6. Webtimemedias.com
9 octobre 2017
Fête de la Science : Sophia a ouvert le bal à Juan
Publié le 9 October, 2017 - 17:51 par Jean-Pierre Largillet - Vu 2866 fois
La Fête de la Science qui se poursuit jusqu'à dimanche 15 octobre dans les Alpes-Maritimes
a commencé en fanfare ce dernier week-end avec l'ouverture du "Village des Sciences et de
l'Innovation" au Palais des Congrès de Juan-les-Pins. Plus de cinq mille visiteurs sont venus
à la rencontre des chercheurs et des ingénieurs de la technopole et ont exploré le futur avec
eux.
La fête de la Science, qui se poursuit jusqu'au dimanche 15 octobre a commencé en fanfare, samedi au
Palais des Congrès de Juan-les-Pins avec l'ouverture sur deux jours, du "Village des Sciences et de
l'Innovation". Pour la troisième année consécutive, la technopole s'est déplacée à la rencontre du
grand public. Ses laboratoires de recherches (Inria, Inra, IPMC, université, I3S…), ses grandes
entreprises technologiques (Amadeus, SAP Lab, Accenture, Orange, Qwant…), ses start-up (Data
Move, Key Infuser, Objeos…), ses associations (Telecom Valley avec son SoFab, JCE, Pôles SCS…), ses
grandes écoles (EURECOM, SKEMA…) avaient une nouvelle fois répondu présent.
Et la plupart étaient venus avec des animations et démonstrations qui permettaient de visualiser la
science en action. Ici des jeux, là des casques de réalité virtuelle, ailleurs des essais de robotique, des
vidéos, des expérimentations, beaucoup d'écrans et d'ordinateurs un peu partout… De quoi intéresser
tout particulièrement les enfants, mais également leurs parents et leurs grands-parents. Une superbe
occasion de toucher du doigt ce futur qui s'invente dans la technopole et qu'il serait très difficile de
découvrir sur le site, les laboratoires comme les entreprises se trouvant, d'une part, très dispersées et,
d'autre part, n'étant pas équipées pour recevoir le public. Une occasion qui n'a pas été manquée avec
près de 3.000 visiteurs comptabilisés samedi soir alors que le village n'avait été ouvert qu'à partir de
13 heures.
7. Un gros effort avait été fait cette année par les participants pour multiplier les démonstrations et les
jeux sur les stands.
Flash sur le village Agrosciences à Sophia
Dans les Alpes-Maritimes, la fête de la Science ne fait que commencer. D'autres événements phares
sont encore prévus. Ainsi pour Le Village Agrosciences de l’Institut national de la recherche
agronomique (INRA au 400 routes des Chappes à Sophia). Il sera organisé les 12, 13 et 15 octobre par
le Pôle Santé des Plantes à l’Institut Sophia Agrobiotech de Sophia Antipolis, avec trois jours d’ateliers
de stands et de visites des laboratoires qui ouvrent leurs portes exceptionnellement à l’Inra. Les
journées des 12 et 13 sont réservées aux scolaires mais le village sera ouvert au grand public le
dimanche 15 octobre, de 10h à 16h30, sur inscription (par courriel à : inscriptionssophia@inra.fr).
Villefranche : de la biologie marine à l'océanographie
Le Village des sciences marines de l'Observatoire Océanologique de Villefranche-sur-Mer accueillera les
visiteurs du 13 au 15 octobre pour un long voyage de la biologie marine à l’océanographie, de la cellule
aux océans du monde entier (robotique marine, méduses, micro algues, fécondation d’oursin, larves de
poissons, etc.). Ils pourront découvrir les locaux et les principaux sujets d’étude et à travers le
dialogue avec les chercheurs de cette station marine pluridisciplinaire
Portes-ouvertes au CEEI de Nice
A noter également, parmi les multiples initiatives, le centre européen d’entreprise et d’innovation
(CEEI) de Nice qui fait une journée "portes ouvertes", demain mardi 10 octobre et accueillera trois
classes de lycées de Nice (Thierry Maulnier, Les Eucalyptus et Masséna). Ou encore les laboratoires de
recherche de plusieurs campus qui ouvrent leurs portes aux collégiens et lycéens à l’Université Côte
d’Azur du 10 au 13 octobre sur inscription. Quant au campus Pasteur, il présentera des expériences
autour des cellules et de l’ADN, tandis que le campus de Valrose ouvrira les portes des laboratoires de
mathématique, de physique, de chimie, d’astrophysique et de biologie, ainsi que la bibliothèque
universitaire des sciences.
Au total, beaucoup d'événements jusqu'à dimanche, de découvertes à faire que l'on pourra retrouver
en ligne sur le programme : fetedelascience06.fr.
http://www.webtimemedias.com/article/fete-de-la-science-sophia-ouvert-le-bal-juan-20171009-60805
8. Tribuca.net
10 octobre 2017
Test Logiciel : Telecom Valley fait le plein
Mardi 10 octobre 2017 à 12h08
150 professionnels se sont réunis à Sophia autour des problématiques et
enjeux du test logiciel et du management qualité ce 5 octobre à l'INRIA.
Une grande soirée dédiée au test logiciel : une exclusivité Telecom Valley, animateur du numérique
azuréen, qui a rassemblé autour de pointus experts quelque 150 professionnels. Une soirée chargée :
au total, 12 interventions sur ces fameux tests dans un monde à l'agilité augmentée, décoction des
différentes méthodologies, intégration continue ou tests référentiels. Côté experts ? Accompagnées
par le CFTL (Comité Français du Test logiciel), les sociétés azuréennes All4test, CrossKnowledge,
Acp qualife, Altran, Amadeus et Sogeti High Tech.
Une communauté à part entière
"Avec toutes les sociétés d'édition de logiciels que compte la Côte d'Azur et notamment Sophia
Antipolis, on se doutait qu'il y avait un fort potentiel d'intérêt, mais nous n'avions que peu de visibilité
sur la mobilisation des troupes" confesse Julien Van Quackebeke (All4test, pure player du test logiciel
en France), co-animateur avec Olivier Garrigues (Crossknowledge, éditeur de logiciels) de la
communauté dédiée, Test & Qualité Logiciel, au sein de Telecom Valley, grand ordonnateur de cet
événement réussi. "L'objectif est désormais de garder le contact via les meetups du Sofware Tester
Club et le hub LinkedIn de la commission."
9. Premier constat, les entreprises locales ont intégré l'enjeu de la qualité logicielle, et les demandes en
formations, veille ou expérimentations affluent selon Telecom Valley, qui prévoit déjà d'intensifier son
programme d'ateliers et de réunions d'échanges sur le sujet, et s'inscrit sur une pérénisation de cette
soirée du Test Logiciel. Rendez-vous en 2018...
Accompagnées par le CFTL (Comité Français du Test logiciel), les sociétés azuréennes All4test,
CrossKnowledge, Acp qualife, Altran, Amadeus et Sogeti High Tech ont partagé leur expertise.
Publié par
Isabelle Auzias
https://tribuca.net/numerique_25018819-test-logiciel-telecom-valley-fait-le-plein
11. Meet in Nice.com
Octobre 2017
JOURNEE INTERNATIONALE DU M-
TOURISME
mardi 10 octobre 2017
Chambre de Commerce et
d'Industrie - CCI
12. Description :
la Journée m-Tourisme aborde chaque année une
thématique d’actualité, au croisement entre
numérique et tourisme. Celle-ci se déroule au
travers d’une série de retours d’expérience sur des
projets nationaux et internationaux et de tables
rondes composées d’acteurs publics et privés de
renom. Après l’Open Data, le tourisme durable, le
Smart tourism, le tourisme accessible à tous, le Big
Data et le tourisme collaboratif, la 7ème journée m-
Tourisme portera cette année sur l’Internet des
objets au service du tourisme.
Contact :
Email : contact@telecom-valley.fr
Site : http://www.telecom-valley.fr/journee-m-
tourisme-2017/
Localisation :
20 Boulevard Carabacel - 06300 NICE
13. Stepahenrossard.com
Octobre 2017
7e Journée Internationale du m-
Tourisme
On septembre 25, 2017, Posted by admin,
In Technologies, With No Comments
Telecom Valley, en partenariat avec la CCI Nice
Côte d’Azur, propose la 7ème édition du « m-
Tourism Day » annuel, le 10 octobre prochain au
siège de la CCI Nice Côte d’Azur.
Professionnels du Tourisme et entreprises du
Numérique azuréen se rencontreront autour
d’intervenants internationaux pour interagir sur la
thématique des objets connectés pour le Tourisme.
Selon les prévisions des spécialistes, il y aura, fin
2017, 8,4 milliards d’objets connectés à Internet et
ils seront 20,4 milliards en 2020. Les objets connectés
envahissent notre vie quotidienne et les différents
secteurs d’activités : Transport, Energie, Industrie,
Santé…
Mais qu’en est-il du Tourisme ?
14. La communauté m-Tourisme deTelecom Valley,
animée par Jean-Bernard Titz (CEO de Dev-Help),
en partenariat avec la CCI Nice Côte d’Azur,
organise, le 10 octobre prochain, une nouvelle
journée internationale de conférences et tables-
rondes sur la thématique « Internet of Things for
Tourism”.
Présentation d’objets connectés avec application
touristique
Rythmée en trois temps forts, la journée débutera
par des témoignages d’entreprises européennes
qui présenteront des exemples d’objets connectés
et de solutions numériques pour l’industrie
touristique.
Ces interventions seront suivies par une présentation
du cluster IoTorino par Paola PISANO, Maire adjoint
de la ville de Turin, accompagnée d’une
délégation d’entreprises turinoises. Ce sera
l’occasion de découvrir comment nos voisins
italiens mettre en œuvre la relation Tourisme et
Internet des objets.
Pour en savoir davantage et s’inscrire
: http://www.telecom-valley.fr/journee-m-tourisme-
2017/
15. WEB TIME MEDIAS
Publié le 4 October, 2017
Journée m-Tourisme à Nice :
l'Internet des Objets en vedette
L’Internet des objets au service du tourisme : c'est le thème de la 7ème
journée m-Tourisme, le 10 octobre, de 9 à 18 heures à Nice dans les locaux
de la CCI Nice Côte d'Azur (20 Bd Carabacel). Organisée en partenariat
avec la CCI Nice Côte d'Azur par la commission m-Tourisme de Telecom
Valley que pilote Jean-Bernard Titz, cette journée aborde chaque année une
thématique d’actualité, au croisement entre numérique et tourisme. Après
l’Open Data, le tourisme durable, le Smart tourism, le tourisme accessible à
tous, le Big Data et le tourisme collaboratif, le choix a été fait cette année de
s'intéresser à tout ce que l'internet des objets apporte et apportera de plus en
plus aux professionnels du tourisme.
Le programme comporte une série de retours d’expérience sur des projets
nationaux et internationaux et des conférences et tables rondes composées
d’acteurs publics et privés de renom. Il sera question entre autres, en ce qui
concerne les retours d'expérience, des projets IoT et tourisme sur la Ville
d’Antibes, de l'utilisation de capteurs/analyseurs à base d’intelligence
artificielle embarquée, du projet Wise IoT déployé au sein de stations de ski.
Menée par Paola Pisano, maire adjoint Turin, une délégation turinoise
présentera le cluster IoTorino.
Au programme encore, une conférence "EU policies and actions on digital
tourism and the collaborative economy" par S. Tokarski, Directeur innovation,
DG Grow European, ainsi qu'une table ronde IoT for tourism, qui rassemblera
des professionnels et spécialistes du tourisme (cabinet MKG, représentant
hôtelier), du monde numérique ("Moonshot Innovation" chez Amadeus, IoT
Italy), des juristes. Il sera également questions de projets européens liés à l'IoT
(ERASMUS IOT4SME’s, RETIC).
Inscription gratuite et obligatoire avant le 6 octobre. + d'infos et
inscriptions : m-tourism-day.eu
16. Les Petites Affiches
mercredi 18 octobre 2017
7ème journée m-Tourisme : les
professionnels venus en nombre
pour parler de la place des
objets connectés dans le
tourisme d’aujourd’hui et de
demain !
Au cœur du mois du Numérique Azuréen et en
partenariat avec la CCI Nice Côte d’Azur, la 7ème
Journée m-Tourisme de Telecom Valley, animée par
17. Jean-Bernard TITZ, CEO de Dev-Help, a rassemblé le
10 octobre au siège de la CCI près de cent
professionnels.Vingt experts de l’Internet des objets
(IoT) et du Tourisme leur ont permis de mesurer le
poids de l’IoT dans le Tourisme et d’envisager les
différentes voies de son développement.
Ouverte par Jean-Pierre SAVARINO, Président de la
CCI Nice Côte d’Azur, la journée a continué avec
des retours d’expériences de projets touristiques
ayant expérimenté l’utilisation d’objets connectés.
Elle a ensuite pris une dimension plus internationale
avec l’intervention très vivante de Paola PISANO,
adjointe au Maire de Turin, qui a présenté les
dispositifs d’innovations numériques déployésdans
sa ville.
Cinq PMEs locales du m-tourisme, Cuddl’up et ses
tables de restaurant connectées, MyVizito et son
application d’itinéraires touristiques
personnalisés, Cartesiam et son tapis connecté
pour compter automatiquement le nombre de
visiteurs de lieux touristiques, Travelaer et sa
démonstration de chatbot pour compagnie
aérienne et Blue SailorOceanCompany et son
application LPLIZ pour personnes en situation de
handicap, ont animé le déjeuner networking
inauguré par Michel CHEVILLON, vice-président de
la CCI en charge du Tourisme, et en compagnie du
célèbre robot R2D2, l’invité spécial du jour.
En seconde partie de journée, des experts de l’IoT
et du Tourisme ont confronté leurs visions de la
18. thématique à l’occasion d’une table-ronde très
animée qui a suscité de nombreux échanges avec
le public.
Puis les participants ont pu apprécier un point sur
les projets européens dédiés au Tourisme et les
dispositifs de financement associés.
L’événement, résolument tourné vers l’avenir du
Tourisme grâce aux opportunités offertes par le
Numérique et les objets connectés s’est poursuivi
avec l’intervention de Nadine TOURNOIS, Directrice
de l’IAE de Nice, en tant que « grand témoin ».
Celle-ci a souligné l’importance de la qualité de la
relation entre l’Homme et l’objet connecté et
évoqué les limites potentielles de l’IoT par rapport à
la morale humaine.
La journée a été clôturée par Jennifer SALLES-
BARBOSA, Présidente de la commission Tourisme de
la Région Provence Alpes Côte d’Azur qui a
exprimé l’importance du Tourisme en région et des
dispositifs mis en œuvre pour la promotion de
projets touristiques innovants.
Plus de détails sur les intervenants de la Journée m-
Tourisme 2017 : www.m-tourism-day.eu
20. % d'une promotion de Polytech part hors du département", précise Pascal
Flamand, vice-président en charge de la stratégie. Autant dire que recruter relève
davantage du parcours du combattant que d'un long fleuve tranquille et tout cela
dans un contexte où les territoires - Sophia-Antipolis comme Aix-Marseille - veulent
être reconnus comme la Silicon Valley de l'Europe et jouent sur la carte attractivité.
"Certaines entreprises n'arrivent même pas à trouver des stagiaires", rajoute Pascal
Flamand qui le vit dans sa propre entreprise, Janua. Une situation qui n'étonne pas
Samuel Masson. Le dirigeant du cabinet Omniciel, spécialisé dans le recrutement
IT et basé à Marseille, atteste que "la sphère du digital à des besoins en
recrutement croissants, malgré les écoles et les formations, c'est une constante
que l'on voyait arriver". Organisateur du Forum MedinJob à la fois à Aix-en-
Provence et à Marseille, il dit aussi que c'est là une façon d'échanger les bonnes
pratiques. "Les besoins en compétences augmentent, mais comme l'offre n'y
répond pas et ne suit pas la même courbe haussière, le marché devient pénurique".
Réponse adaptée
Si le constat est clairement fait, remédier au manque n'est pas aisé. A Sophia-
Antipolis, Telecom Valley s'est emparé de la problématique à sa façon en
organisant un IT Job Forum qui s'est tenu début octobre dans les locaux de Skema
Business School. Et pour l'organiser, il a fallu sortir des sentiers battus. Et ne pas y
aller seul. "Nous avons compris qu'il fallait le faire avec d'autres partenaires"
explique Elisabeth Geofroy, responsable de la commission Emploi-Formation au
sein du cluster. Ce sera la CCI Nice Côte d'Azur, Pôle Emploi, l'Apec et donc
Skema. "Nous voulions toucher des candidats au plan national et européen. Et pas
uniquement des développeurs. Nous avons réfléchi à un format double, en
présentiel et en virtuel". L'initiative s'est largement fait dépasser par son succès.
Car tout ce que le territoire compte de PME, grands groupes, startups, cabinets de
recrutement a convergé vers Sophia-Antipolis. Si seules 22 entreprises - Air
France, Bemore, LudoTIC, Supralog, et même le gouvernement monégasque - ont
pu recruter sur place et rencontrer les 300 candidats présents, elles étaient bien
plus nombreuses à vouloir y participer.
Soit bien le signe d'un manque qui se fait cruellement ressentir.
Racines du mal
Mais pourquoi un tel déficit ? "On ne forme pas suffisamment d'ingénieurs" souligne
Olivier Cazzulo, le délégué régional PACA du Syntec numérique. "On a mis du
temps à bousculer les programmes et à s'adapter aux marchés. On ne s'est pas
assez rabattus sur les bacs +2 et +3 qui sont d'excellents profils. La prise de
conscience est tardive au regard de la vague de déferlement". Sensibiliser les
jeunes est une piste à explorer selon Samuel Masson. "Il faut encourager
l'orientation de ceux qui sont en cours de choix vers cette filière" dit le dirigeant
d'Omniciel. Surtout "arrêter d'envoyer les jeunes en médecine ou en psychologie",
ajoute Pascal Vignon. Et encore insister sur la nécessité de féminiser le métier, un
cheval de bataille du Syntec numérique. Quand on sait que le taux de féminisation
des écoles d'ingénieurs est de 17 % en France et de 40 % dans les pays
méditerranéens (Maroc, Algérie, Tunisie), de 50 % en Chine, on mesure le chemin
à parcourir.
21. "Il existe un réel souci de vocation", reconnaît Pascal Vignon. "Les prépas ne sont
pas pleines, il existe une désaffection pour les filières scientifiques et techniques".
Et puis il faudrait en finir avec la volonté de "fabriquer une élite artificielle", poursuit
le co-président de Telecom Valley. Car dans les filières présentées comme
d'excellence, la stratégie d'enseignement n'est peut-être pas celle qui porte le plus
ses fruits. "A trop dévaloriser les étudiants, ils n'ont plus envie d'y aller". Et puis,
quid de "l'alternance, totalement oubliée des voies d'excellence", pointe Jean-
François Carrasco, spécialiste du big data et du numérique à Sophia-Antipolis.
Attractif, vraiment ?
Quant à attirer les talents qui viennent d'ailleurs, encore faudrait-il être réellement
séduisant. Et à tous les points de vue. Et c'est là que reviennent les deux plaies du
territoire, les transports inadaptés et le logement, aux prix élevés. "En Ile-de-
France, les salariés se déplacent grâce aux réseaux de transports proposés par les
collectivités. Or dans notre région si l'on n'est pas véhiculé, on ne peut se déplacer
de manière autonome. C'est donc une dépense supplémentaire à ajouter au budget
familial. Cela pose la question de la rémunération, qui pèse dans les décisions de
venir s'installer ici", insiste Olivier Cazzulo. Sans compter qu'un talent qui s'installe
en PACA ne s'installe pas seul mais avec bagages et famille. "Sommes nous assez
attractifs pour permettre à un conjoint de trouver lui aussi un nouvel emploi ?"
Pour Pascal Flamand, la problématique va aussi très rapidement être ailleurs :
"l'industrie se numérise et va donc se battre aussi pour attirer les mêmes profils".
Pendant ce temps, l'IT Job Forum version virtuelle démarre ce 19 octobre via la
plateforme 48h pour l'emploi de Pôle Emploi. Avec 30 entreprises et 200 offres
d'emploi dans son escarcelle. De quoi combler une partie du manque, mais une
partie seulement...
http://marseille.latribune.fr/economie/2017-10-17/it-et-recrutement-pourquoi-ca-
coince-754568.html
22. LesEchos.fr
20 octobre 2017
L'open data au coeur de la conquête du m-
tourisme
PAUL MOLGA Le 20/10 à 06:00
L'open data au cœur de la conquête du m-tourisme - Photo DR
L'accès aux données touristiques est un enjeu
stratégique pour le développement d'applications et des
services performants. L'association Telecom Valley en
fait la promotion.
C'est un travail de fond que mène la commission m-Tourisme de l'association Telecom Valley
pour démystifier les usages de l'open data dans le secteur. « Pourquoi nous intéresser à cette
industrie ? Parce que cette activité a un fort impact sur d'autres secteurs d'activités connexes et
structure le territoire par la réalisation d'aéroports ou d'équipements d'accueil », explique Jean-
Bernard Titz, rapporteur de la commission.
C'est également un des secteurs les plus dynamiques de l'économie mondiale. Avec plus de
100 milliards de recettes par an, l'industrie du tourisme représente 5 % du PIB mondial et emploie
une personne sur douze dans les économies avancées comme dans les économies émergentes.
En France, premier récepteur de tourisme au monde, le tourisme emploie directement ou
23. indirectement 2 millions de personnes. « Les applications mobiles ont donc un rôle prépondérant à
jouer. Le touriste mobinaute a besoin de se sentir autonome à la prise de décision pendant son
voyage et en même temps de recevoir des informations indispensables au bon déroulement de
son séjour. » Une enquête réalisée par TripAdvisor auprès des touristes américains indique, par
exemple, que 38 % des possesseurs de téléphone mobile utilisent leur appareil pour planifier un
voyage : itinéraires urbains, réservation hôtelière, avis d'autres voyageurs, recherche de vols et de
transports, géolocalisation, informations touristiques...
Dans un document de 70 pages intitulé « Open Data, TIC et tourisme », Telecom Valley explique
l'importance du partage de données pour nourrir l'innovation dans le secteur. « De nombreux
freins existent, techniques, mais aussi liés aux appréhensions fondées sur la méconnaissance du
concept d'open data », reconnaît Jean-Bernard Titz. Mais de réunions en réunions, et d'exemples
en exemples, l'association dissipe les craintes.
Les Bouches-du-Rhône en pointe
Bouches-du-Rhône Tourisme est de ceux qui ouvrent la voie. Depuis 2012, l'organisme met à
disposition tout un jeu d'informations lié au secteur touristique (hébergements, marchés, vide-
greniers, musées, loisirs, restauration, transport, traditions...) qui sont librement réutilisables. « Ce
site est l'espace de rencontre entre les données libres et vos créations des plus utiles aux plus
futiles », annonce le site qui présente une trentaine d'applications et de sites Web nés de
l'initiative : un agenda culturel, un guide de voyage, une application oenotouristique, une
cartographie des parkings, un Web touristique...
Selon Telecom Valley, les données de transport et de déplacement figurent au premier rang
(74 %) des besoins des entreprises des TIC pour créer des produits et des services touristiques
innovants. Les autres sont les événements, spectacles et manifestations (71 %), suivi des musées
et monuments (54 %). Mais quantité d'autres informations leur sont utiles : lieux accessibles aux
handicapés, garderies d'enfants, avis des internautes, météo heure par heure, opportunités
commerciales... Bref, « toutes informations qui permettront à un couple de touristes de disposer
de services permettant d'organiser sereinement son voyage ». Selon l'observatoire des décideurs
de l'e-tourisme, « l'intégration ou l'optimisation des fonctionnalités transactionnelles sont la priorité
du moment sur le mobile avec les fonctionnalités de relation client ».
P. M.
En savoir plus sur https://www.lesechos.fr/thema/030737206647-lopen-data-au-coeur-de-la-conquete-du-
m-tourisme-2123915.php#aTdKEmlV8LIMZ21X.99
25. WebTimeMedias
23 octobre 2017
Sophia : les entreprises du numérique en quête de
développeurs
Publié le 23 October, 2017 - 20:59 par Jean-Pierre Largillet - Vu 303 fois
Desserrer les contraintes sur le recrutement d'ingénieurs extra-communautaires comme la loi l'autorise
pour les métiers en tension : c'est ce que demandent les chefs d'entreprises azuréens du secteur IT.
Une demande qui sera au cœur de la réunion organisée demain matin mardi, 9 heures au Business
Pole avec le préfet des Alpes-Maritimes et les services de la Préfecture suite au gel des entrées observé
depuis cet été. Comme ce fut le cas en l'an 2000, les entreprises azuréennes du numérique se trouvent
en effet aujourd'hui confrontés à une véritable pénurie de développeurs qualifiés.
Pour Telecom Valley, l'association du numérique, un bon de millier de postes de développeurs ne sont
pas pourvus sur la technopole. Ce problème de pénurie de talents dans le monde digital étant le même
dans les autres pays de la Communauté Européenne, les entreprises azuréennes font aussi appel à des
informaticiens venant de pays extra-communautaires dont notamment la Tunisie où l'Inde.
Mais cette soupape de sécurité s'est fermée en juillet, le préfet des Alpes-Maritimes ayant bloqué les
arrivées extra-communautaires tant que la totalité des salariés d'Intel, licenciés suite au départ de
Sophia du géant américain du processeur, n'auront pas retrouvé du travail. Pour le seul mois d'août,
période la plus calme de l'année, une cinquantaine de demandes sont ainsi restées en attente. D'où
l'angoisse des chefs d'entreprise de ne pas pouvoir répondre aux demandes de leurs clients, faute de
personnel qualifié en nombre suffisant.
Pour les dirigeants d'entreprises, les profils recherchés n'ont rien à voir avec les salariés d'Intel qui
n'ont pas encore retrouvé un emploi. Ils sont une soixantaine mais presque exclusivement des
électroniciens, les informaticiens ayant eux pratiquement tous retrouvé un poste. D"où leur demande :
que soit appliquée pour l'informatique la règle des métiers en tension qui permettrait d'intégrer des
talents venant de pays extra-communautaires. Tout le débat de demain matin.
http://www.webtimemedias.com/article/sophia-les-entreprises-du-numerique-en-quete-de-developpeurs-20171023-60977
26. Webtimemedias.com
23 octobre 2017
Sophia : les entreprises du numérique en quête de
développeurs
Publié le 23 October, 2017 - 19:59 par Jean-Pierre Largillet - Vu 1252 fois
Desserrer les contraintes sur le recrutement d'ingénieurs extra-communautaires comme la loi l'autorise
pour les métiers en tension : c'est ce que demandent les chefs d'entreprises azuréens du secteur IT.
Une demande qui sera au cœur de la réunion organisée demain matin mardi, 9 heures au Business
Pole avec le préfet des Alpes-Maritimes et les services de la Préfecture suite au gel des entrées observé
depuis cet été. Comme ce fut le cas en l'an 2000, les entreprises azuréennes du numérique se trouvent
en effet aujourd'hui confrontés à une véritable pénurie de développeurs qualifiés.
Pour Telecom Valley, l'association du numérique, un bon de millier de postes de développeurs ne sont
pas pourvus sur la technopole. Ce problème de pénurie de talents dans le monde digital étant le même
dans les autres pays de la Communauté Européenne, les entreprises azuréennes font aussi appel à des
informaticiens venant de pays extra-communautaires dont notamment la Tunisie où l'Inde.
Mais cette soupape de sécurité s'est fermée en juillet, le préfet des Alpes-Maritimes ayant bloqué les
arrivées extra-communautaires tant que la totalité des salariés d'Intel, licenciés suite au départ de
Sophia du géant américain du processeur, n'auront pas retrouvé du travail. Pour le seul mois d'août,
période la plus calme de l'année, une cinquantaine de demandes sont ainsi restées en attente. D'où
l'angoisse des chefs d'entreprise de ne pas pouvoir répondre aux demandes de leurs clients, faute de
personnel qualifié en nombre suffisant.
Pour les dirigeants d'entreprises, les profils recherchés n'ont rien à voir avec les salariés d'Intel qui
n'ont pas encore retrouvé un emploi. Ils sont une soixantaine mais presque exclusivement des
électroniciens, les informaticiens ayant eux pratiquement tous retrouvé un poste. D"où leur demande :
que soit appliquée pour l'informatique la règle des métiers en tension qui permettrait d'intégrer des
talents venant de pays extra-communautaires. Tout le débat de demain matin.
http://www.webtimemedias.com/article/sophia-les-entreprises-du-numerique-en-quete-de-developpeurs-
20171023-60977
27. Tribuca.net
24 octobre 2017
IAE de Nice : la promotion Allard est avancée
(IBM), parrain de la
24 octobre 2017 à 12h44
La rentrée solennelle de l'Institut d'Administration des Entreprises, ce 16 octobre, aura
rassemblé 270 étudiants au Campus Saint-Jean d'Angely.
Le futur management niçois est en grande forme, à n'en point douter, devant l'affluence observée lors de cette
traditionnelle rentrée solennelle où fut officiellement présenté par Nadine Tournois, directrice de l'établissement, le
parrain de la promotion 2017, Frédéric Allard, CTO office Europe & Nice-Sophia Antipolis-Marseille site executive
d'IBM France. En présence d'Anis Nassif, diplômé maison, aujourd'hui président du Conseil d'administration, et de
l'ensemble des enseignants et du personnel du campus, en présence aussi du professeur Emmanuel Tric, président
de l'UNS, qui n'aura pas hésité à qualifier l'IAE de "pépite de l'Université Nice-Sophia", soulignant avec conviction ses
vertus démontrées sur un positionnement international, et cet esprit collectif résolument ouvert sur le monde.
Leçon inaugurale 100% IA
"L'individu au cœur de la transformation de notre société grâce à l'intelligence artificielle" : le thème largement et
brillamment développé par Frédéric Allard devant un auditoire attentif. Disséquées, l'innovation et la révolution
numérique, sans jamais perdre le fil de l'humain. Eclairée, la rapidité des mutations technologiques, pour mieux
comprendre qu'il s'agit là de saisir "des opportunités pour chacun d'entre nous", et de "changer la manière dont on va
regarder les choses." Plus que de l'évolution, c'est d'adaptation immédiate dont nous aurons besoin. "Aujourd'hui, le
temps d'apprentissage, d'usage, est beaucoup plus long que le temps de maturation d'une nouvelle technologie. (...)
Et la manière de ne pas être dépassé, c'est d'être au cœur de la course, de collaborer, de savoir sur quels réseaux
s'appuyer de façon à ce qu'ensemble, on soit capables de comprendre tous les ingrédients qui vont se transformer en
solution." Une philosophie qu'IBM ne renierait certainement pas...
Les anciens à l'honneur
Alors, qui sortira, à la force de ses capacités d'adaptation, de son travail et de sa vision du management, des rangs
de cette promotion Frédéric Allard ? Qui rejoindra le panthéon des glorieux aînés, Alain Issautier (Mane) ou Abel
Bettache (Terre Blanche), tous deux primés récemment d'un prix DFCG ? Qui participera avec brio aux prochains
Challenges Jeunes Pousses de Telecom Valley ou aux prix Galilée des CCEF ? Qui s'affirmera au sein d'une des 16
formations diplomantes de l'IAE classées parmi les meilleures en France via SMBG ? Qui pour succéder au tableau
d'honneur des Estève Maurice, Gérard Bavastro, Jean Icart, Charles Costamagna et... Anis Nassif ? La réponse était
forcément dans la salle.
https://tribuca.net/actualites_25626876-iae-de-nice-la-promotion-allard-est-avancee
28. WebTimemedias.com
25 octobre 2017
World Usability Day à Sophia : flash sur l'UX
("User Experience")
Publié le 25 October, 2017 - 12:26 par Jean-Pierre Largillet - Vu 1334 fois
Sophia, comme les années précédentes, participe à la journée mondiale de l’utilisabilité. Dans ce
cadre, le Groupe de Travail User & Customer Experience de Telecom Valley, en association avec les
experts User Experience (UX) Use Age, organise un événement sur le thème de "l’Inclusion à travers
de l’UX (User Experience)". Le rendez-vous est ainsi donné pour une série de workshops et de
conférences le jeudi 9 novembre de 14h30 à 21 heures au Business Pôle de Sophia Antipolis.
L'objectif de cette rencontre ouverte et gratuite? Sensibiliser les acteurs du domaine IT aux enjeux liés
à l’ergonomie et aux usages de tout produit technologique.
Au programme
- 14h15 : Accueil
- 14h30 - 17h00 : Workshops en parallèle - Session 1 (limités à 20 places par atelier) :
Workshop 1 : Customer experience journey mapping (Christian Orsatti, Airbus). Analyse d’une
expérience en tant que client et décomposition en étapes et éléments. Evaluation des interactions
lors de ces étapes.
Workshop 2 : Design Thinking en pratique! (Thibaut Szymusiak, Thales). Session d’ateliers de
créativité pour prendre conscience de la force du design thinking pour innover. A chacun de venir
armé de ses idées!
- 16h15 - 17h45 : les mêmes workshops en parallèle - Session 2 (limités à 20 places par atelier) pour
permettre à ceux qui sont intéressés par les deux ateliers de pouvoir les suivre tous les deux, l'un
après l'autre.
- 17h45 : Accueil pour les conférences
- 18h00 : Cycle de conférences dédiées au thème du WUD : "L’Inclusion à travers de l’UX (User
Experience)"
Introduction sur le thème "Inclusive Design" (Laureline Ameaume, Orange) et un retour sur les
deux workshops de l'après-midi par Christian Orsatti, Airbus et Thibaut Szymusiak, Thales)
Comment développer l’UX au sein d’une administration ? –Retour d’expérience du développement
de l’e-administration au sein du Gouvernement Princier de Monaco (Rodolphe Heigel, Chef de
Division "Administration Electronique", DAEIU – Gouvernement Princier de Monaco)
Inclusion, Séniors et Objets connectés : comment concevoir la maison du futur pour personnes
âgées (Teresa Colombi, LudoTIC)
Inclusion de l’UX dans un projet agile (Anne Dubray, Travelaer)
Conclusion (Sandra Belfils, IBM)
- 19h45 : Echange & Networking autour du buffet
Gratuit. Sur inscription
http://www.webtimemedias.com/article/world-usability-day-sophia-flash-sur-lux-user-experience-20171025-
61007
29. La Tribune PACA
30 octobre 2017
Quatre innovations qui favorisent
l’autoconsommation
Par Article partenaire Enedis | 30/10/2017, 10:00 | 562 mots
En France, quatre start-up ont développé des solutions d'autoconsommation solaire (Crédits : Skavenji)En 2016, selon un sondage OpinionWay
pour le syndicat Enerplan, 47% des Français se disent prêts à investir dans un dispositif d’autoconsommation solaire. L’univers des objets
connectés facilite déjà leur la tâche.
Si, dans le domaine de l'autoconsommation, la France reste en retard sur ses voisins européens (en
Allemagne, environ 5% de la population produit une partie de son énergie électrique), la loi du 24 février
2017 fixe un cadre légal qui permet le développement de cette pratique.
Depuis mai, un arrêté instaure même une prime à l'investissement de 100 à 300 € par kWc selon la
puissance de l'installation. Afin de faciliter cette transition, les start-up innovent et proposent des
solutions clés en mains.
Skavenji
Depuis quelques mois, ce boîtier sobre conçu par l'azuréen Gaël Desperriès engrange les récompenses
(notamment aux Trophées des Objets connectés de Telecom Valley) avec un principe simple : injecter
l'électricité produite localement (solaire, éolien) dans de petits appareils électroniques (smartphone,
lampe, etc.). Pour cela, Skavenji s'appuie sur le principe du « plug and play » et convertit une source
d'énergie en courant alternatif disponible. Il suffit ensuite de brancher votre appareil sur l'un des ports
USB ou l'une des prises du boîtier pour le charger. En cours d'industrialisation, le projet devrait être
lancé prochainement grâce à une campagne de crowdfunding.
Skavenji ou comment développer une communauté de maker autour de la production d énergie
Skavenji ou comment développer une communauté de maker autour de la production d
énergie @EchoSciPacapic.twitter.com/aLjKv1y7FI
— FêteDeLaScience06 (@FeteScience06) 10 octobre 2017
30. Sunpartner Glass
La société Sunpartner Technologies développe depuis plusieurs années des modèles de verre
photovoltaïque et intelligent qui pourraient bien devenir l'équipement de base du bâtiment à énergie
positive. Ces différents vitrages, aussi esthétiques que des fenêtres classiques, permettent de produire
une électricité renouvelable à l'échelle d'un appartement voire d'un immeuble. Equipé de la technologie
Wysips, même un smartphone peut gagner en autonomie sans aucune perte au niveau de l'expérience
utilisateur.
En pleine expansion, Sunpartner Technologies vient d'ouvrir un nouveau site de production dans le sud
de la France et d'obtenir 15 millions d'euros de financement de la Banque européenne d'investissement
(BEI).
EnerBee
La technologie brevetée par EnerBee fait passer l'autonomie énergétique dans tous les domaines du
quotidien. La start-up grenobloise a conçu un générateur d'énergie aussi grand qu'une pile bouton, basé
sur le mouvement à faible force et vitesse qui permet d'équiper toutes sortes de systèmes (wearables,
thermostats intelligents, variateurs de lumière).
Actuellement positionné sur le marché HVAC (la ventilation des immeubles et des logements), le micro-
générateur Enerbee garantit une autonomie totale tout en contrôlant la qualité de l'air dans le bâtiment.
Surtout, il anticipe les besoins futurs du marché des objets connectés, qui cherchent à s'affranchir des
contraintes énergétiques.
ComWatt Power
Vouloir passer à l'énergie solaire pour entrer dans l'autoconsommation c'est bien, encore faut-il utiliser
vos appareils de manière judicieuse, afin de demander de l'énergie au moment où elle est produite.
S'appuyant sur ce constat, ComWatt conçoit des solutions clés en mains qui permettent à la fois de
consommer l'énergie engrangée par les panneaux photovoltaïques, mais aussi de piloter les installations
électriques afin d'avoir une distribution efficace de sa production, sans déperdition.
Composé de prises communicantes et d'un centre de pilotage, ComWatt Power garantit ainsi 70%
d'économies sur votre facture et un pas de géant vers l'autoconsommation.
http://www.latribune.fr/entreprises-finance/la-tribune-de-l-energie-avec-enedis/quatre-innovations-qui-
favorisent-l-autoconsommation-755955.html