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Tyler Furnari
Héros et Humanistes
Madame O’Connor
Lundi le 31 octobre, 2005
La Liberté de la morte dans La Condition Humaine
Dans l’ouvrage de André Malraux La Condition Humaine on peut concevoir que
la mort soit plus que la fin de la vie dans le monde. À travers de l’histoire on voit que
les personnages de Malraux emploient la mort afin d’échapper la douleur et la souffrance
de la vie à Shanghai. Grâce à la mort plusieurs personnages au livre gagnent la liberté
qu’ils utilisent à découvrir un autre monde de foi ou existence. En fait, Malraux constate
quelqu’un peut retrouver le but de sa vie grâce à la mort, même si la mort symbolise
l’opposite de la vie.
À partir au début de La Condition Humaine, les lecteurs voient que le meurtre de
Tang-Yen –Ta commence l’intoxication ou l’obsession de la mort au personnage de
Tchen.. Pendant son assassinat de l’homme, Tchen devient le personnage d’un terroriste
au livre. En plus, Tchen réfléchit ce qu’il fait et il essaie de tuer avec la plus efficacité.
Bien qu’il soit la première fois qu’il tue un homme, Tchen semble d’avoir l’habitude à
tuer. En même temps que Tchen assassine Tang-Yen-Ta, il se rend compte de la solitude
et le pouvoir de la mort. Cela est évident que Tchen réalise un état de l’extase quand il
tue parce qu’il dit, « Rien n’y indiquait le combat, pas même la déchirure de la
mousseline qui semblait séparée en deux pans : il n’y avait que le silence et une ivresse
« écrasante où il sombrait, séparé du monde des vivants, accroché à son arme »
(Malraux, 12).
Le pouvoir de la mort donne Tchen l’opportunité afin d’échapper la douleur de la
vie en Chine. Après qu’il tue Tang-Yen-Ta personne ne comprend son état dans le
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monde. La mort pour Tchen est la libération qu’il a besoin de trouver son destin dans sa
vie. Tout de suite le meurtre Tchen sait qu’il n’est pas le même personne d’avant.
Quand il arrive au magasin de Lou-You-Shuen et Hemmelrich (phonos) il pense
seulement du meurtre et le sens de la mort. C’est pour ça que Tchen dit, « Toujours
cette obsession de la dureté de la chair, les paroles n’étaient bonnes qu’à troubler la
familiarité avec la mort qui s’était établie dans son cœur « (Malraux, 19) En fait, Tchen
est déjà entré un monde surréaliste à la fin du meurtre. Grâce à la mort il n’existe plus
dans le monde des hommes en Chine, mais un monde seulement de la mort qui il décrit
comme un monde « nocturne, inquiet, ne s’opposait pas au meurtre » (Malraux, 17). Ce
monde éternel qui est fondé sur la mort.
Il y a plusieurs fois dans le livre où Tchen constate qu’il ne peut pas avoir un
rapport avec les soldats de la révolution chinoise à grâce de sa libération de mort.
D’abord Tchen n’a plus peur de la mort après l’intoxication qui le reçoit par la mort. Par
conséquent il combat avec plus d’expérience que les autres soldats. La moitié des soldats
révolutionnaires ne savent pas se servir de leurs armes. En revanche Tchen connaît le
pouvoir de la mort et il est prêt à mourir. Avant que les soldats attaquent la poste de
police Tchen croit qu’il est seul à coté des autres communistes. À l’avis de Tchen avant
le commencement de l’insurrection « Il n’était pas des leurs. Malgré le meurtre, malgré
sa présence. S’il mourait aujourd’hui, il mourrait seul. Pour eux, tout était simple ; ils
allaient à la conquête de leur pain, et de leur dignité. Pour lui... sauf de leur douleur et de
leur combat commun, il ne savait pas même leur parler « (Malraux, 93). Tchen tient à
mourir afin de gagner son sens dans la vie. Son état de la solitude aide son désir à tuer et
à mourir pour la révolution. Personne ne peut lui comprendre sauf lui-même.
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Puisque la libération de Tchen grâce à la mort, Tchen pense seulement du
terrorisme. Quand Tchen a un rendez-vous chez Kyo, il évoque son destin à Gisors.
Tchen parle de sa fatalité et ses pensées de la mort qui indique son but du suicide. Ici, les
lecteurs constatent du destin de Tchen parce que l’analyse de Gisors. Gisors se rend
compte de la résolution de Tchen pendant la parole quand il se demande « N’est-ce pas
cela surtout qu’il veut. Il n’aspire à aucune gloire, à aucun bonheur. Capable de vaincre,
mais non de vivre dans sa victoire, que peut-il appeler, sinon la mort. Sans doute veut-il
lui donner le sens que d’autres donnent à la vie. Mourir le plus haut possible » (Malraux,
65). D’après Tchen la mort est la vie dans ce monde et elle peut lui donner un sens dans
la vie. Si Tchen gagne l’intoxication grâce à la mort dans le monde de l’homme, il
pourra gagner le plus pouvoir à cause de sa mort.
Le terrorisme est une nouvelle foi pour Tchen. Il détruit ses idées de sa première
éducation qui avait été religieuse. Tchen rejète la philosophie de la religion qui est contre
le terrorisme et l’idée du suicide. De même Tchen n’a que le désir à tuer afin de
retrouver le pouvoir et la liberté d’intoxication de la mort. Toujours il dit à Kyo et Katow
« D’abord, il faut tuer Chang-Kai-Shek » (Malraux, 130) Il ne peut pas penser d’une
autre chose, même s’il n’y a pas l’accord du Comité Central ou du moins de la
Délégation de l’Internationale. Personne ne peut arrêter l’action du suicide dans la tête
de Tchen. C’est pour ça qu’il dit à Vologuine « Ce n’est pas par obéissance qu’on se fait
tuer. Ni qu’on tue. Sauf les lâches » (Malraux, 151). C’est à dire que Tchen met en
relief son destin du suicide et il compte à tuer sans l’autorité supérieure.
Enfin à la fin de troisième partie du livre Tchen décrit le sentiment de la mort en
lui-même. On peut voir que la mort pour Tchen est comme une drogue. Il dit à Kyo « Je
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cherche un mot plus fort que joie. Il n’y a pas de mot…. Alors, je peux mal t’expliquer.
Plus près de ce que vous appelez… extase. Oui. Mais épais. Profong. Pas léger. Une
extase vers… vers le bas (Malraux, 154-155). En un sens quand Tchen tue Tang-Yen-
Ta, en même temps il se tue. Il commence sa dépendance avec la mort et puis il a besoin
de trouver la violence au monde.
Il est nécessaire que Tchen tue Chang-Kai-Shek afin de gagner la vie éternelle
dans le monde surréaliste Les lecteurs peuvent déduire cette solution quand Kyo
demande Tchen « Tu trouves important que ce soit toi qui organises l’attentat contre
Chang ?… et Tchen répondit Nong… Et pourtant, je ne voudrais pas le laisser faire par
un autre. » (Malraux, 156). C’est évident que Tchen croit qu’il recevra la liberté grâce à
la mort de Chang. Il veut à tuer encore parce que c’est la seule l’action qui sait à faire
dans le monde. De plus la résolution de mourir est le moyen afin que Tchen découvre
l’euphorie de la mort, mais aussi le moyen qui peut donner une identité à la révolution
communiste en Chine.
Un autre personnage de Malraux qui emploie la libération de la mort est
Hemmelrich. Pour la plupart de l’histoire Hemmelrich ne peut pas combattre dans la
révolution communiste à cause de sa famille. Toujours, il veut combattre pour sa famille,
mais il a peur du meurtre de sa famille. De plus il pense que Tchen meurt à cause de lui.
Il évite les actions contre le gouvernement chinois afin de protéger l’existence de sa
famille. A son avis il vit une vie de souffrance et il est un lâche aux yeux des amis
communistes. On peut concevoir la douleur de Hemmelrich quand il dit à Tchen « Tu ne
peux pas savoir, Tchen, tu ne peux pas savoir le bonheur que tu as d’être libre ! »
(Malraux, 183). Hemmelrich souhaite d’être libre comme Tchen, mais il a besoin
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d’être responsable à sa famille. Hemmelrich n’est pas libre à cause de la vie de sa
famille. Comme Tchen la mort est la seule chose qui peut lui donner la liberté ! Enfin
les soldats de Chang-Kai-Shek tuèrent sa femme et son enfant. Grâce à la mort
Hemmelrich veut la vengeance contre le Kuomintang de Chang-Kai-Shek. Il gagne la
liberté parce que la mort de sa famille et alors il se rend compte que son sens dans la vie
est à faire la révolution communiste. On peut voir la transformation de Hemmelrich
quand il dit, « Pourtant, cette fois, la destinée avait mal joué : en lui arrachant tout ce
qu’il possédait encore, elle le libérait … Maintenant, il pouvait tuer, lui aussi… qu’il les
connaissait, les aimait, les possédait plus dans la vengeance que dans la vie » (Malraux,
261). Hemmelrich complète son destin par le meurtre du soldat à la fin du livre.
Jusqu’au meurtre du soldat par Hemmelrich, il ne fait pas encore la vengeance contre les
meurtriers de sa famille. Dans la situation de Hemmelrich la mort lui donne la liberté
pour qu’il tue la souffrance qui avait crée par le gouvernement chinois dans sa vie contre
sa famille. De plus il peut trouver son lieu dans le monde par travaillant pour l’idée de
communisme.
Le rapport entre May et Kyo devient plus intime grâce à la mort. En fait, la
réalité de la mort est plus forte quand Kyo reçoit l’ordre de cacher ou d’enterrer les armes
par le Comité Central. Les sentiments entre les deux ne sont pas évidents au début de
l’histoire, mais dans cette scène May évoque son désir à partir avec Kyo. Elle croit que
Kyo va mourir après qu’il la part. Elle pense surtout de l’unité d’amour qui existe entre
les deux quand elle dit « Pourquoi des etres qui s’aiment sont-ils en face de la mort, Kyo,
si ce n’est pour la risquer ensemble » (Malraux, 205). C’est à dire que les amants ont
besoin de travailler ensemble tout le temps. Tout de suite après que Kyo part chez
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Gisors, il se rend compte du pouvoir de May. Il a besoin sa femme afin de combattre la
mort qui est partout. Cela est évident par la citation « La séparation n’avait pas délivré
Kyo. Au contraire : May était plus forte dans cette rue déserte- ayant accepté qu’en face
de lui, s’opposant à lui » (Malraux, 209). En outre Kyo réalise que le sentiment de
l’amour est plus fort en présence de la morte et May veut à mourir avec lui afin de
montrer la forme totale de l’amour. Par conséquent la mort donne Kyo et May
l’opportunité d’avoir un nouvel état de l’amour à la fin du livre. C’est à dire qu’ils
vivent pour l’un l’autre dans un monde plein de la corruption.
En lisant La condition humaine on peut voir la quête entre la vie et la mort dans la
société de l’homme. En revanche dans ce livre la mort en un sens est la vie et les
personnages de Malraux symbolisent ce rapport entre les deux. En tout le bonheur de la
vie ne peut pas exister sans le malheur. De plus la mort a une forme ou une chose de
beauté, même s’il y a l’opposite de la vie. C’est pour laquelle Tchen, Hemmelrich, Kyo
et May utilisent la mort afin de gagner la liberté dans le monde. D’après Malraux
l’existence de la vie est fondée sur l’idée de la mort et on peut concevoir que la
signification de la mort compte sur la situation unique d’un personnage dans La condition
humaine.