3. Méthodologie
• Une étude qualitative réalisée par Treize articles
Deux réunions de groupe de 7 personnes pendant 3h réalisée les 26 et 27 février 2014 à Paris
Groupe 1 :
• Des lecteurs lisant au moins 4 livres par mois
• De grands lecteurs de littérature sur format papier
et numérique
• Des lecteurs lisant sur liseuse, tablette ou
smartphone
• Hommes et femmes mélangés
• Agées de 18 et plus
• CSP+
Groupe 2
• Des lecteurs lisant entre 2 et 3 livres par mois
• Des lecteurs de littérature sous format papier et
numérique
• Des lecteurs lisant sur tablette ou smartphone
• Hommes et femmes mélangés
• Agées de 18 et plus
• CSP+
3
Etude pour
4. Méthodologie
• Une étude quantitative réalisée par OpinionWay
• Etude réalisée auprès d’un échantillon de 1004 personnes, représentatif de la
population française âgée de 18 ans et plus.
• Echantillon constitué selon la méthode des quotas, au regard des critères de sexe, d’âge,
de catégorie socioprofessionnelle, de catégorie d’agglomération et de région de
résidence.
• Pour cette taille d’échantillon, la marge d’incertitude est de 2 à 3 points
• Echantillon interrogé par internet sur système CAWI (Computer Assistance for Web
Interview)
• Le terrain a été réalisé du 5 au 6 mars 2014
• OpinionWay a réalisé cette enquête en appliquant les procédures et règles de la
norme ISO 20252
4
Etude pour
6. Les droits du lecteur
et les devoirs du livre numérique
« Le livre reste un livre »
Pour les personnes interrogées, « un livre reste un livre ». Numérique ou papier, il ouvre sur trois
dimensions constitutives d’un objet culturel ou artistique par excellence : l’évasion (escapism), la
découverte (discovery) et le savoir (knowledge).
Spontanément, le paradigme « physique » reste très prégnant : autant dans sa dimension
patrimoniale (la collection, la bibliothèque…) que dans ses attributs sensoriels (la couverture, le
toucher, l’odeur, le poids…)
Le livre possède une puissante dimension sociale. En aval, il constitue un vecteur de socialisation en
tant que support identitaire et relationnel fort (le don, le partage, l’affinité…) tout en étant lui-même, en
aval, la résultante d’une alchimie sociale (la rencontre entre un auteur, un éditeur, un libraire, des
critiques…)
6
Etude pour
7. Les droits du lecteur
et les devoirs du livre numérique
Un imaginaire de complémentarité
Le e-book est perçue par une large majorité comme un support complémentaire au support papier
(76%) plutôt qu’en substitution (24%).
Le livre numérique gagne en praticité ce qu’il perd en sensation. Et si son avenir semble assuré, il est
encore à la recherche de ses marques auprès des consommateurs à la fois sur le plan de la
plateforme technique, de l’offre commerciale et de l’ergonomie. Il semble être pris entre deux défauts
antipodiques : la trop grande fermeture des espaces propriétaires et l’ouverture tous azimuts de l’offre
pléthorique et peu lisible.
Le risque perçu par rapport au numérique est celui d’une perte notamment en termes d’ouverture,
d’accessibilité et de sociabilité.
Les lecteurs plébiscitent de nouvelles formules qui permettraient un accès simple et universel au livre
numérique : celui qui précisément mettrait en valeur dans l’espace numérique, les avantages
reconnus du livre en tant qu’objet à savoir sa dimension d’accessibilité et de partage.
Etude pour 7
8. Les droits du lecteur
et les devoirs du livre numérique
Rétablir les droits du lecteur
À travers le système MO3T, les lecteurs plébiscitent justement une approche qui confère au livre
numérique toute sa dimension sociale et culturelle :
• Le droit d’accès au livre quel que soit le support et celui qui le distribue renvoie à l’idée de
« livre universel ».
• Le droit permet d’imaginer la construction d’une bibliothèque infinie libérée de tout système
fermé.
• Le droit de partager librement avec ses proches et sa famille répond à une pratique rependue
et importante.
• Le droit de bénéficier des conseils du libraire : car celui-ci en continuant de commercialiser
aussi les livres numériques conserve sa place de conseil tout en évitant la tentation du
« showrooming ».
• Le livre se réinscrit ainsi dans le quotidien de foyers connectés hébergeant de nombreux
écrans.
Etude pour 8
10. Le livre, instrument culturel par excellence
• Pour les lecteurs interrogées, le livre porte trois promesses principales
Liberté, évasion,
détente, rêve,
imagination
Découverte,
projection
Instruction,
savoirs,
réflexion
« Détente »
« L’évasion »
« Le plaisir »
« On se plonge dans un nouveau monde »
« Imaginaire »
« On apprend beaucoup de chose »
« Grammaire, orthographe »
« Connaissances, savoirs »
« Bon temps »
« Excitation »
« On voyage sans prendre l’avion »
Etude pour 10
11. Spontanément, le livre reste un objet
• Les dimensions physiques du livre renvoient à une idée patrimoniale
Volumes, encombrement, poids
•« Ca prend de la place »
•« Ca pèse ! »
•« Volume »
•« Poids »
•« Encombrement »
•« Plein de cartons »
La bibliothèque, son organisation
•« Il est sous nos yeux dans la bibliothèque »
•« Chacun a son organisation »
•« Ca me manquerait de ne plus avoir de
bibliothèque »
•« Une bibliothèque, c’est un souvenir de tout ce
qu’on a lu »
Illustrations, photos, tableaux
•« La couverture, c’est la première approche »
•« On reconnait le livre à distance avec le visuel
même si on ne voit pas le titre »
•« On peut aussi faire le lien avec la créa d’une
collection. On voit les NRF »
Les collections, essais, romans, livres
jeunesse
•« Il y a aussi les beaux livres »
•« J’ai une très belle collection de Zola »
•« Le Club des cinq, tout le monde s’en souvient »
•« Les livres historiques »
• « Il y a la Pléiade »
L’ancienneté, livres anciens, date de l’édition
•« Il y aussi les livres anciens »
•« Il y aussi la date de l’édition qui compte »
•« J’ai de très beaux livres de mon grand-père
auxquels je tiens »
11
Etude pour
12. La dimension physique du livre procure
une expérience sensorielle
• Le livre s’apprécie également par la nature sensorielle de la relation
qu’il installe avec son lecteur
La reliure, le papier, la typographie,
l’imprimerie, la dédicace
• « Ca peut être quelqu’un qui nous l’a offert et qui
a écrit un mot dedans »
La couverture, l’image, la 4ème de couverture
• « Si l’image et le titre me plaisent, je peux acheter
le livre »
Le marque page, les pages comme moyen
d’avancer dans l’histoire
• « Le fait de physiquement tourner la page »
L’odeur, le toucher, le format, la couleur
• « On a l’odeur qui nous rappelle des souvenirs »
Etude pour 12
13. Le livre participe de la relation aux autres
• Dans une dimension affective ou
sociale le livre est un support
identitaire et relationnel fort. Il permet
l’échange.
• Les professionnels de l’édition
nourrissent ces échanges de leurs
expertises
Le don, le cadeau, la transmission, le
partage
« On transmet une émotion, une histoire »
« C’est contagieux »
Le prêt, l’emprunt, l’affinité,
la recommandation, le conseil
« On peut recommander un livre à des
collègues »
« On fait confiance aux amis qui aiment la
même chose que nous »
L’auteur, l’éditeur, le libraire, le critique,
prix.. l’expert
« Il y a aussi le travail de l’éditeur qui a
sélectionné les livres »
« Mon libraire me connait et je lui fais
confiance »
13
Etude pour
14. Une cohabitation naturelle
entre le livre numérique et le livre imprimé sur papier
14
Q : Selon vous, à terme, le livre numérique viendra :… ?
76%
24%
En complément du livre
imprimé sur papier
Se substituer au livre
imprimé sur papier
Sexe Âge Région Statut
Lecture de livres
numériques
TOTAL Homme Femme
18-24
ans
25-34
ans
35-49
ans
50-64
ans
65 ans
et plus
Région
Parisienne
Province CSP+ CSP- Inactifs A déjà lu
N’a jamais
lu
En complément du livre
imprimé sur papier
76% 74% 77% 65% 74% 75% 77% 82% 66% 78% 79% 71% 76% 74% 77%
Se substituer au livre
imprimé sur papier
24% 25% 23% 35% 25% 24% 23% 18% 33% 22% 21% 28% 23% 26% 23%
Etude pour
16. Le livre numérique :
la praticité comme promesse principale
• En se dématérialisant, le livre gagne en praticité et en accessibilité
ce qu’il perd en sensations.
Transportable, légèreté, voyages,
la quantité, bibliothèque
•« Pratique »
•« On a une bibliothèque dans la poche »
•« Ca évite de porter des bouquins dans son
sac »
Variété des supports, tablettes,
liseuses, smartphones
•« Je lis sur ma tablette avec les applis Kobo
et Kindle »
•« Je lis sur ma liseuse Kobo »
•« Je lis sur mon smartphone aussi »
Le prix, les classiques gratuits
•« Il y a tous les classiques gratuits et je ne
lis que ça »
•« Tu as tout Maupassant pour 1,99€ »
•« Il y a plein de livres gratuits et moins chers
que les poches »
La lecture dans l’obscurité
•« On peut lire dans l’obscurité sans gêner
l’autre »
•« Ma liseuse est rétroéclairée et je peux lire
dans le noir dans le lit »
L’achat en 1 clic, la simplicité,
les livres disponibles 24/24
•« On a accès à tout quand on veut »
•« On peut avoir des livres en anglais sans
aller dans une librairie anglaise »
•« C’est H24 et 7j/7 si on veut lire le Tome 2 »
Des fonctionnalités additionnelles :
notation, dictionnaire, lecture à deux
•« Il y a le dictionnaire intégré »
• « On peut avoir des infos sur le
personnage »
•« On appuie sur un mot et on peut avoir des
infos »
Etude pour 16
17. Le livre numérique reste un objet en devenir
• Si son avenir semble assuré, le livre numérique doit encore trouver ses marques vis-à-vis
de ses lecteurs : plateforme technique, offre commerciale et ergonomie.
Les liseuses enferment dans des univers propriétaires,
des catalogues limités au choix proposés par un distributeur
Et paradoxalement une offre pléthorique dans laquelle on manque de repères
L’avantage de la tablette ou du smartphone est de disposer de toutes les
applications liseuses
Des problème d’ergonomie : affichage en noir et blanc pour les liseuses,
navigation parfois malaisée selon les logiciels, fatigue oculaire sur les
écrans de tablette et de smartphone.
Le smartphone et la tablette peuvent être des objets de convoitise dans les
transports publics contrairement à la liseuse
La limites de la batterie pour les smartphones et les tablettes
« Les nouveaux livres ne paraissent pas en numérique »
« La FNAC va proposer les livres qu’elle veut »
« Il y a beaucoup de déchet avec les moteurs de recherche »
« Sur ma tablette, je peux avoir différentes appli :
Kobo, Kindle, Relay H, Numilog, etc »
« Sur la liseuse, on perd souvent sa page »
« Sur la liseuse, c’est compliqué d’avancer et de revenir en
arrière »
« Lire, ça use trop vite la batterie de la tablette »
« Je ne sors pas ma tablette dans le métro, trop peur de se le
faire piquer »
Etude pour 17
18. La valeur du livre numérique
reste encore à construire
• Des usages autour du livre numérique doivent encore être inventés
pour que le livre conserve toute sa valeur lorsqu’il devient numérique.
Le livre numérique peut être zappé s’il déçoit
Une accumulation immatérielle qui ne permet pas
« l’exhibition » de sa bibliothèque
Des possibilités de partage ou de transmission limitées
Un univers naturellement comparé à celui de la musique:
une logique d’abonnement et non une logique d’achat
« C’est plus simple de le jeter »
« S’il ne plait pas les 10 premières pages,
on s’arrête puis on en prend un autre »
« Ma bibliothèque, c’est une fierté et je ne peux pas la montrer »
« Il y a des gens qui arrivent à donner leurs fichiers
mais je ne sais pas comment on fait »
« Le fait qu’on ne puisse pas partager un livre numérique,
ca limite la diffusion »
« C’est bien l’abonnement comme pour la musique »
Etude pour 18
20. Q : Lorsque vous choisissez un livre pour vous,
vous faites d'abord confiance :... ?1004
individus
Prescripteur privilégié pour choisir un livre
30%
18%
16%
14%
7%
14%
1%
A vos proches
A votre libraire, à un libraire
Aux journalistes spécialisés et aux critiques
littéraires
Aux avis de lecteurs dans les forums, sur les
sites de vente en ligne
Aux suggestions des sites de vente en ligne
Autres (4e de couverture, intuition/hasard,
auteurs, genre de prédilection,...)
Ne se prononce pas
Etude pour
20
21. Q : Lorsque vous choisissez un livre pour vous, vous faites d'abord confiance... :
1004
individus
Prescripteur privilégié pour choisir un livre
Sexe Âge Région Statut
TOTAL Homme Femme
18-24
ans
25-34
ans
35-49
ans
50-64
ans
65 ans
et plus
Région
Parisienne
Province CSP+ CSP- Inactifs
A vos proches 30% 31% 29% 40% 33% 33% 25% 23% 30% 29% 32% 32% 26%
A votre libraire, à un libraire 18% 17% 18% 17% 13% 16% 21% 20% 20% 17% 15% 17% 20%
Aux journalistes spécialisés
et aux critiques littéraires 16% 16% 16% 14% 10% 8% 18% 31% 14% 17% 16% 13% 19%
Aux avis de lecteurs
dans les forums, sur
les sites de vente en ligne
14% 12% 16% 15% 18% 17% 15% 5% 15% 14% 16% 15% 12%
Aux suggestions
des sites de vente en ligne 7% 8% 7% 7% 16% 8% 5% 5% 7% 8% 7% 11% 5%
Lecture de livres
numériques
A déjà lu N’a jamais lu
26% 31%
13% 19%
17% 16%
21% 11%
10% 7%
Etude pour
21
22. Les rôles spécifiques du libraire et du critique
• Deux professionnels de l’édition jouent un rôle majeur auprès des lecteurs :
Etude pour 22
« L’avantage de la librairie, c’est la vue d’ensemble.
On regarde, on feuillette, on lit quelques pages… »
« Si vous connaissez bien le libraire, vous pouvez
en parler avec lui et il vous conseille des livres »
« C’est bien quand il y a des événements dans les librairies »
« On a des auteurs qui viennent dans les librairies
et on peut discuter avec eux »
« Je me laisse aussi tenter par une critique dans
Télérama ou les journaux »
« Je fais attention à ce qui sort et aux prix littéraires »
Le libraire pour le conseil, l’orientation,
la découverte
• Les coups de cœur des libraires, la possibilité de feuilleter
les livres, aller vers autre chose, parler des livres
• La librairie comme lieux événementiel lorsqu'elle propose
des expositions, des dédicaces, des ateliers… et devient un
lieu de loisir.
Le journaliste et le critique littéraire
qui permettent eux aussi la découverte
et initient l’envie
• Les prix littéraires et leur couverture médiatique participent
de cette visibilité du livre
24. MO3T : qualités perçues
• Le projet MO3T semble répondre à toutes les attentes des lecteurs
à tel point qu’ils en parlent comme d’une utopie :
Jugements recueillis sur la base d’un film
de démonstration réalisé par Orange
Etude pour 24
Le droit d’accès au livre quelque soit le support et celui qui le distribue
renvoie à l’idée de « livre universel ».
Ce droit permet d’imaginer la construction d’une bibliothèque infinie
libérée de tout système fermé.
Le droit de partager librement avec ses proches et sa famille répond
à une pratique rependue et importante.
Le livre se réinscrit ainsi dans le quotidien de foyers connectés
hébergeant de nombreux écrans.
« Ca respecte le caractère universel du livre »
« C’est l’ouverture sur le monde, l’idée d’avoir accès
à une bibliothèque infinie »
« J’ai le droit de partager et c’est facile »
« C’est bien, on paye avec son smartphone »
« On peut le louer un mois et c’est bien »
« J’aime bien l’idée qu’on puisse l’offrir »
25. MO3T : questions en suspend
Etude pour 25
Les modalités d’acquisitions
• Les modalités d’acquisition des livres numériques
semblent aujourd’hui se limiter à l’achat à l’unité même
si la formule de l’abonnement séduit les grands
lecteurs.
L’accès à la plateforme
• Pour tous, le dispositif technique devrait être proposé
gratuitement et sa rémunération assurée par la vente
des livres.
« Il faut que l’appli soit gratuite puis on paie un
forfait par mois sur un volume de livres »
« C’est bien l’abonnement »
« On a ensuite un forfait en fonction des lecteurs, du
volume de livres souhaité »
26. Q : Si l'on devait imaginer le livre numérique idéal,
parmi les éléments suivants quel serait l'aspect le plus important ?1004
individus
Portrait robot du livre numérique idéal
55%
47%
32%
32%
16%
14%
1%
32%
22%
16%
15%
6%
8%
Que son format soit compatible avec tous les modèles de
tablette, tous les supports (tablette, liseuse, ordinateur,
Smartphone)
Pouvoir le transférer à un ami comme on l'aurait fait avec un
livre imprimé
Pouvoir l'acheter aussi bien dans une librairie sur les conseils
d'un libraire que depuis chez soi
Pouvoir le retrouver facilement dans sa bibliothèque virtuelle
Qu'il apporte du contenu multimédia, des liens vers du
contenu multimédia
Que l'on puisse surligner, faire des annotations dessus
Ne se prononce pas
%En premier % Cumulé
Etude pour
26
27. Sexe Âge Région Statut
Lecture de livres
numériques
En premier ? TOTAL Homme Femme
18-24
ans
25-34
ans
35-49
ans
50-64
ans
65 ans
et plus
Région
Parisienne
Province CSP+ CSP- Inactifs A déjà lu
N’a jamais
lu
Que son format soit compatible
avec tous les modèles de tablette,
tous les supports
32% 34% 30% 31% 29% 34% 33% 30% 34% 31% 33% 32% 31% 41% 29%
Pouvoir le transférer à un ami
comme on l'aurait fait avec un livre
imprimé
22% 22% 21% 32% 21% 19% 20% 22% 23% 21% 23% 20% 22% 22% 21%
Pouvoir l'acheter aussi bien dans
une librairie sur les conseils d'un
libraire que depuis chez soi
16% 17% 16% 13% 14% 18% 18% 17% 15% 17% 14% 16% 19% 13% 18%
Pouvoir le retrouver facilement
dans sa bibliothèque virtuelle 15% 13% 16% 8% 20% 13% 14% 16% 13% 15% 15% 17% 12% 11% 16%
Que l'on puisse surligner, faire des
annotations dessus 8% 6% 9% 10% 9% 7% 7% 7% 7% 8% 7% 8% 7% 6% 8%
Qu'il apporte du contenu
multimédia, des liens vers du
contenu multimédia
6% 7% 6% 6% 6% 8% 6% 6% 6% 7% 7% 5% 7% 7% 6%
Q : Si l'on devait imaginer le livre numérique idéal,
parmi les éléments suivants quel serait l'aspect le plus important ?1004
individus
Etude pour
Portrait robot du livre numérique idéal
27