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Jhm mag 13 07-14 27974

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  1. 1. 3 Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014 S ommaireommaire La citation du dimancheLa citation du dimancheLa citation du dimanche A lire cette semaine...A lire cette semaine...A lire cette semaine... 4- Solidarité Vaccination à Madagascar DIRECTEUR DE PUBLICATION - Le Journal de la Haute-Marne - Jean BLETNER 8- Passion Des souvenirs et des bus 12- Automobile Une Fiat grand large 14- Il y a dix ans en Haute-Marne 16- Dans ma bibliothèque Le coup de coeur de Gil 19- Coin de table Ma menthe sous toutes ses formes 20- A la carte en Haute-Marne 27- Multimedia Saints Row IV 8 Dans votre MAG cette semaine... Entre deux contemporaines lectures du magazine numé- rique JHM +, Guide du chineur en poche, petits et grands auront l’occasion de s’imprégner des charmes d’autrefois dans le cadre de l’animation estivale Chinez chez nous ! lancée par le Jour- nal de la Haute-Marne. Chaque semaine, nos experts vous proposeront de dénicher à moindre coût un objet trônant au beau milieu des étals et allées des vide-greniers et brocantes organisés dans le département. Manifestement habités du patriotisme économique cher à Arnaud Monte- bourg, nos experts vous proposent cette semaine de dénicher un objet Made in France datant des fifties et sixties. A vous de jouer ! A mille lieues des charmes d’une Haute-Marne abondante, Caroline Crépin vous transporte à Madagascar. Prisée de nombreux touristes, cette île souffre de mille maux comme en témoigne une espérance de vie plafonnant à 64 ans. Chaque année, des centaines de milliers de nou- veaux nés, enfants et adolescents décèdent pré- maturément faute de soins appropriés. A l’image du docteur Mélin, des hommes et des femmes apportent soutien et expertise à une population démunie. Des centaines de Haut-Marnais patien- teront aux Urgences ce dimanche. Des centaines de Malgaches décèderont sans avoir avoir eu accès au moindre soin... Particulièrement exposés aux maladies cardio- vasculaires et douleurs dorsales, les chauffeurs des Autobus langrois auront au fil des décennies profité d’une juste prise en charge. Passionné, Pascal Louet conserve précieusement les souve- nirs d’une épopée familiale. Des dizaines de mil- liers de Haut-Marnais auront découvert France et autres terres installés dans PCK 7 D Faurax et Chaussende et autocars d’un autre temps. Les estivants du nouveau siècle préfèrent le confort moderne d’une Fiat 500 de beau gaba- rit. Les glaçons de menthe fraîche sont à bonne température, GIL médaille Field et Victor est au chevet de vos jardins... Tutto va bene. Bon dimanche ! Thomas Bougueliane Chinez chez nous ! Chez vous ! L’amour, c’est comme la brocante. C’est dans la remise qu’on fait les meilleures affaires. Simon Berryer, alias Sim 18 - Chinez chez nous Le jeu estival du JHM débute dés aujourd’hui dans les brocantes et vide-greniers haut-marnais.
  2. 2. 4 Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014 S olidarité «Les différentes compétences des membres d’Amsolid tant sur l’éducatif que sur le social et la santé ont permis de faire évoluer et de mener à bien ce projet débuté en 2011, explique Chris- tian Huard, président d’Amsolid Nord. Deux ans ont été nécessaires pour peaufiner cette cam- pagne de vaccinations et réfléchir aux finan- cements possibles. Un voyage en mars 2013 a permis de mettre en commun le travail des par- tenaires Nord et Sud. Il a été décidé d’organi- ser une campagne d’information pour tous les élèves, ainsi que des Tests rapides d’orientation diagnostic (TROD) avant de proposer une vac- cination. Nous avions tous beaucoup de craintes tant sur l’organisation pratico pratique que sur le déroulement de cette opération. La crainte majeure était : combien allions-nous avoir de résultats positifs chez les enfants et comment allions-nous gérer cette situation ?» ... Un projet “hépato épatant” à Madagascar Porté par les associations Amsolid Nord et Sud, le projet d’organiser une campagne de dépistage et de vaccination contre l’hépatite B dans le collège de Antananarivo de Madagascar, a vu le jour il y a près de deux ans, à l’initiative de l’un des membres, le Docteur Pascal Mélin, médecin au centre hospitalier de Saint-Dizier. Cette maladie reste très présente sur l’île rouge.
  3. 3. Chacun mobilise alors ses forces, ses compé- tences. Après la signature d’une convention avec SOS hépatites, l’équipe s’est consacrée à la recherche de budget, tout en formant les fu- turs militants qui allaient faire des TROD une fois sur place. De nombreux partenaires ont été contactés, dont les ministères de la Santé et de l’Education qui, tous deux, ont validé et ratifié ce projet. En octobre 2013, toutes les démarches admi- nistratives sont abouties et le projet peut enfin entrer dans sa phase concrète : treize membres de l’association ancervilloise s’envolent vers l’île de l’océan indien et procèdent aux premiers tests. «De par le travail de réflexion important fourni par l’équipe d’Amsolid Sud, les pédago- gues du collège 67 Ha et par nous mêmes, Amso- lid nord, le déroulement de l’action a été plus que positif, constate Christian Huard. Les pro- positions des uns et des autres ont pu être prises en considération, permettant à chacun de trou- ver sa place dans ce projet. La mise en place de binômes franco-malgache s’est avérée être une expérience riche pour tous et nécessaire pour rassurer les enfants mais aussi les adultes que nous sommes. Plus de 400 jeunes filles de 6e, 5e et 4e ont ainsi pu être dépistées et vaccinées durant cette campagne.» Caroline Crépin Informer, former et dépisterLes enseignants du collège des 67 hectares ont pu, grâce aux données fournies par SOS hépatites France dont Pascal Mélin est le président, préparer et informer les élèves à cette action. Celui- ci témoigne : «En entrant dans le collège, nous avons observé des affiches d’information sur l’importance de l’hygiène dans la lutte contre les infections ainsi que des affiches créées à partir de nos documents. Mais les élèves ont également produit leurs propres affiches avec leurs propres mes- sages et là nous découvrons que, dans les modes de protection cités contre l’hépatite B, figure l’abstinence !» Devant le faible nombre de vaccins obtenus (500), l’équipe a décidé de recentrer son action et de ne faire un test qu’aux filles. Car en cas de test négatif, elles seront alors accompagnées vers une vaccination immédiate avec l’assurance de pouvoir ainsi protéger également les futurs bébés qu’elles porteront. Dans cette décision, il n’y avait pas la de volonté de sexisme, mais simplement d’optimisation. 5Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014 Chacun mobilise alors ses forces, ses compé- positions des uns et des autres ont pu être prises «Une action positive» «Je sais aujourd’hui que notre message est vivant et que les enfants le transmettront», souligne le Dr Mélin. Amsolid, la solidarité au service de l’amitié L’association Amsolid est une association bicéphale avec une représentation Nord, en France et une équipe dans le Sud, à Mada- gascar. Cette association s’inscrit dans des projets en lien avec le collège 67 hectares d’Antananarivo (ou Tana), la capitale, depuis 2007. Initiés en 2004 à la suite d’un premier envoi, par container, de matériel pédago- gique et informatique, des échanges entre le collège malgache et le collège Emilie-Carles de Ancerville se mettent en place, soutenus par l’association de parents d’élèves de l’éta- blissement ancervillois et l’ancien principal, George Voirnesson. Différents projets ont été réalisés comme la création et l’ouverture d’une infirmerie sur le CEG, la réfection des sanitaires ainsi que le réseau d’assainisse- ment. En 2010, le collège malgache crée sa propre association Amsolid 67 hectares pour renforcer le travail de partenariat.SOS hépatites et Amsolid volent au secours d’une génération sacrifiée face à l’hépatite.
  4. 4. 6 Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014 S olidarité Le collège 67 hectares «SOS hépatites ne se contentera plus de dénon- cer, maintenant nous agirons, avec nos faibles moyens, mais nous agirons», clame le docteur Mélin. Depuis toujours SOS hépatites réclame la vaccination universelle contre l’hépatite B dans tous les pays et ce dès la naissance. Pour le gouvernement malgache, la priorité sanitaire reste la lutte contre le paludisme qui est toujours présent en 2013. Lors de l’appel de Madagascar (il y a deux ans), l’état des lieux avait montré que même dans les pays où la vaccination contre l’hépatite B était réalisée, elle intervenait le plus souvent à six mois et donc trop tard par rapport à l’exposition des nourrissons et à leur risque de contamination par leur mère, si ces dernières étaient infectées. Avec 0,3 % de la population infectée par le VIH, Madagascar se situe dans la fourchette basse des pays africains, pour au- tant de nombreuses actions sont menées via les ONG. Mais qui parle des 10 à 20 % de la population infectée par le virus de l’hépatite B et des mil- liers de morts silencieux ? «Je rêve d’une stèle à leur mémoire», souligne le docteur Mélin. Une population frappée de plein fouet Madagascar est une île intéressante d’un point de vue épidémiologique : les conditions socio- économiques se sont dégradées depuis quelques années, 45 % de la population a moins de 15 ans et l’on estime à 2,3 millions la proportion de personnes infectées par l’hépatite B sur 22 millions d’habitants (la population a été multipliée par 5 en 50 ans mais l’espérance de vie ne dépasse pas 60 ans), avec une prévalence variant de 5 % à 35 % selon les régions. Pourtant, l’existence de dispensaires a permis de maintenir un taux de couver- ture de la vaccination proche de 90 %.Alors qu’en 1992, l’OMS avait demandé que la vaccination contre l’hépatite B puisse se généraliser à Madagascar, en 2012, 20 ans après, l’état malgache a recommandé la vaccination contre l’hépatite B à partir de six semaines mais la gra- tuité n’est pas de mise. Malheureusement, les moyens n’étant pas au rendez-vous, bon nombre de nourrissons ne sont pas vaccinés et les adolescents qui vont entrer en sexualité vont mener leur vie d’adulte en jouant à la roulette russe avec l’hépatite B ; de plus, les jeunes femmes qui se contamineront et déclareront une maladie chronique contamineront probablement leurs enfants. Le collège 67 hectares de Tana à Madagascar est un CEG exceptionnel. Il est situé dans un quar- tier que nous qualifierions de sensible en France. En 2013-2014, il accueille plus de 1900 enfants de la 6e à la 3e et son équipe pédagogique a dû refuser des inscriptions faute de places et de moyens. A Madagascar, tous les enfants d’une même école ont le même tablier et dans la cour de l’école flotte le drapeau na- tional. Les élèves sont de 45 à 55 par classe et la dis- cipline est par- ticulièrement de rigueur. Pascal Mélin s’étonne : «Lorsque vous entrez dans une classe, les élèves se lèvent et d’une même voix déclament : “Bonjour monsieur”. Ce n’est tellement plus ou pas dans nos habi- tudes que lorsque vous rentrez dans une telle classe, vous ne vous rendez pas compte que ce “bonjour” vous est destiné. Chaque classe est constituée de bancs en bois, d’un tableau noir, d’une seule ampoule au plafond sans prise de courant. De plus, les élèves assurent à tour de rôle l’entretien des locaux et des sanitaires ainsi que de la cour principale.»Les affiches informatives, support primordial de la campagne. Le combat de SOS Hépatites
  5. 5. 7Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014 Quand Pascal Mélin a rencontré les infirmières locales pour les intégrer au projet, il n’imaginait pas découvrir qu’elles n’avaient jamais été ni dépistées, ni vaccinées. «En France, tous les professionnels de santé (entre autres) ont l’obligation d’être vaccinés. Mais ici à Madagascar, cela reste une recom- mandation, un luxe que bon nombre ne peuvent se permettre de réaliser, souligne le médecin. Une dose de vaccin contre l’hépatite B repré- sente la valeur d’une semaine du travail d’un ouvrier. Dans le cadre d’un projet de dévelop- pement durable, il était juste inacceptable d’en- voyer ces jeunes femmes face à la contamina- tion possible alors que des vaccins existent.» L’Eat accepte de vacciner ses nourrissons mais abandonne ses professionnels de santé les lais- sant jouer à la roulette russe en prodiguant des soins de première urgence. Et si, par malheur, une infirmière se contaminait, n’y aurait-il pas meilleur vecteur de contamination secondaire via les soins ? Sans aucune hésitation, l’équipe humanitaire a pris quelques lots de vaccins pour protéger les infirmières en leur proposant au pré- alable de les dépister pour voir si le pire n’était pas arrivé... L’opération a commencé par une première ren- contre entre le Dr Mélin, assisté de Monique, militante et présidente d’Amsolid sud, et tous les élèves, classe par classe, permettant une “forma- tion-information” avec un quiz de sept questions sur leurs représentations de l’hépatite B, un dia- porama sur l’épidémie d’hépatite B et une pré- sentation des TROD. «Nous avions convenu que je faisais mon intervention en français (que tous les élèves comprennent) et qu’ensuite Monique reprenait en malgache, explique Pascal Mélin. J’ai compris alors rapidement que notre binôme était une vraie valeur ajoutée et Monique, un vrai clown qui savait traduire mes propos en parler vrai avec les enfants qui éclataient tou- jours de rire en l’écoutant. C’est ainsi qu’elle expliquait qu’il y avait un premier petit “pic” pour récupérer trois gouttes de sang et savoir si le corps hébergeait le virus de l’hépatite B. Puis il fallait ensuite vacciner ce qu’elle mimait par pic pic pic. Trois piqûres pour une protection à vie. Les enfants éclataient de rire devant ce clown sanitaire qu’ils nommaient madame pic- pic. Ils repartaient heureux et fiers d’exhiber le stylo que nous leur avions donné pour remplir le quiz.» Au-delà de cette satisfaction immédiate, les chiffres ont parlé d’eux mêmes. Trois-cent- quatre-vingt-une filles avaient fourni l’autorisa- tion parentale soit 61 %. Mais sur les 243 qui avaient refusé, après quelques diapositives d’ex- plication et une traduction accessible, 77 chan- gèrent d’avis (31,3 %). Au final, ce sont 458 col- légiennes qui ont été vaccinées soit 73,4 %. La colère du docteur Mélin Des infirmières ambassadrices de la vaccination. Madame pic-pic Une explication simple sur la rupture des barrières d’hygiène et l’explication de la diffusion virale. Monique, alias madame Pic Pic.
  6. 6. 8Le Mag JHM du Dimanche 10 novembre 2013 P assion Si la passion se conjugue pour certains avec sport ou activité manuelle, pour Pascal Louet c’est l’histoire des autobus langrois qui occupe son temps libre. Quand la passion rejoint l’histoire familiale. “Des machines et des hommes” la mémoire des autobus langrois On pourrait presque dire de lui qu’il est né dans un bus, tant il a grandi entouré de ces véhi- cules. Pascal Louet raconte volontiers l’épo- pée des autobus langrois, car chez les Louet, les bus sont une affaire de famille depuis 1927. «Mon grand-père dirigeait une entreprise en Côte d’Or, puis une opportunité s’est présen- tée à Langres et nous nous sommes installés ici en 1967-68», raconte ce dernier. «J’avais 12-13 ans. J’allais trainer avec mon grand-père pour acheter des cars, plus grand, je brico- lais. Puis j’ai commencé en étant conducteur à 22 ans et j’ai fait toute ma carrière profession- nelle dans cette entreprise, en m’occupant plus du côté technique, avec l’entretien des véhi- cules», se remémore le Langrois. Chemin faisant, Pascal s’est peu à peu mis à collecter les photos et les vieux documents relatifs à l’histoire de cette entreprise, mêlant anecdotes familiales. Sur l’une des photos, on remarque ainsi ses parents qui posent devant un bus de l’entreprise, lors d’une excursion, et Pascal est déjà sur la photo, dans le ventre de sa mère.... Pascal Louet a accumulé les documents à l’image de cette photo de chauffeurs des années 1950 posant devant le GLA.
  7. 7. 9Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2013 A l’aube de la retraite, Pascal envisage d’écrire un petit opuscule grâce aux documents retrou- vés. «J’ai une pièce entière avec les archives de l’entreprise et aussi quelques objets comme des plaques de véhicules ou des logos de marques», souligne le passionné. Les données historiques côtoient une multitude d’informations tech- niques. Chaque photo de bus mentionne par exemple la marque et le type du véhicule, son numéro de série et son immatriculation. Ces données sont soigneusement classées par année dans de précieux classeurs. «Sur cette photo, on voit un des premiers bus qui est entré dans le parc de l’entreprise, c’était le 10 septembre 1920. Il était de la marque Berliet, type CBA2, n° de série 25419, immatriculation 1000N. C’était un camion de déménagement 4TS qui suivait les bus pour transporter les bagages. Il a été réquisitionné le 14 juin 1940», précise Pascal Louet. ... Un véritable inventaire Le garage de 1920 installé, à Langres, dans la cour du Sacré Cœur. Modèle des années cinquante, le PLB est confortable et performant.
  8. 8. 10Le Mag JHM du Dimanche 10 novembre 2013 P assion La note la plus ancienne mentionnant des autobus à Langres dans les journaux date de 1911 ; il s’agit des itinéraires des lignes. Les statuts de la société “Autobus langrois”, datent quand à eux de 1919. Parmi les photos qui retracent son his- toire, des vues aériennes de la ville, assez insolites, montrent les bus de l’entreprise garés sur le rempart derrière l’école du Sa- cré Cœur... «Jusqu’en 1972, les autobus étaient garés dans un hangar dans la cour de l’Ecole, derrière la Cathédrale. C’était difficile de circuler dans le centre ville ; à cette époque, la rue Diderot était encore à double sens», détaille Pascal Louet. Et quand on demande à Pascal quel véhicule lui tient le plus à cœur, il répond : «Dans les anciens, un des plus marquants a été “La Une”, un Berliet de 1951. C’est avec lui que l’on a commencé à numéroter les bus du parc. Et pour les véhicules récents, je me souviens particulièrement des trois bus à deux étages que nous avons eu en 1985, ils étaient beaux, c’était le mieux à l’époque et les seuls dans les environs», souligne le professionnel. Et pour sauve- garder des éléments rares, le passionné langrois n’a pas hésité à faire don d’un vieux Setra à une association alsacienne qui souhaite ouvrir un musée. ... La note la plus ancienne mentionnant Sur le rempart Une photo émouvante avec les parents de Pascal, lors d’une excursion en bus. Sa mère était alors enceinte. 1940, ligne Selongey-Dijon, bus PCK 7 D Faurax et Chaussende doté d’une galerie et d’une remorque à bagages. Les premiers bus, dans les années 1930.
  9. 9. 11Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014 Pascal Louet conserve dans ses classeurs, des données qui touchent à l’histoire de la ville. «Dès l’arrivée de l’armée allemande à Langres, les bâtiments des autobus ont été im- médiatement occupés, souligne Pascal Louet. Cette occupation a duré du 15 juin 1940 au 12 septembre 1944. Après le départ de l’occu- pant, le constat des dommages subis a pu être réalisé : onze véhicules perdus ou détruits, il manquait des pneus et des chambres à air, le stock carburant, une quantité d’outillage et les bureaux se trouvaient dans un état la- mentable». Aussi, on apprend grâce au rap- port d’expertise, les dommages particuliers engendrés par l’explosion de la poudrière des Franchises le 12 septembre 1943, qui toucha les bâtiments et les douze véhicules : toiture arrachée, véhicules endommagés, plafonds et cloisons effondrées, cheminées fendues. Tout un pan de l’histoire locale se met en lumière dans les phares des autobus langrois. Angélique Roze Pascal Louet conserve dans ses classeurs, et les bureaux se trouvaient dans un état la- La période noire L’histoire de l’entreprise ne manque pas d’anecdotes, à l’image de cet accident survenu en 1967. Des centaines de chauffeurs auront œuvré au sein de l’entreprise au cours des XXe et XXIe siècles.
  10. 10. 12 Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2013 A utomobile ll y a quelques années de cela, une publicité van- tait les mérites d’un petit biscuit et un enfant dé- clarait : «Vous ne pouvez pas les faire un peu plus grands ?» Ce slogan publicitaire n’est pas pour Fiat. En effet, avec la dernière née de la firme ita- lienne, Fiat voit grand ! Et, comme l’ont déclaré unanimement les personnes chargées de vanter les mérites de la 500L Living : «Elle a tout pour séduire... large !» En premier lieu par son gabarit (4,35 m), lui per- mettant d’accueillir non pas cinq mais sept per- sonnes ! Plus large de 20 cm que la 500L, elle de- meure cependant plus courte que les monospaces compacts concurrents. Entièrement reporté sur le porte-à-faux arrière, cet allongement autorise la présence d’une troisième rangée de sièges, dont l’accès est possible par le coulissement de la banquette arrière. Unique dans ce segment, cette configuration sept places est livrée de série, donc sans supplément de prix. Pour être honnête, les deux sièges ne peuvent ac- cueillir que des enfants. Un essai avec un adulte a été fait, mais il faut être très souple ! Une fois installer, non sans mal, impossible de bouger les jambes... si vous pouvez les mettre. «La 500L Living est avant tout un cinq places, plus deux, précise Ludovic Fenvarc’h, de Fiat. Ce sont deux sièges d’appoint.» L’avantage, c’est que lorsqu’ils ne sont pas uti- lisés, ils peuvent se replier et disparaître com- plètement pour former le plancher du coffre. Le volume de chargement est alors supérieur de 100 litres à celui de la 500L normale, pour un total de 493 litres. Pas mal ! Il convient de noter que la Living est également dispo- nible en version cinq places uniquement. Non seule- ment elle est vendue 700 € de moins, mais le volume de coffre (638 litres) est un record pour la catégorie. ... Fiat voit grand 500L Living : La famille Fiat ne cesse de s’agrandir. Après la 500L, la baroudeuse Trekking, voici la petite dernière de la gamme, la 500L Living, qui peut accueillir jusqu’à sept personnes. Un beau et grand bébé ! Le rabattement de la banquette arrière permet d’accéder aux deux sièges d’appoint, permettant ainsi à la Living d’être une “cinq plus deux places”.
  11. 11. Le Mag JHM du Dimanche 13 juillet 2014 13 Reprenant l’aménagement intérieur de la 500L, la version Living “exhibe” des commandes bien rondes, des fonds de cadrans blancs et des inserts peints, çà et là, sur la planche de bord. Sympa et jeune à la fois. Au centre de la planche de bord, il y a un écran tactile très simple à utiliser. Il est doté du système UConnect, permettant non seulement de téléphoner, mais également d’en- voyer des sms. Disponible en deux niveaux de finition (Easy et Lounge), la 500L Living pro- pose un équipement proche de celui de la 500L. En revanche, la finition Lounge dispose d’une lunette arrière et de vitres latérales surteintées. La Fiat 500L Living hérite des mêmes motori- sations que la 500L, à l’exception du bloc 1,4 l 95 ch essence. Elle se contente de deux moteurs essence : le bicylindre TwinAir (0,9 l 105 ch) et le 1,4 l T-Jet 120 ch, également disponible en bicarburant essence/GPL. En diesel (motorisation la plus vendue chez Fiat), la Living donne le choix entre trois blocs multijet (1,3 l 85 ch ; 1,6 l 105 ch et 120 ch), le premier pouvant être associé à la boîte robotisée Dualogic. Il faut noter que, quel que soit le mo- teur, l’écart de prix avec la 500L (1 400 euros) demeure inchangé. Lors de notre essai, nous avons testé la version diesel 1,6 l 105 ch. La consommation est cor- recte (environ 5,6 l), sur des routes alternant voies rapides, virages, montées et descentes. La tenue de route est impeccable, les reprises intéressantes, notamment dans les montées et pour les dépassements. En revanche, le moteur est relativement bruyant, surtout si on “tire” sur les rapports... Quoi qu’il en soit, grâce aux mul- tiples combinaisons de couleurs (huit au total) et aux différents packs d’options disponibles, chaque client peut concevoir la 500L Living qui lui ressemble. Que demander de plus ? Essai Yves Tainturier Reprenant l’aménagement intérieur de la 500L, Une 500L Living personnalisée La Fiat 500L Living est la dernière née de la gamme 500. Ce modèle a été rallongé de 20 centimètres, à l’arrière. La planche de bord de la Fiat 500L Living avec ses divers équipements et ses teintes, est du plus bel effet
  12. 12. Dix ans en Haute-Marne Semaine du 6 au 13 juillet 2004 14 Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014 Série de feux intentionnels à Chaumont La nuit du dimanche 4 au lundi 5 juillet 2004 a été pour le moins agitée dans le quartier Gaga- rine. En effet, cinq départs de feux intentionnels ont été constatés dans la nuit et tous sont l’œuvre d’individus dont l’inconscience n’a d’égale que l’imbécillité du geste. Fort heureusement, les dégâts ont été limités par la rapidité d’interven- tion des pompiers. Tous ces feux se sont produits dans le même quartier, entre la rue du Patro- nage- Laïque, le parking de la piscine et la rue Albert-Camus. La Haute-Marne marraine du Téméraire Depuis hier mercredi 7 juillet, la Haute-Marne est marraine du fleuron de la flotte militaire fran- çaise : le sous-marin nucléaire Le Téméraire. Reste à concrétiser les intentions, notamment en matière d’image, de nouvelles technologies, le tout en direction de la jeunesse. Sécheresse : alerte orange en Haute-Marne Compte tenu de la situation hydro-climatique, le préfet a déclaré le niveau d’alerte séche- resse “orange” sur l’ensemble du département. L’alerte orange s’applique dès ce vendredi 9 juillet 2004 et jusqu’au 31 octobre. Il pres- crit un certain nombre d’interdiction des usages de l’eau. Parmi ceux-ci, sont interdits, de 11 h à 18 h l’arrosage des pelouses, fleurs, jardins et espaces sportifs de toute nature appartenant aux collectivités publiques. Selon les circons- tances locales, les maires peuvent prendre, si nécessaire, des arrêtés municipaux prescrivant d’autres restrictions ou aggravant celles prévues par l’arrêté préfectoral. Chiffres trompeurs pour le festival de l’affiche Alors que la fréquentation de la manifestation enregistre une hausse de plus de 5 000 visiteurs, nombre de commerces ont constaté des retom- bées économiques moins importantes que l’an passé pendant la programmation du Festival de l’affiche. Le multiplex bragard en avant-première Sept salles, 1 100 fauteuils, un plus grand nombre de séances chaque semaine, plus de films, le projet de multiplex à Saint-Dizier vient de sortir de l’ombre. Construit autour de la tour Miko, il devrait être livré fin 2005. Il s’appellera “Ciné-quai”. Le complexe cinématographique de Saint-Dizier qui sera situé en face du centre nautique, sur le site de l’îlot Miko a déjà un nom, et même un visage. Le projet est bouclé, les sub- ventions décrochées. Bref, le multiplex est dé- sormais une réalité. Un motard décède sur la D 417 dans le sud haut-marnais Un motard, originaire de Chaumont, s’est tué vendredi 9 juillet sur la D 417 entre Montigny- le-Roi et Bourbonne-les-Bains. Dans sa chute, il a fauché deux motards allemands qui circulaient en sens inverse. En train de saluer les motards d’outre-Rhin, le Chaumontais percute la Re- nault Clio qui roule devant lui. Ce choc le pro- jette violemment sur le côté gauche de la route. Son engin fauche les deux derniers motards du groupe allemand. La collision avec la voiture, l’une puis l’autre moto est d’une extrême vio- lence. Le motard chaumontais est projeté dans les roues d’une Peugeot 309 qui arrivait derrière le groupe. Carrefour franco-britannique de la mémoire à Giey-sur-Aujon Haut-Marnais et citoyens du Royaume-Uni étaient réunis dimanche 11 juillet pour rendre hommage aux cinq aviateurs alliés morts dans la nuit du 12 au 13 juillet 1944, lors du crash de leur bombardier à Giey-sur-Aujon. Un rendez- vous du souvenir exceptionnel par son audience.
  13. 13. 15Le Mag JHM du Dimanche 10 novembre 2013 La réclame de la semaine Sélection Véronique BIRCKEL Il y a100 ans dans L'EstSemaine du 7 au 13 juillet 1914 Les costumes de bain Paris,le7juillet1914.­Lescostumesdebain, je ne parle pas de nageuses, prennent tous les ansuneallureplushabillée.N’étaitleurjupefort écourtée,certainsdecescostumespourraientse porter à la rue. En voici un en lainage rouge, à haut de robe tout plat descendant jusqu’au bas deshanches,etsefermantdansledosdanstoute sahauteur.Lajupeestendroitfiletplisséeàplis plats bien marqués, et part du bas de la partie étroite de la robe et s’arrête aux genoux. Surlehautderobe,unravissantpetitbolérofixé par trois boutons, est orné de galons blancs. Un autre de ces modèles est de forme princesse avec,aubas,unvolantcoupéenformeondulant gracieusement. Une ceinture écharpe sort de la jupe devant, de deux grandes boutonnières, et se noue très bas derrière. Un col rabattu de lainage blanc contourne le décolleté en cœur. Enfin,voilàencoreunerobedeformeprincesse, marine toute brodée de tissu de couleur plus claire, découpé et appliqué sur la robe au point de boutonnière. Mais, pour les nageuses, ce qu’il y a de plus pratique c’est la combinaison­culotte en serge anglaise formée de galons sur laquelle on jette un peignoir en tissu éponge que l’on enlève au moment d’entrer dans l’eau, et dont on s’enveloppe en en sortant. Courses à Vittel La première réunion de Vittel, qui comportait uniquement des épreuves pour officiers et gentlemen, s’est déroulée au milieu d’une assistancenombreuseetélégante,paruntemps tout à fait propice. Commetoujours,lescross­countrycourusdans le cadre merveilleux que l’on sait, ont soulevé l’admiration des spectateurs et ces derniers ont assisté à de magnifiques luttes aux arrivées. Lagranderéunionoùnousverronslesplusfines cravaches monter les représentants des meilleures écuries parisiennes, aura lieu les dimanches10,jeudi23,etdimanche26juilletà 2 heures. Ces trois journées offrent aux concurrents un programme de prix de 80.000 francs. Le Grand Prix de Vittel sera couru le dimanche 26 juillet, pour clôturer le meeting. Nul doute que ces réunions ne soient aussi suiviesetaussibrillantesqueleursdevancières. Les pangermanistes et le défunt archiduc Depuis longtemps, on savait que les pangermanistes d’Allemagne et d’Autriche étaient hostiles à l’archiduc­héritier François­ Ferdinand ; mais la presse allemande n’osait l’avouer ouvertement. Et maintenant que cet archiduc n’est plus, la « Germania » et le « Bayerische­kurier », organes du Centre, nous rappellent cette hostilité latente, qui se traduisait quelquefois par des attaques sournoises, par des appréciations malveillantes. Et comme, d’après ces organes, les Serbes n’avaient aucune raison sérieuse de supprimer cet archiduc, on peut se demander si le prince défunt n’aurait pas été victime, indirectement du moins, de quelque machination pangermaniste. Pavoisons LeComitédesfêtesdes12,13et14juilletfaitun appelpressantauxpatriotiquespopulationsde Nancy et de Villers, leur demandant de bien vouloirpavoiserpendantcestroisjoursdefêtes quinousprocurentl’honneurdeposséderdans nos murs un ministre qui vient officiellement inaugurer les Hangars militaires du Centre d’aviation de Nancy, la Colonie scolaire de Gentilly et Nancy­Thermal. Les revendications des mineurs Une délégation de mineurs a été reçue récemment au ministère des Affaires étrangères,parM.Viviani,présidentduConseil, et par M. Couyba, ministre du Travail. La délégation a été présentée aux ministres par MM. Jaurès, Albert Thomas, Durafour, Lamendin, Lafont, Briquet, Bouveri, Durre, Cabrol, Thivrier et autres députés représentant les centres miniers. La délégation a exposé au gouvernement que la question des retraites était posée et que les mineurs lui demandaient d’assurer l’égalité de traitement entre les anciens et les nouveaux pensionnés. Après discussion, le président du Conseil a promis d’assurer cette égalité. Toutes les retraites des anciens et des nouveaux pensionnés se balanceront entre 640 et 740 francs, toute majoration comprise, étant entenduquelamoyenneseraitfixéeauxabords de 700 francs. Lesmesuresnécessairesserontproposéesavant la fin de la présente session des Chambres.
  14. 14. 16Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014 D ans ma bibliothèque Est-ce parce que je me pose des questions quant au devenir des milliers de livres qui ont envahi mon chez moi ? Est-ce l’envie de découvrir un auteur que je n’ai jamais abordé ? C’est sans doute pour l’une comme pour l’autre raison, qu’avec délice je me suis plongée dans cet ou- vrage paru en février 2014. J’y ai découvert la philosophie du liseur. “Au fond, chaque lecteur était une sorte d’au- tostoppeur, pouce levé devant la couverture d’un livre, et acceptant par avance de s’em- barquer sans rien savoir de qui le conduirait, pour quelle destination, selon quel trajet”.Avec cette phrase l’essentiel est posé. Car le liseur se laisse souvent envouter par une couverture interrogative, une critique sympathique, une présentation tonitruante, une mise en bouche alléchante, ou par le suivi inconditionnel d’un improvisateur aimé. Aussi entasse-t-on mille et un ouvrages et, parfois, ne sait-on plus qu’en faire. Trier, répertorier, vendre tous ces trésors est souvent un arrache-cœur. Avant d’être déposé dans un carton, chacun de ses livres replonge le narrateur dans des rémi- niscences précises, des rencontres superbes ou déconcertantes, des minutes d’intense bon- heur. On suit pas à pas, les engagements, les rencontres, les découvertes d’une vie dédiée en partie à la littérature et beaucoup à la phi- losophie. S’y ajoute la promesse d’une attente sentimentale qui se noue lors de cette première visite au “soldeur”. Elle devient l’élément fa- buleux de l’histoire. Qui est cette jeune-fille androgyne observée parmi cette misérable clientèle ? Pourquoi vient-elle dans cet endroit sinistre ? La retrou- vera-t-il à la prochaine visite ? Toutes ces questions entraînent le héros dans une prome- nade où se côtoient souvenirs livresques, sou- venirs pédestres, souvenirs culinaires, sucré, salé, étonné. Balades en mots, attente plaisir, promenades en capital, Paris des passages “mieux : la ville n’était que le palimpseste, constante recréation, perpétuelle récréation”. Une bibliothèque est-elle à l’image de l’exis- tence de son propriétaire ? Reflète-t-elle sa vie de l’enfance au déclin ? Et questionnement... Pourquoi conserver tous ces livres ? A chacun d’y apporter sa réponse. Le soldeur (349 pages) Editions Julliard Les coups de cœur de Gil Le soldeur - Michel Field
  15. 15. 17Le Mag JHM du Dimanche 13 juillet 2014 Il arrive de confondre le tamier (Dioscorea communis) avec la bryone, mais pour ce qui vous concerne, je n’ai pas trop de doute : au moins les vrilles spiralées caractéristiques et les feuilles alternes à grosses ner- vures nous certifient que nous avons affaire à une cucurbita- cée. Il en existe plus de 800, mais très peu sont sauvages sous nos latitudes en dehors de la Bryone, donc, et du cor- nichon d’âne (Ecballium ela- terium). les feuilles que pré- sentent votre photo n’ayant pas l’aspect grumeleux de ce dernier, je vais repousser cette hypothèse pour l’instant. Mais il va falloir attendre un petit peu pour que les fruits de cette plante nous en apprenne da- vantage. Aussi, à moins qu’elle ne parte en courge ou autre citrouille, elle devrait fructifier en petites boules rouge vif, et là plus de doute, c’est bien à l’en- vahissante b r y o n e dioïque que vous avez à faire. Victor - DÉCOUVERTE DE LA SEMAINE - Habitat et jardin Juillet au jardin L’été est bien installé, les fleurs sont bien épanouies. Quels sont les gestes utiles à apporter au jardin décoratif pour en profiter le plus longtemps possible ? Le composteur à culbuter Draper Le composteur sur pied à culbuter de marque Draper est un baril de stockage de matière organique permet- tant d’obtenir un compost de bonne qualité sous quelques semaines grâce à l’action de culbutage accélérant de la décomposition. Facile à utiliser avec ses poignets en polypropylène. Plus d’informations sur drapertools.com Plante mystère Dans la vieille maison que nous avons récemment achetée, le jar- din n’a pas été entretenu depuis des dizaines d’années. Entre deux dalles, sous un abri, nous avons trouvé cette racine, qui depuis le printemps fait quelques pousses. Bien que semblable à la bryone que nous avons trou- vée ailleurs dans le jardin, je ne crois pas que cela en soit et me demande bien ce que c’est ! Christophe Au niveau de l’entretien, sur- veillez l’apparition des para- sites et maladies afin de prépa- rer une contre-attaque efficace. Dans le même ordre d’idée, débroussaillez les zones délais- sées et envahies de mauvaises herbes coriaces. Attaquées en pleine végétation, elles seront plus sûrement éradiquées. Ar- rosez les hortensias avec un produit bleuissant, traitez-les éventuellement avec un anti- cochenille. Traitez contre l’oï- dium (traitement total) et les pucerons (avec des coccinelles ou de l’anti-puceron). Concernant les fleurs, il est temps de terminer les semis de plantes bisannuelles. Vous pouvez également commen- cer à bouturer les plantes semi rustiques à hiverner hors-gel (pélargoniums, abutilons, ver- veines, penstemons, solanums, dentelaire du Cap, fuchsias, lantanas...). Et tant qu’à bou- turer, n’oubliez pas les grim- pantes telles que Podraena et chèvrefeuille géant, les lauriers roses, l’abutilon et la lavande, les cestrums et orangers du Mexique, les fusains, daphnés, viornes, kerrias, troènes, wei- gelas, cistes. Pour les rosiers, spécifique- ment, il faudra supprimer les gourmands prenant naissance sous le point de greffe. Tail- lez et palissez les rosiers non remontants et épandez un en- grais riche en magnésie pour les autres. Cela assurera leur refloraison. Pour les arbres et arbustes, taillez les spécimens défleuris (seringats, kolkwitzia, coto- neasters, pyracanthas et roma- rins), et supprimez les pousses apparaissant sur les troncs des arbres conduits en tige. Surveillezl’apparitiondesarai- gnées rouges sur les conifères qui, alors, jaunissent. Arrosez abondamment le feuillage à l’eau claire en prévention ou traitez avec un acaricide. Les conifères les plus sensibles sont le Picea albertiana Conica et les sapins bleus.
  16. 16. 18Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014
  17. 17. 19Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014 Coin de table Conserver et utiliser la menthe du potager Liqueur de menthe Préparation et cuisson : 10 mn + 20 mn 1 grosse poignée de menthe fraiche + 2 branches 15 jours après, 3/4 de litre d’eau de vie à 45°, 3 cl d’alcool de menthe, sirop: 500 gr de sucre et 3 verres d’eau. Laver, sécher et mettre les feuilles dans un bocal. Les faire infuser dans l’eau de vie pendant 15 jours. Après ce temps, filtrer la préparation, ajouter un sirop de sucre refroidi et l’alcool de menthe. Mettre deux branches de menthe fraiches dans une carafe, verser la liqueur dessus et boucher. Les glaçons de menthe fraiche La création de glaçons avec des herbes fraiches est une technique qu’on utilise depuis longtemps avec les aromatiques classiques (ciboulette, persil, coriandre ou basilic). Elle est très facile à mettre en oeuvre. Placez tout simplement quelques petites feuilles (entre 5 et 10) dans un compartiment du bac à glaçons, remplis- sez avec de l’eau et mettez au congélateur. Pour ne pas monopoliser vos bacs à gla- çon, démoulez-les et conservez-les dans des sacs de congélation. La menthe séchée Le séchage est une méthode de conserva- tion utilisable avec une grande quantité de végétaux. Pourquoi la menthe ferait-elle exception? Après quelques jours les feuilles vont s’as- sombrir et s’enrouler sur elle-même, c’est tout à fait normal. Ce sera le moment de les mettre en bocal en verre. Attention, elles seront alors très cassantes, manipulez-les avec précaution. La menthe congelée L’idéal pour congeler la menthe est de pro- céder feuille à feuille, pour ne pas qu’elles collent entre elles. Pour cela, disposez-les sur un plateau que vous mettrez au congé- lateur. Une fois que les feuilles sont bien dures, vous pouvez les conditionner en sac. Comme pour la version séchée, elles sont très fragiles à ce stade et cassent comme du verre, faites donc très attention ! Tisane à la menthe Proportions pour : 1 tasse 25 cl de l’eau minerale Une douzaine de feuilles de menthe bien fraiche 1 morceau de sucre Préparation : 5 mn - Cuisson : 5 mn Faire bouillir l’eau et éteindre le feu Ajouter les feuilles de menthe et laisser infuser les feuilles pendant une dizaine de minutes Remettre un peu sur le feu mais sans faire bouillir. Eteindre le feu et ajouter le sucre et servir de suite.
  18. 18. SAINT-DIZIER CHAUMONT JOINVILLE WASSY MONTIER EN DER COLOMBEY LES DEUX EGLISES CHÂTEAUVILLAIN LANGRES BOURBONNE LES BAINS NOGENT ANDELOT CHAUMONT Jeudi 17 juillet, dans le cadre des Estivales, soirée concerts-ciné en plein air dans le quar- tier du Cavalier à partir de 19 h 30. Pique-nique géant, concert et projec- tion du film “De l’autre côté du Périph’”. SAINT-CIERGUES Retour au Moyen-Age les 19 et 20 juillet au fort de la Pointe de diamant. De nombreuses animations à caractère familial seront organisées. Renseignements au 06.98.23.39.62. SAINT-DIZIER Rencontre des voitures de cinéma au parc du Jard, samedi 19 et dimanche 20 juillet. Entrée libre et gratuite. MONTIER-EN-DER Fête brassicole à la brasserie du Der, dimanche 13 juillet, de 11 h à 20 h. JOINVILLE ? Les Bulles Chorégra- phiques au Grand-Jardin, dimanche 13 juillet à 17h. LANGRES Tous les jours, du 15 juillet au 15 août, à 18 h 30, les Arquebusiers accueilleront le public pour une démonstration de tirs d’arquebuses. Ala carte 20 Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014 côté du Périph’”. CHÂTEAUVILLAIN Marché artisanal nocturne de 18 h à 22 h, samedi 19 juillet. Rendez-vous avec les producteurs et les artisans d’art de cette jolie cité de caractère.
  19. 19. 21Le Mag JHM du Dimanche13 juillet 2014 Sortir ailleurs Fête nationale oblige, la cité ducale résonnera au son des feux d’artifices tirés à l’occasion du 14 juillet. Les festivités débuteront dimanche après-midi. De nombreuses animations fami- liales et sportives seront proposées à Hausson- ville, Chiennerie et sur le Plateau de Haye. De 18 h à minuit, la ville dansera au rythme des bals traditionnels organisés dans les quartiers Trois- Maisons, Beauregard - Boufflers - Buthégne- mont, et Saint-Pierre – René II – Bonsecours. Le lendemain, un concert-bal agrémentera le début de soirée à partir de 20 h 30 et le feu d’artifice sera tiré depuis le Pôle Nautique à 22 h 30. Le spectacle musical et pyrotechnique pourra être admiré dans les reflets de la Meurthe. Pour les plus curieux, le spectacle « son et lumière » de la ville, Rendez-vous place Stanislas, sera ex- ceptionnellement projeté à 23 h 15 et clôturera la soirée. Fête nationale oblige, la cité ducale résonnera Nancy brille de milles feux La 23ème édition de Ville en Musiques se déroulera au centre-ville de Troyes jusqu’au 27 juillet inclus. Au total, 52 concerts gratuits ont été programmés, pour que chaque week-end soit aussi festif que musical. Du 18 au 20, les Troyens accueillent des musiciens de tous hori- zons afin que les visiteurs et amateurs de bonne musique passent un agréable moment. Rendez-vous vendredi avec un trio piano, vio- lon et violoncelle à 20 h 30, à l’Eglise Sainte Madeleine, pendant que le funk brazilian, d’Alusao résonnera sur la place de l’Hôtel de Ville et que Franck Derivault fera danser ses spectateurs grâce à ses variétés aussi bien fran- çaises qu’internationales, place Vernier, à 21h. Samedi, flûte à bec, basson baroque et viole de gambe seront à l’honneur à l’Eglise Saint Nicolas tandis qu’un bal sera donné à partir de 20 h 30, place Jean Jaurès. A 21 h, voyage au quatre coins du monde, place Saint Jean. Et di- manche, musette rétro au Kiosque du Jardin du Rocher, à 11h et musique pour orgue, à 17 h, à la cathédrale. Programme complet sur http://www.maison- duboulanger.com/evenements/ville-en-mu- siques.html La 23ème édition de Ville en Musiques se Le cœur de Troyes bat au rythme de la musique
  20. 20. 22 Le Mag JHM du Dimanche 13 juillet 2014 Le routard Les bons plans du Routard Oùdormir? AuxP’titsBoulas,4,placeduTilleul. Tél.03.29.27.10.06. Accueillantpetithôtelfamilialderrière lafaçadeunpeukitsch.Chambres sanscharme,pasimmenses maisbienrénovéesetbienentrete- nues.Atmosphèreconviviale. Faitaussirestoavecquelques spécialitésrégionales. LesMyrtilles,102,chemin desBas-Rupts.Tél.03.29.63.21.38.Un siteenpleinenature,à850md’altitu- de,prèsducoldesBas-Rupts,en borduredesrivièresetaupied despistes.Unecinquantained’empla- cementsenterrasse.Petitbarsympa (parfoisdesconcertsdegroupes locaux).Accueilsupersympa etchaleureux. Chambresd’hôtesChaletl’Épi- nette,chezClaudineetGisèlePoirot- Scherrer,70,chemindelaTrinité. Tél.03.29.63.40.06.Cinqchambres cosyetcoquettesdansunsuperbe chalet.Chaleureusedécorationenbois. Leschambresenterrasseoubalcon etdeuxontunlitàbaldaquin.Ondîne dansunesalledontlesvastesbaies vitréesouvrentsurlamontagne.Forêt touteproche.Sauna,hammametspa. HôteldeParis,11-13,rueFrançois- Mitterrand.Tél.03.29.63.10.66. Danslarue(piétonne)laplusfréquen- téedelastation,unpetithôteltout simpleàl’excellentrapportqualité- prix,quelenouveaupropriétaire varénover.Préférezleschambres quidonnentsurlacourintérieure. Aurez-de-chaussée,brasserieanimée qui,commesonenseignel’indique «LesTrappistes»,proposeunbon choixdebière.Bonneambiance. CampingAuClosdelaChaume. Corcieux.Tél.03.29.50.76.76. Propriosaccueillantsetsouriants.Petit campingindépendantlabellisé «CléVerte»«Sitesetpaysage deFrance»et«CampingQualité» dansuncadrenatureassezombragé aubordd’unruisseau. Oùmanger? L’AssietteduCoqàl’Âne, placeduTilleul. Tél.03.29.63.06.31. Bâtimentrécentmaisqui voustransportedanslacampagne vosgienned’autrefois:ample charpenteenbois,dallageausol, cheminéedepierre… Joliedéco,entoutcas! Platsdeterroirdansuneambiance aussisympathiquequeleservicejeune, proetsouriant.Oumieux, auborddelapiscineauxbeauxjours. LeBistrotdelaPerle, 32,rueCharles-De-Gaulle. Tél.03.29.60.86.24. Salleagréableoupetitpatiofleuri derrièreladevanture d’uneancienneboucherie. Cuisinesansfioriture etunpeutousazimuts:desbasiques moules-fritesàlachoucroutegarnie, enpassantparlacassolette d’escargotsoudesplats d’inspirationvosgienne. Serviceaimable. AubergeAuPiedduHohneck, routedesCrêtes,LaBresse. Tél.03.29.63.11.50. L’endroitstratégiquenotamment enhiverpourlesskieurs,estcertes touristique,à1.250md’altitude! N’empêchequ’autourdugrandpoêle «Tulikiwi»(ousurlaterrasse), lacuisinefranc-comtoiseetvosgienne estdequalité.Leschambres,simples etcorrectes,sedéclinentenversions 2à6lits. LaChaumedeFirstmiss, 7,routedesCrêtes. Tél.03.29.63.26.13. Lemeilleurrepasmarcaireducôté vosgien,àdégusterdansuncadre gentimentrustique.Tourte,fumé moelleuxàsouhaitetsolidetofaille. Munsterexceptionneletfabriqué surplace,celavasansdire. Ventesurplace.Accueilauthentique etchaleureux. Suiv ez le guide Nous vous recommandons le guide du Routard, le compagnon pratique, impertinent et indispensable qui vous permettra de découvrir votre région... et le monde. Gérardmer dans les Vosges est l’épicentre de la vallée des lacs, la reine de la Vologne et la capitale de la jonquille. Gérardmer PhotoPhilippeBRIQUELEUR
  21. 21. 23Le Mag JHM du Dimanche 13 juillet 2014 Jeux La gastronomie b a JEUNE CERF PLAT DE VIANDE b d AMORPHE SOUPE BÉARNAISE b d EXCITE OS DU BRAS b IL CONNAÎT SON MÉTIER b d SORTIE DU DANGER BOND DE CÔTÉ b RESPECTÉ LES ORDRES b COUPELLE DE CHIMISTE b PARENTE PROCHE b d ... À LA MODE DE CAEN PRÉFIXE b d FIN SÉDUCTEUR CLOUA AU PIEU b d DIEU GAULOIS RAGOÛT DE MOUTON c a GUIDE CULINAIRE SANS MÉLANGE c a PERCE EN BIAIS BOÎTE À LUNETTES a SERVICE GAGNANT c a AU GOÛT DU JOUR UNE FIN ANGLAISE a ANCIENNE MONNAIE FRANÇAISE c a MONTRÉ SA JOIE RÉCIPIENT a CARDINAL c a DÉBUT D’HYPO- THÈSE SERPENT c a TÊTE DE SÉRIE ELLE ET LUI a FOYER CHAUD a TELLE UNE CRÊPE FLAMBÉE c d SUJET JETÉE À TERRE ©FOODPICTURES-FOTOLIA d SPÉCIA- LITÉS DE TROYES d VIENNOI- SERIE d PLAT DU SUD-OUEST d PLATS PRO- VENÇAUX c SERA AU COURANT c POISSON EXOTIQUE c LETTRE GRECQUE c GRANDE ÉCOLE c RECOM- MENCER c D’APPA- RENCE FRÊLE c BOIS NOIR FONCÉ c d VIEUX BRONZES JARDIN DIVIN c d MATÉRIAU ALVÉOLÉ MORCEAU DE RICOTTA c d VERSUS FILET D’EAU c d CHEF FRANÇAIS CÉRÉALE c d ROUE DE POULIE ANIMAL c d RÉGION DE POULETS VOISIN DE LA DORADE c d PROCÉDÉ D’ÉVALUA- TION COMME c d PIÈCE DE GRÉEMENT AVALÉ c d POSSÉDAIT AGENT DE LIAISON
  22. 22. 24 Le Mag JHM du Dimanche 13 juillet 2014 Jeux 5 erreurs Ex æquo Comme dit le proverbe... Remettez dans l’ordre les morceaux de phrase suivants pour découvrir un proverbe bien connu ! AUTA LEDE RESOR NTCR SIRQ OIT UELET Clip-clap C O T E M I N E D O L E S R D E A M I E C L S E B O L E C A C K P A M A S R T E S A L E F I T E G O R E S O R T P I E R E P R E M E T S S O N R D R A I ©EPP. Échangez deux chiffres de la colonne « a » contre deux chiffres de la colonne « b » pour obtenir le même résultat de chaque côté. 5 8 2 6 9 30 1 9 7 2 3 22 a b Sudoku À vous de remplir la grille suivante en respectant ces quelques règles : les chiffres vont de 1 à 9 et n’apparaissent qu’une seule fois par ligne, colonne et carré. 4 3 7 9 5 1 2 4 7 7 3 9 6 5 4 2 5 6 3 4 5 9 8 6 2 1 9 ÉQUAJEUX Retrouvez les nombres 1, 2 et 3 à l’aide des indices suivants. Atten- tion, chaque nombre est composé de 3 chiffres. Le nombre 1 est un multiple de 3 et le total de ses 3 chiffres est égal à 15. Le nombre 2 est égal à la moitié du nombre 1. Le nombre 3 est égal au double du nombre 1. Le total des chiffres de la colonne A est égal à 4. A ▼ ▼ 1 2 9 3 = 4 © Mon oncle Charlie - EPP Saurez-vous repérer les 5 ERREURS entre ces deux images tirées de la série « Mon oncle Charlie » ? Reconstituez les mots de cinq lettres et reportez la lettre manquante dans la colonne centrale. Vous découvrirez alors le titre d’un film dans lequel cette vedette interprète un rôle.
  23. 23. 25Le Mag JHM du Dimanche 13 juillet 2014 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 1 1 2 2 3 3 4 4 5 5 6 6 7 7 8 8 9 9 10 10 11 11 12 12 13 13 14 14 15 15 16 16 17 17 18 18 19 19 20 20 21 21 22 22 23 23 24 24 25 25 26 26 27 27 28 28 29 29 30 30 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 Horizontalement 1. Dont le contact est agréable, comme celui de la brise. Contrôler la balle en progressant. 2. Acclamations. Héraclès en nettoya de vastes. Baguette pour enfiler des harengs à fumer. 3. Nuremberg en fut une citadelle. 4. Relatif à un os auquel sont reliées des côtes. Raclées. Humaniste français. 5. Remet d’aplomb. Despote cruel. Ancienne unité de travail. Donner de la bande. 6. Aux couleurs de l’arc­en­ciel. Fait consister. Acquis. Sans embarras. 7. Saillie rocheuse. Prince qui fut un grand homme de guerre. 8. Poète chilien. Dans des noms de formats. Plante à fleurs très parfumées. Mine de sel. 9. Un centimètre. On s’en sert pour présenter des statues. Où il y a de l’érudition. 10. À quoi l’on ne peut résister. On les dit religieuses. 11. Marque un embarras. Manière de voir les choses. Murs d’appui de fenêtres. 12. Aurochs. Peut être une envie. Leurs habitants sont des rapaces. Fait des étincelles. 13. Qui sent la vieillesse. Sur la rose des vents. Comme ça. Est au courant. 14. Usées peu à peu. Le lama en fournit. Corps de l’Ancien Régime. 15. Plat. Coquillages. Sa maîtresse l’entretient. 16. Est sous les drapeaux. Son odeur annonce la mer. Qui manque de finesse. Mine de sel. 17. Station balnéaire française. Qui n’est pas régulière. 18. Sans mouvement. Son application fait l’objet de décrets. Suffixe. 19. Colonnes. Ville de Lituanie (en allemand). Sans difficulté. 20. Avait plusieurs emplois à Rome. Domaine. Orphée en était un. Déposée comme enjeu. 21. Nom d’une riche civilisation africaine. Agent double. Cantatrice célèbre. Ville du Maroc. Un grade. 22. S’assurer, avec précaution, des possibilités d’action. Ivan IV et ses successeurs. 23. Très grand reptile fossile. Elan. Grand oiseau coureur. 24. Répartit dans le temps. Adepte d’une secte religieuse hindoue. Se dit d’une chose extravagante. 25. Bande de papier peint. Très difficile à lire. Préposition. 26. Bramer. Statue de l’art grec archaïque. Cri d’encouragement. Roman de la série des Rougon­Macquart. 27. Cela va de soi. D’un emploi courant. Sert à la décoration. 28. Certains sont dits sacrés. Qui s’est égaré. Explétif. Article. Est rond. 29. Fibre textile. Héraclès s’y fit brûler sur un bûcher. Couleur dominante. Avant toute expérience. 30. Paradis. Sorte de croyance aveugle. Verticalement 1. Qui cherchent à bien faire. Se fait du souci. 2. Métamorphose. Enfermer de façon définitive. Assouvie. Au même endroit. 3. Place d’armes. Faramineux. Vulcain y avait ses forges. Proserpine était celle des Enfers. 4. Allongés. Plus ou moins malade. Qui ont trait aux astres. Un des peuples de la Grèce ancienne. 5. Ville de Suisse. Hôtes de côtes. Satire sous la forme d’une correspondance imaginaire. Ennui. 6. Pièce de musique. Des femmes qui ont perdu la tête. Cité légendaire qui inspira un opéra à Lalo. Sert à appeler. Fruit charnu. 7. Précède une synthèse. Fleuve de Sibérie. Ville de Côte­d’Or. Une femme de tête. Piège. 8. Se dit d’images reproduisant des sujets religieux. Ruiner. Un pli, au bridge. Ancien État arabe. 9. Les notaires en reçoivent. Champ de courses. Écrivain belge. 10. Entamer. Faute commise par un joueur immobilisant trop longtemps le ballon. Fait pâlir. Docteur. En bataille. 11. Prive peu à peu quelqu’un de ses ressources. Moulures. Petite brosse d’orfèvre. Informe. Se dit d’un rouge. Se dit d’un jaune. 12. La queue des vers. Éclos. Fit entrer. Vague. Rivière d’Autriche. 13. Aux couleurs vives et variées. N’a pas les pieds sur terre. Nigaud. Liste. 14. Mises à l’écart. Son odeur entête. Maison communale. Cactus. Hôte de forêts. 15. Mère d’Horus. Les Andines en font partie. L’enveloppe d’un cigare. Ville de Vaucluse. 16. On y soumet des oies. Prénom féminin. Diffuse. Article arabe. Aigri. 17. Petite fille. Bourriques. Son plaintif. Fille d’Inachos. 18. Gradés. Substances odoriférantes. On perd tout quand elle nous quitte. Frère aîné de Moïse. 19. Pronom. Pièce d’une arme à feu. Ancienne monnaie d’or française. Auxiliaire. Un lieu où l’existence est insupportable. 20. Partie de manche. Aide. Ne pas obtenir autant que l’on attendait.
  24. 24. 26 Le Mag JHM du Dimanche 13 juillet 2014 Jeux à votre écoute 03 25 03 86 40 jhm.fr Pour vous abonner ou modifier votre abonnement 03 25 03 86 47 Pour insérer une publicité ou une petite annonce ou contacter un journaliste de la rédaction locale Saint-Dizier : 03 25 05 20 04 Chaumont : 03 25 31 73 85 Langres : 03 25 87 34 94 Un journaliste de la rédaction départementale ou des infos générales 03 25 03 86 40 Un journaliste de la rédaction sportive 03 25 03 86 55 Pour insérer une publicité dans le TV Magazine 03 25 03 86 40 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 1 F I C H E R L E C A M P E F F A C E R 1 2 E C R A B O U I L L E A L E U R I T E 2 3 T O I L I N G U A L E S Y S E R N 3 4 I S S U E D E B R I C E T D E B R O C 4 5 C A E N T I R M A L H E R R E R A 5 6 H E F E R S T E A L E A O S E R 6 7 E D W I G E A A O T E U B U I D 7 8 R O L A N D F U R I E U X A S I L E 8 9 D E L A T E U R A S D E M I S E L 9 10 O F L E T O C I S E A L E N E S 10 11 S T R A S P I L A F S V U P I T T 11 12 D R A P E I D E R S L A R I O S T E 12 13 A I M A B L E P M M I N I M I S E R 13 14 N O T U N G S T E N E N A B L E C 14 15 E M O T T E R O M A R I C E I S O 15 16 P R E T I M M E R I T E R P O R 16 17 P H I E T E A N T S I R A B E N A 17 18 L E G E A C A N T H E S V E L A N I 18 19 U A P A T H I E E S S O R L I E R 19 20 T U N I S I E N A X E M I S E R E 20 21 A N E S E E M U P R E L E I L 21 22 U T E R I N E E T R O I T M I S E R 22 23 C E T S L O R R A I N G E N E S E 23 24 I R R E E L L E E M S L E S A R C S 24 25 E W E S O I T A E S S O R P A L I 25 26 L A P O M P A G E E A U F A N O N 26 27 L I E U E S A M O S E T A I C I 27 28 A D O R E E X C E S Q U E T S C H E 28 29 G T E S T S E R E B U S A E R E R 29 30 A P A R T E T R I S A I E U L U S E 30 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 D M A T T C E R A G O U T A I R A I N S G A U L T E T M I L L A U P U R N I D A P I V S E B R A S E T E T R A E T U I E N A S A U R A R I N A C E E N D A O E S T E C U S I R I B O A B O L U N P S O T I L I L S R E A B R E S S E E B O C U S E T E S T A T R E A V A I T M A T I T E R E R E B E N E S U Z E T T E F L U E T S Mots fléchés Sudoku Equajeux 8 1 4 7 2 3 9 5 6 3 7 6 4 9 5 1 8 2 5 9 2 6 8 1 4 7 3 7 2 3 9 1 4 8 6 5 4 6 5 3 7 8 2 9 1 9 8 1 5 6 2 3 4 7 6 3 7 2 4 9 5 1 8 1 5 9 8 3 7 6 2 4 2 4 8 1 5 6 7 3 9 Solutions des jeux Comme dit le proverbe AUTANT CROÎT LE DÉSIR QUE LE TRÉSOR. Clip-clap PAR AMOUR POUR GILLIAN. 5 erreurs 1. La boîte de céréales, à l’arrière-plan, est différente. 2. Il y a un motif en plus sur le carrelage mural. 3. Le tapis, à droite, est plus large. 4. Il y a un bol de céréales sur la table. 5. L’anse de la bouilloire est plus courte. Ex æquo a. 5 + 3 + 2 + 7 + 9 = 26 b. 1 + 9 + 6 + 2 + 8 = 26 1- 186 2- 093 3- 372 }}Mots croisésSolutions du 6 juillet 2014

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