Principaux enseignements :
Un financement des lieux de culte appartenant à la commune plutôt bien accepté même si les coûts d’entretien et de rénovation sont jugés importants
La construction de nouveaux lieux de culte : un enjeu qui ne concerne pas toutes les communes et qui se focalise essentiellement sur le culte musulman
Des élus sollicités et souvent prêts à accompagner mais majoritairement défavorables aux financements publics des nouveaux lieux de culte (post 1905)
Un très fort attachement au principe de laïcité en France
Selon les élus, des administrés sensibles à ces questions de financement public, potentiellement génératrices de conflictualité.