1. #3
B A R O M È T R E
STARTHER KPMG
MARS 2019
LES LEVÉES DE FONDS DES STARTUP TECH
DIRIGÉES PAR DES FEMMES
2. BAROMÈTRE STARTHER - KPMG
LES LEVÉES DE FONDS
DES START-UP TECH
DIRIGÉES
PAR DES FEMMES
SOMMAIRE
ÉDITO ............................................... 3
CHIFFRES CLÉS ................................... 4
PAROLES DE DIRIGEANTES .................. 6
TOURS DE TABLE................................. 7
RÉPARTITION SECTORIELLE ................. 8
MÉTHODOLOGIE ................................ 9
KPMG FRANCE ..................................10
STARTHER .........................................11
3. 2
3LES LEVÉES DE FONDS DES START-UP TECH DIRIGÉES PAR DES FEMMES BAROMÈTRE STARTHER - KPMG
Édito
Si de prime abord cette édition du
Baromètre StartHer-KPMG ne
semble pas aussi enthousiasmante
qu’en 2017, et laisse apparaître
une diminution du ratio des
levées de fonds féminines, une
deuxième lecture détaillée prouve
néanmoins que l’entrepreneuriat
féminin monte en puissance.
En 2017, on déplorait l’écart entre le ticket moyen du
marché et le ticket moyen féminin, presque deux fois
inférieur. En 2018, cet écart s’est sensiblement réduit,
notamment dans les phases d’amorçage et de premiers
tours de financement, lors desquels les inégalités étaient
les plus fortes (écart de 4 % seulement en 2018 vs 50 %
en 2017 aux premiers tours). Sans doute le signe d’une
véritable prise de conscience de la part des dirigeantes
mais aussi des financeurs. On saluera notamment la
performance de certains fonds qui ont démontré leur
volonté d’être à parité dans leurs investissements en 2018.
Enfin, on note une plus faible concentration des levées
féminines en amorçage, mais une présence plus forte
des femmes dans les tours de financement plus avancés.
C’est un indicateur fort et très encourageant. Il laisse à
penser que l’accompagnement des femmes dirigeantes
commence à payer et leur permet d’avoir les reins
suffisamment solides pour les conduire jusqu’à l’IPO
(Initial Public Offering).
Le bilan de l’année 2018 nous pousse donc à garder
le cap au sein de l’association StartHer : continuer
d’accompagner les femmes dirigeantes en amont de la
création entrepreneuriale et sensibiliser les jeunes filles
dès le collège à l’entrepreneuriat féminin, au travers du
programme StartHer Académies.
Nous nous associons aussi à des initiatives comme Sista
pour booster toujours plus l’investissement féminin.
Nous avons la conviction que ce travail suscitera de
nombreuses vocations et augmentera significativement le
nombre de projets portés par des femmes dans la Tech.
MAYA NOËL STARTHER
RESPONSABLE TALENT
Le Baromètre StartHer-KPMG
nous offre en 2019 un bilan
des levées de fonds davantage
contrasté par rapport aux années
précédentes.
Tout d’abord, la part des levées
d’entreprises dirigées par des
femmes connaît un recul. Le
chiffre de 13 % nous ramène à
la situation de 2016. C’est une vraie surprise quand
on considère les dispositifs d’accompagnement qui
sont proposés aujourd’hui à ces dirigeantes. Il y a
un plafond de verre à briser et nous devons nous
interroger sur l’ensemble des barrières à lever pour le
faire disparaître, sans doute du côté des financeurs.
Les montants moyens levés par tour montrent qu’il n’y
avait pas de fatalité à la faiblesse des tickets féminins.
De l’amorçage jusqu’au troisième tour, les femmes
lèvent cette année entre 89 et 101 % des montants
moyens par tour. Au global, le ticket moyen levé par
les femmes progresse de 46 à 59 % si on le compare
aux levées de fonds totales.
Les secteurs d’activité représentés cette année montrent
également une évolution intéressante. La proportion des
entreprises du domaine de la santé reste supérieure à
20 % et s’approprie le palmarès des plus grosses levées
féminines de 2018. La part d’entreprises de logiciels fait
quant à elle, un bond significatif et fait jeu égal avec les
entreprises du web et des e-services (34 % chacune).
Voilà encore un résultat significatif obtenu en peu
d’années.
Nous devons tous travailler désormais pour faire passer
ces chiffres à l’échelle de la proportion des femmes qui
veulent participer à la création de valeur technologique
dans notre économie !
NICOLAS BEAUDOUIN KPMG
ASSOCIÉ
4. LES LEVÉES DE FONDS DES START-UP TECH DIRIGÉES PAR DES FEMMES
DES START-UP
QUI ONT LEVÉ DES FONDS
ÉTAIENT DIRIGÉES
PAR DES FEMMES12,5%
LE RATIO DES LEVÉES DE FONDS FÉMININES DÉCROIT EN 2018.
LA PROPORTION DU MONTANT GLOBAL LEVÉ PAR DES FEMMES EN 2018 PROGRESSE
MALGRÉ LA BAISSE DU NOMBRE DE LEURS LEVÉES DE FONDS.
LE TICKET MOYEN LEVÉ PAR LES FEMMES SE RAPPROCHE DE PLUS EN PLUS DES TICKETS
MOYENS DU MARCHÉ.
CONTRE 14,5 %
EN 2017
LEVÉS EN MOYENNE
PAR LES FEMMES
CONTRE 6 M¤
PAR LES HOMMES
3,1M€
ALORS QUE LE NOMBRE DE LEVÉES DE FONDS DANS LA TECH EST EN LÉGÈRE DIMINUTION, LES MONTANTS LEVÉS PAR LES
FEMMES DIRIGEANTES AUGMENTENT DE 68 %. EN REVANCHE, LE RATIO DES LEVÉES DE FONDS FÉMININES PAR RAPPORT
À L’ENSEMBLE DU MARCHÉ NE PARVIENT PAS À DÉPASSER LE PLAFOND DE VERRE DES 15 %.
LEVÉS PAR LES FEMMES
SOIT 7,4 % DU MONTANT TOTAL
PROPORTION SIMILAIRE EN 2017
239M€
START-UP
ONT LEVÉ
DES FONDS
614
START-UP
ÉTAIENT DIRIGÉES
PAR DES FEMMES
77
CHIFFRES CLÉS
Les levées de fonds des start-up Tech dirigées
par des femmes en 2018
20%
PAR RAPPORT À 2017
UNE BAISSE DE
+68%
PAR RAPPORT À 2017
DE MANIÈRE GÉNÉRALE,
LES FEMMES ONT LEVÉ DAVANTAGE
DE FONDS EN 2018 QU’EN 2017
PARMI ELLES,
5. 4
5BAROMÈTRE STARTHER - KPMG
TOP 3
DES LEVÉES DE FONDS FÉMININES
15M€
55M€
20M€
Serial leveuses ?
11 sociétés figurant dans notre palmarès 2018, telles
que Lita, Skello et Surgivisio, ont déjà effectué une ou
plusieurs levées de fonds lors des années précédentes.
Les secteurs représentés à travers cet échantillon
démontrent une prépondérance des secteurs des logiciels
et du web (45 % chacun).
La palme de la régularité revient à Frichti qui accompagne
sa croissance de levées successives, témoins de son image
de marque auprès des investisseurs.
Il est frappant que, près de deux tiers des entreprises qui
lèvent à nouveau le fassent 24 mois après leur première
levée, et ce, en dépit des montants initiaux levés qui
apparaissaient moitié plus faibles en moyenne que les
montants levés au global.
Ces premières levées n’ont clairement pas handicapé le
développement des entreprises concernées et ont, sans
doute, permis une dilution plus tardive et plus mesurée
sur les tours ultérieurs.
F O C U S
Certains investisseurs
font la part belle aux
entreprises fondées
par des femmes
Si la plupart des principaux investisseurs en
nombre de deals reste dans la moyenne des
13 %, on peut souligner la belle performance
d’AngelSquare dont près de 28 % des deals
technologiques signés en 2018 concernaient des
entreprises fondées par des femmes.
Certains acteurs régionaux comme Creazur ou
Sofilaro frappent encore plus fort puisque respec-
tivement 100 % et 50 % de leurs sociétés financées
sont dirigées par des femmes.
Enfin, on remarque toujours de bons ratios auprès
des fonds composés de femmes partners, à l’instar
de Femmes Business Angels et Alter Equity.
Des exemples à suivre et à partager !
FOCUS
BPI FRANCE
KIMAVENTURE
TOP 3
DES INVESTISSEURS QUI FINANCENT DES
ENTREPRISES TECH DIRIGÉES PAR DES FEMMES
ANGEL SQUARE
6. LES LEVÉES DE FONDS DES START-UP TECH DIRIGÉES PAR DES FEMMES
PAROLES DE DIRIGEANTES
« Les femmes ont tendance à vouloir tout maîtriser avant de se jeter
à l’eau, or on n’a jamais 100 % des compétences suffisantes, on les
acquiert justement en développant son projet. Mon seul conseil
pour les femmes entrepreneures est de ne pas avoir peur d’être
un peu tête brûlée. »
CHARLOTTE CADÉ, CO-FONDATRICE DE SELENCY
« La 2e
levée de fonds était relativement plus simple que
la première grâce à l’expérience et aux moyens financiers
que nous avions et qui nous ont permis d'être accompagnées
par un conseiller. Durant notre premier tour, nous avons eu affaire
parfois à des hommes business angels qui nous prenaient pour
des décoratrices d'hôtels et s'arrêtaient à cela sans voir le côté tech
et disruptif de notre concept. »
STÉPHANIE MARQUEZ-BOUCETLA ET NATHALIE GRYNBAUM,
CO‑FONDATRICES DE MIHOTEL
« Malgré mon temps partagé entre mon entreprise et ma vie de
mère de famille, nous avons pu atteindre nos objectifs et faire
croître nos résultats de manière exponentielle. Cela a notamment
été rendu possible en privilégiant un apport qualitatif (productivité)
au détriment d’un apport quantitatif (investissement temps). »
FARIHA SHAH, CO-FONDATRICE DE GOLDEN BEES
« Il me semble que les femmes sont très pragmatiques, terre-à-terre
et ont plus de mal à se sur-vendre. Ceci explique peut-être qu'en
phase d'amorçage, où beaucoup de choses sont fondées sur la
capacité du fondateur à créer et vendre du rêve, les femmes lèvent
moins que les hommes. »
SOLANGE ARNAUD, FONDATRICE DE MEDOUCINE
7. BAROMÈTRE STARTHER - KPMG
6
7
LE NOMBRE DE 1er
ET 2e
TOURS AUGMENTE CHEZ LES FEMMES, FAISANT PASSER LA PART D’AMORÇAGE DE 84 % EN 2017 À 54 % EN
2018. CELA DÉMONTRE UNE CAPACITÉ DES ENTREPRISES FÉMININES À ENTRETENIR UNE DYNAMIQUE DE CROISSANCE SOUTENUE.
L’AUTRE BONNE SURPRISE EST LA RÉDUCTION DE L’ÉCART ENTRE LE TICKET MOYEN FÉMININ PAR RAPPORT AU TICKET GLOBAL
D’AMORÇAGE AU 2e
TOUR. LA TENDANCE VA MÊME JUSQU’À S’INVERSER AU 3e
TOUR, PUISQUE LE TICKET MOYEN FÉMININ EST
LÉGÈREMENT SUPÉRIEUR.
Tours de table
AMORÇAGE
LEVÉS EN MOYENNE
PAR LES FEMMES
750K€
TICKET MOYEN
GLOBAL :
850 K€
LEVÉS EN MOYENNE
PAR LES FEMMES
2e
TOUR
7,9M€
TICKET MOYEN
GLOBAL :
8,5 M€LEVÉS EN MOYENNE
PAR LES FEMMES
1er
TOUR
4M€
TICKET MOYEN
GLOBAL :
4,1 M€
IL EST IMPORTANT DE METTRE EN AVANT LE PARCOURS DE CES FEMMES QUI RÉUSSISSENT DURABLEMENT
DANS LA TECH AFIN DE CRÉER DES MODÈLES INSPIRANTS, VARIÉS ET DE CAPITALISER DESSUS POUR LES ANNÉES À VENIR.
DES LEVÉES DE FONDS
FÉMININES SONT
D’AMORÇAGE
54 %
DES LEVÉES DE FONDS
FÉMININES SONT
DES 1ers
TOURS24%
DES LEVÉES DE FONDS
FÉMININES SONT
DES 2e
TOURS12%
3%
DES LEVÉES DE FONDS
FÉMININES SONT
DES 4e
TOURS ET PLUS
4e
TOUR ET PLUS3e
TOUR
DES LEVÉES DE FONDS
FÉMININES SONT
DES 3e
TOURS ET PLUS3%
LE TICKET MOYEN FÉMININ AU 3e
TOUR EST DE 17,5M€ POUR LES FEMMES VS 17,3M€ POUR LE MARCHÉ.
1%
DES LEVÉES DE FONDS
FAITES PAR DES FEMMES
SONT DES IPO
8. LES LEVÉES DE FONDS DES START-UP TECH DIRIGÉES PAR DES FEMMES
RÉPARTITION SECTORIELLE
Percée dans les logiciels, confirmation dans la santé,
les dirigeantes de la tech rééquilibrent
leur portefeuille d’activité
WEB & E-COMMERCE,
E-SERVICES
34%
SANTÉ
23%
ÉLECTRONIQUE
& INFORMATIQUE
1%
LOGICIELS & SERVICES
INFORMATIQUES
34%
MATÉRIAUX, MATIÈRES
PREMIÈRES, ÉNERGIE
8%
En trois ans, la part des entreprises
qui ressortent du secteur des logiciels
a plus que triplé, passant de 11 à 34 %.
Ce secteur fait jeu égal avec celui du
web et des e-services et démontre que
les femmes réussissent dans tous les
secteurs technologiques, y compris
ceux dans lesquels leur poids reste
encore limité (moins de 15 % de
développeuses en 2017).
Dans le domaine de la santé, les
femmes maintiennent la proportion
de leurs projets en 2018 (23 % en
hausse d'un point). Cette stabilité
traduit l’ancrage d’une dynamique
féminine dans cet ensemble de
secteurs.40 %desétudiantsenuniver-
sité dans les domaines médicaux sont
des femmes et on constate à la fois
une augmentation des projets d’en-
treprises portés par des chercheuses,
et le recrutement de certaines pour
pérenniser de jeunes biotechs. Cette
tendance est proche de ce que l’on
a pu constater ces dernières années
dans des pays comme Israël, où les
femmes ont pris une place prépondé-
rante dans ce secteur.
Au total, et en dépit d’un faible
nombre de projets financés en élec-
tronique (mais ce n’est pas propre
aux femmes), nous assistons à un
rééquilibrage des différents secteurs
où se développe l’entreprenariat
féminin, qui montre bien qu’il n’y
a pas de logique naturelle inhérente
aux déséquilibres constatés.
0
20
40
60
80
100
9. 8
9
M É T H O D O L O G I E
Baromètre
StartHer - KPMG
Le baromètre recense les entreprises
françaises du secteur technologique dirigées ou
co‑dirigées par des femmes et ayant levé des
fonds d’investisseurs privés ou professionnels
au cours de l’année 2018. Il propose une
analyse comparée en matière de secteurs
d’activité et de niveau de tour de table.
Échantillon composé de 766 start-up
françaises du secteur technologique.
10. LES LEVÉES DE FONDS DES START-UP TECH DIRIGÉES PAR DES FEMMES
FINANCER
DISPOSITIFS PUBLICS
Analysedel’éligibilitéetassistance
à la formalisation des dossiers
DISPOSITIFS FISCAUX
Analyse de l’éligibilité, chiffrage
et suivi annuel
LEVÉE DE FONDS
Préparation de l’equity story,
accompagnement de l’opération
à tous les stades de maturité
INTRODUCTION EN BOURSE/IPO
Étude de faisabilité, assistance
stratégique et opérationnelle
Des services sur-mesure adaptés à vos enjeux
KPMG accompagne
les entreprises de croissance
sur l’ensemble de leurs
problématiques, tout au long
de leur cycle de vie.
«
»
PILOTER & REPORTER
RÉVISION COMPTABLE
Production de documents
comptables et fiscaux
AUDIT FINANCIER
Revue et certification comptable
EXTERNALISER
GESTION FINANCIÈRE & COMPTABLE
Tenue comptable, consolida-
tion, DAF/contrôle de gestion et
tableau de bord
GESTION SOCIALE
Services relatifs à la paie
et au recrutement/gestion des
entrées et sorties de salariés
Aux côtés des entreprises de croissance
Leader de l’audit, du conseil et de l’expertise-comptable,
KPMG France est membre de KPMG International,
réseau de cabinets indépendants de près de 210 000
professionnels, exerçant dans plus de 150 pays.
En France, nos 9 600 collaborateurs interviennent auprès
des grands groupes français et internationaux, des ETI et
des groupes familiaux, ou encore des PME/TPE et des
start-up, dans tous les secteurs d’activité.
Partenaire privilégié de leur développement, KPMG
accompagne les start-up/scale-up sur l’ensemble de
leurs problématiques financières, comptables, sociales,
fiscales et juridiques tout au long de leur cycle de vie.
S’appuyant sur une connaissance approfondie de l’éco-
système d’innovation national et régional, les équipes
spécialisées de KPMG mettent à la disposition des entre-
prises de croissance une large gamme de compétences.
11. 8
9
10
11BAROMÈTRE STARTHER - KPMG
StartHer est une association qui
fédère et agit pour construire un
écosystème technologique plus
inclusif. Ses actions visent à donner
plus de visibilité aux femmes
entrepreneures qui font la Tech, à
susciter des vocations et à encourager
l’entrepreneuriat féminin à travers
des événements, des partenariats,
du contenu, de la mise en réseau
et des programmes d’éducation.
StartHer intègre les hommes dans la
discussion et l’action. Elle s’adresse
à tous les acteurs de l’écosystème
technologique.
StartHer rassemble une commu-
nauté de 2 000 personnes actives et
anime un réseau de 30 000 hommes
et femmes de l’écosystème technolo-
gique français et européen.
Depuis la création de l’association, la
communauté s’est réunie autour de
plus d’une centaine d’événements et
de projets – dont les StartHer Acadé-
mies, un programme d’éducation
à l’entrepreneuriat et aux nouvelles
technologies dans les collèges ; des
rencontres thématiques avec des
femmes emblématiques ; le Baro-
mètre StartHer - KPMG et la liste
annuelle des 10 femmes à suivre
StartHer et les StartHer Awards,
compétition européenne de start-up
dirigées par des femmes.
Afin d’encourager plus de femmes
à entreprendre dans la Tech,
StartHer s’applique à mettre en
lumière des succès féminins de la
Tech française et internationale. De
nombreux talents, comme Marie
Ekeland (investisseur de Criteo,
co-fondatrice de Daphni), Clara
Gaymard (co-fondatrice de Raise),
Maud Bailly (CDO d'Accor Hotels),
Fany Pechiodat (co-fondatrice de
MyLittleParis), Céline Lazorthes
(fondatrice de Leetchi/Mangopay),
Sheryl Sandberg (COO de
Facebook), ont soutenu StartHer.
StartHer s’emploie aussi à dénicher
les talents féminins de demain.
Depuis 2014, l’association publie une
liste des 10 femmes à suivre, parmi
lesquelles Julie Chapon (Yuka),
Sophie Viger (Ecole 42), Agathe
Wautier (Galion Project), Stéphanie
Hospital (OneRagTime), Joséphine
Goube (Techfugees), Clémence
Franc (Novagray), Julia Bijaoui
(Frichti), Rachel Delacour (Bime).
StartHer anime un réseau
de 30 000 hommes et femmes
de l’écosystème technologique
français et européen.
«
»
Construire une Tech plus inclusive