4. Optimiserle travail, le partager et l’échanger sans contrainte de temps et de lieu (Ignat et Jongwane, 2009);
5. Surmonterde nouveaux défis, par l’intermédiaire d’outils d'édition collaboratifs, pour répondre aux besoins des utilisateurs (Ignat et Jongwane, 2009);
6. Résoudre des problèmes géographiques en recourant aux technologies géospatiales (Judd, 2005);
7. Partagerla compréhension d’un problème décisionnel entre les cultures métiers différentes (Noucher et al., 2008) et prendre une décision collective;Modèle du trèfle (Piquet 2009)
8.
9. Les processus de décision à dimension spatiale sont rarement le résultat de la réflexion d’un individu isolé: ils impliquent de la communication, de la coopération, de la collaboration et imposent de la participation… s’appuient sur une intelligence collectivehttp://fr.wikipedia.org/wiki/Intelligence_collective
10. 5 The wikification of GIS and its consequences: Or Angelina Jolie’s new tattoo and the future of GIS (D. SUI)
11. 6 Feuille de route… 1. Du SIG au PPGIS / mi 1990 1er changement de paradigme: du top-down au bottom-up 2. Du PPGIS au VGI / mi 2000 2ème changement de paradigme: du participatif encadré/suscité au contributif spontané/volontaire 3. Du VGI au WikiSIG / fin 2000 3ème changement de paradigme: du contributif spontané/volontaire au contributif volontaire encadré (synthèse intégrative des deux premiers)
25. développé en partie par (et pour) le public (des individus, des groupes locaux…)
26.
27. PPGIS ispracticed in the North as an intersection of ParticipatoryPlanning and GIS&T.Source: Dan Weiner, personal communication, 2004 (http://www.iapad.org/participatory_gis.htm)
28.
29. Pas beaucoup de bottom up, exception cartographie participative,
30. Des limites: ergonomie des interfaces (Carver, 2001) ; focus sur des méthodes d’analyse quantitatives (al-Kodmany, 2001) ; niveau d’interactivité faible (Jankowski and Nyerges, 2001) ; complexité (peu d’innovation) des technologies (Laurini, 2001)
31. Mais révélateur de l’utilité (complémentarité) des applications Web (web-mapping, webGIS),
48. et l’accès dynamique à cet historique.http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikisig Ciobanu D.-L., S. Roche, T. Badard & C. Caron, 2007. Du Wiki au WikiSIG. Geomatica, 61(4): 455-469.
51. Potentiels, forces… Le reflet d’une certaine maturité des SIG et de leur “adoption”… Développement d’une culture de la contribution (de la participation?) Un moyen d’améliorer les compétences géographiques du public (spatial knowledge and skills), pas sûr pour le raisonnement, Questionnement et remise en cause des pratiques des scientifiques et professionnels (réflexion épistémologique mais aussi certification (« lookinginto the black box » – google et le problème de projection cartographique), Accès aux connaissances et savoirs locaux, Potentiel des VGI pour alimenter les processus de gouvernance territoriale, d’aide à la décision dans différents domaines. Rapidité, temps réel, réactivité depuis le Lieu… Enjeux de mobilisation sans démobiliser (profils et motivations des contributeurs) 25
52. et limites (risques)… Homogénéisation, standardisation, simplification des représentations (Google devient l’unique moyen de représenter l’espace et d’interagir avec lui), Faiblesses de la sémiologie et perte progressive de l’expertise cartographique, Problème de qualification des données (pas de métadonnées, problème des métriques inadaptées), Responsabilité (production, diffusion, usage), risques liés aux usages inadaptés ou interprétations erronées, hors contexte (accrus par les mashup), Peu ou pas de moyens pour favoriser l’amélioration des capacités de raisonnement géographique (pas explicitement en tous cas), 26
53. et limites (risques)… Propriété des données pas toujours clair (clause de Google par exemple, complexité des produits composites - mashup), Quel modèle économique viable et durable “Why do we have to pay for somethingthatyoucouldget for free on Google ?”, Problème de la publicité (croissante dans les API non payantes) et de la politique de Google (sa capacité et sa volonté à tenir (maintenir) eu égard à la croissance exponentielle des contenus), Pression politique (ex. Maire de Québec et Ministre des transports ont demandés explicitement des applications google), Difficile pour les IGN et agences nationales de cartographie de justifier leur budget… 27
54. Perspectives, VGI: un potentiel faire comme si cela n’existait pas, mais erreur car rien ne sera plus comme avant, regarder cette dynamique de près et chercher des moyens de mobiliser ces nouvelles informations (mise à jour, contribution vers participation, remonté de connaissances et savoirs locaux…) réfléchir aux questions de qualifications de ces données (nouvelles métriques, nouveaux type de métadonnées) et saisir cette occasion, en profiter pour améliorer les compétences spatiales (apprendre à raisonner spatialement) du public, les wiki, outils complémentaire des outils existants, sur la génèse des projets de territoires, en geodesign… 28