La viande a-t-elle sa place dans l'alimentation durable ?
1. La viande a-t-elle sa place dans
l’alimentation durable ?
ATALLAH Vivian – BERRADA Nabil – COLLONGUES Tiphaine –
DUTHILLEUL Audrey –GASPARD Julie
2. Sommaire
Sommaire……………………………………………….2
Notre démarche……………………………………….3
Notre reportage ………………………………………4
A- Découpage du reportage
B- Introduction du reportage
C- Interviews
D- Données Clefs
E- Micro-trottoir
Organisation du tournage…………………………..9
A- Fiche de contacts
B- Démarches entreprises
C- Fiche de poste
D- Liste du matériel
E- Planning de tournage
F- Autorisation de tournage
G- Cession de droits) l'image
3. Notre démarche
La problématique que nous avons choisi de développer est la
suivante :
La viande a-t-elle sa place dans l'alimentation durable ?
“Les régimes alimentaires durables sont des régimes alimentaires
ayant de faibles conséquences sur l’environnement, qui contribuent
à la sécurité alimentaire et nutritionnelle ainsi qu’à une vie saine
pour les générations présentes et futures. Ils contribuent à protéger
et à respecter la biodiversité et les écosystèmes, sont culturellement
acceptables, économiquement équitables et accessibles,
abordables, nutritionnellement sûrs et sains, et permettent
d’optimiser les ressources naturelles et humaines.”
Nous aborderons des thèmes tels que :
-Traçabilité
- Délocalisation
- Réduction des coûts
- Bien-être animal
- Qualité et tradition
-Type d'élevage
4. A partir d'une interview d'un artisan de bouche spécialisé dans la
viande et sa transformation, notre enquête nous mènera dans les
coulisses de l'industrie de la viande. Au fil de ses rencontres notre
journaliste, Audrey Duthilleul, mettra en perspectives les enjeux et
la complexité d'un secteur menacé par la grande industrie
agroalimentaire. Qu'en est-il du respect des bêtes, des éleveurs ?
Quel avenir pour l'antique métier de boucher ? Vous le saurez très
prochainement !
Interview de
l'artisan
boucher
Investigation &
micro- trottoir
Réponse à
notre
problématique
9. B. L’introduction de notre reportage
Succession d’images choc provenant de différents reportages.
Texte de la journaliste : Aujourd’hui, alors que la consommation mondiale
de viande explose, de nombreux scandales (vache folle, grippe aviaire, ferme
des 1000 vaches) réveillent peu à peu les consciences et révèlent la face
cachée de cette industrie. A l’heure ou les supermarchés concentrent la
majorité des achats en viande des consommateurs, une nouvelle vague de
bouchers apparaît prônant alors un retour à des valeurs plus traditionnelles :
« le bien manger » mais aussi « le bien élever ». Le chef de file de ces
bouchers d’un nouveau genre, monsieur Hugo Desnoyer nous accueille dans
sa boutique du 16ème arrondissement afin de nous en dire plus. Suivez-moi !
10. C. Les interviews
Proposition de questions pour l’interview de Mr Hugo DESNOYER
- Que pensez-vous des images que vous venez de voir ?
- Aujourd’hui vous prôner le retour au traditionnel métier de boucher avec une viande de qualité. Selon vous, il est donc
possible que la viande fasse partie intégrante d’une alimentation durable ?
- Quel avenir donc pour la filière ?
- Comment assurez-vous aujourd’hui une viande de qualité à vos clients ?
- Est-ce aujourd’hui possible de consommer de la viande de qualité à un coût raisonnable ?
- Quels conseils auriez-vous à donner aujourd’hui à des consommateurs férus de viande ?
- Alors que les rayons de nos supermarchés sont envahis de viande industrielle, souvent bas de gamme, peu gouteuse
et peu qualitative à bas prix vous prenez le contrepied de cette tendance en vous attardant sur des critères
principalement qualitatifs. Pourquoi aujourd’hui la qualité n’est-elle plus le mot d’ordre dans ce secteur ?
- Comment assurez-vous une telle qualité à vos clients ?
- Finalement, prônez-vous le principe « du manger moins mais mieux » ?
11. Proposition de questions pour monsieur Boris LECLERQ
-En tant que restaurateur, vous jouez un rôle clef dans le processus de
consommation. Comment assurez-vous à votre clientèle des produits de
qualité à un prix juste ?
-Selon vous, le fait d’avoir votre propre élevage, cela vous permet-il
d’adhérer aux valeurs de l’alimentation durable en contrôlant la provenance
de la viande et sa qualité ainsi que l’élevage de vos animaux selon le respect
du bien-être animal ?
- Prônez-vous le principe « du manger moins mais mieux » ?
12. D-Données clefs
Cette augmentation de la demande (viande porcine : + 37%, volaille : +125%) risque
d’encourager les dérives d’élevage notamment en terme de respect du bien être
animal mais aussi de qualité de la viande.
13. La filière de l’abattage comporte de réels enjeux économiques pour l’agriculteur mais
aussi et surtout pour le consommateur. En effet, le prix au kilo est multiplié par 8,5
entre le producteur et le consommateur sans pour autant que cela profite à l’éleveur.
14. E. Micro-trottoir
Nous avons choisi de réaliser un micro-trottoir sur ce sujet car il nous permet d’avoir
un aperçu de l’opinion publique grâce aux réactions spontanées des participants.
Les questions que nous souhaitons leur poser sont plutôt des questions ouvertes
laissant aux participants la possibilité d’énoncer leur point de vue et ainsi nous
permettant de diminuer les biais cognitifs.
Q1 : La viande est-elle une ressource en danger au même titre que d’autres ressources
naturelles (pétrole, eau potable, etc.) ?
Q2 : Considérez-vous que manger de la viande contribue à être en bonne santé ?
Q3 : Lorsque vous consommez de la viande pensez-vous à l’animal qu’il y a derrière ?
16. B. Démarches Entreprises
Prise de contact avec Monsieur DESNOYER :
Le mardi 4 novembre, nous nous sommes rendus dans la boucherie de Mr
Hugo DESNOYER afin de nous présenter et de lui exposer la thématique de
notre projet. Présent dans la boutique, il nous a accordé quelques minutes
afin que nous lui parlions de notre projet. Intéressé et ouvert à y participer, il
nous fixe rendez-vous le mardi 18 Novembre à 16h afin de tourner
l’interview.
17. Prise de contact avec Monsieur LECLERCQ :
Mail envoyé le 3 novembre à Mr Boris LECLERCQ gérant du
restaurant chez Boris St Honoré.
18. Nous nous sommes rendus le vendredi 7 novembre en fin de matinée rue du
Faubourg St Honoré afin de rencontrer Monsieur LECLERCQ qui était
malheureusement absent. En effet, étant propriétaire de plusieurs
établissements en France et ayant son siège social à Montpellier, il ne se rend
pas sur Paris de manière quotidienne. Nous avons donc rencontré un salarié
du restaurant qui nous donné les coordonnées de Leticia (femme de Mr
LECLERCQ) que est en charge de la communication et des relations
publiques.
23. F. Autorisation de tournage
Nous avons prévu d’interviewer nos deux interlocuteurs dans
leurs propres locaux à savoir leurs lieux de travail (boucherie
Hugo Desnoyer dans le 16eme et le restaurant Chez Boris dans
le 8ème). Nous n’avons donc pas la nécessité d’obtenir une
autorisation de tournage.