38. ...
“The Net is a waste of time [...]”
William Gibson, New York Times, 1996
Microsoft lance
Les interfaces graphiques
sont des gadgets.
Windows
“There is no reason for any individual IBM lance le premier PC
to have a computer in his home”
Ken Olson, fondateur de DEC, 1977
“I think there is a world market L’informatique envahit les entreprises
for maybe five computers”
Tom Watson, IBM chairman, 1943
Invention des ordinateurs
40. Je n’ai pas confiance
dans Facebook
Web 2.0, Web²... Ou vont mes données
personnelles?
En France, on a la CNIL.
Mais ailleurs?
Jamais je n’utiliserai les
...
réseaux sociaux
Ma cousine dévoile toute
sa vie sur Internet
Vous et moi, nous avons un point en commun.
Vous et moi, nous faisons parti d’une élite.
Nous faisons parti d’une des 10 espèces animales qui utilisent des outils pour améliorer son existence.
Quand on pense aux outils, on pense rapidement aux outils du garage, comme une clé. Mais c’est quoi un outil ?
J’ai eu cette « révélation » il n’y a pas très longtemps et pas très loin d’ici, à la Volerie des Aigles de Kintzheim, près de Sélestat (67). L’oiseau que vous voyez sur la photo est un vautour. C’est un vautour percnoptère. Il utilise une pierre pour casser les œufs d’autruche. Une fois l’œuf cassé, il peut manger son contenu.
Vous et moi, nous avons un point en commun.
Vous et moi, nous faisons parti d’une élite.
Nous faisons parti d’une des 10 espèces animales qui utilisent des outils pour améliorer son existence.
Quand on pense aux outils, on pense rapidement aux outils du garage, comme une clé. Mais c’est quoi un outil ?
J’ai eu cette « révélation » il n’y a pas très longtemps et pas très loin d’ici, à la Volerie des Aigles de Kintzheim, près de Sélestat (67). L’oiseau que vous voyez sur la photo est un vautour. C’est un vautour percnoptère. Il utilise une pierre pour casser les œufs d’autruche. Une fois l’œuf cassé, il peut manger son contenu.
Vous et moi, nous avons un point en commun.
Vous et moi, nous faisons parti d’une élite.
Nous faisons parti d’une des 10 espèces animales qui utilisent des outils pour améliorer son existence.
Quand on pense aux outils, on pense rapidement aux outils du garage, comme une clé. Mais c’est quoi un outil ?
J’ai eu cette « révélation » il n’y a pas très longtemps et pas très loin d’ici, à la Volerie des Aigles de Kintzheim, près de Sélestat (67). L’oiseau que vous voyez sur la photo est un vautour. C’est un vautour percnoptère. Il utilise une pierre pour casser les œufs d’autruche. Une fois l’œuf cassé, il peut manger son contenu.
L’homme préhistorique a créé ses outils pour mieux chasser, pour se façonner ses habits. Quand on imagine les hommes préhistoriques, on pense à ces bruts qui allaient chasser le mammouth. Pourtant, les hommes préhistoriques avaient des aiguilles pour coudre les morceaux de peau entre eux et ainsi, mieux s’habiller.
L’homme préhistorique a créé ses outils pour mieux chasser, pour se façonner ses habits. Quand on imagine les hommes préhistoriques, on pense à ces bruts qui allaient chasser le mammouth. Pourtant, les hommes préhistoriques avaient des aiguilles pour coudre les morceaux de peau entre eux et ainsi, mieux s’habiller.
L’homme préhistorique a créé ses outils pour mieux chasser, pour se façonner ses habits. Quand on imagine les hommes préhistoriques, on pense à ces bruts qui allaient chasser le mammouth. Pourtant, les hommes préhistoriques avaient des aiguilles pour coudre les morceaux de peau entre eux et ainsi, mieux s’habiller.
Quand on pense aux Gaulois, on pense plus facilement à Asterix et à Obelix, qui n’est pas gros, mais légèrement enveloppé. Pourtant, ce sont les Gaulois qui ont inventé la première moissonneuse.
Quand on pense aux Gaulois, on pense plus facilement à Asterix et à Obelix, qui n’est pas gros, mais légèrement enveloppé. Pourtant, ce sont les Gaulois qui ont inventé la première moissonneuse.
Quand on pense aux Gaulois, on pense plus facilement à Asterix et à Obelix, qui n’est pas gros, mais légèrement enveloppé. Pourtant, ce sont les Gaulois qui ont inventé la première moissonneuse.
En 1896, lorsque les frères Lumière projettent leur film « l'arrivée d'un train à La Ciotat », une légende urbaine veut que la foule ait quitté le cinéma en paniquant. Si nous étions resté sur cette peur fondamentale, jamais nous n’aurions pu avoir des films comme Avatar.
En 1896, lorsque les frères Lumière projettent leur film « l'arrivée d'un train à La Ciotat », une légende urbaine veut que la foule ait quitté le cinéma en paniquant. Si nous étions resté sur cette peur fondamentale, jamais nous n’aurions pu avoir des films comme Avatar.
En 1896, lorsque les frères Lumière projettent leur film « l'arrivée d'un train à La Ciotat », une légende urbaine veut que la foule ait quitté le cinéma en paniquant. Si nous étions resté sur cette peur fondamentale, jamais nous n’aurions pu avoir des films comme Avatar.
Quand j’avais une dizaine d’années, j’habitais au Maroc, mon papa était directeur d’une usine. Quand on me demandait ce que je voulais faire quand je serai grand, je répondais « ingénieur en robotique ». A l’époque, mes motivations n’étaient pas encore très claires, je répondais souvent, à tord, « pour créer du chômage ». Quand on est au début de l’adolescence, on n’est pas forcément au meilleur de sa forme, intellectuellement parlant…
En fait, pendant longtemps, je me suis demandé pourquoi. Je me suis demandé qu’elles avaient été mes motivations profondes pour une telle pensée.
J’en suis arrivé à la conclusion que je voulais améliorer l’existence de mon prochain. Bien que les conditions de travail dans l’usine de mon papa étaient très bonnes, je voulais que le travail soit plus agréable, soit moins abrutissant. C’est pour cela que je voulais construire des robots.
Quand j’avais une dizaine d’années, j’habitais au Maroc, mon papa était directeur d’une usine. Quand on me demandait ce que je voulais faire quand je serai grand, je répondais « ingénieur en robotique ». A l’époque, mes motivations n’étaient pas encore très claires, je répondais souvent, à tord, « pour créer du chômage ». Quand on est au début de l’adolescence, on n’est pas forcément au meilleur de sa forme, intellectuellement parlant…
En fait, pendant longtemps, je me suis demandé pourquoi. Je me suis demandé qu’elles avaient été mes motivations profondes pour une telle pensée.
J’en suis arrivé à la conclusion que je voulais améliorer l’existence de mon prochain. Bien que les conditions de travail dans l’usine de mon papa étaient très bonnes, je voulais que le travail soit plus agréable, soit moins abrutissant. C’est pour cela que je voulais construire des robots.
Quand j’avais une dizaine d’années, j’habitais au Maroc, mon papa était directeur d’une usine. Quand on me demandait ce que je voulais faire quand je serai grand, je répondais « ingénieur en robotique ». A l’époque, mes motivations n’étaient pas encore très claires, je répondais souvent, à tord, « pour créer du chômage ». Quand on est au début de l’adolescence, on n’est pas forcément au meilleur de sa forme, intellectuellement parlant…
En fait, pendant longtemps, je me suis demandé pourquoi. Je me suis demandé qu’elles avaient été mes motivations profondes pour une telle pensée.
J’en suis arrivé à la conclusion que je voulais améliorer l’existence de mon prochain. Bien que les conditions de travail dans l’usine de mon papa étaient très bonnes, je voulais que le travail soit plus agréable, soit moins abrutissant. C’est pour cela que je voulais construire des robots.
Les robots font peur. Même, s’il n’y a rien de rationnel à cela. Il faut éduquer, expliquer, démontrer que cela est positif.
Les robots font peur. Même, s’il n’y a rien de rationnel à cela. Il faut éduquer, expliquer, démontrer que cela est positif.
Les robots font peur. Même, s’il n’y a rien de rationnel à cela. Il faut éduquer, expliquer, démontrer que cela est positif.
Les robots font peur. Même, s’il n’y a rien de rationnel à cela. Il faut éduquer, expliquer, démontrer que cela est positif.
Il y a aussi des conséquences amusantes de certaines inventions. Alexander Graham Bell avait inventé le téléphone pour que les gens normaux, comme vous et moi, puissent appeler des savants pour s’instruire et, ainsi, améliorer leur existence. Un TED avant l’heure… Heureusement (ou malheureusement), d’autres usages ont tout de même étaient trouvés.
Il y a aussi des conséquences amusantes de certaines inventions. Alexander Graham Bell avait inventé le téléphone pour que les gens normaux, comme vous et moi, puissent appeler des savants pour s’instruire et, ainsi, améliorer leur existence. Un TED avant l’heure… Heureusement (ou malheureusement), d’autres usages ont tout de même étaient trouvés.
Il y a aussi des conséquences amusantes de certaines inventions. Alexander Graham Bell avait inventé le téléphone pour que les gens normaux, comme vous et moi, puissent appeler des savants pour s’instruire et, ainsi, améliorer leur existence. Un TED avant l’heure… Heureusement (ou malheureusement), d’autres usages ont tout de même étaient trouvés.
Vers le milieu des années ’90, après avoir fini mes études, j’ai combiné “élevage de startups” et “fabriquant d’outils de développement”. A l’époque, on ne parlait pas de startups, on parlait d’entreprise. On ne parlait pas de burn rate, mais de bilans. La motivation derrière Pandemonium ? Faciliter l’accès à Internet au plus grand nombre. Nous étions parmis les tous premiers FAI en France.
Mon autre “moi” travaillait pour rendre le développement informatique plus simple.
Je mélangeais outils, web, innovations...
Vers le milieu des années ’90, après avoir fini mes études, j’ai combiné “élevage de startups” et “fabriquant d’outils de développement”. A l’époque, on ne parlait pas de startups, on parlait d’entreprise. On ne parlait pas de burn rate, mais de bilans. La motivation derrière Pandemonium ? Faciliter l’accès à Internet au plus grand nombre. Nous étions parmis les tous premiers FAI en France.
Mon autre “moi” travaillait pour rendre le développement informatique plus simple.
Je mélangeais outils, web, innovations...
Vers le milieu des années ’90, après avoir fini mes études, j’ai combiné “élevage de startups” et “fabriquant d’outils de développement”. A l’époque, on ne parlait pas de startups, on parlait d’entreprise. On ne parlait pas de burn rate, mais de bilans. La motivation derrière Pandemonium ? Faciliter l’accès à Internet au plus grand nombre. Nous étions parmis les tous premiers FAI en France.
Mon autre “moi” travaillait pour rendre le développement informatique plus simple.
Je mélangeais outils, web, innovations...
De tout temps, l’homme a créé des outils. Pour moi, sa motivation première est d’améliorer son existence et, éventuellement, en fonction de son niveau d’altruisme, celle des autres. Du coup, j’ai pensé à un schéma très simple de l’adoption des technologies et des outils.
Je vais faire un tout petit peu de mathématique. En abscisse, je mets le temps. En ordonnée, je mets l’amélioration de l’existence. Certes, il n’y a pas vraiment d’unité de mesure pour cela, mais nous allons l’imaginer.
Je décompose mon cycle entre 3 étapes, la phase d’innovation initiale et de découverte. Puis nous arrivons sur une phase de peur et d’interrogation. Pour finalement arriver à ce que j’appelle le saut quantique.
Les exemples sont nombreux, je vous ai parlé des robots, du cinéma… Je n’ai pas trouvé de traces concernant les hommes préhistoriques ou les Gaulois, mais je pense que nous pouvons facilement imaginer qu’à la vue d’une hache en silex, un néanderthalien ne devait pas être très rassuré. Pareil pour le téléphone de M. Bell, pour le fardier de M. Cugnot, pour la lampe à incandescence de M. Edison, pour les premières fusées envoyées dans l’espace…
Je me souviens encore de ma grand-mère qui disait « la météo est toute détraquée, c’est à cause de tous ces satellites qu’on envoie dans l’espace ».
De tout temps, l’homme a créé des outils. Pour moi, sa motivation première est d’améliorer son existence et, éventuellement, en fonction de son niveau d’altruisme, celle des autres. Du coup, j’ai pensé à un schéma très simple de l’adoption des technologies et des outils.
Je vais faire un tout petit peu de mathématique. En abscisse, je mets le temps. En ordonnée, je mets l’amélioration de l’existence. Certes, il n’y a pas vraiment d’unité de mesure pour cela, mais nous allons l’imaginer.
Je décompose mon cycle entre 3 étapes, la phase d’innovation initiale et de découverte. Puis nous arrivons sur une phase de peur et d’interrogation. Pour finalement arriver à ce que j’appelle le saut quantique.
Les exemples sont nombreux, je vous ai parlé des robots, du cinéma… Je n’ai pas trouvé de traces concernant les hommes préhistoriques ou les Gaulois, mais je pense que nous pouvons facilement imaginer qu’à la vue d’une hache en silex, un néanderthalien ne devait pas être très rassuré. Pareil pour le téléphone de M. Bell, pour le fardier de M. Cugnot, pour la lampe à incandescence de M. Edison, pour les premières fusées envoyées dans l’espace…
Je me souviens encore de ma grand-mère qui disait « la météo est toute détraquée, c’est à cause de tous ces satellites qu’on envoie dans l’espace ».
De tout temps, l’homme a créé des outils. Pour moi, sa motivation première est d’améliorer son existence et, éventuellement, en fonction de son niveau d’altruisme, celle des autres. Du coup, j’ai pensé à un schéma très simple de l’adoption des technologies et des outils.
Je vais faire un tout petit peu de mathématique. En abscisse, je mets le temps. En ordonnée, je mets l’amélioration de l’existence. Certes, il n’y a pas vraiment d’unité de mesure pour cela, mais nous allons l’imaginer.
Je décompose mon cycle entre 3 étapes, la phase d’innovation initiale et de découverte. Puis nous arrivons sur une phase de peur et d’interrogation. Pour finalement arriver à ce que j’appelle le saut quantique.
Les exemples sont nombreux, je vous ai parlé des robots, du cinéma… Je n’ai pas trouvé de traces concernant les hommes préhistoriques ou les Gaulois, mais je pense que nous pouvons facilement imaginer qu’à la vue d’une hache en silex, un néanderthalien ne devait pas être très rassuré. Pareil pour le téléphone de M. Bell, pour le fardier de M. Cugnot, pour la lampe à incandescence de M. Edison, pour les premières fusées envoyées dans l’espace…
Je me souviens encore de ma grand-mère qui disait « la météo est toute détraquée, c’est à cause de tous ces satellites qu’on envoie dans l’espace ».
De tout temps, l’homme a créé des outils. Pour moi, sa motivation première est d’améliorer son existence et, éventuellement, en fonction de son niveau d’altruisme, celle des autres. Du coup, j’ai pensé à un schéma très simple de l’adoption des technologies et des outils.
Je vais faire un tout petit peu de mathématique. En abscisse, je mets le temps. En ordonnée, je mets l’amélioration de l’existence. Certes, il n’y a pas vraiment d’unité de mesure pour cela, mais nous allons l’imaginer.
Je décompose mon cycle entre 3 étapes, la phase d’innovation initiale et de découverte. Puis nous arrivons sur une phase de peur et d’interrogation. Pour finalement arriver à ce que j’appelle le saut quantique.
Les exemples sont nombreux, je vous ai parlé des robots, du cinéma… Je n’ai pas trouvé de traces concernant les hommes préhistoriques ou les Gaulois, mais je pense que nous pouvons facilement imaginer qu’à la vue d’une hache en silex, un néanderthalien ne devait pas être très rassuré. Pareil pour le téléphone de M. Bell, pour le fardier de M. Cugnot, pour la lampe à incandescence de M. Edison, pour les premières fusées envoyées dans l’espace…
Je me souviens encore de ma grand-mère qui disait « la météo est toute détraquée, c’est à cause de tous ces satellites qu’on envoie dans l’espace ».
De tout temps, l’homme a créé des outils. Pour moi, sa motivation première est d’améliorer son existence et, éventuellement, en fonction de son niveau d’altruisme, celle des autres. Du coup, j’ai pensé à un schéma très simple de l’adoption des technologies et des outils.
Je vais faire un tout petit peu de mathématique. En abscisse, je mets le temps. En ordonnée, je mets l’amélioration de l’existence. Certes, il n’y a pas vraiment d’unité de mesure pour cela, mais nous allons l’imaginer.
Je décompose mon cycle entre 3 étapes, la phase d’innovation initiale et de découverte. Puis nous arrivons sur une phase de peur et d’interrogation. Pour finalement arriver à ce que j’appelle le saut quantique.
Les exemples sont nombreux, je vous ai parlé des robots, du cinéma… Je n’ai pas trouvé de traces concernant les hommes préhistoriques ou les Gaulois, mais je pense que nous pouvons facilement imaginer qu’à la vue d’une hache en silex, un néanderthalien ne devait pas être très rassuré. Pareil pour le téléphone de M. Bell, pour le fardier de M. Cugnot, pour la lampe à incandescence de M. Edison, pour les premières fusées envoyées dans l’espace…
Je me souviens encore de ma grand-mère qui disait « la météo est toute détraquée, c’est à cause de tous ces satellites qu’on envoie dans l’espace ».
De tout temps, l’homme a créé des outils. Pour moi, sa motivation première est d’améliorer son existence et, éventuellement, en fonction de son niveau d’altruisme, celle des autres. Du coup, j’ai pensé à un schéma très simple de l’adoption des technologies et des outils.
Je vais faire un tout petit peu de mathématique. En abscisse, je mets le temps. En ordonnée, je mets l’amélioration de l’existence. Certes, il n’y a pas vraiment d’unité de mesure pour cela, mais nous allons l’imaginer.
Je décompose mon cycle entre 3 étapes, la phase d’innovation initiale et de découverte. Puis nous arrivons sur une phase de peur et d’interrogation. Pour finalement arriver à ce que j’appelle le saut quantique.
Les exemples sont nombreux, je vous ai parlé des robots, du cinéma… Je n’ai pas trouvé de traces concernant les hommes préhistoriques ou les Gaulois, mais je pense que nous pouvons facilement imaginer qu’à la vue d’une hache en silex, un néanderthalien ne devait pas être très rassuré. Pareil pour le téléphone de M. Bell, pour le fardier de M. Cugnot, pour la lampe à incandescence de M. Edison, pour les premières fusées envoyées dans l’espace…
Je me souviens encore de ma grand-mère qui disait « la météo est toute détraquée, c’est à cause de tous ces satellites qu’on envoie dans l’espace ».
De tout temps, l’homme a créé des outils. Pour moi, sa motivation première est d’améliorer son existence et, éventuellement, en fonction de son niveau d’altruisme, celle des autres. Du coup, j’ai pensé à un schéma très simple de l’adoption des technologies et des outils.
Je vais faire un tout petit peu de mathématique. En abscisse, je mets le temps. En ordonnée, je mets l’amélioration de l’existence. Certes, il n’y a pas vraiment d’unité de mesure pour cela, mais nous allons l’imaginer.
Je décompose mon cycle entre 3 étapes, la phase d’innovation initiale et de découverte. Puis nous arrivons sur une phase de peur et d’interrogation. Pour finalement arriver à ce que j’appelle le saut quantique.
Les exemples sont nombreux, je vous ai parlé des robots, du cinéma… Je n’ai pas trouvé de traces concernant les hommes préhistoriques ou les Gaulois, mais je pense que nous pouvons facilement imaginer qu’à la vue d’une hache en silex, un néanderthalien ne devait pas être très rassuré. Pareil pour le téléphone de M. Bell, pour le fardier de M. Cugnot, pour la lampe à incandescence de M. Edison, pour les premières fusées envoyées dans l’espace…
Je me souviens encore de ma grand-mère qui disait « la météo est toute détraquée, c’est à cause de tous ces satellites qu’on envoie dans l’espace ».
De tout temps, l’homme a créé des outils. Pour moi, sa motivation première est d’améliorer son existence et, éventuellement, en fonction de son niveau d’altruisme, celle des autres. Du coup, j’ai pensé à un schéma très simple de l’adoption des technologies et des outils.
Je vais faire un tout petit peu de mathématique. En abscisse, je mets le temps. En ordonnée, je mets l’amélioration de l’existence. Certes, il n’y a pas vraiment d’unité de mesure pour cela, mais nous allons l’imaginer.
Je décompose mon cycle entre 3 étapes, la phase d’innovation initiale et de découverte. Puis nous arrivons sur une phase de peur et d’interrogation. Pour finalement arriver à ce que j’appelle le saut quantique.
Les exemples sont nombreux, je vous ai parlé des robots, du cinéma… Je n’ai pas trouvé de traces concernant les hommes préhistoriques ou les Gaulois, mais je pense que nous pouvons facilement imaginer qu’à la vue d’une hache en silex, un néanderthalien ne devait pas être très rassuré. Pareil pour le téléphone de M. Bell, pour le fardier de M. Cugnot, pour la lampe à incandescence de M. Edison, pour les premières fusées envoyées dans l’espace…
Je me souviens encore de ma grand-mère qui disait « la météo est toute détraquée, c’est à cause de tous ces satellites qu’on envoie dans l’espace ».
De tout temps, l’homme a créé des outils. Pour moi, sa motivation première est d’améliorer son existence et, éventuellement, en fonction de son niveau d’altruisme, celle des autres. Du coup, j’ai pensé à un schéma très simple de l’adoption des technologies et des outils.
Je vais faire un tout petit peu de mathématique. En abscisse, je mets le temps. En ordonnée, je mets l’amélioration de l’existence. Certes, il n’y a pas vraiment d’unité de mesure pour cela, mais nous allons l’imaginer.
Je décompose mon cycle entre 3 étapes, la phase d’innovation initiale et de découverte. Puis nous arrivons sur une phase de peur et d’interrogation. Pour finalement arriver à ce que j’appelle le saut quantique.
Les exemples sont nombreux, je vous ai parlé des robots, du cinéma… Je n’ai pas trouvé de traces concernant les hommes préhistoriques ou les Gaulois, mais je pense que nous pouvons facilement imaginer qu’à la vue d’une hache en silex, un néanderthalien ne devait pas être très rassuré. Pareil pour le téléphone de M. Bell, pour le fardier de M. Cugnot, pour la lampe à incandescence de M. Edison, pour les premières fusées envoyées dans l’espace…
Je me souviens encore de ma grand-mère qui disait « la météo est toute détraquée, c’est à cause de tous ces satellites qu’on envoie dans l’espace ».
De tout temps, l’homme a créé des outils. Pour moi, sa motivation première est d’améliorer son existence et, éventuellement, en fonction de son niveau d’altruisme, celle des autres. Du coup, j’ai pensé à un schéma très simple de l’adoption des technologies et des outils.
Je vais faire un tout petit peu de mathématique. En abscisse, je mets le temps. En ordonnée, je mets l’amélioration de l’existence. Certes, il n’y a pas vraiment d’unité de mesure pour cela, mais nous allons l’imaginer.
Je décompose mon cycle entre 3 étapes, la phase d’innovation initiale et de découverte. Puis nous arrivons sur une phase de peur et d’interrogation. Pour finalement arriver à ce que j’appelle le saut quantique.
Les exemples sont nombreux, je vous ai parlé des robots, du cinéma… Je n’ai pas trouvé de traces concernant les hommes préhistoriques ou les Gaulois, mais je pense que nous pouvons facilement imaginer qu’à la vue d’une hache en silex, un néanderthalien ne devait pas être très rassuré. Pareil pour le téléphone de M. Bell, pour le fardier de M. Cugnot, pour la lampe à incandescence de M. Edison, pour les premières fusées envoyées dans l’espace…
Je me souviens encore de ma grand-mère qui disait « la météo est toute détraquée, c’est à cause de tous ces satellites qu’on envoie dans l’espace ».
De tout temps, l’homme a créé des outils. Pour moi, sa motivation première est d’améliorer son existence et, éventuellement, en fonction de son niveau d’altruisme, celle des autres. Du coup, j’ai pensé à un schéma très simple de l’adoption des technologies et des outils.
Je vais faire un tout petit peu de mathématique. En abscisse, je mets le temps. En ordonnée, je mets l’amélioration de l’existence. Certes, il n’y a pas vraiment d’unité de mesure pour cela, mais nous allons l’imaginer.
Je décompose mon cycle entre 3 étapes, la phase d’innovation initiale et de découverte. Puis nous arrivons sur une phase de peur et d’interrogation. Pour finalement arriver à ce que j’appelle le saut quantique.
Les exemples sont nombreux, je vous ai parlé des robots, du cinéma… Je n’ai pas trouvé de traces concernant les hommes préhistoriques ou les Gaulois, mais je pense que nous pouvons facilement imaginer qu’à la vue d’une hache en silex, un néanderthalien ne devait pas être très rassuré. Pareil pour le téléphone de M. Bell, pour le fardier de M. Cugnot, pour la lampe à incandescence de M. Edison, pour les premières fusées envoyées dans l’espace…
Je me souviens encore de ma grand-mère qui disait « la météo est toute détraquée, c’est à cause de tous ces satellites qu’on envoie dans l’espace ».
De tout temps, l’homme a créé des outils. Pour moi, sa motivation première est d’améliorer son existence et, éventuellement, en fonction de son niveau d’altruisme, celle des autres. Du coup, j’ai pensé à un schéma très simple de l’adoption des technologies et des outils.
Je vais faire un tout petit peu de mathématique. En abscisse, je mets le temps. En ordonnée, je mets l’amélioration de l’existence. Certes, il n’y a pas vraiment d’unité de mesure pour cela, mais nous allons l’imaginer.
Je décompose mon cycle entre 3 étapes, la phase d’innovation initiale et de découverte. Puis nous arrivons sur une phase de peur et d’interrogation. Pour finalement arriver à ce que j’appelle le saut quantique.
Les exemples sont nombreux, je vous ai parlé des robots, du cinéma… Je n’ai pas trouvé de traces concernant les hommes préhistoriques ou les Gaulois, mais je pense que nous pouvons facilement imaginer qu’à la vue d’une hache en silex, un néanderthalien ne devait pas être très rassuré. Pareil pour le téléphone de M. Bell, pour le fardier de M. Cugnot, pour la lampe à incandescence de M. Edison, pour les premières fusées envoyées dans l’espace…
Je me souviens encore de ma grand-mère qui disait « la météo est toute détraquée, c’est à cause de tous ces satellites qu’on envoie dans l’espace ».
De tout temps, l’homme a créé des outils. Pour moi, sa motivation première est d’améliorer son existence et, éventuellement, en fonction de son niveau d’altruisme, celle des autres. Du coup, j’ai pensé à un schéma très simple de l’adoption des technologies et des outils.
Je vais faire un tout petit peu de mathématique. En abscisse, je mets le temps. En ordonnée, je mets l’amélioration de l’existence. Certes, il n’y a pas vraiment d’unité de mesure pour cela, mais nous allons l’imaginer.
Je décompose mon cycle entre 3 étapes, la phase d’innovation initiale et de découverte. Puis nous arrivons sur une phase de peur et d’interrogation. Pour finalement arriver à ce que j’appelle le saut quantique.
Les exemples sont nombreux, je vous ai parlé des robots, du cinéma… Je n’ai pas trouvé de traces concernant les hommes préhistoriques ou les Gaulois, mais je pense que nous pouvons facilement imaginer qu’à la vue d’une hache en silex, un néanderthalien ne devait pas être très rassuré. Pareil pour le téléphone de M. Bell, pour le fardier de M. Cugnot, pour la lampe à incandescence de M. Edison, pour les premières fusées envoyées dans l’espace…
Je me souviens encore de ma grand-mère qui disait « la météo est toute détraquée, c’est à cause de tous ces satellites qu’on envoie dans l’espace ».
Je vais prendre un autre exemple, plus concret et plus proche de nous et que je connais plutôt bien…
Au début de l’Internet, tout le monde a rapidement trouvé ça génial. C’était tellement génial qu’une bulle spéculative est née. Elle a explosé. En explosant, elle a créé une peur irrationnelle : « toutes les entreprises du net allaient péricliter ». D’ailleurs, cette idée reste bien ancrée dans la tête de nombreux financeurs de notre belle région.
Mais, heureusement, le Web 2.0, maintenant le Web Squared, sont apparus, permettant ce bond quantique.
Je vais prendre un autre exemple, plus concret et plus proche de nous et que je connais plutôt bien…
Au début de l’Internet, tout le monde a rapidement trouvé ça génial. C’était tellement génial qu’une bulle spéculative est née. Elle a explosé. En explosant, elle a créé une peur irrationnelle : « toutes les entreprises du net allaient péricliter ». D’ailleurs, cette idée reste bien ancrée dans la tête de nombreux financeurs de notre belle région.
Mais, heureusement, le Web 2.0, maintenant le Web Squared, sont apparus, permettant ce bond quantique.
Je vais prendre un autre exemple, plus concret et plus proche de nous et que je connais plutôt bien…
Au début de l’Internet, tout le monde a rapidement trouvé ça génial. C’était tellement génial qu’une bulle spéculative est née. Elle a explosé. En explosant, elle a créé une peur irrationnelle : « toutes les entreprises du net allaient péricliter ». D’ailleurs, cette idée reste bien ancrée dans la tête de nombreux financeurs de notre belle région.
Mais, heureusement, le Web 2.0, maintenant le Web Squared, sont apparus, permettant ce bond quantique.
Et maintenant ?
L’homme fabrique des outils de plus en plus complexes. Cet été, pendant nos vacances aux Etats-Unis, ma femme et moi, nous nous sommes achetés un robot qui nettoie les sols de notre maison.
J’ai un robot qui parcoure ma maison automatiquement.
Notre existence a été améliorée.
Avant de continuer, je pense qu’il est important de comprendre que cette courbe se multiplie à l’infini. Une de mes citations préférées est celle de Thomas Watson, l’auteur du célèbre « Think » d’IBM. Tom Watson a été le président de la compagnie. En 1943, il pensait que le marché mondial des ordinateurs serait limité à cinq…
Plus récemment, en 1977, le président et fondateur de Digital Equipement (DEC) dit que l’ordinateur n’a pas sa place à la maison. C’est un exemple, mais beaucoup pense comme lui.
Les exemples sont nombreux.
Avant de continuer, je pense qu’il est important de comprendre que cette courbe se multiplie à l’infini. Une de mes citations préférées est celle de Thomas Watson, l’auteur du célèbre « Think » d’IBM. Tom Watson a été le président de la compagnie. En 1943, il pensait que le marché mondial des ordinateurs serait limité à cinq…
Plus récemment, en 1977, le président et fondateur de Digital Equipement (DEC) dit que l’ordinateur n’a pas sa place à la maison. C’est un exemple, mais beaucoup pense comme lui.
Les exemples sont nombreux.
Avant de continuer, je pense qu’il est important de comprendre que cette courbe se multiplie à l’infini. Une de mes citations préférées est celle de Thomas Watson, l’auteur du célèbre « Think » d’IBM. Tom Watson a été le président de la compagnie. En 1943, il pensait que le marché mondial des ordinateurs serait limité à cinq…
Plus récemment, en 1977, le président et fondateur de Digital Equipement (DEC) dit que l’ordinateur n’a pas sa place à la maison. C’est un exemple, mais beaucoup pense comme lui.
Les exemples sont nombreux.
Avant de continuer, je pense qu’il est important de comprendre que cette courbe se multiplie à l’infini. Une de mes citations préférées est celle de Thomas Watson, l’auteur du célèbre « Think » d’IBM. Tom Watson a été le président de la compagnie. En 1943, il pensait que le marché mondial des ordinateurs serait limité à cinq…
Plus récemment, en 1977, le président et fondateur de Digital Equipement (DEC) dit que l’ordinateur n’a pas sa place à la maison. C’est un exemple, mais beaucoup pense comme lui.
Les exemples sont nombreux.
Avant de continuer, je pense qu’il est important de comprendre que cette courbe se multiplie à l’infini. Une de mes citations préférées est celle de Thomas Watson, l’auteur du célèbre « Think » d’IBM. Tom Watson a été le président de la compagnie. En 1943, il pensait que le marché mondial des ordinateurs serait limité à cinq…
Plus récemment, en 1977, le président et fondateur de Digital Equipement (DEC) dit que l’ordinateur n’a pas sa place à la maison. C’est un exemple, mais beaucoup pense comme lui.
Les exemples sont nombreux.
Avant de continuer, je pense qu’il est important de comprendre que cette courbe se multiplie à l’infini. Une de mes citations préférées est celle de Thomas Watson, l’auteur du célèbre « Think » d’IBM. Tom Watson a été le président de la compagnie. En 1943, il pensait que le marché mondial des ordinateurs serait limité à cinq…
Plus récemment, en 1977, le président et fondateur de Digital Equipement (DEC) dit que l’ordinateur n’a pas sa place à la maison. C’est un exemple, mais beaucoup pense comme lui.
Les exemples sont nombreux.
Avant de continuer, je pense qu’il est important de comprendre que cette courbe se multiplie à l’infini. Une de mes citations préférées est celle de Thomas Watson, l’auteur du célèbre « Think » d’IBM. Tom Watson a été le président de la compagnie. En 1943, il pensait que le marché mondial des ordinateurs serait limité à cinq…
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Plus récemment, en 1977, le président et fondateur de Digital Equipement (DEC) dit que l’ordinateur n’a pas sa place à la maison. C’est un exemple, mais beaucoup pense comme lui.
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Plus récemment, en 1977, le président et fondateur de Digital Equipement (DEC) dit que l’ordinateur n’a pas sa place à la maison. C’est un exemple, mais beaucoup pense comme lui.
Les exemples sont nombreux.
Où en sommes-nous dans le développement de nos outils ? Je vois un de ces paliers en ce moment. Ce palier arrive au moment où le Web 2.0 et le Web squared se démocratisent doucement.
On entend les peurs irrationnelles qui sont derrières ce palier.
Je n’ai pas confiance dans l’Internet. Je n’ai pas confiance dans Facebook. J’ai peur de me faire avoir. Où sont mes données personnelles ? Comment est-ce que je sais si elles sont bien protégées ?
Mon objectif aujourd’hui n’est pas d’essayer de réfuter chaque argument. Posez-vous des questions. Quelle garantie vous offre votre banque pour protéger vos comptes ? Que se passe-t-il si je perds les clés de ma voiture ? Vous souvenez-vous de Père-Noël.fr ?
Père-Noël.fr a été une des plus grosses catastrophes dans l’e-commerce français, mais plus personne ne s’en souvient.
Où en sommes-nous dans le développement de nos outils ? Je vois un de ces paliers en ce moment. Ce palier arrive au moment où le Web 2.0 et le Web squared se démocratisent doucement.
On entend les peurs irrationnelles qui sont derrières ce palier.
Je n’ai pas confiance dans l’Internet. Je n’ai pas confiance dans Facebook. J’ai peur de me faire avoir. Où sont mes données personnelles ? Comment est-ce que je sais si elles sont bien protégées ?
Mon objectif aujourd’hui n’est pas d’essayer de réfuter chaque argument. Posez-vous des questions. Quelle garantie vous offre votre banque pour protéger vos comptes ? Que se passe-t-il si je perds les clés de ma voiture ? Vous souvenez-vous de Père-Noël.fr ?
Père-Noël.fr a été une des plus grosses catastrophes dans l’e-commerce français, mais plus personne ne s’en souvient.
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Père-Noël.fr a été une des plus grosses catastrophes dans l’e-commerce français, mais plus personne ne s’en souvient.
Beaucoup de nos outils sont devenus de vraies machines.
Et, le fait que nous nous posions toutes ces questions, c’est tout simplement parce que nous ne faisons pas confiance aux Machines.
Certes, nous faisons confiance à un certain nombres de machines : son lave vaisselle, sa voiture, le train que j’ai pris pour m’amener ici, et l’ensemble des mécanismes mis en place par la SNCF et RFF…
Imaginons ensemble ce que nous pourrions faire si nous faisions confiance aux Machines.
Imaginons que la Machine comprenne mes courriers électroniques. Elle pourrait repérer qui sont nos meilleurs amis (ceux avec qui ont échange, pas ceux sur Facebook). Comme la machine a accès à notre carnet d’adresses, elle sait qu’un de mes meilleurs amis habite dans le Massachussetts, près de Boston.
Imaginons que la Machine comprenne mes courriers électroniques. Elle pourrait repérer qui sont nos meilleurs amis (ceux avec qui ont échange, pas ceux sur Facebook). Comme la machine a accès à notre carnet d’adresses, elle sait qu’un de mes meilleurs amis habite dans le Massachussetts, près de Boston.
Imaginons que la Machine comprenne mes courriers électroniques. Elle pourrait repérer qui sont nos meilleurs amis (ceux avec qui ont échange, pas ceux sur Facebook). Comme la machine a accès à notre carnet d’adresses, elle sait qu’un de mes meilleurs amis habite dans le Massachussetts, près de Boston.
Imaginons que la Machine comprenne mes courriers électroniques. Elle pourrait repérer qui sont nos meilleurs amis (ceux avec qui ont échange, pas ceux sur Facebook). Comme la machine a accès à notre carnet d’adresses, elle sait qu’un de mes meilleurs amis habite dans le Massachussetts, près de Boston.
Continuons à imaginer. Je viens de confirmer mon vol pour Las Vegas, fin octobre. La machine le sait et elle peut me proposer quelques activités intéressantes à faire dans « Sin City ».
Il n’y a naturellement aucune relation de cause à effet avec le téléphone rose de tout à l’heure…
Continuons à imaginer. Je viens de confirmer mon vol pour Las Vegas, fin octobre. La machine le sait et elle peut me proposer quelques activités intéressantes à faire dans « Sin City ».
Il n’y a naturellement aucune relation de cause à effet avec le téléphone rose de tout à l’heure…
Je continue à imaginer… Facebook sait que je serai au Maroc pour le deuxième Ignite Casablanca. La Machine peut donc me proposer quelques informations intéressantes sur le Royaume du Maroc.
Je continue à imaginer… Facebook sait que je serai au Maroc pour le deuxième Ignite Casablanca. La Machine peut donc me proposer quelques informations intéressantes sur le Royaume du Maroc.
Naturellement, je n’ai pas envie de chercher toutes ses informations. Elles doivent venir à moi. La Machine doit les chercher et me les amener. Je dois pouvoir y accéder sur mon ordinateur, mon téléphone, ma télévision, ma tablette ou que sais-je encore...
Naturellement, je n’ai pas envie de chercher toutes ses informations. Elles doivent venir à moi. La Machine doit les chercher et me les amener. Je dois pouvoir y accéder sur mon ordinateur, mon téléphone, ma télévision, ma tablette ou que sais-je encore...
Naturellement, je n’ai pas envie de chercher toutes ses informations. Elles doivent venir à moi. La Machine doit les chercher et me les amener. Je dois pouvoir y accéder sur mon ordinateur, mon téléphone, ma télévision, ma tablette ou que sais-je encore...
Naturellement, je n’ai pas envie de chercher toutes ses informations. Elles doivent venir à moi. La Machine doit les chercher et me les amener. Je dois pouvoir y accéder sur mon ordinateur, mon téléphone, ma télévision, ma tablette ou que sais-je encore...
Naturellement, je n’ai pas envie de chercher toutes ses informations. Elles doivent venir à moi. La Machine doit les chercher et me les amener. Je dois pouvoir y accéder sur mon ordinateur, mon téléphone, ma télévision, ma tablette ou que sais-je encore...
Naturellement, je n’ai pas envie de chercher toutes ses informations. Elles doivent venir à moi. La Machine doit les chercher et me les amener. Je dois pouvoir y accéder sur mon ordinateur, mon téléphone, ma télévision, ma tablette ou que sais-je encore...
Naturellement, je n’ai pas envie de chercher toutes ses informations. Elles doivent venir à moi. La Machine doit les chercher et me les amener. Je dois pouvoir y accéder sur mon ordinateur, mon téléphone, ma télévision, ma tablette ou que sais-je encore...
Naturellement, je n’ai pas envie de chercher toutes ses informations. Elles doivent venir à moi. La Machine doit les chercher et me les amener. Je dois pouvoir y accéder sur mon ordinateur, mon téléphone, ma télévision, ma tablette ou que sais-je encore...
Naturellement, je n’ai pas envie de chercher toutes ses informations. Elles doivent venir à moi. La Machine doit les chercher et me les amener. Je dois pouvoir y accéder sur mon ordinateur, mon téléphone, ma télévision, ma tablette ou que sais-je encore...
Je crois à la personnalisation de l’information. Elle nous ouvre des portes que nous ne soupçonnons pas encore.
C’est le futur. Un futur proche. Pour y arriver, il faut arriver à faire confiance à la Machine.
Pour conclure, je citerai un de mes amis « nous sommes ce que nous partageons ». Il est temps de partager avec les Machines. Si nous arrivons à faire confiance à la Machine, nous allons améliorer notre existence.