8. FLORENCE
Une collection de serious games
+ un outil de supervision
= un dispositif complet de formation
9. Opus 1
Transfusion sanguine
Opus 2 Management des
Sécurité incendie parcours de formation
Opus 3
Risques infectieux
Mesure des résultats
et édition des tableaux
de bords
Opus suivants…
11. FLORENCE
Pour se jouer des risques, rien de tel qu’un jeu sérieux
Témoignage de Julian ALVARES
Consultant – Chercheur TIC
Conseiller Serious Games au Pôle Images Nord/Pas-de-Calais
12. Imaginarium
10 Octobre 2012
Serious Game et pédagogie
Julian Alvarez
14. Quelques chiffres…
En France d’après la SNJV (2011).
- 63 % des Français de 10 ans et plus ont joué aux JV
- L'âge moyen des joueurs est de 35 ans
- 83,5% des joueurs ont plus de 18 ans
- 52% sont des filles, 48% des garçons
OrangeFrance – DRCF-DPRO- 2008 - 14
15. Quel contexte ?
Il paraît donc difficile de parler
d’un phénomène de mode concernant
le jeu vidéo.
D’après Gilles Brougère, le jeu vidéo fait
partie de la « culture ludique »
OrangeFrance – DRCF-DPRO- 2008 - 15
23. Quelles pédagogies associer au Serious Game ?
Le Serious Game vise
à mobiliser l’engouement suscité
par le jeu vidéo pour effectuer une
tâche.
OrangeFrance – DRCF-DPRO- 2008 - 23
24. Quelles pédagogies associer au Serious Game ?
Cela renvoie à la notion de « Flow » de
Mihaly Csikszentmihalyi
OrangeFrance – DRCF-DPRO- 2008 - 24
25. Quelles pédagogies associer au Serious Game ?
Désormais nous recensons des
colloques scientifiques qui s’inscrivent
dans ce paradigme :
OrangeFrance – DRCF-DPRO- 2008 - 25
26. Quelles pédagogies associer au Serious Game ?
Ou encore des laboratoires :
OrangeFrance – DRCF-DPRO- 2008 - 26
27. Quelles pédagogies associer au Serious Game ?
Soit, mais quelles pédagogies adopter ?
OrangeFrance – DRCF-DPRO- 2008 - 27
28. Quelles pédagogies associer au Serious Game ?
Une approche possible : le débat
OrangeFrance – DRCF-DPRO- 2008 - 28
29. Quelles pédagogies associer au Serious Game ?
Autre approche possible : APP et Serious Game
OrangeFrance – DRCF-DPRO- 2008 - 29
30. Quelles pédagogies associer au Serious Game ?
Paradigme : APP et Serious Game
OrangeFrance – DRCF-DPRO- 2008 - 30
31. Quelles pédagogies associer au Serious Game ?
Paradigme : APP et Serious Game
OrangeFrance – DRCF-DPRO- 2008 - 31
32. Quelles pédagogies associer au Serious Game ?
Florence est un Serious Game s’inscrivant dans la logique APP
OrangeFrance – DRCF-DPRO- 2008 - 32
33. Quelles pédagogies associer au Serious Game ?
Dans tous les cas, l’important c’est d’assurer un accompagnemen
Et user d’interaction sociale…
OrangeFrance – DRCF-DPRO-
2008 - 33
34. Merci !
Rendez-vous les
4 & 5 juin 2013
Valenciennes - France
www.e-virtuoses.net
j.alvarez@grandhainaut.cci.fr
35. INNOVANT
Premier serious game dédié au corps infirmier
En phase avec les nouveaux usages informatiques
Véritable dispositif andragogique basé sur la simulation
36. ELIGIBLE
Respecte les critères de la formation continue
Propose une évaluation complète de l’apprenant
S’inscrit dans la logique de permanence de la formation
37. CONFORME
Le fond est validé par un comité scientifique
La forme est élaborée avec des personnels de terrain
Le dispositif bénéficiera de mises à jour régulières
40. FLORENCE
Pour se jouer des risques, rien de tel qu’un jeu sérieux
Témoignage de Eric POULAIN
Directeur des soins au Groupe AHNAC
Membre du comité scientifique et technique de FLORENCE
42. Rapport ANSM - Hémovigilance 2011-
• Transfusion de PSL est un acte complexe et à risque engageant la responsabilité de
l’ES et des soignants.
• Chaque année, plus de 510.000 patients reçoivent une transfusion sanguine.
• 610 incidents graves de la chaîne transfusionnelle ont été déclarés en 2011, Il s’agit
principalement d’incidents survenant dans les ES (71%),
• Ce nombre est en augmentation, + 22,7% par rapport à 2010.
• Les 2 principales défaillances :
– les anomalies d’identification du patient (28% des déclarations),
– les erreurs au niveau de l’acte transfusionnel (26% des déclarations),
• Les anomalies d’identification du patient regroupent essentiellement deux types de
défauts :
– un défaut d’acquisition de l’identité des patients, de transcription et
d’étiquetage de tout support concernant le patient (dossier
transfusionnel, prescription de PSL, etc.),
– un défaut de contrôle de l’identité du patient
(prescription, document, informatique, fiche de délivrance, contrôles
ultimes, etc.)
49. Opus 3 :
Risques Infectieux
En partenariat
avec le CCLIN Nord
Disponible début 2013
50. MESURES
La mesure au cœur de nos dispositifs
Scoring
Auto-évaluation (en mode entrainement)
Evaluation complète (en mode évaluation)
Récompenses (seringues)
54. MESURES
La mesure au cœur de nos dispositifs
Evaluation complète (en mode évaluation)
55. PLATEFORME FLORENCE
Véritable outil de supervision
Personnalisable et paramétrable
Editions des Etats de suivi
Outil de création de Modules et Quiz
Mode elearning + présentiel
Parcours de formation