).
LRS
Contenu formatif Serveur d’enregistrement
réseau
I DID THIS I DID THIS
24. SCORM & xAPI : une histoire d’évolution
xAPI, pour faire simple, est ainsi un standard qui se base sur une logique d’envoi
/ réception de données de suivi ente un contenu et un serveur d’enregistrement
du suivi (appelé LRS pour Learning Record Store).
LRS
Contenu formatif Serveur d’enregistrement
réseau
I DID THIS I DID THIS
LRS
xAPI prévoit aussi que des données d’un LRS puissent être exportées vers un autre LRS
25. Au lancement xAPI (qui s’appelait Tin Can) a été présenté sous la forme d’une
phrase simple : I DID THIS
Le plus simple
{
"actor":{"mbox":"mailto:marc.durand@test.com"},
"verb":{"id":"http://adlnet.gov/expapi/verbs/completed","display":{"en-
US":"completed"}},
"object":{"id":"http://openbadges.tumblr.com/post/115135719509/an-
open-can-of-tin-badges-tin-can-api"}
}
Dans cette déclaration minimale nous avons:
- un acteur (marc.durand),
- un verbe (compléter),
- une activité (ici un article sur les openbadges).
26. xAPI propose un modèle complet dans lequel seuls acteur, verbe et objet sont
obligatoires.
Les identifiants utilisés ont vocation à être uniques, puisque les suivis peuvent
potentiellement passer de LRS en LRS.
Pour cela xAPI propose notamment:
- Des adresses emails
- Des URL (IRI) pour définir la plupart des éléments.
xAPI permet ainsi de référencer les données déclarées.
Le plus simple
27. En complément des données obligatoires, xAPI permet d’ajouter des extensions
dans l’objet résultat, ce qui en multiplie les capacités.
Mais ces données seront « propriétaires ».
xAPI permet également de renseigner le contexte de la déclaration pour affiner
son périmètre :
- Inscription (par exemple au sens de session d’inscriptions)
- Groupement (par exemple une thématique, une formation,…)
- Parenté
Le plus simple
28. Voici la base du modèle de données xAPI :
{
actor:{} -> donne les éléments permettant d’identifier le sujet de la déclaration
verb:{} -> définit l’action réalisée, par exemple sur un parallèle SCORM, complété, réussi, échoué
Object :{} -> définit l’activité, en utilisant une IRI
Result:{} -> transmet les résultats obtenus, de façon assez proche de ce que fait SCORM. Accepte des extensions
Context:{} -> définit le contexte dans lequel est transmis la déclaration (session, formateur, …)
définit aussi le rapprochement à d’autres déclarations (parenté, groupement, …)
Timestamp : horodatage transmis par la ressource
Stored : horodatage assuré par le LRS
Authority:{} -> entité émettrice de la déclaration
Version -> version de xAPI utilisée
Attachments:{} -> un document illustrant la déclaration, transmise en pièce jointe
}
Le plus simple
30. XAPI, pensé comme successeur de SCORM, s’applique à une nouvelle approche
de la formation digitale :
Contenus conçus et
produits sur mesure, selon
le seul besoin du projet
formatif. xAPI permet de
suivre les interactions avec
les apprenants
Contenus produits aisément
grâce aux outils auteurs,
importés et suivis sur les LMS
grâce au standard SCORM.
De la librairie de contenus
aux contenus connectés
Modules
e-learning
Contenus
formatifs
digitaux
SCORM & xAPI : une histoire d’évolution
31. Quelques exemples de suivi avec xAPI
Exemple 1 : Suivi des accès à un contenu informatif :
LRS
Intranet /
Internet
Lecture du contenu
Enregistrement d’une déclaration
Acteur *, verbe, objet** Statistiques d’accès :
- Nombre d’accès à une page
- Contenus visualisés par un acteur
- …
Le tracking est ajouté de façon minimaliste pour suivre la lecture d’un contenu qui n’a pas été pensé
dès le départ pour être suivi sur une plateforme. Pour cela il suffit de connaitre le lecteur (*) et le
contenu(**)
32. Exemple 2A : suivi d’une activité commune, cas pratique ou
jeu, sans utilisation de LMS
groupe1
groupe2
groupe3
LRS formateur En présentiel
En distanciel
(classe virtuelle
par exemple)
Le tracking xAPI permet de suivre les activités des apprenants en temps réel, en présentiel, et
distanciel (dont classes virtuelles)
Quelques exemples de suivi avec xAPI
33. Exemple 2B : suivi d’une activité commune, cas pratique ou
jeu, avec utilisation d’un LMS
LRS formateur En présentiel
En distanciel
(classe
virtuelle par
exemple)
Apprenant 1
Apprenant 2
Apprenant 3
SCORM
xAPI
LMS
Le dispositif s’appuie sur le LMS et est totalement transparent des apprenants et
des formateurs. La gestion des inscriptions et la logistique de la formation est
assurée par le LMS, xAPI ajoute la dimension collaborative à la formation.
Quelques exemples de suivi avec xAPI
LMS
SCORM
34. Quelques exemples de suivi avec xAPI
Exemple 3: récupération / transmission de suivi
LRS
LRS
Echange
de
données
Sources de suivi Agrégation des suivis Analyse des suivis
Statistiques
consolidées
36. Solution la plus simple (exemple avec le contenu bande dessinée)
37. Le plus simple
Avec Jacques Fayet nous avons réalisé un questionnaire sur la Bande
Dessinée avec l’outil Storyline.
Ce questionnaire a été exporté au format TinCan (xAPI) et mis à disposition au
travers d’un système auto déclaratif, afin d’identifier l’utilisateur.
Dans cet exemple la mise en place technique de xAPI représente un temps négligeable car nous sommes parti
d’éléments existants, sans développement spécifique.
39. Le plus simple
Toujours dans un souci de simplicité le LRS utilisé est un LRS open source :
Learning Locker (Merci à Gaïa pour la mise à disposition d’un LRS pour cette occasion)
Les slides suivantes indique ce qu’il est aisé de sortir en terme de statistiques
avec cette solution utilisant xAPI, de la manière la plus simple possible.
41. Le plus simple
Depuis le LRS il est ainsi aisé de visualiser les accès au contenu dans le temps
42. Le plus simple
En recherchant les accès d’utilisateurs ayant complété le sommaire du contenu BD.
En voici le paramétrage :
43. Le plus simple
Il est également possible de rechercher les résultats aux différents quiz, en
recherchant l’activité et le succès :
Nous avons renseigné les id des activités dans Storyline, nous pouvons ainsi les
rechercher :
http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/tintin
http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/asterix
http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/lucky_luke
44. Le plus simple
Ces statistiques peuvent être exportées et étudiées au travers d’Excel, afin
d’en faire des tableaux de données. Ici par exemple :
Accès Unique Sommaire (email)
Ayant répondu au quiz
(nb de personnes
uniques)
Succès (nb de
personnes
uniques)
Echecs (nb de
personnes
uniques) Sans Réponse
Score moyen
des accès %
réussite /
accès
accès /
global
Tintin 27 19 6 13 8 55 32 70
Asterix 27 21 11 10 6 66 52 78
Lucky Luke 27 18 16 2 9 81 89 67
45. Le plus simple
Puis des graphiques : taux d’accès, de réussite et scores moyens
70
78
67
% ayant répondu au quiz
(accès / global)
Tintin Asterix Lucky Luke
32
52
89
% ayant réussi le quiz
(réussite / accès)
Tintin Asterix Lucky Luke
0
10
20
30
40
50
60
70
80
90
Tintin Asterix Lucky Luke
55
66
81
Score moyen obtenu Score moyen des
accès %
Au 8/11/15, c’est Asterix qui a le plus d’essais au quiz, mais Lucky Luke qui a le plus de réussite et la meilleure
moyenne de score ! Voyons maintenant le détail des questions
46. Pour avancer un tout petit plus dans xAPI, certains type de déclarations sont des
interactions.
Ces interactions nous renseignent sur la question posée et la réponse apportée par
l’apprenant, ainsi que sur le résultat obtenu.
Grâce à ces interactions et au contexte xAPI associé, il est possible de cibler
précisément les résultats obtenus aux questions lors de la consultation du contenu.
Le plus simple
47. Le plus simple
Il est ainsi possible d’exporter les résultats des questions (interactions)
correspondant à un contenu spécifique :
Interactions -> answered Grouping -> Tintin
Id : http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/tintin
48. Le plus simple
Les taux de réussite et d’échec aux questions peuvent ainsi être étudié (le traitement ressemble ici au SCORM)
Voici l’export des questions transformé en tableau et en graphique Excel :
interactions accès succès échec Score question % *
Asterix1 19 9 10 43
Asterix2 17 3 14 14
Asterix3 18 16 2 76
Asterix4 15 14 1 67
Asterix5 18 13 5 62
Asterix6 16 14 2 67
Asterix7 20 16 4 76
Asterix8 18 5 13 24
Lucky Luke 1 16 12 4 57
Lucky Luke 2 15 15 0 71
Lucky Luke 3 15 12 3 57
Lucky Luke 4 18 18 0 86
Lucky Luke 5 19 19 0 90
Lucky Luke 6 17 5 12 24
Tintin 1 21 18 3 86
Tintin 2 8 7 1 33
Tintin 3 19 15 4 71
Tintin 4 20 5 15 24
Tintin 5 21 2 19 10
Tintin 6 18 4 14 19
Tintin 7 9 8 1 38
Tintin 8 21 20 1 95
0
10
20
30
40
50
60
70
80
90
100
Classement question
accès succès échec Score %
* Le score de la question est obtenu de la manière suivante : ( (100/(acces/good)) / (21/accès) )
* Le score question est calculé de la manière suivante par question : ( (100/(accès/succès)) / (21/accès) )
49. Le plus simple
Les taux de réussite et d’échec aux questions peuvent ainsi être étudié (le traitement ressemble ici au SCORM)
Voici l’export des questions transformé en tableau et en graphique Excel :
interactions accès succès échec Score question % *
Asterix1 19 9 10 43
Asterix2 17 3 14 14
Asterix3 18 16 2 76
Asterix4 15 14 1 67
Asterix5 18 13 5 62
Asterix6 16 14 2 67
Asterix7 20 16 4 76
Asterix8 18 5 13 24
Lucky Luke 1 16 12 4 57
Lucky Luke 2 15 15 0 71
Lucky Luke 3 15 12 3 57
Lucky Luke 4 18 18 0 86
Lucky Luke 5 19 19 0 90
Lucky Luke 6 17 5 12 24
Tintin 1 21 18 3 86
Tintin 2 8 7 1 33
Tintin 3 19 15 4 71
Tintin 4 20 5 15 24
Tintin 5 21 2 19 10
Tintin 6 18 4 14 19
Tintin 7 9 8 1 38
Tintin 8 21 20 1 95
0
10
20
30
40
50
60
70
80
90
100
Classement question
accès succès échec Score %
* Le score de la question est obtenu de la manière suivante : ( (100/(acces/good)) / (21/accès) )
* Le score question est calculé de la manière suivante par question : ( (100/(accès/succès)) / (21/accès) )
Echec>succès Trop facileQuestions dans la moyenne
50. Le plus simple
Ainsi les questions les plus difficiles sont:
- Tintin 5
- Asterix 2
Et les questions les plus faciles sont :
- Lucky Luke 5
- Tintin 8
51. Le plus simple
Pour chaque élément un id pointe vers une IRI. L’idée est ainsi de savoir rapidement ce à
quoi la donnée correspond. Voici par exemple le paramétrage réalisé dans Storyline :
interactions ObjectID
Asterix1 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/asterix/5vivS6mI7q6/5lymFNbta9t
Asterix2 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/asterix/66LoKa0WoEz/6k944Hmn2oM
Asterix3 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/asterix/67bdIb179nh/5Z2Pzj3OfCV
Asterix4 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/asterix/6869DFJwlCm/6hTlr2zcwOd
Asterix5 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/asterix/6d4CFUlB6zY/63nFGXMjpmP
Asterix6 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/asterix/6Gtbl6WzBqO/61wIlyyWG0X
Asterix7 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/asterix/6MfoG9CqsR4/5m3YTWguB0G
Asterix8 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/asterix/6mMMcSlzmF4/6jfFkPF8p3v
Lucky Luke 1 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/lucky_luke/5ZDSMYDAOjI/6rTB1Yrxyin
Lucky Luke 2 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/lucky_luke/6BorfznL0xO/6RkZXUleffe
Lucky Luke 3 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/lucky_luke/6gXyENa3vVC/6pMOLLjfMvG
Lucky Luke 4 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/lucky_luke/6MEZuS1X7a6/6cQUvDGsRRJ
Lucky Luke 5 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/lucky_luke/6q52D0enbHf/5nHWYfFAz0p
Lucky Luke 6 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/lucky_luke/6rhpyxnOf55/6ICzLbDwhNv
Tintin 1 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/tintin/5fvQMcLuW0T/5llRNAFWk5p
Tintin 2 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/tintin/5ge5laP8KyQ/5vn6EAJujQx
Tintin 3 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/tintin/5oSDCeMlUaY/5juz3FqQNwN
Tintin 4 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/tintin/5VnFb1Gp0rN/5Y4il54i9ol
Tintin 5 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/tintin/6dFuqdlWLJ4/6SLQDLXikNo
Tintin 6 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/tintin/6GeI1PvkPVY/5cd6yDR0yyu
Tintin 7 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/tintin/6SenHlUk90O/6jmud9xKsGb
Tintin 8 http://www.gaia-consultants.com/xapicref/fffod/xapi/grpstds/BD/20150915/tintin/6VuDP887zus/6SyvZcUOY2H
52. Le plus simple
Et le renseignement effectué sur une page :
Le référentiel des questions se trouve à l’adresse suivante : http://aero.gaia-consultants.com/_el/fffod/ref/inter/BD/Ref_interactions_quizBD.htm
53. Le plus simple
Mais ici pourquoi xAPI ? Pourquoi pas SCORM ?
Nous ne pouvions pas inscrire en avance les apprenants, nous ne les
connaissions pas
Nous n’avions pas de plateforme de formation nous avons donc :
- produit un contenu et nous l’avons déposé sur un serveur Web
- connecté ce contenu à un LRS existant
54. Le plus simple
Mais ici pourquoi xAPI ? Alors pourquoi pas Google Analytics ?
Le suivi de page Web par Google Analytics ne permet pas le transfert de
suivi vers un autre LRS ou le SIRH de manière standardisée
55. Le plus simple
Mais alors pourquoi faisons nous encore du SCORM ?
SCORM reste la solution la plus simple pour produire un contenu qui finira dans
un LMS. L’interopérabilité étant assuré par les outils auteurs et les LMS du
marché.
Peu de connaissance techniques suffisent aujourd’hui à produire et maintenir une
bibliothèque de contenus e-learning.
L’arrivée de xAPI au sein des LMS risque d’équilibrer à terme (voire de remplacer)
les usages. Mais nous avons encore un peu de temps avant cela !
57. Gaïa est une structure créée par Solunea et Go Create Solutions en 2013.
Gaïa a pour objectif de proposer à ses clients des briques permettant :
- De développer des nouvelles solutions de formation digitale :
- Digitalisation du présentiel
- Suivi temps réel de contenus formatif
- Ajout d’une dimension collaborative aux contenus e-learning (formation collaborative)
- D’accompagner la digitalisation de la formation :
- Ateliers de pratique
- Marketing de la formation au travers des statistiques
C’est en toute logique que xAPI a été le standard choisi pour les nouvelles approches formatives
http://www.gaia-consultants.com/
Gaïa : xAPI et les jeux
58. Pour accompagner la production de jeux Gaïa a réalisé un framework suivant deux logiques en
parallèle :
- le jeu (géré en temps réel avec nodejs)
- le suivi (géré avec xAPI)
groupe1
groupe2
formateur
Serveur central
groupe3
Communication xAPI
Echange de données de jeu en temps réel
Gaïa : xAPI et les jeux
60. Pour pouvoir jouer il suffit :
- Qu’une personne se connecte sur l’interface formateur
- Que les joueurs flashent le code barre pour s’associer au jeu
Une fois l’association réalisée:
- chaque joueur peut sélectionner un nombre
- La roue tourne et indique le vainqueur (s’il y a un vainqueur !)
Ce jeu nous sert à tester facilement un contexte d’utilisation en amont
de la production du support final.
La couche technique n’influe pas sur la production du contenu de jeu, il
est ainsi possible de travailler sur les étapes en parallèle.
Nous mettrons à disposition ce test sur Internet début 2016
Gaïa : xAPI et les jeux
61. EXEMPLE DE SUR MESURE
MY SERIOUS GAME : LES JEUX PRÉSENTIELS
62. My Serious Game : jeux présentiels
MYSERIOUSGAME :
STUDIO DÉDIÉ À LA CRÉATION DE FORMATIONS E-LEARNING INNOVANTES SUR-MESURE
Spécialiste en recherche et innovation au service de la pédagogie, MY SERIOUS GAME
accompagne les projets de développement des compétences par une conception et un déploiement
de formation sur-mesure.
La production des contenus s’appuie historiquement sur les standards e-learning, principalement
SCORM.
L’arrivée de xAPI a permis d’ajouter le suivi standardisé aux jeux créés pour les formations
présentielles.
63. My Serious Game : jeux présentiels
Dans le cadre de journées de formation présentielles nous mettons régulièrement en place des
jeux. Ces jeux sont les successeurs des jeux de plateau ou de cartes que le formateur amenait
avec lui en formation, mais aujourd’hui ces jeux se font sur une tablette par groupes d’apprenant
le plus souvent.
La production de ces jeux nécessite une approche « sur mesure »
groupe1
groupe2
groupe3
LRS formateur En présentiel
En distanciel
(classe virtuelle
par exemple)
64. My Serious Game : jeux présentiels
Dans le cadre de nos dernières innovations, nous associons différentes expériences immersives et
utilisons la tablette pour opérer les choix d’équipe qui sont visible en temps réel sur grand écran :
Immersion Décision
Suivi partagé
XAPI/LRS
65. EXEMPLE DE SUR MESURE
SOLUNEA : XAPI ET LE SUIVI DES CAS PRATIQUES
66. SOLUNEA : xAPI et le suivi des cas pratiques
Créée en 2006, Solunea est une société innovante
spécialisée dans la formation à distance.
Notre métier :
le conseil et l’accompagnement, ainsi que le
développement de contenus sur mesure, l’édition de
logiciels et la distribution de plateformes LMS et d’outils
collaboratifs d’entreprise.
67. SOLUNEA : xAPI et le suivi des cas pratiques
Solunea développe l’outil auteur Thaleia, permettant de produire aisément des
contenus digitaux pour la formation.
Sur la base de contenus sur mesure produits pour le suivi de cas pratiques, un
nouveau module a été ajouté à l’outil auteur : Missions
Mission a pour objectif de permettre un suivi des actions sur une application en
ligne via une liste des objectifs et des tâches à réaliser. L’ensemble des éléments
de suivi est transmis en xAPI.
Le formateur peut ainsi suivre en temps réel les actions des apprenants, en
présentiel ou en distanciel (en classe virtuelle par exemple)
68. SOLUNEA : xAPI et le suivi des cas pratiques
Voici le schéma fonctionnel du dispositif :
formateur
LRS
En distanciel et en classe virtuelle
LMS
Apprenant 1
Apprenant 2
Apprenant 3
SCORM
xAPI
69. SOLUNEA : xAPI et le suivi des cas pratiques
Le découpage des cas pratique dans l’outil est le suivant :
- Cas pratique
- Objectifs
- Tâches
Par exemple :
- Créer un client dans un ERP
- Créer le compte
- Renseigner le nom dans le formulaire personnel
70. Objectifs
Cas pratique
SOLUNEA : xAPI et le suivi des cas pratiques
Cas pratique et objectifs associés :
Démarrer la création
Renseigner l’adresse
de l’application
Définir les objectifs du cas pratique avec
la donné de validation associée
(donnée indiquée par l’application)
71. SOLUNEA : xAPI et le suivi des cas pratiques
Tâches associées aux objectifs
Définir tâches pour chaque objectif
tâches
72. SOLUNEA : xAPI et le suivi des cas pratiques
Suivi des actions apprenants : panneau de suivi général des apprenants
73. SOLUNEA : xAPI et le suivi des cas pratiques
Suivi des actions apprenants : panneau de suivi des tâches, pour un apprenant