Les agriculteurs testent un éventail toujours plus important de technologies et de services pour optimiser leurs rendements, leurs charges ou leurs financements.

1. Drones, big data, financement
participatif, la technologie vient au
secours de l’agriculture

2. -Drones : le marché pèse déjà 1,5 M€ en France. Les drones équipés de capteurs
survolent les parcelles. Le logiciel établit un diagnostic (maturité des cultures, les
mauvaises herbes, les maladies…) qui permet d’adapter les intrants (eau, engrais,
traitements…). La France détient 50% du marché mondial.
-Financement participatif : MiiMOSA, plateforme de financement participatif soutenue
par Google, a déjà soutenu 44 000 projets agricole. Les internautes, des proches, des
clients, des anonymes séduits par l’ambition financent l’agriculteur contre un séjour à
la ferme ou un paiement en nature… Cette forme de financement contribue à
rapprocher le producteur du consommateur.
-Consommation collaborative : d’un côté, du matériel sous utilisé, de l’autre, une
capacité d’investissement limitée. WeFarmUp met en relation les 2 parties, ce qui
permet de réduire les charges d’exploitation.
-Big Data : même dans le monde agricole, les données sont de plus en plus
nombreuses, produites par les machines (tracteurs, moissonneuses, pulvérisateurs,
machines à traire, podomètres...), les capteurs présents dans les champs (capteur de
stress hydrique en viticulture) ou dans les airs (drones, images satellitaires). La start-
up Smag (smart agriculture) édite des logiciels qui promettent de réaliser des
économies d'énergie, de traitements phytosanitaires ou d'antibiotiques, ou de prévoir
les risques…
-Via le JDD 28/2/2016 – Visuel : http://www.nikopik.com/2015/03/la-robotique-au-service-de-lagriculture.html
les agriculteurs testent
un éventail toujours
plus important
de technologies et de
services pour
optimiser leurs
rendements, leurs
charges ou leurs
financements.
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