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Définir les symptômes des différents
appareils
• IDENTIFIER CES SYMPTÔMES CHEZ UN PATIENT.
• ASSURER LA CONDUITE À TENIR DEVANT UN PATIENT PRÉSENTANT :
UN MELÆNA
UNE HÉMATÉMÈSE
UNE VOMIQUE
UNE HÉMOPTYSIE
UNE HÉMATURIE
UNE COLIQUE NÉPHRÉTIQUE
Si la santé peut se définir comme un état d ‘équilibre harmonieux entre les
différentes fonctions de l’organisme, on peut concevoir la maladie comme une
rupture de cet état d’équilibre.
l’esprit d’observation est une qualité indispensable à toute personne consacrée aux
soins des malades.
l’observation du malade, par l’infirmier, trouve son utilité dans la découverte des
besoins de la personne soignée. elle n’a rien de particulier dans sa méthodologie,
c’est l’utilisation de ses propres capteurs naturels (organes de sens).
l’infirmier doit s’exercer à reconnaître les signes de santé physique et mentale et les
symptômes propres à chaque maladie. il doit remplir au mieux son rôle
d’intermédiaire entre le médecin et le malade. il doit préciser les différents
symptômes et signes et les communiquer au médecin pour poser plus facilement le
diagnostic de la maladie et prescrire un traitement approprié.
C’EST UNE PARTIE DE LA MÉDECINE QUI ÉTUDIE LES SIGNES ET SYMPTÔMES
TRADUISANT UNE MALADIE.
C’EST UN PHÉNOMÈNE PARTICULIER QUE PROVOQUE, DANS L’ORGANISME, L’ÉTAT
DE MALADIE.
C’EST TOUTE MANIFESTATION SPONTANÉE D’UNE MALADIE.
ON DISTINGUE :
* LES SYMPTÔMES SUBJECTIFS
* LES SYMPTÔMES OBJECTIFS
A/ LES SYMPTÔMES SUBJECTIFS :
Ce sont des symptômes perçus par le malade lui même et ne sont pas
extérieurement perceptibles.
Exemple: douleur abdominale, point de côté…
Il sont révélés (découverts) soit par l’interrogatoire, soit spontanément par le
malade.
B/ LES SYMPTÔMES OBJECTIFS :
Ce sont des symptômes perçus par le médecin ou l’infirmier, soit par
l’observation, soit par les examens cliniques et para cliniques.
C’est un symptôme caractéristique d’une maladie qui permet au médecin
d’établir un diagnostic.
C’est toute manifestation d’une maladie constatée objectivement par le
médecin.
On distingue :
a/les signes fonctionnels: ils sont perçus par le malade. Il correspondent aux
symptômes subjectifs.
B/les signes physiques: ils sont découverts par le médecin lors d’un examen
médical. Ils correspondent aux symptômes objectifs.
C/les signes généraux: ils n’appartiennent pas, en propre, à tel ou tel organe,
mais ils traduisent la réaction de l’organisme à la maladie. Ils sont en
rapport avec l’état général du malade.
Exemple: température, pouls, T.A.
C’est l’ensemble des signes ou symptômes qui caractérisent une maladie ou une
affection.
Exemple : céphalées, raideur de la nuque et vomissements. Ces trois signes
constituent le syndrome méningé.
c’est un signe avant coureur de la maladie.
En général, c’est un état de malaise qui précède la maladie.
C’est une petite ulcération jaunâtre, ronde ou ovalaire, entourée d’un halo
rouge, succédant à une vésicule d’origine virale et siégeant sur la muqueuse
buccale ou pharyngée ou sur la muqueuse génitale. Il s’accompagne d’une
sensation de brûlure.
C’est une sécrétion excessive de la salive. Elle peut avoir pour cause une
affection neurologique, une névrose, une intoxication ou une lésion de la
muqueuse buccale.
C’est une hémorragie au niveau de la gencive.
C’est une sensation de brûlure qui part de l’épigastre, se transmettant le long
de l’œsophage vers le pharynx et qui s’accompagne de renvois acides.
C’est une contraction spasmodique, involontaire du diaphragme déterminant
une brusque secousse de l’abdomen et du thorax et qui s’accompagne d’un
bruit rauque caractéristique dû à la constriction de la glotte avec vibration des
cordes vocales.
C’est une brusque contraction inspiratoire du diaphragme qui se produit en
même temps qu’une fermeture de la glotte, d’ou spasme abdominal avec
appel et chasse brusque d’air produisant une vibration qui constitue le bruit
du hoquet.
C’est une diminution ou perte de l’appétit.
C’est une exagération considérée de l’appétit. C’est un besoin excessif de manger.
C’est une soif intense. C’est un besoin excessif de boire.
C’est une difficulté d’avaler et, par extension, toute anomalie du passage des aliments
jusqu’au cardia.
Causes : Œsophagite, Ulcère de l’œsophage, Varices œsophagiennes, Tumeur de
l’œsophage…
C’est le renvoi, gazeux venant de l’estomac, par la bouche.
C’est l’émission bruyante, par la bouche, de gaz venant de l’estomac.
C’est le retour d’une petite quantité d’aliments venant de l’œsophage sans effort de
vomissement.
Elle est normale chez le nourrisson et elle peut être , chez l’adulte, un signe de
rétrécissement ou de diverticule de l’œsophage.
C’est l’envie de vomir suivie ou non de vomissements. Elles
s’accompagnent d’une contraction involontaire des muscles du
pharynx, de l’œsophage et de l’estomac.
C’est le rejet brusque, par la bouche, du contenu de l’estomac. Il est
provoqué par la contraction brutale du diaphragme, des muscles de
la paroi abdominale et de l’estomac. Ils peuvent être aqueux (
liquides ), alimentaires, bilieux ou fécaloïdes ( en cas d’occlusion ).
C’est un vomissement de sang, rouge vif ou noir, quelque soit le
siège de l’hémorragie.
Causes : Gastrite, Ulcère gastrique chronique, Tumeurs,
Cirrhose du foie…
C’est une difficulté ou impossibilité d’évacuer les matières fécales, qui deviennent
dures et rares après une stase plus ou moins prolongée dans le gros intestin.
Causes :
* Fonctionnelles :
- Atonie = diminution ou absence de la tonicité normale de l’intestin.
- Mauvais régime alimentaire.
- Avitaminose « B ».
- Défaut de cellulose.
- Sédentarité ( manque d’exercice physique ).
*Locales :
- Compression intestinale : tumeur, grossesse.
- Malformation de l’intestin ( Mégacôlon ).
- Appendicite chronique
- Fissures anales.
C’est l’évacuation fréquente et rapide des selles trop liquides.
C’est l’augmentation de du nombre et de la quantité.
Une diarrhée peut s’accompagner souvent d’une atteinte de l’état général :
- Malaise, asthénie
- Déshydratation, en cas de diarrhée grave qui amène à des troubles hydro
électrolytiques.
Causes :
* Fonctionnelles :
- Troubles nerveux.
- Émotion.
- Régime alimentaire déséquilibré.
- Certains médicaments.
* Lésionnelles :
- Inflammation aigue ou chronique des intestins.
- Formation des tumeurs intestinales.
C’est une contracture spasmodique douloureuse du sphincter anal
ou vésical qui s’accompagne de brûlures, d’une sensation pénible
de tension et d’un besoin impérieux et continu d’aller à la selle ou
d’uriner.
C’est une douleur abdominale très violente qui s’accompagne d’une envie
impérieuse d’aller à la selle.
C’est l’évacuation, par l’anus, du sang rouge provenant du rectum. Elle
s’observe en cas des hémorroïdes, du cancer du rectum.
C’est l’élimination des selles noires
( goudrons ). C’est la présence, dans les selles du sang digéré.
Elle indique une hémorragie gastro-intestinale située plus haut que le colon.
C’est une démangeaison au niveau de l’anus. Il entraîne un état d’irritabilité, des
troubles de sommeil et des lésions de grattage parfois associées à des éruptions
allergiques de la région péri anale.
C’est une douleur à l’estomac généralement très vive, localisée à l’épigastre. Elle
s’accompagne des troubles digestifs.
Causes : Ulcère, Tumeur, Gastrite, Intoxication, Indigestion.
C’est l’augmentation du volume du foie. Causes : Cirrhose, Tumeur, Kyste, Abcès,
Hypertension portale.
C’est l’augmentation du volume de la rate.
Causes : Infection, Troubles de la circulation du système porte, Leucémie…
C’est un épanchement liquidien entra péritonéal.
La constitution de l’ascite est souvent précédée d’un épisode de météorisme et de
douleurs abdominales.
Causes : Insuffisance rénale, Insuffisance cardiaque, Cirrhose du foie…
C’est une accumulation d’air dans l’estomac ou dans les intestins qui s’accompagne
d’une sensation de ballonnement.
C’est une sensation de gonflement au niveau de l’estomac ou de l’abdomen,
habituellement lié à une accumulation de gaz dans l’estomac et l’intestin.
C’est une infiltration de sérosité ( liquide ) dans les tissus de l’organisme et
particulièrement dans les tissus conjonctifs.
C’est un état qui résulte de la diminution excessive de l’eau dans les tissus organiques
(surtout dans le sang ).
Causes : Insuffisance de boissons, hypersudation, Vomissements incoercibles,
Diarrhée…
C’est un état pathologique caractérisé par une maigreur extrême et une atteinte grave
de l’état général. Elle peut être due à la maladie ou à la sous alimentation.
C’est un syndrome douloureux abdominal lié à un obstacle sur les voies biliaires. Son
siège est l’hypochondre droit.
(qui se rapporte aux lèvres) :
C’est une affection cutanée aigue du à un virus, caractérisée par une éruption de petite
vésicules transparentes, souvent groupées sur un fond de rougeur.
Il siège de préférence à la face, autour de la bouche et du nez (bouton de fièvre), parfois
aux parties génitales. Il peut récidiver aux mêmes endroits.
C’est une coloration jaune plus ou moins intense des téguments et des muqueuses due à
l’imprégnation des tissus par les pigments biliaires.
Causes :
Atteinte des cellules hépatiques( hépatite, cirrhose, intoxication…).
Obstruction des voies biliaires extra hépatiques.
Destruction massives des globules rouges ( hémolyse ).
C’est la perception, par le malade, de ses propres battements cardiaques, ressentis
comme un phénomène gênant et parfois douloureux.
Très souvent elle ne relève que d’une hyperexcitabilité nerveuse, notamment du
système sympathique, mais dans certains cas elle est l’expression d’un trouble du
rythme cardiaque.
C’est l’accélération du rythme cardiaque à plus de 100 pulsations par minute.
C’est le ralentissement du rythme cardiaque, au dessous de 60 pulsations.
C’est une irrégularité du rythme cardiaque.
C’est une accélération et irrégularité du rythme cardiaque.
C’est un ralentissement et irrégularité du rythme cardiaque.
C’est une perception de deux pulsations qui se suivent de très près
et qui sont séparées périodiquement par un intervalle plus ou moins
long.
C’est une perception d’un soulèvement brusque et intense.
C’est une pulsation donnant la sensation d’un fil.
Il se rencontre en cas d’hémorragie (état de choc ).
c’est l’élévation de la pression sous laquelle circule le sang dans les vaisseaux.
Elle résulte d’un ajustement de la maxima et de la minima à un niveau
anormalement élevé.
On parle d’hypertension artérielle lorsque la tension maxima est égale ou
supérieur à 16 cm de mercure et la tension minima est égale ou supérieur à
10cm de mercure.
Elle se rencontre dans le diabète, les néphrites, la ménopause…
c’est la diminution de la pression artérielle. Elle apparaît lorsque le chiffre de
la tension maxima est au dessous 10cm de mercure.
Elle s’observe: * chez les sujets normaux, fatigués ou surmenés
* chez les grands malades cachectiques, atteints de dénutrition.
* En cas de collapsus secondaire à une hémorragie profuse.
c’est une disparition brutale de la conscience par anoxie cérébrale.
Elle peut être d’origine cardiaque ou extra cardiaque. L’arrêt brusque et
inopiné des contractions cardiaques provoque un arrêt circulatoire, donc une
anoxie cérébrale brutale.
Les syncopes d’origine cardiaque sont appelées syndrome d'Adams stokes.
c’est la sensation de perte de conscience imminente, accompagnée d’une
sensation d’angoisse de pâleur, de sueur, de bourdonnement d’oreilles et de
brouillard devant les yeux.
Elle aboutit exceptionnellement à la perte de connaissance vraie.
Elle relève habituellement d’une dystonie neurovégétative et survient
souvent à l’occasion d’une émotion.
c’est une collection sanguine bien limitée et qui peut être profonde ou superficielle .
elle réalise une tuméfaction plus ou moins importante qui, en dehors de toute
thérapeutique, persiste pendant 12 à 15 jours. Les hématomes importants doivent être
drainés chirurgicalement.
c’est un épanchement de sang non circonscrit, siégeant dans un tissus conjonctif ou
graisseux.
L’ecchymose, provoquée ou spontanée, se caractérise au début par une coloration
rouge livide des tissus, puis, sous l’effet de la biligénie ( lyse des hématies et
transformation du pigment hémoglobinique ) elle devient noire, bleue, verdâtre,
cuivrée et jaune pâle, pour disparaître en trois semaines.
Ce sont des petites tâches hémorragiques cutanées, punctiformes ou lenticulaires dues à la rupture des
capillaires.
C’est le signe caractéristique du purpura.
C’est un syndrome hémorragique.
Ce sont des tâches cutanées de forme et étendu variables dues au passage du sang hors des
capillaires de la peau.
Ces tâches, rouges ou violacées, ne s’effacent pas à la pression.
C’est un examen qui permet d’apprécier la résistance des capillaires sanguins.
En plaçant un garrot autour du bras on observe l’apparition des pétéchies.
La résistance capillaire = résistance des vaisseaux capillaires à la rupture.
C’est une expiration brusque et bruyante précédée d’une inspiration profonde.
Elle peut être réflexe, déclenchée par une irritation des voies respiratoires (larynx,
trachée, bronches, poumons)ou de la plèvre ou elle peut être volontaire.
Causes : * maladies respiratoires: rhume, asthme, bronchite, pleurésie,
tuberculose…
* Maladies cardiaques : insuffisance cardiaque, œdème pulmonaire…
C’est le rejet, par la bouche, des sécrétions des voies respiratoires inférieures
(trachée, bronches, poumons ).
C’est le rejet, par expectoration, du sang provenant de la partie sous glottique
des voies respiratoires.
C’est un symptôme d’alarme d’une grande importance, quelque soit son
abondance ( hémoptysie de petite abondance, de moyenne abondance et de
grande abondance ).
causes : - tuberculose pulmonaire
- Abcès du poumon
- Kyste hydatique du poumon
- O.A.P. ( Œdème aigu des poumons )
- cancer bronchique
- D.D.B. ( Dilatation des bronches )
- traumatisme thoracique, contusion du thorax
- Fractures des côtes
C’est le rejet, par expectoration, de pus provenant en général du poumon et rarement de l a
plèvre.
Suivant l’abondance du pus on distingue :
* la vomique massive
* La vomique fractionnée
Causes : - abcès du poumon dans la majorité des cas.
- Pleurésie purulente.
- Kyste hydatique du poumon.
C’est une douleur localisée à un point du thorax.
C’est une difficulté de respirer. C’est une gène respiratoire.
Elle constitue l’une des principales manifestations des affections
respiratoires et cardiaques. En générale elle peut être considérée
comme l’indice d’une tendance à l’asphyxie ( manque d’oxygène ).
c’est l’accélération des mouvements respiratoires.
C’est une respiration rapide amenant habituellement
Une hyperventilation.
On l’observe dans les états fébriles, les hémorragies graves, les
affections pulmonaires.
c’est le ralentissement des mouvements respiratoires.
C’est une respiration anormalement lente.
C’est une dyspnée avec ralentissement du rythme respiratoire.
On l’observe dans les obstructions et les intoxications.
C’est une dyspnée de décubitus.
C’est une difficulté de respirer en position couchée, obligeant le malade à se
tenir assis ou debout.
C’est un arrêt temporaire de la respiration. Elle entraîne la mort en quelques
minutes.
C’est une dépression des muscles sus et sous sternaux ( tirage sus ou sous
sternal ).
il s’observe en cas d’obstacle à la pénétration de l’air dans les poumons.
C’est un sifflement laryngo-trachéal assez prononcé dû aux fausses
membranes ( croup diphtérique ).
c’est un bruit très caractéristique d’une gène inspiratoire. Il est
particulièrement net lors des dyspnées laryngées quelles qu’en soit les causes.
C’est une coloration bleue, parfois violacée et même noirâtre des téguments et
des muqueuses. Elle prédomine souvent aux extrémités ( pointe du nez,
oreilles, phalangettes ), aux pommettes et sur les muqueuses ( lèvres, muqueuse
buccale ).
elle est liée à un trouble de l’oxygénation du sang.
Ce signe a été décrit par Hippocrate ( médecin grec du 4ème siècle avant J.C. ).
Il est constitué par deux déformations qui frappent en général tous les doigts et tous les
orteils.
* L’incurvation de l’ongle dans tous les sens (alors que normalement l’ongle n’est incurvé
que dans le sens transversal). L’ongle prend un aspect en « verre de montre »
*l’hypertrophie de la pulpe de la dernière phalange déformant le doigt en « baguette de
tambour ».
C’est une collection de liquide ou de gaz constituée dans la cavité pleurale.
On distingue : - l’épanchement sérofibrineux
- L’épanchement hémorragique
- L’épanchement purulent
- L’épanchement aérien ( pneumothorax )
C’est la difficulté de la phonation, par lésion des centres nerveux ou des organes de la
phonation.
La voix est modifiée dans son intensité, sa hauteur et son timbre.
C’est une impossibilité d’émettre un son.
C’est l’absence de la voix.
Causes :
- Paralysies laryngées.
- Paralysies bilatérales des constricteurs du larynx.
- Laryngites aigues infectieuses.
- Tuberculose, Syphilis.
(Kussmaul Adolf : médecin allemand, Heidelberg 1822 / 1902 )
c’est une respiration caractéristique du coma diabétique, qui se décompose en quatre temps:
- Une inspiration profonde, mais assez soudaine.
- Une pause.
- Une expiration subite et gémissante.
- Une pause.
Il s’agit d’une hyperventilation alvéolaire tendant à compenser l’acidose diabétique.
c’est une dyspnée cyclique comprenant trois phases :
1- accélération du rythme respiratoire.
2- ralentissement du rythme respiratoire.
3- pause respiratoire.
Elle traduit une insuffisance d’oxygénation au niveau du centre respiratoire.
* Cheyne John : médecin irlandais de Dublin, 1777 / 1836
* Stocks William : clinicien irlandais de Dublin, 1804 / 1878
C’est une miction anormalement fréquente et peu abondante. Elle est souvent accompagnée de douleurs et
de brûlures.
C’est une miction difficile mais complète. Il y a une douleur en urinant.
Elle s’observe en cas de :
- rétrécissement urétral.
- Hypertrophie de la prostate.
- Urétrite.
- Cystite.
c’est la perte de contrôle de la miction sans cause organique. La miction se produit sans prévenir et
sans que le besoin ne soit ressenti.
Elle est le plus souvent nocturne et d’origine psychologique chez l’enfant.
Elle se produit à un âge où le contrôle sphinctérien devrait fonctionner normalement.
c’est une impossibilité d’évacuer une partie ou la totalité des urines contenues dans la vessie.
Elle peut être due à un obstacle mécanique ou à une inflammation au niveau des voies urinaires.
C’est l’augmentation du volume de la diurèse (quantité d’urines émises par 24 heures). Elle
s’observe en cas de diabète.
C’est la diminution du volume de la diurèse.
C’est l’absence complète des urines dans la vessie.
Elle est due, le plus souvent, à un arrêt de la fonction rénale ( anurie vraie ou sécrétoire
), et elle peut être due à une obstruction des uretères ( fausse anurie ou anurie excrétoire ).
C’est la présence anormale du glucose dans les urines, en rapport avec l’augmentation du taux
de la glycémie.
C’est la présence anormale de l’albumine dans les urines.
C’est la présence anormale de l’acétone dans les urines.
:
C’est la présence du pus dans les urines qui témoigne d’une infection des voies urinaires ou
génito-urinaires.
C’est la présence du sang dans les urines.
Elle peut être d’origine rénale, urétérale, vésiculaire ou urétrale.
Elle est dite macroscopique quand les urines sont franchement rouges ou
brunâtres, et microscopique quand la présence d’hématies ne peut être décelée
qu’au microscope.
C’est une douleur au niveau de la vessie.
C’est une crise douloureuse paroxystique liée à la distension de l’urètre et du
bassinet.
La douleur débute brutalement dans la région lombaire du côté
correspondant à la lésion. Elle évolue par paroxysmes successifs et elle irradie
vers les organes génitaux externes et s’accompagne d’une dysurie.
Pertes blanches : c’est un écoulement anormal, non sanglant, d’une sérosité
blanche au niveau de la vulve.
C’est l’absence du flux menstruel ( règles ).
chez une femme en période d’activité génitale, habituellement bien réglée,
l’aménorrhée fait, avant tout, penser à la grossesse.
C’est une menstruation difficile. Ce sont des règles douloureuses.
C’est un saignement anormal en dehors des règles.
Elles sont d’origine utérine survenant entre les règles.
Si les métrorragies s’associent à des règles abondantes et prolongées, de
sorte que toute notion de cycle disparaît, on parle de ména métrorragie.
:
C’est une contracture douloureuse des muscles constricteurs du vagin.
C’est une contraction involontaire du vagin, avec réflexe de recul ou de
défense au moment de l’acte sexuel le rendant impossible.
:
c’est une sensation de démangeaison au niveau du vagin et de la vulve avec
besoin impérieux de gratter.
c’est une douleur ressentie par la femme lors d’un rapport sexuel, sans qu’il se
produise une contracture du vagin.
:
c’est une incapacité d’obtenir l’orgasme qui affecte surtout la femme (
exceptionnelle chez l’homme avec éventuellement diminution de la libido ).
Il existe des variations individuelles qui ne sont pas pathologiques.
La durée du cycle de certaines femmes est de 25 jours, pour d’autres il est de 32 à
34 jour, sans que celui-ci puisse considéré comme anormal. Par contre s’il se
raccourcit ou s’allonge, il peut constituer un état pathologique et des troubles de
la durée et de l’abondance.
Ainsi les différents troubles du cycle peuvent être liés aux :
Troubles de la durée.
Troubles de l’abondance.
Troubles du rythme.
C’est un excès menstruel portant sur la durée ( règles trop longues ), plus
d’une semaine.
C’est la diminution de la durée des menstruations ( règles trop courtes ).
C’est un excès menstruel supérieur à 150g par jour.
C’est une insuffisance de l’écoulement menstruel, 20g par jour.
C’est l’absence ou arrêt des menstruations.
C’est un excès menstruel. Les règles sont trop fréquentes, trop rapprochées et
trop nombreuses. Les cycles sont brefs.
C’est une hyperpolyménorrhée.
C’est une impossibilité, pour un blessé ou un malade, d’accomplir un
mouvement ou une série de mouvements.
• L’impotence peut être totale, équivalente à la perte d’un
membre ou au contraire elle peut être relative, seuls certains
mouvements sont impossibles ou limités.
• L’impotence fonctionnelle peut être définitive ou temporaire.
C’est une douleur qui siège au niveau des articulations ou dans les
articulations elles-mêmes sans modification de l’apparence extérieure de
la jointure.
C’est une limitation, plus ou moins grande, de la mobilité d’une articulation, due à
des lésions osseuses ou articulaire.
Elle ne doit pas être confondue avec la raideur articulaire où la même limitation
existe, mais il n’y a pas de lésion des surfaces articulaires.
L’ankylose pathologique est la conséquence d’un traumatisme ou d’une
inflammation(arthrite) ; elle peut être aussi provoquée pour traiter certaines
affections.
C’est une douleur musculaire. ( Synonyme : myodynie.)
C’est l’augmentation ou gonflement d’une partie du corps sans préjuger de son siège
exact et de sa nature.
Une tuméfaction abdominale peut ainsi être due à une ascite, une tumeur digestive,
une cirrhose hypertrophique du foie, un gaz.
C’est une déviation de la colonne vertébrale caractérisée par une convexité postérieure.
Exemple : Gibbosité.
C’est une déviation latérale de la colonne vertébrale.
C’est une courbure de la colonne vertébrale à convexité antérieure.
La lordose est normale (lordose physiologique) dans la région cervicale et
dorsolombaire. Elle est anormale lorsqu’elle intéresse une autre partie de la colonne
vertébrale ou lorsqu’elle est très accentuée ; dans ce cas on parlera d’hyper lordose (chez
la femme enceinte).
:
C’est la diminution ou abolition(absence) des mouvements.
C’est une perte passagère ou définitive de la fonction motrice d’un muscle, d’un
groupe de muscles ou d’une partie du corps.
Elle est due à une lésion nerveuse centrale ou périphérique.
On distingue :
- Hémiplégie = paralysie de la moitié du corps ( gauche ou droite ).
- Paraplégie = paralysie des membres inférieurs.
- Monoplégie = paralysie d’un membre.
- Quadriplégie = paralysie des membres supérieurs et inférieurs.
:
C’est une paralysie légère ou incomplète, se traduisant par une diminution de la force
musculaire.
C’est une hyper tonicité musculaire.
C’est un trouble du tonus musculaire.
Elle s’observe en cas d’hémorragie méningée.
Le tonus est un état permanent de semi contraction des muscles.
C’est une hypo tonicité musculaire .
Elle s’observe en cas de la poliomyélite.
C’est une agitation rendant difficile ou impossible les mouvements volontaires.
IL s’observe en cas d’alcoolisme, goitre exophtalmique, névrose…
Ce sont des contractions brusques et involontaires des muscles qui surviennent par
accès. Elles s’observent en cas d’épilepsie.
C’est l’absence de réflexe .
C’est une hypersensibilité d’un réflexe.
c’est une sensation anormale de picotements, de fourmillements ou d’impression de peau
cartonnée.
En général elle est liée à des lésions des nerfs périphériques ou de la moelle épinière.
:
C’est une perte ou absence de la sensibilité à la douleur, à la chaleur, au toucher …
:
C’est une diminution de la sensibilité.
:
C’est une augmentation ou exagération de la sensibilité.
C’est une douleur perçue par le malade , sur le trajet d’un nerf sensitif ou dans le territoire
qu’il innerve, soit spontanément soit au cours d’un mouvement.
C’est l’atrophie des muscles striés, à laquelle correspond une diminution du volume
des masses musculaires.
C’est une ulcération nécrosante , atone, indolore, sans tendance à la cicatrisation,
creusant progressivement en profondeur et aboutissant à de gros délabrement
C’est une variété particulière, de troubles trophiques, qui atteint tous les
plans :cutané, musculaire, tendineux, articulaire, siégeant surtout au niveau des
membres(Mal perforant plantaire) mais aussi à la face(bouche, langue, maxillaire).
Ces troubles s’observent au cours des affections nerveuses(notamment celles qui
altèrent la sensibilité profonde : Tabès) et au cours du diabète où il y a souvent
surinfection.
C’est une sensation d’un manque d’équilibre.
C’est une impression subjective de déplacement, de rotation du corps ou du
monde environnant, accompagnée de troubles de l’équilibre.
(Ou troubles de la statique)
La statique est la fonction qui permet le maintien des postures et
l’exécution des mouvements sans perte d’équilibre.
Les troubles de la statique sont dus soit à une atteinte de l’oreille
interne(vertige de minière), soit à une atteinte de la sensibilité
proprioceptive(ataxie locomotrice).
L’ataxie est l’incoordination des mouvements volontaires avec conservation
de la force musculaire.
C’est un trouble psychique caractérisé par l’incohérence
et la lenteur de la compréhension, une obnubilation de la conscience, des
troubles de la perception et de la mémoire et une désorientation dans le temps
et dans l’espace.
Souvent elle est liée à une infection ou à une intoxication.
Elle peut, aussi, survenir au cours d’une psychose et s’accompagne très
fréquemment d’anxiété et d’hallucinations visuelles.
C’est un défaut de convergence des axes visuels. C’est une impossibilité de fixer un
point avec les deux yeux.
Le strabisme peut être divergeant ( déviation en dedans ), concomitant etc.
C’est un trouble de la vue dû à un défaut de courbure de la cornée ou du cristallin qui
consiste en la perception d’images déformées.
MYOPIE : C’est une anomalie de la réfraction oculaire, qui se traduit par une
mauvaise vue à distance.
Elle est due à un défaut de convergence des rayons lumineux, l’image d’un objet
éloigné se forme en avant de la rétine.
Le myope ne voit nettement que les objets rapprochés.
Le remède de cette anomalie est le port de verres concaves(-).
C’est une mauvaise vue des objets très proches.
Elle est due à une anomalie de la réfraction dans laquelle le point de convergence des
rayons lumineux se trouve en arrière de la rétine.
La correction de ce défaut se fait par des verres convexes(+).
C’est un trouble de la vision caractérisé par la perception de deux images d’un seul objet.
C’est le principal symptôme initial d’une paralysie des nerfs oculomoteurs.
C’est un tremblement du globe oculaire.
C’est la chute de la paupière.
C’est la perte totale de la vue .
C’est une douleur localisée à l’oreille.
C’est un écoulement de sang par le conduit auditif externe.
C’est un écoulement de liquide séreux, de mucus ou de pus par le conduit auditif
externe.
Il peut provenir de l’oreille externe ou des cavités de l’oreille moyenne.
C’est un bruit d’intensité variable, perçu de façon
continue ou intermittente et qui n’est pas dû à des sons venant de l’extérieur mais à
des causes internes ( Exemple : Hypertension artérielle) .
C’est l’amplification de l’acuité auditive.
C’est une audition douloureuse de certains sons.
C’est la diminution de l’acuité auditive . Synonyme : Surdité partielle.
C’est l’abolition partielle ou complète du sens de l’ouie.
Elle peut être due à :
une lésion de l’oreille : surdité périphérique
une lésion du nerf cochléaire : surdité rétro cochléaire
une lésion des centres et voies centrales cochléaires : surdité centrale
une lésion du cortex temporal : surdité corticale
ANOSMIE : C’EST LA DIMINUTION OU PERTE DE L’ODORAT.
C’EST L’ABSENCE DU SENS DE L’ODORAT. ELLE S’OBSERVE EN
CAS DE TUMEUR CÉRÉBRALE.
HYPEROSMIE :C’EST L’AUGMENTATION DE L’ODORAT.
ELLE S’OBSERVE EN CAS D’AFFECTION MENTALE.
EPISTAXIS : C’EST UN SAIGNEMENT DU NEZ PROVENANT DE LA MUQUEUSE
NASALE.
10 – SYMPTOMES DE L’APPAREIL
TEGUMENTAIRE ( PEAU ) :ERYTHEME : C’EST UNE ROUGEUR, DE LA PEAU, CIRCONSCRITE OU DIFFUSE QUI
DISPARAÎT À LA PRESSION.
CAUSES :
- DILATATION DES VAISSEAUX SANGUINS CUTANÉS.
- ALLERGIE À UN MÉDICAMENT.
- MALADIE INFECTIEUSE :ROUGEOLE, RUBÉOLE, SCARLATINE, SYPHILIS.
- COUP DE SOLEIL( CAUSE PHYSIQUE ).
- DERMITE ARTIFICIELLE( CAUSE CHIMIQUE ).
EXANTHEME : C’EST UNE ÉRUPTION ÉRYTHÉMATEUSE CARACTÉRISTIQUE DES
MALADIES ÉRUPTIVES ( ROUGEOLE, RUBÉOLE, SCARLATINE…).
ENANTHEME : C’EST UNE ÉRUPTION QUI ATTEINT LES MUQUEUSES ET QUI
CORRESPOND À L’EXANTHÈME CUTANÉ.
MACULE : C’EST UNE TÂCHE ROUGE DE DIMENSION VARIABLE QUI NE FAIT PAS
SAILLIE À LA SURFACE DE LA PEAU ET QUI S’EFFACE MOMENTANÉMENT À LA
PRESSION DU DOIGT.
LES MACULES PEUVENT ÊTRE GRANDES OU PETITES, UNIQUES OU MULTIPLES.
PAPULE : C’EST UNE PETITE ÉLEVURE DE LA PEAU, SANS CONTENU( LÉSION SÈCHE
), DE GROSSEUR D’UNE LENTILLE, QUI DISPARAÎT AU BOUT DE CERTAIN TEMPS
SANS LAISSER DE TRACE. EXEMPLE : BOUTONS DE L’URTICAIRE.
VESICULE = CLOQUE CUTANEE : C’EST UNE PETITE ÉLEVURE DE LA PEAU, DE
PETITE TAILLE, REMPLIE D’UN LIQUIDE CLAIR, INCOLORE OU JAUNÂTRE.
LES VÉSICULES SONT CARACTÉRISTIQUES DE L’ECZÉMA ET DES AFFECTIONS
VIRALES(HERPES).
PUSTULE : C’EST UNE VÉSICULE CONTENANT UN LIQUIDE PURULENT.
LES PUSTULES SONT SOUVENT ENTOURÉES D’UNE ZONE INFLAMMATOIRE.
BULLE : C’EST UNE VÉSICULE DE GRANDE DIMENSION.
PHLYCTENE : IL CORRESPOND À UNE VÉSICULE OU À UNE BULLE. ON LUI DONNE LE
NOM DE CLOQUE OU AMPOULE, EN CAS DE BRÛLURES.
SQUAMES : CE SONT DES LAMELLES ÉPIDERMIQUES QUI SE DÉTACHENT DE LA SURFACE
DE LA PEAU.
TUBERCULE : C’EST UNE LÉSION CUTANÉE, SAILLANTE DE LA GROSSEUR D’UN POIS, QUI
DISPARAÎT EN LAISSANT UNE CICATRICE( EN CAS DE SYPHILIS).
ULCERE : C’EST UNE PERTE DE SUBSTANCE AVEC PEU DE TENDANCE À LA
CICATRISATION.

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  • 1.
  • 2.
  • 3. Définir les symptômes des différents appareils
  • 4. • IDENTIFIER CES SYMPTÔMES CHEZ UN PATIENT. • ASSURER LA CONDUITE À TENIR DEVANT UN PATIENT PRÉSENTANT : UN MELÆNA UNE HÉMATÉMÈSE UNE VOMIQUE UNE HÉMOPTYSIE UNE HÉMATURIE UNE COLIQUE NÉPHRÉTIQUE
  • 5.
  • 6. Si la santé peut se définir comme un état d ‘équilibre harmonieux entre les différentes fonctions de l’organisme, on peut concevoir la maladie comme une rupture de cet état d’équilibre. l’esprit d’observation est une qualité indispensable à toute personne consacrée aux soins des malades. l’observation du malade, par l’infirmier, trouve son utilité dans la découverte des besoins de la personne soignée. elle n’a rien de particulier dans sa méthodologie, c’est l’utilisation de ses propres capteurs naturels (organes de sens). l’infirmier doit s’exercer à reconnaître les signes de santé physique et mentale et les symptômes propres à chaque maladie. il doit remplir au mieux son rôle d’intermédiaire entre le médecin et le malade. il doit préciser les différents symptômes et signes et les communiquer au médecin pour poser plus facilement le diagnostic de la maladie et prescrire un traitement approprié.
  • 7. C’EST UNE PARTIE DE LA MÉDECINE QUI ÉTUDIE LES SIGNES ET SYMPTÔMES TRADUISANT UNE MALADIE.
  • 8. C’EST UN PHÉNOMÈNE PARTICULIER QUE PROVOQUE, DANS L’ORGANISME, L’ÉTAT DE MALADIE. C’EST TOUTE MANIFESTATION SPONTANÉE D’UNE MALADIE. ON DISTINGUE : * LES SYMPTÔMES SUBJECTIFS * LES SYMPTÔMES OBJECTIFS
  • 9. A/ LES SYMPTÔMES SUBJECTIFS : Ce sont des symptômes perçus par le malade lui même et ne sont pas extérieurement perceptibles. Exemple: douleur abdominale, point de côté… Il sont révélés (découverts) soit par l’interrogatoire, soit spontanément par le malade. B/ LES SYMPTÔMES OBJECTIFS : Ce sont des symptômes perçus par le médecin ou l’infirmier, soit par l’observation, soit par les examens cliniques et para cliniques.
  • 10. C’est un symptôme caractéristique d’une maladie qui permet au médecin d’établir un diagnostic. C’est toute manifestation d’une maladie constatée objectivement par le médecin. On distingue : a/les signes fonctionnels: ils sont perçus par le malade. Il correspondent aux symptômes subjectifs. B/les signes physiques: ils sont découverts par le médecin lors d’un examen médical. Ils correspondent aux symptômes objectifs. C/les signes généraux: ils n’appartiennent pas, en propre, à tel ou tel organe, mais ils traduisent la réaction de l’organisme à la maladie. Ils sont en rapport avec l’état général du malade. Exemple: température, pouls, T.A.
  • 11. C’est l’ensemble des signes ou symptômes qui caractérisent une maladie ou une affection. Exemple : céphalées, raideur de la nuque et vomissements. Ces trois signes constituent le syndrome méningé. c’est un signe avant coureur de la maladie. En général, c’est un état de malaise qui précède la maladie.
  • 12. C’est une petite ulcération jaunâtre, ronde ou ovalaire, entourée d’un halo rouge, succédant à une vésicule d’origine virale et siégeant sur la muqueuse buccale ou pharyngée ou sur la muqueuse génitale. Il s’accompagne d’une sensation de brûlure.
  • 13. C’est une sécrétion excessive de la salive. Elle peut avoir pour cause une affection neurologique, une névrose, une intoxication ou une lésion de la muqueuse buccale. C’est une hémorragie au niveau de la gencive.
  • 14. C’est une sensation de brûlure qui part de l’épigastre, se transmettant le long de l’œsophage vers le pharynx et qui s’accompagne de renvois acides. C’est une contraction spasmodique, involontaire du diaphragme déterminant une brusque secousse de l’abdomen et du thorax et qui s’accompagne d’un bruit rauque caractéristique dû à la constriction de la glotte avec vibration des cordes vocales. C’est une brusque contraction inspiratoire du diaphragme qui se produit en même temps qu’une fermeture de la glotte, d’ou spasme abdominal avec appel et chasse brusque d’air produisant une vibration qui constitue le bruit du hoquet.
  • 15. C’est une diminution ou perte de l’appétit. C’est une exagération considérée de l’appétit. C’est un besoin excessif de manger. C’est une soif intense. C’est un besoin excessif de boire. C’est une difficulté d’avaler et, par extension, toute anomalie du passage des aliments jusqu’au cardia. Causes : Œsophagite, Ulcère de l’œsophage, Varices œsophagiennes, Tumeur de l’œsophage…
  • 16. C’est le renvoi, gazeux venant de l’estomac, par la bouche. C’est l’émission bruyante, par la bouche, de gaz venant de l’estomac. C’est le retour d’une petite quantité d’aliments venant de l’œsophage sans effort de vomissement. Elle est normale chez le nourrisson et elle peut être , chez l’adulte, un signe de rétrécissement ou de diverticule de l’œsophage.
  • 17. C’est l’envie de vomir suivie ou non de vomissements. Elles s’accompagnent d’une contraction involontaire des muscles du pharynx, de l’œsophage et de l’estomac.
  • 18. C’est le rejet brusque, par la bouche, du contenu de l’estomac. Il est provoqué par la contraction brutale du diaphragme, des muscles de la paroi abdominale et de l’estomac. Ils peuvent être aqueux ( liquides ), alimentaires, bilieux ou fécaloïdes ( en cas d’occlusion ). C’est un vomissement de sang, rouge vif ou noir, quelque soit le siège de l’hémorragie. Causes : Gastrite, Ulcère gastrique chronique, Tumeurs, Cirrhose du foie…
  • 19. C’est une difficulté ou impossibilité d’évacuer les matières fécales, qui deviennent dures et rares après une stase plus ou moins prolongée dans le gros intestin. Causes : * Fonctionnelles : - Atonie = diminution ou absence de la tonicité normale de l’intestin. - Mauvais régime alimentaire. - Avitaminose « B ». - Défaut de cellulose. - Sédentarité ( manque d’exercice physique ). *Locales : - Compression intestinale : tumeur, grossesse. - Malformation de l’intestin ( Mégacôlon ). - Appendicite chronique - Fissures anales.
  • 20. C’est l’évacuation fréquente et rapide des selles trop liquides. C’est l’augmentation de du nombre et de la quantité. Une diarrhée peut s’accompagner souvent d’une atteinte de l’état général : - Malaise, asthénie - Déshydratation, en cas de diarrhée grave qui amène à des troubles hydro électrolytiques. Causes : * Fonctionnelles : - Troubles nerveux. - Émotion. - Régime alimentaire déséquilibré. - Certains médicaments. * Lésionnelles : - Inflammation aigue ou chronique des intestins. - Formation des tumeurs intestinales.
  • 21. C’est une contracture spasmodique douloureuse du sphincter anal ou vésical qui s’accompagne de brûlures, d’une sensation pénible de tension et d’un besoin impérieux et continu d’aller à la selle ou d’uriner.
  • 22. C’est une douleur abdominale très violente qui s’accompagne d’une envie impérieuse d’aller à la selle. C’est l’évacuation, par l’anus, du sang rouge provenant du rectum. Elle s’observe en cas des hémorroïdes, du cancer du rectum.
  • 23. C’est l’élimination des selles noires ( goudrons ). C’est la présence, dans les selles du sang digéré. Elle indique une hémorragie gastro-intestinale située plus haut que le colon. C’est une démangeaison au niveau de l’anus. Il entraîne un état d’irritabilité, des troubles de sommeil et des lésions de grattage parfois associées à des éruptions allergiques de la région péri anale. C’est une douleur à l’estomac généralement très vive, localisée à l’épigastre. Elle s’accompagne des troubles digestifs. Causes : Ulcère, Tumeur, Gastrite, Intoxication, Indigestion.
  • 24. C’est l’augmentation du volume du foie. Causes : Cirrhose, Tumeur, Kyste, Abcès, Hypertension portale. C’est l’augmentation du volume de la rate. Causes : Infection, Troubles de la circulation du système porte, Leucémie… C’est un épanchement liquidien entra péritonéal. La constitution de l’ascite est souvent précédée d’un épisode de météorisme et de douleurs abdominales. Causes : Insuffisance rénale, Insuffisance cardiaque, Cirrhose du foie…
  • 25. C’est une accumulation d’air dans l’estomac ou dans les intestins qui s’accompagne d’une sensation de ballonnement. C’est une sensation de gonflement au niveau de l’estomac ou de l’abdomen, habituellement lié à une accumulation de gaz dans l’estomac et l’intestin. C’est une infiltration de sérosité ( liquide ) dans les tissus de l’organisme et particulièrement dans les tissus conjonctifs.
  • 26. C’est un état qui résulte de la diminution excessive de l’eau dans les tissus organiques (surtout dans le sang ). Causes : Insuffisance de boissons, hypersudation, Vomissements incoercibles, Diarrhée… C’est un état pathologique caractérisé par une maigreur extrême et une atteinte grave de l’état général. Elle peut être due à la maladie ou à la sous alimentation. C’est un syndrome douloureux abdominal lié à un obstacle sur les voies biliaires. Son siège est l’hypochondre droit.
  • 27. (qui se rapporte aux lèvres) : C’est une affection cutanée aigue du à un virus, caractérisée par une éruption de petite vésicules transparentes, souvent groupées sur un fond de rougeur. Il siège de préférence à la face, autour de la bouche et du nez (bouton de fièvre), parfois aux parties génitales. Il peut récidiver aux mêmes endroits. C’est une coloration jaune plus ou moins intense des téguments et des muqueuses due à l’imprégnation des tissus par les pigments biliaires. Causes : Atteinte des cellules hépatiques( hépatite, cirrhose, intoxication…). Obstruction des voies biliaires extra hépatiques. Destruction massives des globules rouges ( hémolyse ).
  • 28. C’est la perception, par le malade, de ses propres battements cardiaques, ressentis comme un phénomène gênant et parfois douloureux. Très souvent elle ne relève que d’une hyperexcitabilité nerveuse, notamment du système sympathique, mais dans certains cas elle est l’expression d’un trouble du rythme cardiaque. C’est l’accélération du rythme cardiaque à plus de 100 pulsations par minute. C’est le ralentissement du rythme cardiaque, au dessous de 60 pulsations.
  • 29. C’est une irrégularité du rythme cardiaque. C’est une accélération et irrégularité du rythme cardiaque. C’est un ralentissement et irrégularité du rythme cardiaque.
  • 30. C’est une perception de deux pulsations qui se suivent de très près et qui sont séparées périodiquement par un intervalle plus ou moins long. C’est une perception d’un soulèvement brusque et intense. C’est une pulsation donnant la sensation d’un fil. Il se rencontre en cas d’hémorragie (état de choc ).
  • 31. c’est l’élévation de la pression sous laquelle circule le sang dans les vaisseaux. Elle résulte d’un ajustement de la maxima et de la minima à un niveau anormalement élevé. On parle d’hypertension artérielle lorsque la tension maxima est égale ou supérieur à 16 cm de mercure et la tension minima est égale ou supérieur à 10cm de mercure. Elle se rencontre dans le diabète, les néphrites, la ménopause…
  • 32. c’est la diminution de la pression artérielle. Elle apparaît lorsque le chiffre de la tension maxima est au dessous 10cm de mercure. Elle s’observe: * chez les sujets normaux, fatigués ou surmenés * chez les grands malades cachectiques, atteints de dénutrition. * En cas de collapsus secondaire à une hémorragie profuse.
  • 33. c’est une disparition brutale de la conscience par anoxie cérébrale. Elle peut être d’origine cardiaque ou extra cardiaque. L’arrêt brusque et inopiné des contractions cardiaques provoque un arrêt circulatoire, donc une anoxie cérébrale brutale. Les syncopes d’origine cardiaque sont appelées syndrome d'Adams stokes. c’est la sensation de perte de conscience imminente, accompagnée d’une sensation d’angoisse de pâleur, de sueur, de bourdonnement d’oreilles et de brouillard devant les yeux. Elle aboutit exceptionnellement à la perte de connaissance vraie. Elle relève habituellement d’une dystonie neurovégétative et survient souvent à l’occasion d’une émotion.
  • 34. c’est une collection sanguine bien limitée et qui peut être profonde ou superficielle . elle réalise une tuméfaction plus ou moins importante qui, en dehors de toute thérapeutique, persiste pendant 12 à 15 jours. Les hématomes importants doivent être drainés chirurgicalement. c’est un épanchement de sang non circonscrit, siégeant dans un tissus conjonctif ou graisseux. L’ecchymose, provoquée ou spontanée, se caractérise au début par une coloration rouge livide des tissus, puis, sous l’effet de la biligénie ( lyse des hématies et transformation du pigment hémoglobinique ) elle devient noire, bleue, verdâtre, cuivrée et jaune pâle, pour disparaître en trois semaines.
  • 35. Ce sont des petites tâches hémorragiques cutanées, punctiformes ou lenticulaires dues à la rupture des capillaires. C’est le signe caractéristique du purpura. C’est un syndrome hémorragique. Ce sont des tâches cutanées de forme et étendu variables dues au passage du sang hors des capillaires de la peau. Ces tâches, rouges ou violacées, ne s’effacent pas à la pression. C’est un examen qui permet d’apprécier la résistance des capillaires sanguins. En plaçant un garrot autour du bras on observe l’apparition des pétéchies. La résistance capillaire = résistance des vaisseaux capillaires à la rupture.
  • 36. C’est une expiration brusque et bruyante précédée d’une inspiration profonde. Elle peut être réflexe, déclenchée par une irritation des voies respiratoires (larynx, trachée, bronches, poumons)ou de la plèvre ou elle peut être volontaire. Causes : * maladies respiratoires: rhume, asthme, bronchite, pleurésie, tuberculose… * Maladies cardiaques : insuffisance cardiaque, œdème pulmonaire… C’est le rejet, par la bouche, des sécrétions des voies respiratoires inférieures (trachée, bronches, poumons ).
  • 37. C’est le rejet, par expectoration, du sang provenant de la partie sous glottique des voies respiratoires. C’est un symptôme d’alarme d’une grande importance, quelque soit son abondance ( hémoptysie de petite abondance, de moyenne abondance et de grande abondance ). causes : - tuberculose pulmonaire - Abcès du poumon - Kyste hydatique du poumon - O.A.P. ( Œdème aigu des poumons ) - cancer bronchique - D.D.B. ( Dilatation des bronches ) - traumatisme thoracique, contusion du thorax - Fractures des côtes
  • 38. C’est le rejet, par expectoration, de pus provenant en général du poumon et rarement de l a plèvre. Suivant l’abondance du pus on distingue : * la vomique massive * La vomique fractionnée Causes : - abcès du poumon dans la majorité des cas. - Pleurésie purulente. - Kyste hydatique du poumon. C’est une douleur localisée à un point du thorax.
  • 39. C’est une difficulté de respirer. C’est une gène respiratoire. Elle constitue l’une des principales manifestations des affections respiratoires et cardiaques. En générale elle peut être considérée comme l’indice d’une tendance à l’asphyxie ( manque d’oxygène ). c’est l’accélération des mouvements respiratoires. C’est une respiration rapide amenant habituellement Une hyperventilation. On l’observe dans les états fébriles, les hémorragies graves, les affections pulmonaires.
  • 40. c’est le ralentissement des mouvements respiratoires. C’est une respiration anormalement lente. C’est une dyspnée avec ralentissement du rythme respiratoire. On l’observe dans les obstructions et les intoxications. C’est une dyspnée de décubitus. C’est une difficulté de respirer en position couchée, obligeant le malade à se tenir assis ou debout. C’est un arrêt temporaire de la respiration. Elle entraîne la mort en quelques minutes.
  • 41. C’est une dépression des muscles sus et sous sternaux ( tirage sus ou sous sternal ). il s’observe en cas d’obstacle à la pénétration de l’air dans les poumons. C’est un sifflement laryngo-trachéal assez prononcé dû aux fausses membranes ( croup diphtérique ). c’est un bruit très caractéristique d’une gène inspiratoire. Il est particulièrement net lors des dyspnées laryngées quelles qu’en soit les causes. C’est une coloration bleue, parfois violacée et même noirâtre des téguments et des muqueuses. Elle prédomine souvent aux extrémités ( pointe du nez, oreilles, phalangettes ), aux pommettes et sur les muqueuses ( lèvres, muqueuse buccale ). elle est liée à un trouble de l’oxygénation du sang.
  • 42. Ce signe a été décrit par Hippocrate ( médecin grec du 4ème siècle avant J.C. ). Il est constitué par deux déformations qui frappent en général tous les doigts et tous les orteils. * L’incurvation de l’ongle dans tous les sens (alors que normalement l’ongle n’est incurvé que dans le sens transversal). L’ongle prend un aspect en « verre de montre » *l’hypertrophie de la pulpe de la dernière phalange déformant le doigt en « baguette de tambour ». C’est une collection de liquide ou de gaz constituée dans la cavité pleurale. On distingue : - l’épanchement sérofibrineux - L’épanchement hémorragique - L’épanchement purulent - L’épanchement aérien ( pneumothorax )
  • 43. C’est la difficulté de la phonation, par lésion des centres nerveux ou des organes de la phonation. La voix est modifiée dans son intensité, sa hauteur et son timbre. C’est une impossibilité d’émettre un son. C’est l’absence de la voix. Causes : - Paralysies laryngées. - Paralysies bilatérales des constricteurs du larynx. - Laryngites aigues infectieuses. - Tuberculose, Syphilis.
  • 44. (Kussmaul Adolf : médecin allemand, Heidelberg 1822 / 1902 ) c’est une respiration caractéristique du coma diabétique, qui se décompose en quatre temps: - Une inspiration profonde, mais assez soudaine. - Une pause. - Une expiration subite et gémissante. - Une pause. Il s’agit d’une hyperventilation alvéolaire tendant à compenser l’acidose diabétique.
  • 45. c’est une dyspnée cyclique comprenant trois phases : 1- accélération du rythme respiratoire. 2- ralentissement du rythme respiratoire. 3- pause respiratoire. Elle traduit une insuffisance d’oxygénation au niveau du centre respiratoire. * Cheyne John : médecin irlandais de Dublin, 1777 / 1836 * Stocks William : clinicien irlandais de Dublin, 1804 / 1878
  • 46. C’est une miction anormalement fréquente et peu abondante. Elle est souvent accompagnée de douleurs et de brûlures. C’est une miction difficile mais complète. Il y a une douleur en urinant. Elle s’observe en cas de : - rétrécissement urétral. - Hypertrophie de la prostate. - Urétrite. - Cystite.
  • 47. c’est la perte de contrôle de la miction sans cause organique. La miction se produit sans prévenir et sans que le besoin ne soit ressenti. Elle est le plus souvent nocturne et d’origine psychologique chez l’enfant. Elle se produit à un âge où le contrôle sphinctérien devrait fonctionner normalement. c’est une impossibilité d’évacuer une partie ou la totalité des urines contenues dans la vessie. Elle peut être due à un obstacle mécanique ou à une inflammation au niveau des voies urinaires.
  • 48. C’est l’augmentation du volume de la diurèse (quantité d’urines émises par 24 heures). Elle s’observe en cas de diabète. C’est la diminution du volume de la diurèse. C’est l’absence complète des urines dans la vessie. Elle est due, le plus souvent, à un arrêt de la fonction rénale ( anurie vraie ou sécrétoire ), et elle peut être due à une obstruction des uretères ( fausse anurie ou anurie excrétoire ).
  • 49. C’est la présence anormale du glucose dans les urines, en rapport avec l’augmentation du taux de la glycémie. C’est la présence anormale de l’albumine dans les urines. C’est la présence anormale de l’acétone dans les urines. : C’est la présence du pus dans les urines qui témoigne d’une infection des voies urinaires ou génito-urinaires.
  • 50. C’est la présence du sang dans les urines. Elle peut être d’origine rénale, urétérale, vésiculaire ou urétrale. Elle est dite macroscopique quand les urines sont franchement rouges ou brunâtres, et microscopique quand la présence d’hématies ne peut être décelée qu’au microscope. C’est une douleur au niveau de la vessie. C’est une crise douloureuse paroxystique liée à la distension de l’urètre et du bassinet. La douleur débute brutalement dans la région lombaire du côté correspondant à la lésion. Elle évolue par paroxysmes successifs et elle irradie vers les organes génitaux externes et s’accompagne d’une dysurie.
  • 51. Pertes blanches : c’est un écoulement anormal, non sanglant, d’une sérosité blanche au niveau de la vulve. C’est l’absence du flux menstruel ( règles ). chez une femme en période d’activité génitale, habituellement bien réglée, l’aménorrhée fait, avant tout, penser à la grossesse. C’est une menstruation difficile. Ce sont des règles douloureuses.
  • 52. C’est un saignement anormal en dehors des règles. Elles sont d’origine utérine survenant entre les règles. Si les métrorragies s’associent à des règles abondantes et prolongées, de sorte que toute notion de cycle disparaît, on parle de ména métrorragie. : C’est une contracture douloureuse des muscles constricteurs du vagin. C’est une contraction involontaire du vagin, avec réflexe de recul ou de défense au moment de l’acte sexuel le rendant impossible.
  • 53. : c’est une sensation de démangeaison au niveau du vagin et de la vulve avec besoin impérieux de gratter. c’est une douleur ressentie par la femme lors d’un rapport sexuel, sans qu’il se produise une contracture du vagin. : c’est une incapacité d’obtenir l’orgasme qui affecte surtout la femme ( exceptionnelle chez l’homme avec éventuellement diminution de la libido ).
  • 54. Il existe des variations individuelles qui ne sont pas pathologiques. La durée du cycle de certaines femmes est de 25 jours, pour d’autres il est de 32 à 34 jour, sans que celui-ci puisse considéré comme anormal. Par contre s’il se raccourcit ou s’allonge, il peut constituer un état pathologique et des troubles de la durée et de l’abondance. Ainsi les différents troubles du cycle peuvent être liés aux : Troubles de la durée. Troubles de l’abondance. Troubles du rythme.
  • 55. C’est un excès menstruel portant sur la durée ( règles trop longues ), plus d’une semaine. C’est la diminution de la durée des menstruations ( règles trop courtes ).
  • 56. C’est un excès menstruel supérieur à 150g par jour. C’est une insuffisance de l’écoulement menstruel, 20g par jour. C’est l’absence ou arrêt des menstruations.
  • 57. C’est un excès menstruel. Les règles sont trop fréquentes, trop rapprochées et trop nombreuses. Les cycles sont brefs. C’est une hyperpolyménorrhée.
  • 58. C’est une impossibilité, pour un blessé ou un malade, d’accomplir un mouvement ou une série de mouvements. • L’impotence peut être totale, équivalente à la perte d’un membre ou au contraire elle peut être relative, seuls certains mouvements sont impossibles ou limités. • L’impotence fonctionnelle peut être définitive ou temporaire. C’est une douleur qui siège au niveau des articulations ou dans les articulations elles-mêmes sans modification de l’apparence extérieure de la jointure.
  • 59. C’est une limitation, plus ou moins grande, de la mobilité d’une articulation, due à des lésions osseuses ou articulaire. Elle ne doit pas être confondue avec la raideur articulaire où la même limitation existe, mais il n’y a pas de lésion des surfaces articulaires. L’ankylose pathologique est la conséquence d’un traumatisme ou d’une inflammation(arthrite) ; elle peut être aussi provoquée pour traiter certaines affections. C’est une douleur musculaire. ( Synonyme : myodynie.) C’est l’augmentation ou gonflement d’une partie du corps sans préjuger de son siège exact et de sa nature. Une tuméfaction abdominale peut ainsi être due à une ascite, une tumeur digestive, une cirrhose hypertrophique du foie, un gaz.
  • 60. C’est une déviation de la colonne vertébrale caractérisée par une convexité postérieure. Exemple : Gibbosité. C’est une déviation latérale de la colonne vertébrale. C’est une courbure de la colonne vertébrale à convexité antérieure. La lordose est normale (lordose physiologique) dans la région cervicale et dorsolombaire. Elle est anormale lorsqu’elle intéresse une autre partie de la colonne vertébrale ou lorsqu’elle est très accentuée ; dans ce cas on parlera d’hyper lordose (chez la femme enceinte).
  • 61. : C’est la diminution ou abolition(absence) des mouvements. C’est une perte passagère ou définitive de la fonction motrice d’un muscle, d’un groupe de muscles ou d’une partie du corps. Elle est due à une lésion nerveuse centrale ou périphérique. On distingue : - Hémiplégie = paralysie de la moitié du corps ( gauche ou droite ). - Paraplégie = paralysie des membres inférieurs. - Monoplégie = paralysie d’un membre. - Quadriplégie = paralysie des membres supérieurs et inférieurs.
  • 62. : C’est une paralysie légère ou incomplète, se traduisant par une diminution de la force musculaire. C’est une hyper tonicité musculaire. C’est un trouble du tonus musculaire. Elle s’observe en cas d’hémorragie méningée. Le tonus est un état permanent de semi contraction des muscles. C’est une hypo tonicité musculaire . Elle s’observe en cas de la poliomyélite.
  • 63. C’est une agitation rendant difficile ou impossible les mouvements volontaires. IL s’observe en cas d’alcoolisme, goitre exophtalmique, névrose… Ce sont des contractions brusques et involontaires des muscles qui surviennent par accès. Elles s’observent en cas d’épilepsie. C’est l’absence de réflexe . C’est une hypersensibilité d’un réflexe.
  • 64. c’est une sensation anormale de picotements, de fourmillements ou d’impression de peau cartonnée. En général elle est liée à des lésions des nerfs périphériques ou de la moelle épinière. : C’est une perte ou absence de la sensibilité à la douleur, à la chaleur, au toucher … : C’est une diminution de la sensibilité. : C’est une augmentation ou exagération de la sensibilité. C’est une douleur perçue par le malade , sur le trajet d’un nerf sensitif ou dans le territoire qu’il innerve, soit spontanément soit au cours d’un mouvement.
  • 65. C’est l’atrophie des muscles striés, à laquelle correspond une diminution du volume des masses musculaires. C’est une ulcération nécrosante , atone, indolore, sans tendance à la cicatrisation, creusant progressivement en profondeur et aboutissant à de gros délabrement C’est une variété particulière, de troubles trophiques, qui atteint tous les plans :cutané, musculaire, tendineux, articulaire, siégeant surtout au niveau des membres(Mal perforant plantaire) mais aussi à la face(bouche, langue, maxillaire). Ces troubles s’observent au cours des affections nerveuses(notamment celles qui altèrent la sensibilité profonde : Tabès) et au cours du diabète où il y a souvent surinfection.
  • 66. C’est une sensation d’un manque d’équilibre. C’est une impression subjective de déplacement, de rotation du corps ou du monde environnant, accompagnée de troubles de l’équilibre. (Ou troubles de la statique) La statique est la fonction qui permet le maintien des postures et l’exécution des mouvements sans perte d’équilibre. Les troubles de la statique sont dus soit à une atteinte de l’oreille interne(vertige de minière), soit à une atteinte de la sensibilité proprioceptive(ataxie locomotrice). L’ataxie est l’incoordination des mouvements volontaires avec conservation de la force musculaire. C’est un trouble psychique caractérisé par l’incohérence et la lenteur de la compréhension, une obnubilation de la conscience, des troubles de la perception et de la mémoire et une désorientation dans le temps et dans l’espace. Souvent elle est liée à une infection ou à une intoxication. Elle peut, aussi, survenir au cours d’une psychose et s’accompagne très fréquemment d’anxiété et d’hallucinations visuelles.
  • 67. C’est un défaut de convergence des axes visuels. C’est une impossibilité de fixer un point avec les deux yeux. Le strabisme peut être divergeant ( déviation en dedans ), concomitant etc. C’est un trouble de la vue dû à un défaut de courbure de la cornée ou du cristallin qui consiste en la perception d’images déformées. MYOPIE : C’est une anomalie de la réfraction oculaire, qui se traduit par une mauvaise vue à distance. Elle est due à un défaut de convergence des rayons lumineux, l’image d’un objet éloigné se forme en avant de la rétine. Le myope ne voit nettement que les objets rapprochés. Le remède de cette anomalie est le port de verres concaves(-).
  • 68. C’est une mauvaise vue des objets très proches. Elle est due à une anomalie de la réfraction dans laquelle le point de convergence des rayons lumineux se trouve en arrière de la rétine. La correction de ce défaut se fait par des verres convexes(+). C’est un trouble de la vision caractérisé par la perception de deux images d’un seul objet. C’est le principal symptôme initial d’une paralysie des nerfs oculomoteurs. C’est un tremblement du globe oculaire. C’est la chute de la paupière. C’est la perte totale de la vue .
  • 69. C’est une douleur localisée à l’oreille. C’est un écoulement de sang par le conduit auditif externe. C’est un écoulement de liquide séreux, de mucus ou de pus par le conduit auditif externe. Il peut provenir de l’oreille externe ou des cavités de l’oreille moyenne.
  • 70. C’est un bruit d’intensité variable, perçu de façon continue ou intermittente et qui n’est pas dû à des sons venant de l’extérieur mais à des causes internes ( Exemple : Hypertension artérielle) . C’est l’amplification de l’acuité auditive. C’est une audition douloureuse de certains sons. C’est la diminution de l’acuité auditive . Synonyme : Surdité partielle. C’est l’abolition partielle ou complète du sens de l’ouie. Elle peut être due à : une lésion de l’oreille : surdité périphérique une lésion du nerf cochléaire : surdité rétro cochléaire une lésion des centres et voies centrales cochléaires : surdité centrale une lésion du cortex temporal : surdité corticale
  • 71. ANOSMIE : C’EST LA DIMINUTION OU PERTE DE L’ODORAT. C’EST L’ABSENCE DU SENS DE L’ODORAT. ELLE S’OBSERVE EN CAS DE TUMEUR CÉRÉBRALE. HYPEROSMIE :C’EST L’AUGMENTATION DE L’ODORAT. ELLE S’OBSERVE EN CAS D’AFFECTION MENTALE. EPISTAXIS : C’EST UN SAIGNEMENT DU NEZ PROVENANT DE LA MUQUEUSE NASALE.
  • 72. 10 – SYMPTOMES DE L’APPAREIL TEGUMENTAIRE ( PEAU ) :ERYTHEME : C’EST UNE ROUGEUR, DE LA PEAU, CIRCONSCRITE OU DIFFUSE QUI DISPARAÎT À LA PRESSION. CAUSES : - DILATATION DES VAISSEAUX SANGUINS CUTANÉS. - ALLERGIE À UN MÉDICAMENT. - MALADIE INFECTIEUSE :ROUGEOLE, RUBÉOLE, SCARLATINE, SYPHILIS. - COUP DE SOLEIL( CAUSE PHYSIQUE ). - DERMITE ARTIFICIELLE( CAUSE CHIMIQUE ). EXANTHEME : C’EST UNE ÉRUPTION ÉRYTHÉMATEUSE CARACTÉRISTIQUE DES MALADIES ÉRUPTIVES ( ROUGEOLE, RUBÉOLE, SCARLATINE…). ENANTHEME : C’EST UNE ÉRUPTION QUI ATTEINT LES MUQUEUSES ET QUI CORRESPOND À L’EXANTHÈME CUTANÉ.
  • 73. MACULE : C’EST UNE TÂCHE ROUGE DE DIMENSION VARIABLE QUI NE FAIT PAS SAILLIE À LA SURFACE DE LA PEAU ET QUI S’EFFACE MOMENTANÉMENT À LA PRESSION DU DOIGT. LES MACULES PEUVENT ÊTRE GRANDES OU PETITES, UNIQUES OU MULTIPLES. PAPULE : C’EST UNE PETITE ÉLEVURE DE LA PEAU, SANS CONTENU( LÉSION SÈCHE ), DE GROSSEUR D’UNE LENTILLE, QUI DISPARAÎT AU BOUT DE CERTAIN TEMPS SANS LAISSER DE TRACE. EXEMPLE : BOUTONS DE L’URTICAIRE. VESICULE = CLOQUE CUTANEE : C’EST UNE PETITE ÉLEVURE DE LA PEAU, DE PETITE TAILLE, REMPLIE D’UN LIQUIDE CLAIR, INCOLORE OU JAUNÂTRE. LES VÉSICULES SONT CARACTÉRISTIQUES DE L’ECZÉMA ET DES AFFECTIONS VIRALES(HERPES).
  • 74. PUSTULE : C’EST UNE VÉSICULE CONTENANT UN LIQUIDE PURULENT. LES PUSTULES SONT SOUVENT ENTOURÉES D’UNE ZONE INFLAMMATOIRE. BULLE : C’EST UNE VÉSICULE DE GRANDE DIMENSION. PHLYCTENE : IL CORRESPOND À UNE VÉSICULE OU À UNE BULLE. ON LUI DONNE LE NOM DE CLOQUE OU AMPOULE, EN CAS DE BRÛLURES. SQUAMES : CE SONT DES LAMELLES ÉPIDERMIQUES QUI SE DÉTACHENT DE LA SURFACE DE LA PEAU. TUBERCULE : C’EST UNE LÉSION CUTANÉE, SAILLANTE DE LA GROSSEUR D’UN POIS, QUI DISPARAÎT EN LAISSANT UNE CICATRICE( EN CAS DE SYPHILIS). ULCERE : C’EST UNE PERTE DE SUBSTANCE AVEC PEU DE TENDANCE À LA CICATRISATION.