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Presentation du Livre Blanc de la Chaire Social Media Monetization / Social Media Club

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Presentation du Livre Blanc de la Chaire Social Media Monetization / Social Media Club

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Synthèse des principaux enseignements du livre blanc (58 pages) de la Chaire Social Media Monetization, un cycle de rencontres entre professionnels des médias en ligne et chercheurs dédié à la monétisation des médias sociaux, organisé par le Social Media Club en partenariat avec PayPal et Cap Digital.

Synthèse des principaux enseignements du livre blanc (58 pages) de la Chaire Social Media Monetization, un cycle de rencontres entre professionnels des médias en ligne et chercheurs dédié à la monétisation des médias sociaux, organisé par le Social Media Club en partenariat avec PayPal et Cap Digital.

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Presentation du Livre Blanc de la Chaire Social Media Monetization / Social Media Club

  1. 1. Chaire Social Media Monetization Présentation du livre blanc
  2. 2. Présentation de la Chaire Social Media Monetization La « Chaire Social Media Monetization » est un cycle de rencontres sur la monétisation des réseaux sociaux, organisé par le Social Media Club France en partenariat avec PayPal et Cap Digital. Pendant un an, chercheurs universitaires, professionnels des médias, du web et plus largement du marketing en ligne se sont réunis lors de workshops privés et de conférences publiques pour identifier et analyser les modèles existants et émergents de rémunération des social media.
  3. 3. L’équipe de la Chaire Social Media Monetization Direction scientifique Jean-Samuel BEUSCART Kevin MELLET Sociologue et économiste Economiste et sociologue Orange Labs Orange Labs Direction opérationnelle Olivier BINET Matthieu LECOMTE Pierre-Yves PLATINI Directeur du développement Président-fondateur Président et cofondateur commercial et de l’innovation plomberie.fr Social Media Club France PayPal
  4. 4. Les experts de la Chaire Social Media Monetization Adrien Aumont Gilles Barbier Stéphane Bittoun Pierre-François Chiron Paul Choppin Maxime Cormier Nathanael Dahan Kisskissbankbank Leetix.com MyMajorCompany MakeMeReach Groupon Oocto Living Social Angéline Deflandre Sandrine Dirani Rémi Douine Gael Guillet Bertrand Jonquois Jonathan Lagier Qype Plyce The Metrics Factory Scribz Go Shop LaFourchette Jean-Baptiste Massicot Frédéric Montagnon Hubert Munyazikwiye Antoine Papot Arbia Smiti Josué Solis Nicholas Vieuxloup Niji Nomao Buzzman Ouat Entertainment Carnetdemode Wrung Division Viadeo
  5. 5. Plan du livre blanc Chaire Social Media Monetization I. Le modèle média et la viralité II. La recommandation en ligne III. Le social commerce
  6. 6. I. LE MODELE MEDIA ET LA VIRALITE 1. LES SOCIAL MEDIA, ENTRE AUDIENCE ET VIRALITE • Il n’existe pas d’individus qui soient influents en toutes circonstances. • Le buzz semble se porter plutôt sur des types de contenus spécifiques sans devenir pour autant prévisible. • Le buzz est toujours l’effet conjugué de plusieurs influences dont celle des médias, que le mythique « bouche-à-oreille » pourrait faire oublier.
  7. 7. I. LE MODELE MEDIA ET LA VIRALITE 2. VERS UN MODELE D’AUDIENCE PUREMENT « MEDIA » La firme de Zuckerberg a été initialement utilisée comme un support de publication, voire comme un canal de viralité pour les éditeurs et annonceurs. Mais aujourd’hui Facebook offre de moins en moins de canaux de viralité pour contraindre les marques à payer pour diffuser leurs contenus. Trois leviers à combiner pour viraliser une publication : • la visibilité organique (obtenue auprès des fans) • la visibilité virale (permise par l’engagement des fans qui vont partager les contenus) • la visibilité payante, acquise par l’achat de publicité.
  8. 8. I. LE MODELE MEDIA ET LA VIRALITE 3. CE QUE L’AUDIENCE FAIT A LA VIRALITE Un fan engagé en vaut deux. La première des mécaniques sociales sur Facebook reste les amis : lors de la conception d’une campagne de communication, il faut les inscrire au sein du processus de recrutement. Le succès d’une campagne se mesure en fonction du nombre et de la « qualité » des fans sur la page 15 jours après la fin de l’opération : c’est cette communauté qui pourra être mobilisée par la suite.
  9. 9. II. LA RECOMMANDATION MOBILE 1. UN MODELE D’AFFAIRE PROMETTEUR Trois sources de revenus pour les services de recommandation mobile : vente de prestations pour les comptes professionnels des commerçants, opérations de couponing et campagnes géo-localisées. Le mobile est synonyme d’accroissement des données (photos, check-in, avis…) ce qui permet d’affiner les algorithmes de recommandation pour des services encore plus performants et personnalisés. Cependant La recommandation mobile manque d’outils pour mesurer la performance des outils et des campagnes publicitaires. La solution pourrait venir du paiement mobile.
  10. 10. II. LA RECOMMANDATION MOBILE 2. VERS UNE RECOMMANDATION « SOLOMO » Le temps réel à portée de main : le mobile permet de « rétrécir le temps » entre le moment où l’offre est proposée et celui où elle est consommée. Un « effet de sentier » : les premiers avis sont cruciaux pour les commerçants car plus la première note est positive plus les suivantes ont des chances de l’être. Une recommandation de qualité est une recommandation pertinente, c’est-à-dire personnalisée… donc sociale : en fonction de ce que les amis de l’internaute ont aimé, de son historique de navigation ou ses centres d’intérêt.
  11. 11. II. LA RECOMMANDATION MOBILE 3. REPERCUSSIONS MARKETING La recommandation entre internautes augmente les ventes : notamment sur les livres, entrées de cinéma et revenus des restaurants. Les dispositifs simples sont les plus efficaces : les utilisateurs attendent surtout des informations précises (disponibilité d’un produit, temps d’attente chez un coiffeur ou un restaurant…) Le mobile-to-store ne sert pas que l’acquisition client : il permet également de nouer une relation privilégiée avec les clients fidèles, qui sont souvent géographiquement proches du lieu de vente.
  12. 12. III. LE SOCIAL COMMERCE 1. L’ACHAT GROUPE Les sites d’achat groupé permettent surtout le bouche-à- oreille : on séjourne rarement deux fois dans un hôtel à l’étranger, mais on partage l’adresse avec ses proches. Le deal, ciment du social : « Les amoureux de la mode préfèrent garder pour eux leurs bons plans. Il faut donc l’attrait du deal groupé pour qu’ils gagnent à partager la découverte d’un créateur » Arbia Smiti, fondatrice de Carnetdemode.com Le mobile et la géolocalisation pourraient réassurer le marché des deals groupés : une offre en temps réel grâce au mobile rassurerait les commerçants locaux qui ont parfois peur de ne pouvoir faire face à l’affluence consécutive à un deal.
  13. 13. III. LE SOCIAL COMMERCE 2. LE CROWDFUNDING Le crowdfunding devient une forme de pré-achat : une façon de faire de la promotion qui, au lieu de coûter de l’argent, va en rapporter. Quatre niveaux d’interactions entre porteurs de projets et contributeurs : • L’internaute préachète un projet, sans interaction avec la communauté • Les fans discutent entre eux (participation horizontale) • L’artiste en personne interagit avec les internautes, sur une fanpage par exemple • Artiste et fans forment une communauté qui participent à la réussite du projet, y compris lors d’interactions « déconnectées ».
  14. 14. III. LE SOCIAL COMMERCE 3. CE QUE LE SOCIAL FAIT AU E-COMMERCE Le social commerce concerne surtout les produits qui contribuent à soigner son identité en ligne : mode, équipements de maison, sorties culture et loisirs, voyage… ce sont les plus partagés, recommandés et discutés en ligne. « C’est aux marques et aux agences de se montrer matures en faisant des concessions sur Facebook : elles doivent limiter l’utilisation des partages automatiques à un petit nombre de données » Josué Solis (Boosket) Le Facebook commerce : l’occasion de travailler sur l’avant-vente. La page Facebook d’une marque permet d’observer quel produit performe le plus en termes de commentaires ou likes pour l’« éditorialiser » plus tard au travers d’un concours ou d’une offre.
  15. 15. CONCLUSIONS Le déclin de la viralité : pour produire du « buzz », il est nécessaire de combiner les logiques virales avec des logiques plus classiques d'achat et d'éditorialisation. L’intensité des usages liés aux avis : les consommateurs sont nombreux à évaluer, noter, recommander des produits et des services, et ces usages sont enrichis en migrant sur le mobile, en particulier pour les services locaux ; Le caractère contextuel et spécifique de la consommation enrichie socialement : « l’endossement » social d’une marque ou d’un produit par les utilisateurs reste plus efficace que l’ancien programme de partage automatique de Facebook (« Beacon ») ou les Facebook stores.
  16. 16. Livre blanc de la Chaire Social Media Monetization Le livre blanc dans son intégralité (58 pages) est librement accessible et téléchargeable sur notre site et sur slideshare
  17. 17. www.social mediaclub.fr Contact : Claire Wehrung Responsable éditoriale du Social Media Club France claire@socialmediaclub.fr

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