Historique
Action culturelle et bibliothèques :
1930 : Expérimentation avec la Bibliothèque de l’Heure Joyeuse
1960 : Développement des animations en bibliothèque sous influence du
modèle américain et la politique de démocratisation culturelle mise en place
par A. MALRAUX
1980 : L’essor continu accentué par la pression des élus locaux (image
dynamique de la bibliothèque)
2000 : La notion de politique d’action culturelle émerge en bibliothèque
Aujourd’hui : développement du participatif, construire avec les usagers.
L'animation tends de plus en plus à prendre le pas sur les collections.
Partenariat et bibliothèques :
Les années 70-80 : Coopération et animation (entre bibliothèques)
Les années 80-90 : Démarche partenariale et nouvelles technologies
Les années 2000 : Médiation, public « roi » et réseaux
Aujourd'hui : La bibliothèque 3e lieu – les partenaires peuvent être dans
le même lieu
Définitions
L'animation culturelle : l'animation au sens le plus simple
du terme consistant dans la programmation et l'organisation
d'événements au jour le jour, soit une simple juxtaposition
d'animations qui sont chacune pensée indépendamment des
autres.
En introduisant une réflexion sur les publics, sur le rôle du
bibliothécaire en tant que médiateur et sur le rapport aux
collections, l'animation culturelle en tant qu'activité devient
médiation culturelle.
Enfin quand le recul est encore plus important sur l'activité
du quotidien, quand les animations sont pensées comme un
tout cohérent, en prenant en compte la politique générale de
l'établissement, l'animation culturelle s'inscrit dans une
véritable stratégie avec un cadre et des objectifs définis : on
peut alors parler d'action culturelle.
En résumé, l'action culturelle est l'aboutissement d'une réflexion sur
l'activité de créer et programmer des animations dans un établissement
pour lui donner plus de sens, de cohérence et de lisibilité.
Définitions
Un projet culturel s’inscrit dans une charte culturelle de lecture publique, en lien avec la
politique générale de la bibliothèque, en articulation avec les missions et objectifs généraux
de l’établissement et en résonance étroite avec la politique documentaire. Les projets
doivent correspondre aux objectifs généraux de la bibliothèque et les mettre en œuvre à leur
façon. Un projet culturel identifie la bibliothèque comme un acteur culturel à part entière, tout
en lui conférant une identité propre, différente de celles des autres partenaires culturels :
centre culturel, théâtre, MJC, école…
Source image : BSF Campus « Planifier des actions d'animation » : https://youtu.be/9wYSL0LvDu0
La charte d'action culturelle : document fixant les objectifs, missions et moyens des
actions culturelles mises en place telles que définies dans le projet d'établissement, lui
même prenant compte des orientations et projets souhaités par la ville dans le cadre de sa
politique culturelle.
Elle permet de fixer le cadre des actions, d'avoir le même discours auprès du public et de
valoriser ces actions auprès des élus
Elle permet aussi en période de crise de réaffirmer la place de cette activité dans
l'établissement et le niveau attendu.
Définitions
Source image : BSF Campus « Planifier des actions d'animation » : https://youtu.be/9wYSL0LvDu0
I. Pourquoi et pour qui mettre en
place du politique d'action
culturelle ?
Promouvoir les collections et faire découvrir la richesse de la
production : mettre en valeur les différents fonds de la bibliothèque
Donner une image dynamique et conviviale de la bibliothèque : en
faire un lieu connu, vivant, attractif, au cœur de la vie de la commune
Motiver et souder l'équipe de salariés et bénévoles :
intégrer l'ensemble de l'équipe au projet d'animation
Se positionner par rapport à l’institution/autorité de tutelle :
valoriser l’image de la bibliothèque auprès des élus
Fidéliser les usagers, faire
venir de nouveaux publics :
proposer des animations
permet de susciter la curiosité,
la connaissance, la découverte,
le plaisir
Pourquoi animer la bibliothèque ?
Rôle de l'action culturelle ?
L'action culturelle en bibliothèque a donc un rôle :
Culturel : la bibliothèque comme lieu de découverte sur le territoire
Social et civique : la bibliothèque comme lieu de rencontre et
d’échange ouvert à tous
Stratégique et politique : l’animation permet de donner une image
dynamique et vivante de la bibliothèque et de la ville
Fédérateur : dynamise et valorise l’équipe de la bibliothèque
Définir le contexte / territoire
La définition de la politique d'action culturelle doit également prendre
appui sur une connaissance fine, objective et juste du contexte
local, de l'environnement socioculturel auquel appartient la
médiathèque.
Les questions que vous serez donc amener à vous poser sont les
suivantes:
Quels sont les publics à servir ?
Quelles actions proposer?
Quels sont les partenaires existants/potentiels ?
Quels agendas faut-il prendre en compte ? Quels sont les
événements existants auxquels se rattacher ?
La politique des publics de la médiathèque s'inscrit dans
l'environnement géographique, économique, social et culturel.
Une analyse de la situation économique et socio-culturelle à
l'échelle du territoire est indispensable.
Elle devra vous permettre de connaître la population pour adapter
au mieux vos propositions :
CSP, démographiques, niveau d’éducation et de culture, pratiques
culturelles, chômage...
Vous pourrez trouver ces éléments auprès de vos collectivités locales
ou des agences statistiques nationales.
Ce premier état des lieux sera bien sûr complété par des éléments de
bilan interne à votre établissement : étude qualitative et quantitative
des publics et non publics de la bibliothèque, enquête sur les usages
de la médiathèque (prêt, fréquentation, accès à internet...).
Quels sont les publics à servir ?
- Le public captif : le public qui fréquente la bibliothèque sans que cela
vienne de son libre choix. Par exemple, les enfants reçus dans le cadre
d’un accueil de classe.
- Le public sur place : autrement dit les séjourneurs qui n’ont pas
forcément de carte
d’abonné, pas forcément de consultation de documents, ils cherchent un
lieu pour se
reposer, se divertir, se rencontrer…
- Le public à distance : utilisant les services en ligne (pas d’unité ni de
temps ni de lieu)
- Le public internaute : qui vient en bibliothèque pour se connecter à
Internet
- Le public audience : présent uniquement lors des animations
- Le public occasionnel : de passage, souvent pour découvrir le lieu
(plutôt dans les grandes villes)
Quels sont les publics à servir ?
- Le public audience : présent uniquement lors des animations
- Le public occasionnel : de passage, souvent pour découvrir le lieu
(plutôt dans les grandes villes)
- Le non public : tous ceux qui ne fréquentent pas les bibliothèques (par
méconnaissance, manque de nécessité, par éloignement, par handicap,
pour raisons physiques ou socio-psychologiques, etc.)
- le public potentiel : 100% de la population du territoire est susceptible
d’avoir recours à la bibliothèque. Or la fréquentation moyenne en France
est de 17%. (Taux d’inscrits actifs) là où les pays scandinaves ou anglo-
saxons montent facilement à 40 voire 50%. On peut considérer le non-
public comme un public potentiel.
Quels sont les publics à servir ?
Quels publics ? Les adultes
Source image : BSF Campus « Animer en section adulte » : https://youtu.be/gUm6ptRw8Zk
Quels publics ? La jeunesse
Découper ce public par tranches d'âge, à chaque âge des animations
adaptées à leurs besoins et leurs attentes :
L’âge préscolaire, les tout-petits (0-3 ans), l'éveil : éveil aux histoires, lectures
pour tous petits, aux livres de leur âge, éveil musical (pouvant être mené en
partenariat avec l'Ecole de musique, ateliers d'expression corporelle (yoga,
massage, danse, etc...), spectacles. Développer un festival de la Petite Enfance
avec les structures P.E de la ville et du territoire
L’âge de la scolarisation maternelle (3-6 ans) : la socialisation, heure du conte,
ateliers tablettes, jeux, spectacles, etc...
L'âge d'apprentissage de la lecture (5-8 ans) : Heure du conte, ateliers créatifs,
ateliers jeux de pistes (associer tablettes), spectacles, ateliers multimédias,
expositions, séances jeux vidéo, jeux de société, etc...
La préadolescence (10-13 ans) : Ateliers créatifs, multimédia, jeux vidéo, jeux de
société, club de lecture, concerts, projections, spectacles, etc...
L'adolescence (12-18 ans) : Un public qui peut assister aux propositions citées
plus haut, et aux animations adultes. Mettre en place des clubs ado... Public plus
difficile à toucher...
Quels publics ? Les publics
empêchés ou spécifiques
Depuis une vingtaine d’années, les bibliothèques développent des actions vers
les publics dits empêchés des raisons physiques :
- détenus en prisons : actions hors les murs, ateliers d'écriture, BD, concours
nouvelles, etc...
- Handicap moteur : service de portage à domicile
ou pour des raisons socioculturelles ou psychiques :
- peur d’entrer dans un lieu culturel : partenariat avec la politique de la ville,
actions hors les murs dans les quartiers, proposer des actions plus grand
public (exemple autour de la cuisine, des cultures, des ateliers de conversation,
etc...)
- accès aux documents problématique (souffrance psychologique, handicap
psychique, incompréhension de l’organisation ou illettrisme) : accueil de
groupes via les partenaires (ESAT, Foyers, centres spécialisés, FLE) autour
d'un thème, de lectures, d'une exposition. Pour l'illettrisme, la bibliothèque peut
également proposer des rendez-vous avec un écrivain public.
Quelles actions proposer ?
En fonction des publics ciblés, des objectifs posés, des moyens à
disposition et des partenaires potentiels, telle ou telle animation sera
retenue :
Expositions / Installations
Projections
Conférences
Heures du conte
Lectures
Débats
Invitations d'auteurs, illustrateurs
Concours
Spectacles
Concerts
Ateliers d’écriture
Ateliers créatifs
Ateliers multimédia
Comités de lecture
Jeux (vidéo, tablettes, société)
Mais aussi plus récemment : cafés tricot, ateliers cuisine, création
d'oeuvre collective, ateliers de conversation, robotique, etc... soit
toute activité impliquant le participatif ou qui qui fait sens en
bibliothèque.
Ces actions peuvent être tous publics, adultes, jeunesse ou destinés
à des publics ciblés.
Animer la bibliothèque sur son site internet ou les réseaux sociaux.
Quelles actions proposer ?
Source image : BSF Campus « Animer en section adulte » : https://youtu.be/gUm6ptRw8Zk
Définition : Un partenariat est une association de partenaires dont le but est
de mener une action commune et de réaliser un projet.
Pour que le partenariat fonctionne, il est nécessaire d'établir une égalité des
partenaires et de bien définir et construire ensemble le projet dans un
respect mutuel des missions de chacun.
Il est donc essentiel de : - connaitre le contexte local : principales activités et
structures culturelles, axes de développement majeurs choisis par les
acteurs de la région dans leur diversité...
- connaitre les réseaux dans lesquels s'inscrit la médiathèque (territoriaux, de
promotion ou de collaboration).
- d'identifier les partenaires financiers éventuels en fonctions des différentes
actions menées par la médiathèque (entreprises, pouvoirs publics, autres
structures culturelles pour une co-production...)
Quels partenaires ?
Quels partenaires ? Comment ?
- Définir la finalité du projet
- Déterminer les objectifs
- Choisir et mettre en place les actions
- Etablir une convention – contractualisation du partenariat
- Evaluer avant, pendant, après
- Analyser une situation
- Recenser des ressources
- S’ouvrir vers l’extérieur,
l’autre
- Repérer et apprendre à
connaître les protagonistes
Source image : BSF Campus « Travailler avec des partenaires » : https://youtu.be/IeGFTnEUueA
Partenariat réussi ?
Une relation structurée (égalité, complémentarité, connaissance réciproque)
Un travail d’équipe
Une inscription dans le temps et la durée
Des actions réalisables
La mobilisation de toutes les forces et de toutes les structures
Un échange et un engagement
Une coopération formalisée et instituée
Une intégration de la politique de lecture publique au sein d’une politique
culturelle plus globale qui comprend : L’animation culturelle (dimension
pratique) et la médiation (dimension relationnelle) œuvre/ressources et
publics
Pratiquer le partenariat c’est participer à la vie locale
Quels partenaires ?
Mais aussi :
centres de loisirs
hôpitaux
maison de retraite
CCAS...
Source image : BSF Campus « Travailler avec des partenaires » : https://youtu.be/IeGFTnEUueA
Écoles de danse et arts
Archives
Quels partenaires ? Institutions
Au niveau local : BM d'autres
communes, Bibliothèque de
réseaux
Au niveau départemental :
BDP – Conseil départemental…
Au niveau régional : BMVR –
DRAC – Conseil régional –
agences
de coopération…
Au niveau national : BNF – CNFPT – BPI – SLL – CNL…
Quels partenaires ? Éducatifs
Au niveau local : écoles – BCD – Inspection académique (antennes)
Au niveau départemental : collèges – CDI – CDDP (centre
départemental documentation pédagogique
Au niveau régional : lycées – rectorat – CRDP (centre régional
documentation pédagogique – IUFM
Au niveau national : Ministère Education nationale – DE (direction des
écoles) – DLC (direction des lycées et collèges) – CNDP (centre national
documentation pédagogique) - Universités
Quels partenaires ? Ville
Service Jeunesse
Centres de loisirs
Service Politique de la ville : actions auprès des quartiers
Structures Petites enfance : crèches et relai assistantes
maternelles
Centres sociaux
CCAS (Centre Communal d'Action Sociale)
Service Seniors
Structures culturelles : Théâtre, Cinéma, salle de concert,
ludothèque, MJC (Maison de la Jeunesse et Culture), etc …
Quels partenaires ?
Département / région
Conseil Général / Conseil Régional : repérer sur leur site les
partenaires éventuels.
Structures culturelles : Théâtre, Cinéma, salle de concerts,
réseaux musiques actuelles, etc...
Les Fablab et ateliers des sciences
Protection Judiciaire de la Jeunesse et Prisons
Structures pour handicapés
Les entreprises implantées sur le territoire
Quels partenaires ? Associations
locales - culturelles
=> Présence indispensable aux journées des associations et/ou
prendre connaissance du guide des associations locales afin de
repérer les associations avec qui monter des projets
=> Se constituer au fur et à mesure un listing de contact
d'associations ou structures culturelles autour du : livre, conte,
musique, cinéma, jeux, etc... pouvant être sollicité pour des
actions, mais aussi scientifiques (ex : Petits débrouillards)
=> S'informer auprès d'autres bibliothèques, partenaires pour
trouver des contacts, faire de la veille sur internet, et étudier les
propositions d'interventions que vous pouvez recevoir par mail.
Quel agenda, programmation ?
- Respecter une cohérence culturelle : ne pas être concurrent d'une
autre structure ou partenaire sur une action sur une même thématique
ou touchant le même public
- S'inscrire dans les évènements des partenaires : s'associer, “créer
une synergie entre les différents évènements et les partenaires”, voir
construire un festival ensemble sur une thématique
- S'inscrire dans le cadre de manifestations nationales, à l’échelle du
réseau ou dans le cadre de commémorations internationales. (ex :
Printemps des poètes, Fête de la science, Nuit des bibliothèques,
etc...)
- Respecter les délais de communication de programmation : la
plupart du temps, un minimum de 6 semaines avant la date de
l'animation ou la programmation trimestrielle. Dans certaines
collectivités, prévoir la programmation 1 an à l'avance.
Organiser les actions
- Bien déterminer les moyens humains, matériels et financiers en amont
- Établir une fiche projet
- Mettre en place un rétroplanning
Source image : BSF Campus « Planifier des actions d'animation » : https://youtu.be/9wYSL0LvDu0
Moyens financiers
Se poser également la question des subventions accordées aux bibliothèques, ou plutôt
à la collectivité (ex : les conseils régionaux et les CRL, les conseils départementaux, le
CNL, la DRAC)
Contractualiser l'intervention
Le type de contractualisation va dépendre du statut juridique de
l'intervenant :
- Association, auto-entreprise, artiste déclaré à la Maison des Artistes
=> convention d'intervention
- Intermittent du spectacle => rémunération via le GUSO
- Aucun de ces statuts : recrutement en vacataire culturel (budget du
personnel
En plus de son statut juridique, il faut demander à l'intervenant :
- un devis où doit figurer : la date, la durée de validité, le détail des
prestations, le montant TTC, numéro SIRET, statut juridique, nom,
adresse client, etc...
- un RIB
- en cas d'exposition : la liste des œuvres et leur valeur assurance
Contractualiser l'intervention
Etablir une convention d'intervention rappelant :
- L'objet du contrat : type d'intervention
- Le lieu et la durée de la prestation
- Les engagements de l'intervenant : responsabilité artiste, assurance
- Les engagements de l'organisateur : communication, assurance,
sécurité du public
- Modalités financières : en précisant ici les spécificités s'il y en a (ex :
auteurs affiliés à la Maison des artistes, droits d'auteurs à la charge de
l'organisateur)
- Modalités techniques : matériel mis à disposition par l'organisateur ou
apportés par l'intervenant, l'installation technique (si fiche technique)
- Clauses d'annulation du contrat ou de litige
Evaluer les actions
Vous pouvez également
élaborer :
- Des fiches bilans à partir des
fiches projet pour établir cette
évaluation
- Un tableau de suivi de vos
actions avec la fréquentation
=> Ces éléments seront indispensables pour répondre aux statistiques SLL
demandées chaque année, et afin de défendre vos budgets auprès de votre tutelle.
Source image : BSF Campus « Planifier des actions d'animation » : https://youtu.be/9wYSL0LvDu0
Quelques chiffres
Pour le partenariat :
98% des bibliothèques nouent des partenariats (moyenne de 3,7 partenariats/bib)
Les institutions travaillant avec les enfants (scolaires, petite enfance, accueils de
loisirs,…) restent les partenaires privilégiés (60% des partenariats instaurés)
Les collèges et lycées ne représentent que 13% des partenariats
Les institutions travaillant en direction des « seniors » représentent 10% des
partenariats
Quelques chiffres
Pour l’action culturelle :
83% des bibliothèques proposent des actions culturelles (moyenne de 28
événements/an)
L’activité culturelle est liée à la taille de l’établissement
2/3 des manifestations sont en direction du public enfant – Les actions tout public ou
« familiales » sont + présentes dans les grands établissements
L'Heure du conte représente à elle seule 41% des manifestations
58% des bibliothèques organisent des actions « hors les murs » (moyenne de 12/an)
78% des bibliothèques organisent des actions en direction de publics spécifiques soit
en leur sein soit en dehors
93% des bibliothèques participent à des manifestations nationales
50% des bibliothèques disposent d’une salle d’expo, 40% d’une salle du conte, 1/3
d’une salle sonorisée (auditorium, salle de conférence)
Retrouvez ce cours ici :http://fr.slideshare.net/floragousset
Vous pouvez également me contacter à ce mail : f.gousset@coeuressonne.fr
Pour aller plus loin...
L’ACTION CULTURELLE EN BIBLIOTHÈQUE
Sous la direction de Bernard Huchet et Emmanuèle Payen
Paris, Éditions du Cercle de la librairie, 2008, 319 p., 24 cm
Coll. Bibliothèques
BSF Campus : Cours « Médiation culturelle et animation » :
https://www.youtube.com/playlist?list=PLhvAuASAUTt3psqKxwgAFE8r_vBeygsno
Autre cours ABF disponible en ligne :
http://www.abf.asso.fr/fichiers/file/Midi-Pyrenees/cours/160216_actionculturelle_Araguas.pdf
Fiche « Animer une action culturelle » Interbibly :http://www.interbibly.fr/fiches/fiche11.pdf