Les banques Suisses exigent des comptes nominatifs pour le transfert de fonds déposés par des Européens, ceci devient une nouvelle norme et empêche de facto l’utilisation de structures offshores pour réceptionner des fonds venant de Suisse.
Banques suisses refusant le transfert hors OECD – confirmations et inquiétudes
1. Banques Suisses refusant le transfert hors OECD –
confirmations et inquiétudes
Date : mardi le 3 juin 2014
Bonjour,
Les banques Suisses exigent des comptes nominatifs pour le transfert de fonds déposés par des Européens,
ceci devient une nouvelle norme et empêche de facto l’utilisation de structures offshores pour réceptionner des
fonds venant de Suisse.
L’objectif est vraisemblablement de constituer une base de données tout en en démontrant le manque de
collaboration effective des établissements bancaires Suisses à l’aide aux départs forcés de clients non-
collaboratifs.
Un banque française, d’origine du moins, commence à refuser les transferts hors OECD et fournis gracieusement
la liste desdits pays avec un lien internet Wikipedia. Sa succursale de Genève n’offrant pas plus d’explications,
bien entendu.
Cet exemple laisse à penser que d’autres établissements vont suivre et bloquer les transferts de résidents
Européens, assurément les retardataires, optimistes avérés et légèrement inconscients, vont s’en mordre les
doigts.
Les solutions existent pourtant, l’explosion des demandes de licences aux Seychelles et ailleurs démontrant bien
que nombreux tiers gérants ont pris les devants pour accompagner leurs clients dans cet exil forcé.
L’accompagnement de clients désirant ouvrir de nouvelles relations bancaires, les mesures de protection du
patrimoine et de la sphère privée font l’objet de solutions créatives mise en place depuis notre unique bureau à
Hong Kong.
Les intermédiaires professionnels trouvent également avec notre support des manières de continuer à servir
des clients déboussolés par la situation actuelle ceci sans devoir dupliquer une structure de travail existante ou
en créer une nouvelle pour servir un nombre réduit de clients .
Déplacer la problématique d’accompagnement hors Europe, avec des solutions depuis Hong Kong sur l’Asie
Pacifique et le Moyen Orient, permet de renforcer la confidentialité des échanges tout en maintenant une qualité
de service de haut niveau.
Chaque cas sera ainsi traité de manière confidentielle par un directeur Suisse vivant à Hong Kong de manière
2. permanente depuis dix ans.
Un bureau à Central avec une petite équipe francophone et la totale absence de liens avec l’Europe permet une
approche prudente, originale et rapide.