Cet atelier a été présenté lors du Sommet jeunesse 2010 qui avait lieu en marge de l'Assemblée générale annuelle de la Fédération acadienne de la Nouvelle-Écosse les 22, 23 et 24 octobre 2010. Les différentes recherches ont permis de trouver une foule d'informations sur le sujet. Les sources sont mentionnées tout au long du document et une bibliographie se trouve à la fin.
1. Bienvenue !Bienvenue !
Les nouveaux médiasLes nouveaux médias
et leur impact chez les jeuneset leur impact chez les jeunes
AGA de la FANEAGA de la FANE
23 octobre 201023 octobre 2010
Hôtel Ramada, Dartmouth (N.-É.)Hôtel Ramada, Dartmouth (N.-É.)
2. Horaire
Activités Durée
Introduction
– Tour de table
– Objectifs de l’atelier
9h15 à 9h30
(15 minutes)
Mise en contexte
– Définitions et questions
9h30 à 10h00
(30 minutes)
Enjeux
– Discussion, témoignage, inquiétudes, etc.
10h00 à 10h45
(45 minutes)
Pause 10h45 à 11h00
(15 minutes)
Pistes de solution et projets
– Idées et suggestions d’actions concrètes
– 2 solutions en priorité, horizon 5 ans, porteur dossier
11h00 à 11h45
(45 minutes)
Conclusion
– Rappel des points saillants pour s’assurer que cela
reflète les discussions, consensus et conclusions
11h45 à 12h00
(15 minutes)
3. Introduction
• Tour de table
– Chacun se présente (nom, fonction, lieu de
résidence et un de vos rêves !)
• Objectifs de l’atelier :
– Démystifier l’univers de la technologie et des médias
sociaux
– Cerner les enjeux reliés à la technologie
– Identifier des pistes de solution qui utiliseraient la
technologie pour rassembler les jeunes et la
communauté, résoudre des problèmes existants et
créer de nouvelles initiatives
4. Aujourd’hui, nous parlons beaucoup de
WEB 2.0
Instantané mobile abondant
HYPERSOCIAL
Collaboratif en réseau
participatif
Tiré de la présentation « Stratégies de communication
& nouveaux médias » de Tony Chapelle, http://bit.ly/c2pUfj
5. Tout a commencé en…
Tiré de la présentation « Stratégies de communication
& nouveaux médias » de Tony Chapelle, http://bit.ly/c2pUfj
6. 1960-1985
L’ère de la création d’Internet
Le ministère de la Défense américaine participe à la création d’Internet
En 1969, un réseau composé de 4 ordinateurs voit le jour (ARPANET)
En 1971-1972, premier courriel et messagerie électronique
Concept d’adresse IP en 1973 et du protocole TCP/IP
Source:http://bit.ly/93oQcL
Source:http://bit.ly/b65b9i
8. 1980-1990
L’ère de l’ordinateur personnel
L’informatique se démocratise et prend de l’expansion
Plusieurs modèles d’ordinateurs et autres technologies dérivées
En 1981, 213 ordinateurs branchés à Internet
En 1989, 100 000 ordinateurs branchés à Internet
IBM PC 5150 (12 août 1981)
Mémoire vive
64 Ko
VS
4 Go et plus
aujourd’hui
65 000 %
Source:http://bit.ly/93oQcL
9. Puis en…
Tiré de la présentation « Stratégies de communication
& nouveaux médias » de Tony Chapelle, http://bit.ly/c2pUfj
10. 1990-2000
L’ère du World Wide Web
Les ordinateurs sont reliés entre eux par Internet (réseau
informatique)
Les utilisateurs peuvent s’envoyer des courriels, chatter ou encore
consulter des informations en ligne
Création de Netscape et Yahoo (1994) et Google (1998)
En 1999, un virus apparaît (Melissa) et cause des dommages
Le Web 1.0
est né !
Tiré de la présentation « Stratégies de communication
& nouveaux médias » de Tony Chapelle, http://bit.ly/c2pUfj
11. Enfin, en…
Tiré de la présentation « Stratégies de communication
& nouveaux médias » de Tony Chapelle, http://bit.ly/c2pUfj
12. 2000-2010
L’ère numérique
Le nombre d’utilisateurs explose !
En 2009, on estime 1.6 milliards d’internautes
Les utilisateurs construisent leur identité numérique et
prennent part aux réseaux sociaux
Internet devient social (espace de socialisation) et mobile
Le Web 2.0
est né !
Tiré de la présentation « Stratégies de communication
& nouveaux médias » de Tony Chapelle, http://bit.ly/c2pUfj
13. Le Web 2.0…?
L’ère numérique…?
• L’expression Web 2.0 englobe les technologies et usages
du World Wide Web qui ont suivi la forme initiale du web
et qui permettent aux internautes d’interagir entre eux,
avec le contenu et la structure des pages. *
• La participation de ses utilisateurs se fait entre autres
grâce à de nouveaux médias… **
* Wikipédia, http://bit.ly/bvv74i
** Tiré de la présentation « Stratégies de communication
& nouveaux médias » de Tony Chapelle, http://bit.ly/c2pUfj
14. • Sites Web ; (http://info.cern.ch/hypertext/WWW/TheProject.html)
• Cybercommunautés (forums) ;
• Réseaux sociaux (concept de la chaîne) ;
• Blogues ;
• Wikis ;
• DVD et CD-ROM ;
• Radio et télévision numérique ;
• Etc.
+
Exemples
Ils changent
constamment et
rapidement selon les
interactions, les
technologies, les
changements culturels,
etc.
Nouveaux
médias
15. Nouveaux médias
• CONTENU DYNAMIQUE ET ACCESSIBLE !
– Accès sur demande en tout temps et partout, sur n’importe quel
appareil numérique
– Nouvelle façon d’avoir accès et de manipuler l’information
• PUBLIC PARTICIPATIF !
– Passif à participatif : CONSOMM’ACTEUR
– Danger du fossé numérique…
– Identité et citoyenneté numérique
• USAGES MULTIPLES !
– Éduquer, organiser, échanger, partager, communiquer,
transmettre, promouvoir, etc.
– Plusieurs secteurs : éducation, santé, divertissements, affaires,
arts, etc.
17. Il existe plusieurs définitions mais globalement, les médias
sociaux intègrent la technologie, l'interaction sociale, et la
création de contenu. *
* Wikipédia, http://bit.ly/blZBWT
Source photo : http://bit.ly/aVFUjb
18. Médias sociaux
Selon Fred Cavazza, les médias sociaux se classent selon
4 grands domaines d’application s’articulant autour de
plateformes sociales…
Source photo : http://bit.ly/a9Jnp3
19.
20. Quizz
A. Outil de réseau social et de
microblogage créé en 2006 qui
permet à l’utilisateur d’envoyer
gratuitement des messages brefs,
appelés tweets (« gazouillis »).
B. Réseau social numérique créé par
Mark Zuckerberg en 2004 et
destiné à rassembler des
personnes proches ou inconnues.
C. Site web de partage de photos et
vidéos gratuits lancé en 2004,
avec certaines fonctionnalités
payantes.
21. Médias sociaux
• Facebook (http://www.facebook.com/)
– Pas juste pour les jeunes !
– En 2010, 500 millions d’utilisateurs actifs (selon eux)
– Communauté virtuelle, échange de contenu photo et
vidéo, pages, groupes, applications, etc.
– Attention à la vie privée !
• Twitter (http://twitter.com/)
– Utilisation par des personnalités et médias
– Comparable avec la conversation que nous avons !
– Se limiter au minimum utile : 140 caractères max !
– 105 millions d’utilisateurs et 55 millions tweets par jour
• Flickr (http://www.flickr.com/)
– En 2010, plus de 4 milliards de photos
– Géolocalisation des photos
23. Youtube
http://www.youtube.com
– Créé en 2005 et racheté par Google en 2006
– Hébergement de vidéos où chaque internaute peut
envoyer, visualiser et partager des séquences vidéos
– En mai 2010, YouTube annonce que plus d’un
milliards de vidéos sont visionnés chaque jour
– Première vidéo : cliquer ici
Source photo : http://bit.ly/bVc2SD
24. En juin 2010, plus de 70 millions de membres issus de
170 secteurs d’activités dans plus de 200 pays…
Site de réseautage professionnel
www.linkedin.com
Source photo: http://bit.ly/cYv9RW
25. Site web de réseautage social offrant
espace web personnalisé aux membres !
Reconnu pour héberger de nombreuses
pages web de groupes de musique.
26. Récapitulatif
• L’univers de l’informatique a subi des transformations
rapides et majeures au cours des 40 dernières années !
• Les nouveaux médias…
– public participatif et collaboratif !
– contenu dynamique et accessible !
– usages multiples !
• Médias sociaux
– La révolution numérique change nos habitudes !
– Nombre infini et vocations multiples
– 4 grands domaines d’application et plateformes sociales
• Et ensuite…
27. Enjeux – discussion
(préoccupations, défis, risques)
• Quelles sont vos expériences en lien avec la
technologie et les nouveaux médias ?
• Quels sont les enjeux positifs et négatifs associés à la
technologie et aux nouveaux médias ?
– La technologie et nos organismes
– La technologie et la culture
– La technologie et l’éducation
– La technologie et les jeunes, les aînés, etc.
• Quels sont les impacts de la technologie et des
nouveaux médias dans nos communautés ?
28. Pistes de solution et projets
• Avez-vous des idées ?
• Quelle serait la situation idéale ?
• Comment faire pour y arriver ?
• Par où commencer ? Qui rejoindre ?
• Quelles actions concrètes pourrions-nous prendre
pour faire avancer notre communauté ?
– Cibler 2 solutions en priorité
– Fixer un horizon de 5 ans
– Trouver un ou des porteur(s) du dossier
29. Références
• Stratégies de communication & nouveaux médias », Tony Chapelle,
http://www.slideshare.net/tonychapelle/scenmiseg220910-5252425
• Internet, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/Internet
• Comment Internet a débuté ?, http://www.7-dragons.com/internet/histoire-internet.php
• Historique Internet, HEC Montréal, http://web.hec.ca/virtuose/index.cfm?page=167
• Histoire d’Internet, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_d%27Internet
• Paul Baran and the Origins of the Internet, http://www.rand.org/about/history/baran.html
• Histoire de l’informatique, http://histoire.info.online.fr/micros2.html
• Histoire d’Internet, L’Intern@ute, http://www.linternaute.com/histoire/categorie/138/a/1/1/histoire_d_internet.shtml
• Netscape Communications, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/Netscape_Communications
• Yahoo!, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/Yahoo!
• Web 2.0, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/Web_2.0
• New Media, Wikipédia, http://en.wikipedia.org/wiki/New_media
• What is new media, Conversation Agent, http://www.conversationagent.com/2007/11/what-is-new-med.html
• Médias sociaux, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9dias_sociaux
• Définition de nouveaux médias, Grand dictionnaire terminologique, http://www.granddictionnaire.com
• Info-guide sur les nouveaux médias, Entreprises Canada Ontario,
http://www.cbo-eco.ca/fr/info-guide/new_media_info-guide_1184870948892.cfm
• Médias traditionnels, nouveaux médias, Direction générale des médias et des industries culturelles,
http://www.ddm.gouv.fr/article.php3?id_article=797
• Histoire de Wikipédia, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_de_Wikip%C3%A9dia
• Wiki, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/Wiki
• Statistiques, Bloguepulse, http://www.blogpulse.com/
• Nine Elements, Digital Citizenship, http://www.digitalcitizenship.net/Nine_Elements.html
• Are social networking sites good for our society?, ProCon.org,, http://socialnetworking.procon.org/
30. Références
• Comprendre l’ordinateur, http://sebsauvage.net/comprendre/tcpip/index.html
• Répertoire des réseaux sociaux, http://www.digfoot.com/?l=FR
• Réseau social, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9seau_social
• Une définition des médias sociaux,
http://www.mediassociaux.com/2009/06/29/une-definition-des-medias-sociaux/
• Blogue de Michelle Blanc, http://www.michelleblanc.com/
• Les médias sociaux 101, Michelle Blanc,
http://www.michelleblanc.com/images/Les-medias-sociaux-101-chap-1-2.pdf
• Une nouvelle version du panorama des médias sociaux, Fred Cavazza,
http://www.fredcavazza.net/2009/04/06/une-nouvelle-version-du-panorama-des-medias-sociaux/
• Twitter, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/Twitter
• Twitter, http://twitter.com/
• Twitter : 105 millions d’utilisateurs, Générations nouvelles technologies,
http://www.generation-nt.com/twitter-nombre-utilisateurs-105-millions-actualite-997921.html
• Iran, la révolution Twitter, Liberation.fr, http://www.liberation.fr/monde/0101574203-iran-la-revolution-twitter
• Facebook, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/Facebook
• Facebook, http://www.facebook.com/
• Facebakers, http://www.facebakers.com/
• Flickr, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/Flickr
• Flickr, http://www.flickr.com/
• Licence creative Commons, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/Licence_Creative_Commons
• SlideShare, Wikipédia, http://en.wikipedia.org/wiki/SlideShare
• Slideshare, http://www.slideshare.net/
• Youtube, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/YouTube
• Youtube, http://www.youtube.com
31. Références
• LinkedIn, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/LinkedIn
• Linkedln, http://www.linkedin.com/
• Foursquare, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/Foursquare
• Foursquare, http://foursquare.com/
• Liste des badges, Tidamz, http://tidamz.tumblr.com/post/420670529/badges-foursquare
• MySpace, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/MySpace
• MySpace, http://www.myspace.com/
• Social bookmarking, Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/Social_bookmarking
• Podcamp Montréal, http://podcampmontreal.org/fr/schedule/
• Zero seconde, Blog de Martin Lessard, http://zeroseconde.blogspot.com/
• Context is king, http://mediawatch.afp.com/?post/2009/11/18/Context-is-King
• Internet world stats, http://www.internetworldstats.com/stats.htm
• MédiasSociaux.com, http://www.mediassociaux.com/
Notas do Editor
Aujourd’hui, nous parlons beaucoup de Web 2.0. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? Voici certaines caractéristiques qui décrive cette nouvelle réalité… Ces mots décrivent les technologies et usages du WWW qui ont suivi la forme initiale du web.
____________________
L'expression « Web 2.0 » désigne certaines des technologies et des usages du World Wide Web qui ont suivi la forme initiale du web[1], en particulier les interfaces permettant aux internautes ayant peu de connaissances techniques de s'approprier les nouvelles fonctionnalités du web et ainsi d’interagir de façon simple à la fois avec le contenu et la structure des pages et aussi entre eux, créant ainsi notamment le Web social[2].
Dans le Web 2.0, l'internaute devient acteur en alimentant les sites en contenu (exemple : blogs), éventuellement collaborativement avec les wikis, voire des dispositifs très rigoureux de type science citoyenne.
Le Web 2.0 facilite l'interaction entre utilisateurs, le crowdsourcing et la création de réseaux sociaux rudimentaires, pouvant servir du contenu et exploitant les effets de réseau, avec ou sans réel rendu visuel et interactif de pages Web.
Prochaine évolution majeure du web : web 3.0 (web sémantique, web 3D), web 4.0 (permettra de travailler avec des outils uniquement en ligne)
Retournons un peu en arrière pour voir où tout cela a commencé… Cela va nous permettre de mieux comprendre où nous en sommes rendus aujourd’hui !
Ministère de la défense américaine = pour établir un réseau efficace capable de continuer à fonctionner même en cas de panne de certains de ses éléments. Passer d’un système centralisé à quelque chose de décentralisé…
1969 = quatre ordinateurs présentes dans 4 universités américaines étaient reliées via ce réseau, plutôt pour la communication des chercheurs. Il ne fut utilisé que par la défense américaine jusqu'en 1972 où il fut en démonstration. L'ARPANET sera démantelé en 1985 vu les succès du NSFNET
Premier courrier électronique par Ray Tomlinson = QWERTYUIOP (première rangée du clavier !) et @ pour séparer le nom du destinataire et son adresse de messagerie
1973 = concept d'adresse IP (comme adresse postale) permettant la transmission fiable de données, car les ordinateurs avaient maintenant un seul et unique moyen d'identification.
TCP/IP = permet d'acheminer des données sur un réseau en les fragmentant en petits paquets. La fonction du TCP est de segmenter le message en paquets au départ et de réarranger les paquets à la réception. L'IP est lui chargé d'acheminer les paquets d'ordinateur en ordinateur jusqu'à destination (= envoie d’une lettre). Le concept d'Internet est né d'ARPANET. L'idée était de permettre la connexion entre des réseaux divers. Le protocole NCP d'ARPANET ne permettait pas d'adresser des hôtes hors d'ARPANET ni de corriger d'éventuelles erreurs de transmission. Kahn décida donc de développer un nouveau protocole, qui devint finalement TCP/IP.
Ce standard fut approuvé sur ARPANET (Advanced Research Projects Agency Network (littéralement, réseau de l'Agence de Recherches sur les Projets Avancés)) en 1983 et fut scindé en deux: une branche militaire et une branche de recherche. Pendant ce temps, d'autres réseaux issus d'organismes gouvernementaux américains furent développés, notamment par le biais de la NASA et de la NSF (National Science Foundation).
http://web.hec.ca/virtuose/index.cfm?page=167
____________
Internet est le réseau informatique mondial qui rend accessibles au public des services variés comme le courrier électronique, la messagerie instantanée et le World Wide Web, en utilisant le protocole de communication IP (internet protocol). Son architecture technique qui repose sur une hiérarchie de réseaux, ce qui implique de facto une non-centralisation, lui vaut le surnom de réseau des réseaux.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Internet
_________________
L’idée d’un réseau informatique, permettant aux utilisateurs de différents ordinateurs de communiquer, se développa par de nombreuses étapes successives. La somme de tous ces développements conduisit au « réseau des réseaux » (network of networks[1]) que nous connaissons aujourd’hui en tant que l’Internet. Les premières versions mettant en place ces idées apparurent à la fin des années 1950. L’application pratique de ces concepts commença à la fin des années 1960. Dès les années 1980, les techniques que nous reconnaissons maintenant comme les fondements de l’Internet moderne commencèrent à se répandre autour du globe. Dans les années 1990, sa popularisation passa par l’apparition du World Wide Web.
L’infrastructure de l’Internet se répandit autour du monde pour créer le large réseau mondial d’ordinateurs que nous connaissons aujourd’hui. Il se répandit au travers des pays occidentaux puis frappa à la porte des pays en voie de développement, créant ainsi un accès mondial à l’information et aux communications sans précédent ainsi qu’une fracture numérique. L'Internet contribua à modifier fondamentalement l’économie mondiale, y compris avec les retombées de la bulle Internet.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_d%27Internet
L'IBM Personal Computer, l'IBM PC, moins connu sous les dénominations de PC/G ou IBM modèle 5150, est un des premiers ordinateur personnel produit par millions par IBM, l’ancêtre de tous les compatibles PC.
Environ 3000 $ pour 64 Ko, 1 lecteur disquette et 1 écran ( processeur Intel 8088 à 4.77 MHz, de 64 Ko de Ram, de 40 Ko de Rom, d'un lecteur de disquettes 5"25 et du système d'exploitation PC-DOS 1.0) sources: internet / L'OI sept.1981
http://histoire.info.online.fr/micros2.html
Techno dérivée = disquettes, calculatrices, jeux vidéos, CDROM, imprimantes,
Tim Berners-Lee lance l'idée de la Toile
En tant qu’utilisateur de CERNET, le réseau du CERN, le chercheur Tim Berners-Lee conçoit l’idée de naviguer simplement d’un espace à un autre d’Internet à l’aide de liens hypertextes et grâce à un navigateur. Tim Berners-Lee parle de la création d’une toile, tout internaute pouvant aller d’un contenu à l’autre suivant des voies multiples. Il présentera son projet au CERN en Novembre 1990. Pendant les trois années suivantes, il travaillera à l’apparition du World Wide Web, « toile d’araignée mondiale ».
http://www.linternaute.com/histoire/categorie/138/a/1/1/histoire_d_internet.shtml
Netscape = entreprise d'informatique américaine qui a été pionnière du World Wide Web avec son navigateur Web Netscape Navigator.
Yahoo! = à l’origine c’était uniquement un annuaire Web. En 2009, Yahoo! offre de nombreux autres services gratuits et payants, dont un moteur de recherche, des boîtes à courrier électronique, de la messagerie instantanée, de l'hébergement web et des portails (nouvelles, finances, etc).
Le Web 2.0…?L’ère numérique…?
L’expression Web 2.0 englobe les technologies et usages du World Wide Web qui ont suivi la forme initiale du web et qui permettent aux internautes d’interagir entre eux, avec le contenu et la structure des pages. *
La participation de ses utilisateurs se fait entre autres grâce à de nouveaux médias… **
Nouveaux médias = Ensemble de médias faisant référence à des techniques de production et de communication de l'information qui, en intégrant le numérique et l'interactivité, permettent la création, le traitement et la distribution de contenus multimédias.
L'association ou l'utilisation simultanée de certains médias a donné toute une gamme de nouveaux produits d'information, d'applications et de services offrant des moyens novateurs de créer de l'information, de l'organiser, de la stocker, de la distribuer et d'y avoir accès. Les nouvelles technologies peuvent ainsi enrichir et mettre en valeur les médias traditionnels et, à ce titre, sont incluses dans ce qu'on appelle les nouveaux médias.
Voici quelques exemples de nouveaux médias, regroupés en trois catégories : a) les médias qui mettent en valeur les médias traditionnels, notamment grâce à la technologie numérique : radio numérique, télévision numérique, vidéo numérique, etc.; b) les médias qui résultent de la combinaison de médias jusqu'ici distincts : le multimédia, le CD-ROM, la vidéoconférence numérique, etc.; c) les médias qui utilisent des formes totalement nouvelles : l'hypertexte, l'hypermédia, Internet, la réalité virtuelle, etc.
http://www.granddictionnaire.com/btml/fra/r_motclef/index800_1.asp
_______________________________
À la fin du 20e siècle, terme qui englobe la fusion des médias traditionnels avec la puissance interactive de la technologie informatique et des communications
Transformation et virage technologique des médias traditionnels ! Avant, communication haut vers le bas et un à plusieurs. Maintenant c’est bidirectionnel et tout le monde à tout le monde. Ça change la façon dont nous communiquons.
Le terme de « nouveaux médias » sert à désigner différentes formes de communication électronique s'appuyant sur la technologie informatique. Ce terme fait référence à la nature des « vieux » médias qui, comme les journaux et les magazines, présentent du texte et des illustrations de façon statique.
http://www.cbo-eco.ca/fr/info-guide/new_media_info-guide_1184870948892.cfm
La numérisation, la multiplicité des vecteurs d’images, de textes et de sons, l’interactivité et le nomadisme se sont développés, brisant la logique des médias traditionnels, ces « mass médias » qui s’adressent à tous et auprès desquels tous sont censés s’informer. Une logique nouvelle a fait son apparition, celle portée par des services de plus en plus personnalisés, individualisés qui tiennent compte des singularités et des préférences du consommateur et qui donnent toujours davantage de pouvoir apparent au récepteur. Pour autant, ces nouveaux médias ne remplacent pas les anciens, ils apportent des modalités nouvelles de consommation de l’information, une conception « sur mesure » qui vient compléter l’offre ancienne et donner au consommateur de médias un choix plus vaste.
http://www.ddm.gouv.fr/article.php3?id_article=797
Un bel exemple : Wikipédia
Encyclopédie collaborative en ligne créé en janvier 2001 et regroupant texte (plus de 1 millions d’articles en français !), images, vidéos, liens web, participation des contributeurs, rétroaction des utilisateurs, etc.
Interactivity can be considered as a central concept in understanding new media, but different media forms possess different degrees of interactivity,[28] even some forms of digitized and converged media are not in fact interactive at all. Tony Feldman[29] considers digital satellite television as an example of a new media technology that uses digital compression to dramatically increase the number of television channels that can be delivered, and which changes the nature of what can be offered through the service, but does not transform the experience of television from the user’s point of view, as it lacks a more fully interactive dimension. It remains the case that interactivity is not an inherent characteristic of all new media technologies, unlike digitization and convergence.
http://en.wikipedia.org/wiki/New_media
Wikis : sites web dont les pages sont modifiables par les visiteurs du site et qui permet l’élaboration collaborative des documents
Il existe 126 millions de blogues sur Internet (selon http://www.blogpulse.com/)
La numérisation, la multiplicité des vecteurs d’images, de textes et de sons, l’interactivité et le nomadisme se sont développés, brisant la logique des médias traditionnels, ces « mass médias » qui s’adressent à tous et auprès desquels tous sont censés s’informer. Une logique nouvelle a fait son apparition, celle portée par des services de plus en plus personnalisés, individualisés qui tiennent compte des singularités et des préférences du consommateur et qui donnent toujours davantage de pouvoir apparent au récepteur. Pour autant, ces nouveaux médias ne remplacent pas les anciens, ils apportent des modalités nouvelles de consommation de l’information, une conception « sur mesure » qui vient compléter l’offre ancienne et donner au consommateur de médias un choix plus vaste.
http://www.ddm.gouv.fr/article.php3?id_article=797
Démocratisation – accessibilité (création, édition, distribution et consommation du contenu multimédia)
logiciel libres
Nouveaux pouvoirs des consommateurs : je décide de l’heure, du support, du lieu, du contenu, je peux réagir, j’ai une voix et de l’interaction en retour
Les 9 aspects de la citoyenneté numériques selon http://www.digitalcitizenship.net/Nine_Elements.html
L'accès numérique L’éducation numérique La sécurité numériqueLa communication numérique L’étiquette numérique / règles de conduite La loi numérique Les droits et responsabilités du numérique Le commerce numériqueLa santé et le mieux-être numérique
Il y existe un nombre infini de médias sociaux et chacun ont leur vocation particulière !
Répertoire des réseaux sociaux = http://www.digfoot.com/?l=FR
SixDegrees.com, qui a existé entre 1997 et 2001, est considéré comme étant le premier réseau social parce que c’était le premier site web qui permettait aux utilisateurs de créer leur profil personnel et être en lien avec des amis. Friendster, créé en 2002, a popularisé le réseautage social aux USA avant MySpace (2003), Facebook (2004), et Twitter (2006) qui sont parmi les sites les plus utilisés.
http://socialnetworking.procon.org/
Les médias sociaux désignent un ensemble de services et de technologies permettant de développer des conversations, des créations personnelles ou collectives, des interactions sociales sur l’internet ou autre réseau numérique
http://www.mediassociaux.com/2009/06/29/une-definition-des-medias-sociaux/
Utilisation de beaucoup de techniques, telles que les flux RSS, les blogues, les wikis, le partage de photos (Flickr), le vidéo-partage (You Tube), des balados (podcasts), les réseaux sociaux (Facebook), le bookmarking collaboratif, les mondes virtuels, et plus encore !
http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9dias_sociaux
Comparaison au fumoir, pas là toujours et entends des conversations sérieuses et moins sérieuses. (Michelle Blanc)
Nouvelles fraîches sont souvent diffusées par les médias sociaux avant même que les médias traditionnels n’aient eu le temps de valider l’information (Michelle Blanc)
Lors du décès de Micheal Jackson en juin 2009, des millions de personnes ont afflués sur Google Actualités pour trouver l’information. Le pic d’achalandage a été tel que Google a cru une attaque et a bloqué les requêtes incluant les termes de recherche Michael Jackson. Les gens se tournent de plus en plus vers le web pour trouver une information mise à jour en temps réel. Google a de la difficulté à suivre…
http://www.michelleblanc.com/images/Les-medias-sociaux-101-chap-1-2.pdf
Les outils d’expression permettent à un individu de prendre la parole, de discuter et plus généralement à agréger sa production
publication = blogues, microblogues, wikis, journalisme citoyen
Discussion = forums, messagerie instantanée
Agrégation (regroupement) = friendfeed,
Les services de partage permettent de publier et de partager du contenu
contenus = vidéos (youtube), photos (flickr), musique, liens, documents (slideshare)
produits = services de recommandations, suggestions d’évolution, ou d’échange
Lieux = services focalisés sur adresses, événements, et voyages
Les services de réseautage servent à mettre en relation les individus
Recherche = permet de retrouver anciens camarades, personnes
Niche =
Réseaux B to B = affaires (Linkedin)
Mobile
Outils
Les services de jeux en ligne qui intègrent maintenant des couches sociales très développées
Casual games
Social games
MMORPG = jeux de rôles massivement multijoueurs
MOG = jeux massivement multijoueurs
Casual MOG = à mi-chemin entre 2 dernières catégories.
Au centre, plateformes sociales = réseaux sociaux. Ont évolué pour intégrer diverses fonctionnalités
La notion de « plateforme » prend ici tout son sens car ces réseaux ont la capacité d’héberger les applications que nous retrouvons dans les quatre grands domaines d’application.
http://www.fredcavazza.net/2009/04/06/une-nouvelle-version-du-panorama-des-medias-sociaux/
Facebook
En 2004 par Mark Zuckerberg a créé Facebook pour clientèle étudiante à Harvard. Réseau social qui permet de créer une communauté d’amis, publier ses humeurs du moment, échanger des contenus provenant des médias et télécharger ses propres contenus. Permet de créer des pages pour des produits, personnalités, groupes artistiques, etc. et de promouvoir celles-ci à l’aide de publicités. On peut aussi créer des groupes d’intérêts et y inviter nos amis. En constante transformation. En 2010, Facebook compte plus de 500 millions d’utilisateurs actifs (selon le site de Facebook).
Twitter
En 2006 par Noah Glass et Evan Williams. Réseau de microblogage où publications sont appelés des tweets (gazouillis en français). Fil d’actualités qui permet d’échanger des liens et de l’informations en temps réel. On s’abonne au fil de nouvelles des usagers qui nous intéressent et ceux qui s’abonnent à nos mises à jour deviennent nos abonnés. Si une nouvelle nous plaît, on peut la « retweeter ».
Flickr
Site de partage de photos et vidéos lancé en 2004 et racheté l’année suivante par Yahoo. Comme avec tout média social, on peut ajouter des contacts, commenter les photos et écrire des notes. On peut publier sur notre blogue une photo de ce site en un clic.
Facebook
En 2004 par Mark Zuckerberg a créé Facebook pour clientèle étudiante à Harvard. Réseau social qui permet de créer une communauté d’amis, publier ses humeurs du moment, échanger des contenus provenant des médias et télécharger ses propres contenus. Permet de créer des pages pour des produits, personnalités, groupes artistiques, etc. et de promouvoir celles-ci à l’aide de publicités. On peut aussi créer des groupes d’intérêts et y inviter nos amis. En constante transformation.
Comme application de réseau social, Facebook permet à ses utilisateurs d'entrer des informations personnelles et d'interagir avec d'autres utilisateurs. Les informations susceptibles d'être mises à disposition du réseau concernent l'état civil, les études et les centres d'intérêt. Ces informations permettent de retrouver des utilisateurs partageant les mêmes intérêts. Ces derniers peuvent former des groupes et y inviter d'autres personnes. Les interactions entre membres incluent le partage de correspondance et de documents multimédias.
En septembre 2010, d'après Facebakers.com, le pays avec le plus fort taux de pénétration était l'Islande, dont 63 % des habitants étaient inscrits sur Facebook
En septembre 2010, les cinq pages ayant le plus de fans étaient celles du Texas Hold'em Poker, Michael Jackson, Facebook, Lady Gaga et Les Griffin (Family Guy)
Facebook est actuellement disponible en 76 langues
Utilisateurs passent près de 55 minutes par jour sur Facebook (source Facebook)
Twitter
Fil d’actualités qui permet d’échanger des liens et de l’informations en temps réel. On s’abonne au fil de nouvelles des usagers qui nous intéressent (on peut suivre les tweets postés par eux) et ceux qui s’abonnent à nos mises à jour deviennent nos abonnés. Si une nouvelle nous plaît, on peut la « retweeter ». Twitter est un service de microblogage, permettant aux utilisateurs de bloguer grâce à des messages courts (140 caractères maximum, soit une ou deux phrases). Outre cette concision imposée, la principale différence entre Twitter et un blog traditionnel réside dans le fait que Twitter n’invite pas les lecteurs à commenter les messages postés.
Keep it simple and stupid
À l'opposé, une personne ne souhaitant pas rendre trop publics ses messages peut choisir de les rendre privés, visibles uniquement après validation d'une demande d'ajout à la liste des abonnés. Ce n'est pas le mode par défaut de Twitter, il n'est pas vraiment dans l'esprit de ce service…
Application API permettant aux utilisateurs de poster un tweet depuis un site web
Pour des raisons techniques, les mises à jour de Twitter sont beaucoup plus rapides que celles des fils RSS ou les moteurs de recherche traditionnels (ex. Michael Jackson ou Haïti)
Barack Obama ont également utilisé Twitter comme outil médiatique lors de la campagne pour l’élection présidentielle américaine de 2008
Face à la répression exercée par les autorités, Internet apparaît comme un espace de liberté pour les manifestants iraniens et une source d'information privilégiée des médias occidentaux. 48 heures après la réélection contestée de Mahmoud Ahmadinejad à la présidence de la République islamique d'Iran, des milliers d'électeurs continuent de protester contre un vote qu'ils dénoncent comme frauduleux. Mais la protestation prend aussi forme sur Internet, où une partie de la jeunesse cherche à rendre compte des derniers événements et à exprimer son mécontentement. Pour les médias occidentaux, la Toile iranienne est même devenue une source privilégiée d'information, notamment après l'expulsion de journalistes venus couvrir le scrutin. Avant même que les bureaux de vote ne ferment, échanger des SMS était devenu impossible dans le pays. Dimanche, c'était au tour des téléphones portables, de Facebook et d'autres réseaux sociaux d'être inaccessibles. Les journalistes se sont alors tournés vers des sources alternatives. De nombreux partisans du réformiste Moussavi se sont rués vers Twitter, la plateforme de micro-blogging (non bloquée par les autorités), pour relater les évènements dont ils étaient témoins. Les utilisateurs de Twitter s'y échangent des liens vers des blogs, vidéos ou photos des manifestations, permettant ainsi de se tenir au courant en temps réel de l'évolution de la situation. Autant d'outils qui sont devenus des sources d'informations privilégiées pour les journalistes, confrontés au manque de témoignages directs sur place. L'exercice a cependant une limite: la nécessaire vérification des informations, qui émanent souvent de sources militantes. Plusieurs sites, dans leur traitement en temps quasi réel des évènements, ont néanmoins recouru à ces nombreux fournisseurs de contenus
http://www.liberation.fr/monde/0101574203-iran-la-revolution-twitter
Flickr
populaire auprès des utilisateurs pour partager leurs photos personnelles, il est aussi souvent utilisé par des photographes professionnels
Flickr a été développé par Ludicorp, une société canadienne de Vancouver fondée en 2002 par Stewart Butterfield et Caterina Fake. En mars 2005, Ludicorp fut rachetée par Yahoo!.
Le projet Flickr Commons[4], lancé en janvier 2008, permet aujourd'hui aux organismes institutionnels de s'associer à Flickr pour diffuser leurs contenus iconographiques à toutes les communautés Flickr. Les membres Flickr peuvent ainsi apporter leurs contributions à cette indexation sociale aux archives via les tags et commentaires.
Flickr permet aux utilisateurs de classer leurs images en leur associant des mots-clés (ou tags), ceux-ci pouvant être ensuite utilisés pour des recherches ciblées
Depuis avril 2008, Flickr accepte les vidéos d'une durée maximale de 90 secondes.
Il est aussi possible de géotagger (ou géolocaliser) les photos. Il existe une carte mondiale avec toutes les photos géolocalisées publiques.
Une possibilité supplémentaire consiste à participer à des groupes thématiques précis, ceux-ci existant par milliers.
Un utilisateur chargeant une image sur le site (upload) peut ainsi déterminer qui aura accès à son image en réglant les contrôles d'accès. La plupart des utilisateurs rendent leurs photos publiques, pouvant donc être vues par tout le monde et formant une très grande base de données de photos rangées par catégorie. Par défaut, les autres utilisateurs peuvent laisser des commentaires sur toute image qu'ils ont le droit de voir et parfois peuvent ajouter des mots-clés pour cette image.
Flickr propose aux photographes la possibilité de licencier leurs photos avec un contrat Creative Commons, qui est une organisation à but non lucratif proposant une alternative au copyright complet. garantit à la fois la protection des droits de l'auteur d'une œuvre artistique et la libre circulation du contenu culturel de cette œuvre, ceci afin de permettre aux auteurs de contribuer à un patrimoine d'œuvres accessibles dans le « domaine public » (notion prise au sens large). Un auteur choisit parmi les six licences existantes celle qui est le mieux adaptée à l'œuvre qu'il souhaite diffuser, préservant certains de ses droits traditionnellement protégés de façon exclusive par le copyright classique (modification, rétribution, etc.)
Selon la variante choisie, le public dispose alors d'un plus ou moins grand nombre de libertés pour disposer de l'œuvre. Ainsi, les contenus placés sous certaines des licences peuvent alors être considérés comme des contenus libres.
Paternité [by] (Attribution) : l'œuvre peut être librement utilisée, à la condition de l'attribuer à l'auteur en citant son nom. Pas d'utilisation commerciale [nc] (Noncommercial) : le titulaire de droits peut autoriser tous les types d’utilisation ou au contraire restreindre aux utilisations non commerciales (les utilisations commerciales restant soumises à son autorisation).
Pas de modification [nd] (NoDerivs) : le titulaire de droits peut continuer à réserver la faculté de réaliser des œuvres de type dérivées ou au contraire autoriser à l'avance les modifications, traductions.
Partage des conditions initiales à l'identique [sa] (ShareAlike) : le titulaire des droits peut autoriser à l'avance les modifications; peut se superposer l'obligation ([sa]) pour les œuvres dites dérivées d'être proposées au public avec les mêmes libertés (sous les mêmes options Creative Commons) que l'œuvre originale.
Slideshare
Lancé en 2006 et environ 12 millions de visiteurs chaque mois
Permet de partager avec tous ou avec un groupe désigné ses présentations en format diaporama, avec Powerpoint, PDF ou Open Office. Le site permet d’ajouter de la baladodiffusion pour créer un webinaire (présentation éducative en ligne). Réseau social car permet d’interagir avec les usagers et repérer gens qui ont les mêmes intérêts que nous.
the website is considered to be similar to YouTube, but for slideshows
The website was originally meant to be used for businesses to share slides among employees more easily, but it has since expanded to also become a host of a large number of slides which are uploaded merely to entertain
Youtube
site web d’hébergement de vidéos sur lequel les utilisateurs peuvent envoyer, visualiser et partager des séquences vidéos.
On y publie des extraits de films, d’émissions de télé et des clips de musique, publicités mais aussi des vidéos amateur
La première vidéo de Youtube est d'ailleurs celle de Jawed Karim où il commente sa visite au Zoo de San Diego : http://www.youtube.com/watch?v=jNQXAC9IVRw
Le 9 octobre 2006, Google a racheté YouTube pour un montant de $1,65 milliard en nouvelles actions
Les vidéos sont accessibles par catégorie et à l'aide de mots-clés (tags) comme Flickr ou Technorati et peuvent être importées sur un blog personnel.
Tout internaute inscrit peut poster des commentaires et noter les vidéos en ligne.
Lorsqu’une personne regarde une vidéo, d’autres vidéos en rapport avec celle visionnée lui sont proposées à l’écran à droite dans une barre défilante, et ce grâce au titre et aux étiquettes.
Il a permis à plusieurs internautes de devenir populaires.
La palme revenant à Justin Bieber avec son clip Baby vu 339397629 de fois au 29 septembre 2010 = http://www.youtube.com/watch?v=kffacxfA7G4
NigaHiga est l’utilisateur le plus suivi sous Youtube avec plus de 2 millions de personnes = http://www.youtube.com/user/nigahiga?blend=1&ob=4
Youtube a servi à faire éclater au grand jour un scandale de corruption au sein de la gendarmerie
Plusieurs vidéos violentes ont dû être retirées du site
YouTube étant une entreprise américaine, son contenu est évalué selon la constitution américaine qui garantit la liberté d'expression totale.
http://www.youtube.com/fiveyear
LinkedIn
Fondé en 2002, LinkedIn est un site de réseautage professionnel où les utilisateurs peuvent mettre en ligne un profil professionnel et ajouter un CV.
Espace destiné à bâtir une réputation professionnelle.
LinkedIn est un service en ligne qui permet de construire et d’agréger son réseau professionnel. Il se définit comme un réseau de connaissances qui facilite le dialogue entre professionnels. Pour ses membres, c'est aussi un outil de gestion de réputation en ligne et de personal branding.
Un exemple : Barack Obama a utilisé l'application LinkedIn Answers pendant la campagne électorale américaine pour demander aux utilisateurs du réseau ce qu'il devait faire pour les PME américaines
LinkedIn Answers permet, à l'image de Yahoo! Answers, de poser des questions à la communauté de professionnels.
Les groupes sont des cercles de réflexion et d'échange professionnels qui se regroupent par centres d'intérêts pour partager leur expertise, réflexions, retours d'expérience.
LinkedIn a lancé en novembre 2008 une fonctionnalité multilingue qui permet aux membres de traduire leur profil en plus de 40 langues. De plus, le réseau a lancé la plateforme InApps (pour Intelligent Applications) avec huit partenaires :
- Wordpress et Blog Link (TypePad, Movable Type, Vox, Blogger, LiveJournal, etc.) pour intégrer les billets d’un blog,
- Box.net et Google Documents pour partager des fichiers,
- Amazon Reading List pour ajouter sa propre liste de lecture,
- Google Presentation et Slideshare pour partager ses présentations
MySpace
Créé en 2003. MySpace est un site Web de réseautage social fondé aux États-Unis, qui met gratuitement à disposition de ses membres enregistrés un espace web personnalisé, permettant de présenter diverses informations personnelles et d'y faire un blog. Il est connu pour héberger de nombreuses pages internet de groupes de musique et de DJs qui y entreposent et présentent leurs compositions musicales.
Le site possède aussi un système de messagerie et permet par ailleurs de « poster » ses photos.
En date du 12 avril 2008, MySpace comptait plus de 230 182 000 utilisateurs.
grande réactivité et visibilité, grâce à la facilité pour annoncer les concerts et lancer des invitations, mais aussi pour rester en contact entre musiciens
Controverse pour diffusion de musique sous copyright sans autorisation
Et ensuite…
Mobilité accrue
Géolocalisation : intelligence numérique des objets (lire le code bar avec appareil Iphone et associer de l’information numérique – vidéo, photo, commentaire… ex. meilleure barre de chocolat) dans objet de consommation ou autre
Il y a plus d’écrans de cellulaire que de télévision et d’écrans d’ordis combinés ensemble sur la planête
POSITIFS
Réduction des distances géographiques (skype, Elluminate, courriel, etc.)
Panoplie d’outils efficaces pour partager de l’information (canaux de partage et de diffusion de l’information)
Augmente la vitesse de communication
Accessibles partout, rapidement et en tout temps
Développement de contacts
Moyens gratuits et accessibles pour faire de la promotion
Permet d’être visible à plusieurs endroits sur le web et de faire partie des discussions
Permet d’augmenter le sentiment d’appartenance à un groupe par exemple
Permet une plus grande participation des gens
Les blogues ou groupes permettent de rassembler les gens par affinité (donc brise en partie le mythe de l’isolement)
Accès à Internet dans nos communautés grâce aux sites P@C
Les artistes peuvent se faire connaître entre autres grâce à des vidéos sur youtube, une page sur MySpace, etc.
Il existe des outils d’apprentissage et ressources éducatives numériques (jeux éducatifs)
Permet d’apprendre par nous-mêmes si nous avons des questions sur un sujet et à notre rythme
Plus grand accès au savoir jusque là réservé à l’élite
Possibilité de faire entendre notre voix (citoyenneté numérique) et de donner notre opinion… liberté d’expression
Accessibilité et diversité de contenu (appui au rayonnement de la culture, c’est le monde à portée de clics !)
Accès plus facile au patrimoine (par exemple site web présentant des photos des pierres tombales du cimetière Saint-Pierre)
Les coûts sont réduits d’utiliser les logiciels libres
Permet de rejoindre les jeunes car c’est sur Internet qu’ils se trouvent !
Avantageux pour les entreprises car permet d’avoir des commentaires sur son service et ses produits de la part des clients (demande humilité)
Aide à se faire une idée sur un produit, un expert, etc. suite aux références des gens
Au niveau politique, les médias sociaux permettraient d’aller chercher plus de jeunes électeurs. Les politiciens pourraient être plus proche des gens, avoir leurs opinions, répondre ouvertement aux critiques, etc.
Il existe des cliniques en ligne où on peut communiquer avec un spécialiste en soins de santé
NÉGATIFS
Baisse du niveau de l’écriture
Abondance d’information nuit parfois à l’information elle-même (on ne sait pas si c’est vrai ou pas ce qui est inscrit)… mais l'abondance d'information de différentes sources, non censurées, est une bonne chose — même s'il faut trier les vraies des fausses
La surabondance de l’offre des médias sociaux peut être déroutante…
Sécurité sur Internet et protection des renseignements personnels (vol d’identité par exemple)
Droit d’auteur pour les œuvres musicales
Fossé numérique : par exemple, les aînés utilisent peu la technologie
Peu d’informations en français en ligne, souvent les bons sites sont seulement en anglais, danger de perdre notre langue
On devient vite dépassés tellement ça change vite
Demande du temps de gérer ses relations sur les réseaux sociaux
Limites est mince entre vie privée et vie publique
Virus potentiels pour nos ordinateurs (gens font confiance aux messages envoyés via les réseaux sociaux et considèrent qu’ils sont plus légitimes que ceux reçus par courriel)
Baisse de la productivité chez les employés (mais ceux-ci trouveraient un autre moyen pour perdre leur temps) et gens en général
Mauvaise compréhension des médias (paramètres, information publique postée se retrouve où, etc.)
Ce qui est mis sur Internet le reste pour très longtemps
Aucun moyen de vérifier que l’on parle vraiment à la personne que l’on pense
Cyberharcèlement, cybercriminalité, etc.
Les rencontres sociales face-à-face ont déclinées par rapport aux rencontres via réseaux sociaux en ligne (parents passent moins de temps avec leurs enfants, couples passent moins de temps ensemble (Aric Sigman, "Well Connected?: The Biological Implications of 'Social Networking'," Biologist, Feb. 2009 - http://socialnetworking.procon.org/)
Les réseaux sociaux accumulent des données au sujet des gens dans le but de montrer de la publicité - souvent personnalisée (cookies sur les ordis, suit les intérêts etc.) Invasion à la vie privée ?
Les gens peuvent être moins actifs
Problèmes de santé (tensions musculaires, contraintes posturales, vue, etc.)
Cyberdépendance
Suite aux enjeux identifiés, avez-vous des pistes de solution ou idées de projets qui utilisent les facettes positives de la technologie informatique pour faire avancer la communauté ?
Permettre aux organismes d’être davantage sur le web et faire en sorte qu’ils utilisent les réseaux sociaux pour rejoindre les membres de la communauté
Faire de la formation sur l’utilisation des médias sociaux
Avoir les ressources humaines nécessaires qui ont le temps et les ressources pour utiliser à bon escient les médias sociaux