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Revue Octobre 2010

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Revue Octobre 2010

  1. 1. octobre, 2010 Volume 3, numéro 10 R E V U E M E N S U E L L E D E L ’ É C O N O M I E E T D E S M A R C H É S F I N A N C I E R S L’ÉCONOMIE Canada ♦ Au Canada, les ventes au détail ont diminué de 0,1 % en juillet, un résultat inférieur aux attentes. La TVH a eu une incidence sur cette décrue, mais celle-ci est principalement attribuable à la faiblesse des ventes dans le domaine de l’habitation. ♦ Les prix à la consommation ont descendu de 0,1 % en août, ce qui a fait légèrement régresser le taux d’inflation annuel, lequel est passé de 1,8 % en juillet à 1,7 %. Les résultats ont été un peu moins élevés que prévu, la baisse généralisée des prix de l’énergie constituant un des principaux facteurs à l’origine du recul. ♦ Au second semestre de 2010, l’économie canadienne devrait croître selon un modeste taux annualisé de 2 %. La faiblesse de la demande américaine jumelée à la force du huard provoquera une augmentation du déficit commercial. De plus, la confiance des consommateurs a été ébranlée récemment, surtout en raison des préoccupations concernant la hausse de la dette. ♦ Sur une note plus encourageante, notons que le taux d’utilisation de la capacité industrielle s’est accentué au deuxième trimestre pour atteindre 76 %, ce qui est à peine supérieur aux projections. La croissance a été généralisée et on a constaté une amélioration dans le secteur manufacturier, lequel avait été durement éprouvé. États-Unis ♦ Les pressions inflationnistes restent modérées et la déflation ne demeure qu’une vague possibilité. L’indice des prix à la consommation américain a enregistré une hausse de 0,3 % en août, surtout en raison de la flambée du cours de l’essence et en partie à cause des légères augmentations de prix des aliments. ♦ Toujours aux États-Unis, le nombre de mises en chantier a grimpé de 10,5 % en août, pour se fixer à 598 000 unités annuellement, ce qui surpasse les attentes. Il s’agit de la plus grande quantité de mises en chantier depuis avril 2010, un chiffre 2,2 % plus élevé qu’il y a un an et de 25 % supérieur au creux record d’avril 2009, mois au cours duquel on avait recensé 477 000 mises en chantier. Cependant, on prévoit que le nombre de logements mis en chantier et parachevés diminuera tout au long du troisième trimestre. ♦ L’économie américaine devrait afficher une croissance annualisée d’un peu moins de 2 % durant les six derniers mois de l’année. Les ménages se sont désendettés et leurs économies sont passées de 2 % avant la récession à environ 6 %. La dette des ménages en tant que pourcentage du revenu disponible s’est amoindrie de 12 % depuis 2007, et est revenue aux niveaux de 2005. Scène internationale ♦ La reprise du commerce mondial se confirme, le volume des échanges commerciaux s’étant amplifié de manière impressionnante depuis 12 mois, soit de plus de 20 %. Parallèlement à la remontée des échanges, la production industrielle a augmenté considérablement dans les pays émergents. Elle dépasse maintenant de 11,9 % le sommet précédant la récession et elle compense largement le ralentissement de la production industrielle constaté dans les économies avancées. ♦ L’économie de la zone euro poursuit sur sa lancée et les craintes d’un repli se sont quelque peu apaisées. Le PIB en dollars constants annualisé s’est accru et s’est chiffré à 3,9 % au deuxième trimestre. En Allemagne, le PIB a atteint un niveau incroyable de 9 %. La production manufacturière est montée en flèche, même en Espagne et au Portugal. Indicateurs économiques canadiens Fluctuation annuelle en % 2009 2010 2011 À moins d’avis contraire Projection Projection PIB (réel) -2,6 % 3,4 % 3,0 % Exportations -14,0 7,0 4,6 Dépenses de consommation 0,2 3,3 3,0 Investissement des sociétés -17,4 0,0 6,1 Bénéfices des sociétés (avant impôts) -33,2 22,1 12,1 Taux de chômage (%) 8,3 8,1 7,7 Taux d’inflation (tous les éléments) 0,3 1,9 2,2 Tendances des taux d’intérêt déc. déc. sept 2008 2009 2010 Taux préférentiel canadien 3,50 % 2,25 % 3,00 % Taux préférentiel américain 3,25 3,25 3,25 Effet de commerce à 30 jours Canada 2,24 0,36 1,04 É.-U. 0,38 0,20 0,21 Obligations à 5 ans Canada 1,69 2,77 2,03 É.-U. 1,55 2,68 1,27 Obligations à 30 ans Canada 3,46 4,08 3,36 É.-U. 2,68 4,64 3,68 $CAN/$US 0,8205 $ 0,9495 $ 0,9720 $ Rendements des indices du marché 2009 sept Cumul annuel Indice composé S&P/TSX 35,05 % 4,09 % 7,46 % Indice composé S&P 500 8,08 5,42 2,22 MS EAEO (net) 12,62 6,27 -0,55 MS Japon -9,07 1,28 1,43 MS Pacifique (excl. le Japon) 47,89 9,35 6,34 MS Europe 16,92 7,43 -1,67 MS Marchés émergents 53,00 7,56 9,24 Indice oblig. universel DEX 5,41 0,65 7,51 Fonds immobilier de la G.-W. (brut) 1,61 0,76 2,54 Tous les rendements sont exprimés en dollars canadiens et incluent les revenus. Source : TD Newcrest/PC-Bond, unité commerciale de TSX Inc. Copyright © TSX Inc. Tous droits réservés. Il est interdit de redistribuer, de vendre ou de modifier les renseignements du présent rapport ou de les utiliser pour créer un document dérivé sans le consentement préalable écrit de TSX Inc.
  2. 2. octobre, 2010 Page 2 R E V U E M E N S U E L L E D E L ’ É C O N O M I E E T D E S M A R C H É S F I N A N C I E R S INDICE COMPOSÉ S&P/TSX LES MARCHÉS BOURSIERS 10750 11000 11250 11500 11750 12000 12250 12500 sept/ 09 oct nov déc. j anv. f évr . mar s avr i l mai j ui n j ui l . août sept/ 10 Le marché boursier mondial a effectué une surprenante remontée en septembre, l’indice composé S&P/TSX ayant enregistré un gain mensuel de 4,1 % et atteint un nouveau sommet depuis la fin de la crise du crédit. Les titres de sociétés à petite et moyenne capitalisation ont fait encore mieux grâce à l’indice complémentaire, en hausse de 6,6 % pour le mois. La légère amélioration des récentes données économiques provenant des États-Unis a apaisé la crainte d’une récession à double creux. En outre, la Réserve fédérale a clairement indiqué qu’elle prendra d’autres mesures d’assouplissement quantitatif si la situation le justifie. Parmi les secteurs qui ont stimulé le marché au cours du mois, notons ceux de la technologie, des services aux collectivités et de la finance. Les rendements ont par ailleurs été compromis par les secteurs de la santé et des biens de consommation de base. L’indice composé S&P/TSX s’est enfin sorti de la fourchette de négociation dans laquelle il stagnait depuis septembre dernier, ce qui est encourageant. Les marchés des marchandises ont également repris leur élan, ce qui est partiellement attribuable aux tendances à l’égard des devises et à la vigueur des marchés émergents. Tout ceci vient appuyer nos prévisions optimistes pour ce qui est des actions canadiennes. Nous croyons qu’au cours des prochaines années, à mesure que les vents contraires d’ordre macroéconomique soufflant sur le marché continueront de s’apaiser, les actions auront un rendement relatif supérieur aux autres catégories d’actifs. INDICE STANDARD & POOR’S 500 1000 1050 1100 1150 1200 1250 sept./ 09 oct. nov. déc. j anv. f évr . mar s avr i l mai j ui n j ui l . août sept/ 10 Le marché boursier américain a connu son meilleur mois de septembre depuis 1939, affichant une hausse de 8,8 %. Ce rendement s’explique surtout par les attentes croissantes à l’égard des mesures d’assouplissement quantitatif qui pourraient être adoptées par la Réserve fédérale. Les secteurs de la technologie, de l’industrie et des biens de consommation discrétionnaire ont mené le bal, en croissance de 11 à 12 %, alors que les investisseurs se sont tournés vers les actions hautement cycliques. Par conséquent, les secteurs sûrs des services aux collectivités et des biens de consommation de base ont obtenu les pires résultats, soit des rendements de 2,6 % et de 5,4 % respectivement. La finance, qui est normalement considérée comme un secteur à caractère cyclique, est restée à la traîne, en augmentation de seulement 6 %. Le rendement relativement faible du secteur de la finance découle avant tout des préoccupations constantes quant à la réglementation envisagée et de ses répercussions sur la rentabilité à long terme. Les investisseurs continuent d’avoir peur de rater une reprise possible, tout en manifestant pourtant une grande aversion du risque, ce qui donne lieu à de fortes fluctuations sur le marché. Les données économiques sont toujours variables, ce qui laisse croire que l’expansion récemment observée aux États-Unis pourrait ne pas se poursuivre. La croissance de l’emploi demeure ténue, et les prix des maisons pourraient subir une nouvelle chute, puisqu’on prévoit qu’une autre vague de saisies hypothécaires s’abatte sur le marché. La stagnation actuelle de l’emploi constitue la plus grave entrave à l’essor des marchés boursiers. 1300 1350 1400 1450 1500 1550 1600 1650 sept/ 09 oct nov. déc. j anv. f évr . mar s avr i l mai j ui n j ui l . août sept/ 10 INDICE MS-EAEO LES MARCHÉS DES TITRES À REVENU FIXE En septembre, l’indice obligataire universel DEX, qui a enregistré un gain de 0,65 %, a poursuivi la très forte remontée entamée à la fin avril. Pour le mois, les meilleurs gains ont été affichés par le secteur des obligations à long terme de l’indice, dont les rendements ont diminué de 12 points de base, alors que les rendements des obligations à moyen terme n’ont baissé que de 7 points de base et que ceux des titres à court terme ont augmenté de 12 points de base. Le rendement mensuel des obligations des provinces a été excellent, soit de 1,23 %, celui des obligations de sociétés et des obligations du gouvernement fédéral s’étant élevé à 0,68 % et à 0,31 % respectivement. Le 8 septembre, la Banque du Canada a majoré son taux de financement à un jour de 0,25 %, le portant ainsi à 1 %. Les récents commentaires de la Banque suggèrent que le resserrement de la politique monétaire est maintenant suspendu indéfiniment, le temps qu’elle surveille la conjoncture au Canada, aux États-Unis et dans le monde. La Réserve fédérale américaine a indiqué qu’une deuxième vague de mesures d’assouplissement quantitatif serait mise en œuvre sous peu si l’économie ne commençait pas à montrer des signes d’amélioration, particulièrement dans le secteur névralgique de l’emploi. Dans une telle conjoncture, les taux d’intérêt au Canada devraient rester proches des niveaux actuels pour le reste de l’année, à moins que les économies canadienne et américaine enregistrent une croissance inattendue. INDICE OBLIGATAIRE UNIVERSEL DEX* 2.7 2.8 2.9 3.0 3.1 3.2 3.3 3.4 3.5 3.6 sept/ 09 oct nov. déc. j anv. f évr . mar s avr i l mai j ui n j ui l . août sept/ 10 * Anciennement l’indice obligataire universel Marchés des capitaux Scotia Les opinions exprimées dans le présent commentaire n'engagent que la Société de gestion d’investissements GWL Ltée (« SGIGWL ») à la date de leur publication et peuvent changer sans préavis. Ce commentaire n'est présenté qu'à titre d’information et n'a pas pour but d'inciter le lecteur à acheter ou à vendre des produits de placement précis, ni de fournir des conseils juridiques ou fiscaux. Tout investisseur potentiel devrait étudier avec soin les documents de placement avant de prendre la décision d'investir et s'adresser à son représentant pour obtenir des conseils en fonction de sa situation particulière. SGIGWL est une filiale de La Great-West, compagnie d’assurance-vie. La Great-West et SGIGWL sont membres du groupe de sociétés de la Corporation Financière Power. © Société de gestion d’investissements GWL Ltée, 2010

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