Ancien conseiller ministériel, Frédéric Vallois (@fvallois) est actuellement Plume pour la Direction Générale d’une grande entreprise et enseignant en communication politique à Sciences Po Paris.
Frédéric Vallois : « Le pouvoir du discours politique n'est pas illimité »Damien ARNAUD
Ancien conseiller ministériel, Frédéric Vallois (@fvallois) est actuellement Plume pour la Direction Générale d’une grande entreprise et enseignant en communication politique à Sciences Po Paris.
Loic Nicolas : « Au cœur du discours politique, il y a forcément une prise de...Damien ARNAUD
Interview de Loïc Nicolas (@LoicNicolasBxl), chercheur à l’Université libre de Bruxelles et membre du laboratoire Protagoras de l'IHECS. Docteur en rhétorique, il est aussi l'auteur de plusieurs ouvrages dont le dernier s'intitule ''Discours et liberté. Contribution à l’histoire politique de la rhétorique'' (Classiques Garnier, 2016).
Nouveaux outils et dérives de la communication politique : interview exclusiv...Damien ARNAUD
Anne-Claire Ruel (@AnneClaireRuel) est enseignante à l’Université de Cergy-Pontoise, conseillère en stratégie d’opinion et chroniqueuse sur FranceTV Info et LCI.
"Il y a une obsolescence programmée des marques politiques"Damien ARNAUD
Nicolas Baygert, docteur en Sciences de l'information et de la communication à l'Université Paris-Sorbonne (Paris IV), docteur en information et communication à l'Université catholique de Louvain, maître de conférence à l'Université Libre de Bruxelles et chroniqueur dans les médias, répond à quelques questions pour le Cercle des communicants francophones (CCF).
Les grandes transformations de la communication politique en FranceDamien ARNAUD
Interview de Jacques Gerstlé, Professeur émérite au Département de Science Politique de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne. Il vient de publier, avec Christophe Piar, la troisième édition de son manuel intitulé "La communication politique".
Communication politique et réseaux sociaux en France et en BelgiqueDamien ARNAUD
Nicolas Vanderbiest (@Nico_VanderB) est doctorant à l'Université Catholique de Louvain en
Belgique, blogueur, chroniqueur radio et fondateur de Reputatio Lab, le laboratoire des crises, de la réputation et des phénomènes d'influence.
Frédéric Vallois : « Le pouvoir du discours politique n'est pas illimité »Damien ARNAUD
Ancien conseiller ministériel, Frédéric Vallois (@fvallois) est actuellement Plume pour la Direction Générale d’une grande entreprise et enseignant en communication politique à Sciences Po Paris.
Loic Nicolas : « Au cœur du discours politique, il y a forcément une prise de...Damien ARNAUD
Interview de Loïc Nicolas (@LoicNicolasBxl), chercheur à l’Université libre de Bruxelles et membre du laboratoire Protagoras de l'IHECS. Docteur en rhétorique, il est aussi l'auteur de plusieurs ouvrages dont le dernier s'intitule ''Discours et liberté. Contribution à l’histoire politique de la rhétorique'' (Classiques Garnier, 2016).
Nouveaux outils et dérives de la communication politique : interview exclusiv...Damien ARNAUD
Anne-Claire Ruel (@AnneClaireRuel) est enseignante à l’Université de Cergy-Pontoise, conseillère en stratégie d’opinion et chroniqueuse sur FranceTV Info et LCI.
"Il y a une obsolescence programmée des marques politiques"Damien ARNAUD
Nicolas Baygert, docteur en Sciences de l'information et de la communication à l'Université Paris-Sorbonne (Paris IV), docteur en information et communication à l'Université catholique de Louvain, maître de conférence à l'Université Libre de Bruxelles et chroniqueur dans les médias, répond à quelques questions pour le Cercle des communicants francophones (CCF).
Les grandes transformations de la communication politique en FranceDamien ARNAUD
Interview de Jacques Gerstlé, Professeur émérite au Département de Science Politique de l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne. Il vient de publier, avec Christophe Piar, la troisième édition de son manuel intitulé "La communication politique".
Communication politique et réseaux sociaux en France et en BelgiqueDamien ARNAUD
Nicolas Vanderbiest (@Nico_VanderB) est doctorant à l'Université Catholique de Louvain en
Belgique, blogueur, chroniqueur radio et fondateur de Reputatio Lab, le laboratoire des crises, de la réputation et des phénomènes d'influence.
Zoom sur la communication politique stratégique du Parti SocialisteDamien ARNAUD
Valerio Motta a notamment été conseiller communication de la Secrétaire d'Etat Pascale Boistard et a dirigé la communication du Parti Socialiste. Il vient de lancer Nemo Claudit, une société de conseil en communication numérique, corporate, publique et politique.
Zoom sur la communication politique digitale du Parti libéral du QuébecDamien ARNAUD
Loïc Gonsolin (@LoicGonsolin), responsable médias sociaux du Parti libéral du Québec (@liberalquebec), a accepté de répondre en 140 caractères aux questions du Cercle des communicants francophones.
Le Cercle des communicants francophones publie sa newletter n°5 (août 2016)Damien ARNAUD
Des interviews, les résultats d'un sondage, le bilan de nos consultations... découvrez notre newsletter n°5. Les numéros précédents : n°4 > http://urlz.fr/3kNJ, n°3 > http://urlz.fr/2KPS,
n°2 > http://urlz.fr/2p46, n°1 > http://urlz.fr/Rd4.
La communication publique et politique en AfriqueDamien ARNAUD
Marion Scappaticci, Directrice des communications chez AfricaFrance, ancienne membre du cabinet de la première dame du Gabon, répond à quelques questions pour le Cercle des communicants francophones (CCF).
Comment gouverner à l’heure des « GILETS JAUNES » ?Vincent Pittard
"Les réseaux sociaux n’ont pas transformé les citoyens en polémistes haineux, mais ceux qui l’étaient déjà, sont devenus tout à coup visibles."
Voilà l’idée que je voulais développer dans cette tribune publiée par la Libre Belgique à l'occasion du salon des mandataires. Comment gouverner à l’heure des « GILETS JAUNES » ? Voilà certainement un nouvel enjeu et un nouveau défi pour les mandataires publics… et pour beaucoup de dirigeants !
"Les Français attendent une communication politique qui s’éloigne des codes s...Damien ARNAUD
Tribune libre rédigée par des étudiants de Sphère CCP, l’association des étudiants du Master communication publique et politique de Sciences Po Bordeaux et publiée en mars 2017.
Communication publique : ''le community manager doit apporter sa patte, déve...Damien ARNAUD
Emilie Naouri (@EmilieNaouri) est responsable de la communication digitale et des relations presse de l'Etablissement public d'aménagement Paris-Saclay (@ParisSaclay).
Les pratiques de communication digitale dans la campagne pour l’élection muni...DamienLeborgne
Les pratiques de communication digitale dans la campagne pour l’élection municipale 2014 à Paris : les enjeux du discours politique
Dans quelle mesure les techniques de communication digitale ont-elles permis à Anne Hidalgo et à Nathalie Kosciusko-Morizet d’engager un dialogue plus interactif avec les citoyen.ne.s ?
Les réseaux sociaux numériques et la politiqueLaura Gertz
Nous allons parler des usages et des appropriations des réseaux sociaux numériques, notamment le Twitter, par le domaine politique. Pour traiter ce sujet, nous avons travaillé sur les profils des deux principaux candidates à la prefecture de Paris en 2014, Nathalie Kosciusko-Morizet, de l'UMP, et Anne Hidalgo, candidate du Parti Socialiste (PS).
Notre exposé est organisé dans trois parties. D'abord, pour faire une petite contextualisation, nous allons vous parler rapidement des caractéristiques du domaine politique et de l'importance des médias pour ce champ, où nous allons mettre en avance la question de l'internet et ses nouvelles technologies de l'information.
Ensuite, la deuxième partie est consacrée à l'étude de cas proprement dite, où nous allons présenter les enjeux de ces nouvelles possibilités ouvertes par l'internet par rapport au politique. Donc, nous allons nous intéresser aux publics qui utilisent le Twitter et à comment les deux candidates gèrent leurs comptes sur ce réseau numérique, c'est-à-dire, comment elles utilisent cet outil au profit de leur campagne, et aussi aux aspects économiques que cela apporte, comme le traitement des données qui sont disponibles en ligne par le biais des usages de ce réseau. À la fin, nous allons présenter les conclusions de cette étude et les questionnements qui restent ouverts à propos de ce sujet.
Géopolitique, influence et grandes écoles de management : le décryptage de Je...Bruno Racouchot
N° 26 - Octobre 2011 : Géopolitique, influence et grandes écoles de management : le décryptage de Jean-François Fiorina
Introduire la géopolitique dans le cursus des écoles de management pour mieux permettre aux étudiants de comprendre les réalités du monde : tel est le souhait de Jean-François Fiorina. Directeur de l'ESC (Ecole supérieure de commerce) de Grenoble - l'une des meilleures dans sa catégorie - co-fondateur du Festival de géopolitique, Jean-François Fiorina est un pragmatique. A ses yeux, "la géopolitique, c'est avant tout comprendre pour agir".
Dans l'entretien qu'il a accordé à Bruno Racouchot, directeur de Comes Communication, Jean- François Fiorina plaide pour un retour au réalisme et précise sa vision en matière de stratégies d'influence et de relations internationales.
AU MENU DU NUMERO 11 :
20 pages d'analyses, de tendances et de découvertes marketing!
- L'EDITO: Retour sur les élections : entre guerres publicitaires et nouvelle ère communicante.
- DOSSIER MARKETING : Neuromarketing : voyage au centre de votre cerveau.
- STRATEGIES DE TERRITOIRES : A Strasbourg, les champs de blé vont remplacer le béton !
- ZAPPING : La Tribune, Les Echos, BVA, Capital, EMarketing, La Gazette des Communes, L'Expansion, LSA...
- TENDANCES MARKETING : Lamborghini et SUV, un restaurant à loopings, la voiture volante de Volkswagen, les chantilly salées...
- EVENEMENTS : Retour sur le salon de la Mêlée Numérique : TIC, New Tech et Villes de demain.
http://www.athenea.fr
Présentation de l'influence des médias sociaux sur les organisations, notamment en terme de communication publique, pour un séminaire à l'Ecole Nationale des Officiers de Sapeurs Pompiers d'Aix-en-Provence. Retour sur le rôle de Facebook, Twitter, Viadéo, etc.. et sur l'expérience menée par le Conseil régional d'Auvergne.
« Le "off" : processus d'évolution et impact des médias sociaux » - Conséq...Cyprien Rose
Censé relever du domaine de la discrétion le « off » est un outil qui fait souvent parler de lui, certains journalistes dénoncent les dérives de la pratique alors que d’autres en font leur “fonds de commerce”.
Au départ respecté, le « off » se voit transgressé au fil des années, puis rubriqué sur la plupart des supports de presse. Par ailleurs, la profession doit constamment affirmer sa position face aux stratégies des politiques et des communicants. Dans ce contexte les rapports entre le journaliste et ses sources dépendent également des intérêts de chacun.
Si des différences culturelles de la pratique du « off » existent, elles s’amenuisent, particulièrement depuis l’arrivée des réseaux sociaux et des chaînes d’info en continu. Les médias sociaux bouleversent le processus de construction de l’information et amplifient considérablement la diffusion des informations.
Les politiques et les communicants s’approprient ce nouvel environnement médiatique, et une fois de plus la presse doit tirer son épingle du jeu ; le journaliste se doit d’être vigilant pour ne pas se laisser manipuler et instrumentaliser par le politique.
Ce mémoire montre que l’évolution de la pratique du « Off The Record » impacte directement la sphère politico-médiatique, notamment par ses dérives axées sur la communication ; un phénomène amplifié par l’arrivée des réseaux sociaux. Cette situation fragilise davantage la presse déjà touchée par un contexte économique difficile. La profession peut également paraître moins crédible aux yeux de l’opinion, et doit anticiper son évolution au sein des nouvelles technologies.
Quels sont les nouveaux risques d’opinion à intégrer d’urgence en communication de crise ? L’agence i&e passe en revue le vacillement du principe de précaution, les exigences compassionnelles de l’opinion, le nouveau récit des conflits sociaux, la justice en temps réel, la panne des débats publics.
Zoom sur la communication politique stratégique du Parti SocialisteDamien ARNAUD
Valerio Motta a notamment été conseiller communication de la Secrétaire d'Etat Pascale Boistard et a dirigé la communication du Parti Socialiste. Il vient de lancer Nemo Claudit, une société de conseil en communication numérique, corporate, publique et politique.
Zoom sur la communication politique digitale du Parti libéral du QuébecDamien ARNAUD
Loïc Gonsolin (@LoicGonsolin), responsable médias sociaux du Parti libéral du Québec (@liberalquebec), a accepté de répondre en 140 caractères aux questions du Cercle des communicants francophones.
Le Cercle des communicants francophones publie sa newletter n°5 (août 2016)Damien ARNAUD
Des interviews, les résultats d'un sondage, le bilan de nos consultations... découvrez notre newsletter n°5. Les numéros précédents : n°4 > http://urlz.fr/3kNJ, n°3 > http://urlz.fr/2KPS,
n°2 > http://urlz.fr/2p46, n°1 > http://urlz.fr/Rd4.
La communication publique et politique en AfriqueDamien ARNAUD
Marion Scappaticci, Directrice des communications chez AfricaFrance, ancienne membre du cabinet de la première dame du Gabon, répond à quelques questions pour le Cercle des communicants francophones (CCF).
Comment gouverner à l’heure des « GILETS JAUNES » ?Vincent Pittard
"Les réseaux sociaux n’ont pas transformé les citoyens en polémistes haineux, mais ceux qui l’étaient déjà, sont devenus tout à coup visibles."
Voilà l’idée que je voulais développer dans cette tribune publiée par la Libre Belgique à l'occasion du salon des mandataires. Comment gouverner à l’heure des « GILETS JAUNES » ? Voilà certainement un nouvel enjeu et un nouveau défi pour les mandataires publics… et pour beaucoup de dirigeants !
"Les Français attendent une communication politique qui s’éloigne des codes s...Damien ARNAUD
Tribune libre rédigée par des étudiants de Sphère CCP, l’association des étudiants du Master communication publique et politique de Sciences Po Bordeaux et publiée en mars 2017.
Communication publique : ''le community manager doit apporter sa patte, déve...Damien ARNAUD
Emilie Naouri (@EmilieNaouri) est responsable de la communication digitale et des relations presse de l'Etablissement public d'aménagement Paris-Saclay (@ParisSaclay).
Les pratiques de communication digitale dans la campagne pour l’élection muni...DamienLeborgne
Les pratiques de communication digitale dans la campagne pour l’élection municipale 2014 à Paris : les enjeux du discours politique
Dans quelle mesure les techniques de communication digitale ont-elles permis à Anne Hidalgo et à Nathalie Kosciusko-Morizet d’engager un dialogue plus interactif avec les citoyen.ne.s ?
Les réseaux sociaux numériques et la politiqueLaura Gertz
Nous allons parler des usages et des appropriations des réseaux sociaux numériques, notamment le Twitter, par le domaine politique. Pour traiter ce sujet, nous avons travaillé sur les profils des deux principaux candidates à la prefecture de Paris en 2014, Nathalie Kosciusko-Morizet, de l'UMP, et Anne Hidalgo, candidate du Parti Socialiste (PS).
Notre exposé est organisé dans trois parties. D'abord, pour faire une petite contextualisation, nous allons vous parler rapidement des caractéristiques du domaine politique et de l'importance des médias pour ce champ, où nous allons mettre en avance la question de l'internet et ses nouvelles technologies de l'information.
Ensuite, la deuxième partie est consacrée à l'étude de cas proprement dite, où nous allons présenter les enjeux de ces nouvelles possibilités ouvertes par l'internet par rapport au politique. Donc, nous allons nous intéresser aux publics qui utilisent le Twitter et à comment les deux candidates gèrent leurs comptes sur ce réseau numérique, c'est-à-dire, comment elles utilisent cet outil au profit de leur campagne, et aussi aux aspects économiques que cela apporte, comme le traitement des données qui sont disponibles en ligne par le biais des usages de ce réseau. À la fin, nous allons présenter les conclusions de cette étude et les questionnements qui restent ouverts à propos de ce sujet.
Géopolitique, influence et grandes écoles de management : le décryptage de Je...Bruno Racouchot
N° 26 - Octobre 2011 : Géopolitique, influence et grandes écoles de management : le décryptage de Jean-François Fiorina
Introduire la géopolitique dans le cursus des écoles de management pour mieux permettre aux étudiants de comprendre les réalités du monde : tel est le souhait de Jean-François Fiorina. Directeur de l'ESC (Ecole supérieure de commerce) de Grenoble - l'une des meilleures dans sa catégorie - co-fondateur du Festival de géopolitique, Jean-François Fiorina est un pragmatique. A ses yeux, "la géopolitique, c'est avant tout comprendre pour agir".
Dans l'entretien qu'il a accordé à Bruno Racouchot, directeur de Comes Communication, Jean- François Fiorina plaide pour un retour au réalisme et précise sa vision en matière de stratégies d'influence et de relations internationales.
AU MENU DU NUMERO 11 :
20 pages d'analyses, de tendances et de découvertes marketing!
- L'EDITO: Retour sur les élections : entre guerres publicitaires et nouvelle ère communicante.
- DOSSIER MARKETING : Neuromarketing : voyage au centre de votre cerveau.
- STRATEGIES DE TERRITOIRES : A Strasbourg, les champs de blé vont remplacer le béton !
- ZAPPING : La Tribune, Les Echos, BVA, Capital, EMarketing, La Gazette des Communes, L'Expansion, LSA...
- TENDANCES MARKETING : Lamborghini et SUV, un restaurant à loopings, la voiture volante de Volkswagen, les chantilly salées...
- EVENEMENTS : Retour sur le salon de la Mêlée Numérique : TIC, New Tech et Villes de demain.
http://www.athenea.fr
Présentation de l'influence des médias sociaux sur les organisations, notamment en terme de communication publique, pour un séminaire à l'Ecole Nationale des Officiers de Sapeurs Pompiers d'Aix-en-Provence. Retour sur le rôle de Facebook, Twitter, Viadéo, etc.. et sur l'expérience menée par le Conseil régional d'Auvergne.
« Le "off" : processus d'évolution et impact des médias sociaux » - Conséq...Cyprien Rose
Censé relever du domaine de la discrétion le « off » est un outil qui fait souvent parler de lui, certains journalistes dénoncent les dérives de la pratique alors que d’autres en font leur “fonds de commerce”.
Au départ respecté, le « off » se voit transgressé au fil des années, puis rubriqué sur la plupart des supports de presse. Par ailleurs, la profession doit constamment affirmer sa position face aux stratégies des politiques et des communicants. Dans ce contexte les rapports entre le journaliste et ses sources dépendent également des intérêts de chacun.
Si des différences culturelles de la pratique du « off » existent, elles s’amenuisent, particulièrement depuis l’arrivée des réseaux sociaux et des chaînes d’info en continu. Les médias sociaux bouleversent le processus de construction de l’information et amplifient considérablement la diffusion des informations.
Les politiques et les communicants s’approprient ce nouvel environnement médiatique, et une fois de plus la presse doit tirer son épingle du jeu ; le journaliste se doit d’être vigilant pour ne pas se laisser manipuler et instrumentaliser par le politique.
Ce mémoire montre que l’évolution de la pratique du « Off The Record » impacte directement la sphère politico-médiatique, notamment par ses dérives axées sur la communication ; un phénomène amplifié par l’arrivée des réseaux sociaux. Cette situation fragilise davantage la presse déjà touchée par un contexte économique difficile. La profession peut également paraître moins crédible aux yeux de l’opinion, et doit anticiper son évolution au sein des nouvelles technologies.
Quels sont les nouveaux risques d’opinion à intégrer d’urgence en communication de crise ? L’agence i&e passe en revue le vacillement du principe de précaution, les exigences compassionnelles de l’opinion, le nouveau récit des conflits sociaux, la justice en temps réel, la panne des débats publics.
Quels sont les nouveaux risques d’opinion à intégrer d’urgence en communication de crise ? L’agence i&e passe en revue le vacillement du principe de précaution, les exigences compassionnelles de l’opinion, le nouveau récit des conflits sociaux, la justice en temps réel, la panne des débats publics.
L'actualité récente démontre que les fake news ont des influences inespérées sur notre société et cela à tous les niveaux.
Celles-ci sont présentes sous différentes formes variées : propagande, parodies ou tout simplement dans du contenu erroné. L'impact de ces "fake news" est ouvert à tout vent, de la méfiance du journalisme à la mise en péril de l'économie en passant par la menace de la désinformation. Qui en sont les auteurs et les protagonistes et en quoi cela leur profite ?
Ce mémoire fait le point sur le phénomène très actuel des fake news. Au travers de recherches, d'interviews et d'investigations, il est maintenant possible de les comprendre dans leur globalité.
L’essor des réseaux sociaux entraîne une nouvelle forme
de circulation de l’information entre individus, mais également entre institutions et individus et entre institutions elles-mêmes. Les États tirent notamment de plus en plus parti de leur usage, en particulier à travers les jeux d'influence qui s'y déploient.
Plusieurs conflits récents ont montré que la communication diplomatique ou la propagande étaient devenues des pratiques fort développées sur les réseaux sociaux. Quant aux plateformes qui sont à l’origine de ces réseaux, elles sont confrontées en retour à des pressions importantes qui les hissent au rang de nouveaux acteurs des relations internationales.
Article tiré de la revue Questions internationales n°68 (juillet-août 2014).
Das fög – Forschungsinstitut Öffentlichkeit und Gesellschaft untersucht jährlich die aktuellsten Veränderungen in der Schweizer Medienlandschaft. Im Mittelpunkt stehen dabei die Mediengattungen Presse, Radio Fernsehen und Online.
Weitere Informationen unter: www.foeg.uzh.ch
Découvrez le support de présentation du 11ème webinar de l'EEIE animé par Agnès Dubois Colineau, CEO d'Arcturus Group sur le thème : Lobbying et éthique.
Voici les principaux axes abordés en 1h :
- Le lobbying est un métier à part entière, méconnu
- Le lobbying a mauvaise réputation, pourquoi ?
- Le lobbying œuvre-t-il contre l’intérêt général ?
- Le lobbying est un métier de plus en plus encadré
Face à la situation inédite que nous traversons avec le Covid-19, de nouveaux comportements et attentes émergent.
Pour mieux appréhender cette situation et voir se dessiner le monde d’après, notre planning stratégique publie chaque semaine un cahier d'insights.
Similaire à Communication politique : ''entre hypercommunication et silence, il y a une autre voie celle de l'alternance'' (20)
La communication publique au Québec : interview de Louis LatraverseDamien ARNAUD
Louis Latraverse est Directeur de la communication de la ville de Sorel-Tracy au Québec et Président de l'Association des communicateurs municipaux du Québec (ACMQ).
Lumière sur... le métier de conseiller communication ministérielDamien ARNAUD
Interview de Mathieu Pontécaille, Conseiller communication au cabinet du ministre de l'aménagement du territoire, de la ruralité et des collectivités. Auparavant, il a notamment occupé les fonctions de responsable adjoint du département digital du Service d'information du Gouvernement (SIG) et Conseiller pour la communication numérique au cabinet de Jean-Marc Ayrault à Nantes.
Zoom sur la communication publique et politique en Haiti Damien ARNAUD
Interview d'Axelle Kaulanjan (@Axelle971), ancienne directrice de la communication d'un ministère à Haïti et directrice d' Axelle Kaulanjan Consulting, entreprise spécialisée en communication, gestion de crise, coopération et diplomatie de la Caraïbe.
« La communication interne doit être digitale, ouverte et interactive »Damien ARNAUD
Vincent Lalire (@lalalalire) est responsable de la communication interne du Département de la Seine-Maritime et chargé d’enseignement dans le Master 2 ''Communication politique et institutionnelle'' de l’Université Paris 1-Sorbonne.
Zoom sur 30 ans de campagnes gouvernementales : interview d'un des rédacteurs...Damien ARNAUD
Interview de Julien Oechsli (@JulienOechsli), expert en communication publique et politique et l'un des rédacteurs de l’ouvrage Bleu, Blanc, Pub, 30 ans de communication gouvernementale en France, publié en 2008.
Les évolutions de la communication publique et politique dans les collectivitésDamien ARNAUD
Frédéric Dorville est directeur de cabinet et de la communication de la ville de Voreppe. Il enseigne également au Centre National de la Fonction Publique Territoriale (CNFPT).
Communication locale : "on n'est plus dans l'Ancien régime médiatique"Damien ARNAUD
Enseignant-Chercheur, Directeur du département communication à l'Université de Rennes 2 et responsable du parcours "Métiers de l’information et de la communication organisationnelle", Didier Chauvin revient sur les grandes évolutions de la communication locale.
Communication politique : ''quand on fabrique des gestes, on fabrique du mens...Damien ARNAUD
Coach en communication, Stephen Bunard accompagne des dirigeants, des hauts fonctionnaires et des élus à la prise de parole en public et avec les médias, en temps calme et en situation de crise. Il
intervient régulièrement à l'École Nationale d'Administration et à l'Université Paris-Dauphine. Il est également le coauteur de plusieurs ouvrages : Le Tout politique et Gestion de crise.
Les stratégies de marques de la ville de Paris : interview de Gildas RobertDamien ARNAUD
Gildas Robert (@GildasRobert), responsable du Département Marketing et Communication des Marques de la Mairie de Paris, détaille les stratégies de marques mises en œuvre par la municipalité parisienne.
Le rôle des Secrétaires généraux de l'Elysée dans la mise en oeuvre de la com...Damien ARNAUD
Le journaliste politique César Armand (@Cesarmand) et le blogueur politique Romain Bongibault (@romainbgb) ont publié, en mars 2016, un ouvrage intitulé Dans l'ombre des Présidents. Un livre qui met en lumière le rôle des Secrétaires généraux de l'Elysée. Interview croisée.
Marketing territorial : "c'est faire de la marqueterie avec les atouts du ter...Damien ARNAUD
Interview d'Albine Villeger, chargée du marketing territorial et de la communication en développement économique au sein de la Communauté d’agglomération Evry Centre Essonne.
"Le digital a révolutionné l'événementiel"Damien ARNAUD
Baptiste Sorin (@SorinBaptiste), adjoint de la directrice communication de l'ENSTA ParisTech chargé de la communication événementielle, a répondu aux questions du Cercle des communicants francophones.
Tunisie : les apports de la communication publique dans le domaine de la Santé
Communication politique : ''entre hypercommunication et silence, il y a une autre voie celle de l'alternance''
1. Cercle des communicants francophones
Itw #27
« L’hypercommunication politique est une stratégie à bout de souffle »
Ancien conseiller ministériel, Frédéric Vallois (@fvallois) est actuellement Plume pour la
Direction Générale d’une grande entreprise et enseignant en communication politique à Sciences
Po Paris.
Quelles leçons de communication politique peut-on tirer de l’attentat de Nice ?
Frédéric Vallois (FV) : La communication politique ne sort pas grandie de
ce tragique événement, c’est le moins que l’on puisse dire. Cette
impression d’ensemble est nourrie par des dysfonctionnements de gravité
variable, qui vont de prises de parole insuffisamment coordonnées au sein
du Gouvernement (entre Manuel Valls et Bernard Cazeneuve au sujet du
profil du tueur) à des interventions franchement déplacées de la part de
l’opposition (le « lance-roquette » d’Henri Guaino, les épanchements de
Christian Estrosi s'estimant « traité comme un subalterne » par l’exécutif).
La plus grave erreur est le non-respect du ''facteur temps'', qui est pourtant
l’une des règles élémentaires de la communication. Alors que les
responsables politiques avaient fait preuve d’une certaine retenue juste après l’attentat du
Bataclan, certains ont cru bon cette fois de s’affranchir de la période de réserve qu’imposaient le
deuil et l’unité nationale.
Évidemment, le calendrier y est pour beaucoup. La perspective de la primaire a poussé certains
leaders de droite à surréagir. Mais indépendamment de cette échéance, il faut bien admettre que
l'hypercommunication, érigée en modèle depuis dix ans par une bonne partie de la classe
politique et portée à son paroxysme il y a quelques jours à Nice, mène droit dans le mur. Cette
stratégie est aujourd’hui à bout de souffle.
Pourquoi l’hypercommunication ne marche-t-elle plus ? N’est-elle pas de toute
façon inéluctable face au tempo imposé par les nouveaux médias ?
(FV) : Historiquement, l’hypercommunication politique est antérieure à l’hyperinformation
médiatique. Lorsqu’Alastair Campbell, le conseiller com’ de Tony Blair, appelle à « faire la
météo » dans les médias, nous sommes au tout début des années 2000, à une époque où les
chaînes d’info et les réseaux sociaux ont un poids marginal voire nul. En France, pratiquement au
même moment, Nicolas Sarkozy adopte cette même stratégie de l’omniprésence, rompant avec
deux décennies de rareté « jupitérienne » prônée par Jacques Pilhan.
Mais ce qui pouvait apparaître novateur il y a quinze ans est devenu terriblement obsolète
aujourd’hui. L’hypercommunication a très mal vieilli. Premièrement, l’omniprésence est devenue
une gageure dans la centrifugeuse numérico-médiatique qui tourne à une vitesse de plus en plus
folle. Par ailleurs, elle n’offre stratégiquement plus rien de différenciant puisque la plupart des
décideurs s’y sont convertis. Enfin et surtout, la fréquence de la communication politique a
souvent été inversement proportionnelle à l’efficacité de l’action publique, les excès de la
première tendant même à masquer les carences de la seconde.
Beaucoup de responsables politiques refusent de sortir du radar médiatique par crainte d’être
oubliés mais ils courent un risque au moins aussi grand à vouloir y figurer coûte que coûte : celui
2. de se noyer et de disparaître sous un déluge d’informations. Quand il y a trop de points sur un
radar, on ne distingue plus rien ! Les acteurs politiques comme privés sont aujourd’hui engagés
dans un jeu à somme nulle : celui de l’attention. Dans un essai consacré à ce sujet, Yves Citton,
co-directeur de la revue Multitudes, explique que le flot d'informations auxquelles nous sommes
confrontés augmente de 30% à 60% par an, alors que notre capacité d'absorption s'accroît au
mieux de seulement 5% par an.
Ce n’est donc pas en communiquant plus mais en communiquant mieux que les responsables
politiques peuvent espérer retrouver un peu de crédit auprès de l’opinion publique. Pour cela, il
faut savoir décélérer et résister à la surabondance de sollicitations médiatiques. Comme le disait
Sénèque, « c’est être nulle part que d’être partout ». Priorité à la puissance du message plutôt
qu’à sa fréquence, à sa pertinence plutôt qu’à sa récurrence.
Justement, si l'hypercommunication n'est plus viable, quelle autre voie s’offre à la
communication politique ?
(FV) : Récemment, plusieurs spécialistes de la communication, de Dominique Wolton à Olivier
Cimelière, ont - à juste titre - rappelé les vertus de la rareté et du silence. Jusqu’à présent, très
(trop) peu de responsables politiques de premier plan s’y sont essayé, à l’exception notable de
François Baroin, qui déclarait il y a deux ans déjà : « J’étouffe dans cette ambiance
permanente de Loft Story ou de Koh-Lanta politique. L’addition des réseaux sociaux et des
médias en boucle crée un sentiment anxiogène et finit par institutionnaliser le FN. Je ne mêle
plus ma voix à ce système ».
Mais soyons clairs : le silence ne peut pas être une option permanente. À l’ère de
l’hyperinformation médiatique, un dirigeant politique, y compris le Président de la République,
ne peut plus rester sur l’Olympe à contempler de loin le monde des mortels. Le silence fait de
vous un suspect, notamment en cas de crise. Pire, d’autres acteurs s’expriment à votre place et
abîment votre réputation. Même constat pour l’entreprise, qui n’a plus le magistère de la parole :
on estime que 75% des prises de parole sur une marque se font à l’extérieur de l’entreprise elle-
même !
Entre une omniprésence qui n’est pas souhaitable et un silence absolu qui n’est pas possible, il y
a une troisième voie possible : une stratégie de ''l’alternance'' qui consisterait à conjuguer une
grande réactivité en période de crise et une grande modération en dehors. Ce ''stop and go
communicationnel'' s’inscrit dans la lignée des ruptures de rythme préconisées par Jacques
Pilhan qui, si elles sont inapplicables dans leur format d’origine, peuvent être source
d’inspiration dans une version remastérisée.
Néanmoins, le calendrier ne semble pas propice à l’expérimentation d’une certaine forme de
''slow communication'' politique. À six mois de la primaire et à un an de l’élection présidentielle,
il y a fort à parier que l’hypercommunication ait, hélas, encore de beaux jours devant elle.
Interview réalisée par Damien ARNAUD (@laCOMenchantier) en juillet 2016
Le Cercle vise à faire progresser la #ComPublique et la
#ComPol dans le monde francophone. C’est un espace de
dialogue, de partage d'expériences et de valorisation de tous.
LinkedIn > Cercle des communicants francophones
Twitter > @leCCF
Facebook > Cercledescommunicants