4. Quantité
L’aide réelle est en augmentation, de 1,41 à 1,52 milliards d’euros
Les programmes des ONG n’ont pas été affectés par les coupes
budgétaires
La majorité de l’aide belge est destinée aux pays les moins avancés
(73%) et aux États fragiles (56%)
L’aide belge est en baisse de 6,1% et ne représente plus que 0,45%
du RNB, loin de l’engagement des 0,7%
En 2013, 280 millions d’euros de coupes ont affecté le budget de
la coopération
5. Efficacité de l’aide
Nouvelle loi sur la coopération au développement
Nouvelles notes stratégiques (États fragiles, pays à revenu
intermédiaire, secteur privé)
± Nouveau contrat de gestion avec la CTB
± Réforme de BIO
Pas de concertation systématique de la société civile pour
les notes stratégiques
Manque de transparence sur les positions au sein des
institutions multilatérales
6. Cohérence des politiques pour le
développement
Ce que c’est: éviter que les objectifs de développement
ne soient contrecarrés par l’effet d’autres politiques
Nouveau cadre institutionnel ambitieux
Déclaration politique au plus haut niveau
Toujours pas de mécanisme permettant d’impliquer le
Parlement pour la CPD
Des incohérences persistent
7. Recommandations
Une aide suffisante et efficace
Quantité: consacrer 0.7% du RNB à l’aide publique au développement (APD)
Efficacité:
Respect des engagements de prévisibilité, d’harmonisation, de déliement et
d’alignement
Concentration du bilatéral dans 18 pays partenaires, avec une priorité donnée aux pays
des Grands Lacs
Concentration du financement des ONG dans les 50 pays partenaires et garanties
d’autonomie et de redevabilité
Des politiques cohérentes en faveur du développement
Mise en oeuvre des mécanismes prévus
Agenda post-2015 : approche basée sur les droits, la lutte contre les inégalités, y
compris hommes/femmes, et le respect de l’environnement