1. La section agitation / mélange a été
constituée en 2010 pour permettre
aux industriels de ce secteur de
travailler collectivement sur des sujets
d’intérêt pour la profession.
Premier bilan 5 ans après…
Création d’une commission
de normalisation
C’était une revendication forte des indus-
triels, pouvoir avoir un langage commun
entre les clients, les bureaux d’études, les in-
génieries. La commission UNM 275 a donc
été créée avec le soutien de PROFLUID, dès
2010, première du genre dans le monde à
notre connaissance. La norme NF E 44-601
sur la terminologie et les grandeurs caracté-
ristiques des agitateurs a ainsi été publiée en
août 2015 ; les travaux se poursuivent avec
un projet de norme sur la mesure des perfor-
mances des agitateurs. La commission fran-
çaise souhaite maintenant porter ces sujets
au niveau européen, voire à l’ISO.
Financement par le CETIM
de travaux collectifs
Les taxes collectées par le CETIM financent
des programmes collectifs de R&D au sein
de commissions professionnelles dédiées.
PROFLUID, via sa section, a donc demandé
au CETIM le financement de programmes
pour l’agitation.
Parmi ces études, un guide sur la modélisa-
tion de l’agitation prenant en compte l’excen-
tration du mobile d’agitation dans la cuve a
été publié. Ces travaux se poursuivent par
une analyse des efforts subis par les pales en
fonction du niveau d’agitation.
Un autre programme ambitieux concerne
l’utilisation des composites pour les pales
des agitateurs. Gain de masse et bonnes
propriétés de résistance sont recherchés.
Les industriels bénéficient de l’expertise du
Technocampus, à la pointe mondiale en ce
qui concerne les matériaux composites.
Un soutien global à la profession
Gilles MENY, Directeur de Ligne de Produit
Global Mixing chez Milton Roy est l’anima-
teur de la section depuis sa création.
Les réunions se tiennent en moyenne deux
fois par an et sont l’occasion d’aborder les
sujets transversaux aux différents secteurs
de PROFLUID (juridique, actions à l’inter-
national, conjoncture, sujets règlementaires
et techniques…) et de traiter les points
plus spécifiques. En 2016, la section sou-
haite continuer à élargir sa représentativité
en conviant de nouveaux membres à la re-
joindre. L’actualité le justifie : application
aux agitateurs du règlement Biens à Double
Usage ou réflexion sur les indicateurs de
marché, en l’absence de codes douaniers dé-
diés, application de la DEEE à l’agitation,
eco-conception et efficacité énergétique des
agitateurs sont autant de problématiques
communes qui nécessitent une participation
la plus large possible.
En conclusion, la section agitation/
mélange illustre sur un segment
bien spécifique tout le bénéfice
que des industriels peuvent retirer
de leur adhésion à un syndicat
professionnel : un langage commun,
des actions collectives de recherche,
la synergie avec les autres professions
des équipements fluidiques, la visibilité
et la promotion d’une profession
essentielle au génie des procédés,
que ce soit dans l’industrie
ou l’environnement.
Agitateurs et Mélangeurs
Focus sur une section
qui vient de fêter ses 5 années !
European Process Mixing Equipment Market
La section agitation/mélange
illustre sur un segment bien
spécifique tout le bénéfice
que des industriels peuvent
retirer de leur adhésion
à un syndicat professionnel.
ASSOCIATION FRANÇAISE DES POMPES ET AGITATEURS, DES COMPRESSEURS ET DE LA ROBINETTERIE
770MUS$
Chiffres clés
Édito
Laure HELARD,
Déléguée Générale PROFLUID
Nous anticipions une année
2015 difficile et ce pronostic
semble bien s’être vérifié ;
alors nous éviterons pour 2016
de nous prononcer tant notre
monde évolue rapidement.
Au lendemain de la COP 21,
quelles perspectives pour le
marché des énergies, carbonées,
nucléaire, renouvelables et quels
impacts sur les équipements ?
Au lendemain d’élections
régionales, quelle relance
des investissements publics
dans l’eau, alors que les
financements existent
et les besoins bien réels ?
Le bâtiment semble lui repartir
mais les effets pour
nos professions ne se feront
pas sentir avant encore
plusieurs mois.
Cette année qui s’achève marque
aussi un tournant pour PROFLUID
avec le départ de deux
collaborateurs qui auront
fortement contribué à renforcer
le professionnalisme de
PROFLUID, Roxane NICOLAS
et Christophe BOCHATON.
Après plusieurs années au
service de notre organisation
professionnelle, ils rejoignent
l’un et l’autre le monde
des entreprises.
Nous leur souhaitons bonne
chance et les remercions pour
leur implication ; la phase
de transition qui s’offre à nous
sera également une opportunité
de rebond et de renouveau !
Toute l’équipe de PROFLUID
se joint à moi pour vous
adresser nos meilleurs vœux
de réussite dans vos projets
tant dans vos entreprises
que à titre personnel !
Janvier
2016#74infos
Taux de
croissance
annuel moyen
entre 2015
et 2022
Sommaire
Actualités
Àsuivre...
Viedel’association
Chiffre d’affaires
2015 pour le
marché européen
des agitateurs
Taux de
croissance
2015
1,9% %
Source : étude Frost & Sullivan à paraitre en février 2016 (agitateurs et autres équipements liés à l’agitation)
2,7
2. Actualités
PROFLUID INFOS | #74 | JANVIER 20162
Ce rapprochement permet de
rationaliser le fonctionnement
des deux structures et de renfor-
cer ses moyens afin de :
• contribuer à la défense, à la
promotion et au développe-
ment des entreprises qui
conçoivent, construisent et
vendent des équipements et/
ou produits et / ou services
destinés au secteur des indus-
tries chimiques ;
• favoriser le dialogue au sein
de la filière des industries
chimiques ;
• conduire des actions destinées
à favoriser le développement
du commerce extérieur des
entreprises ;
Louis FELICITE qui présidait
les deux associations depuis plu-
sieurs années a pris sa retraite ;
il est remplacé par Vincent
BERANGER, Délégué Général
du Syndicat de la Mesure. Le
Bureau est composé de Yolande
BUFQUIN, Déléguée Générale
du SNCT, Trésorière, de Laure
HELARD, Déléguée Générale de
PROFLUID et de Jean Olivier
SCHNEIDER, société ULTRA-
FLUX,entantqueVice-Présidents.
GIFIC
Changement de statuts
et de gouvernance
E-compliance
La Commission Européenne a publié une proposition
de révision de la Directive Étiquetage Énergétique.
Elle y propose la mise en place d’une base de données
européenne des produits, renseignée par les fabricants.
Cette disposition, que nous avions déjà eu l’occasion
de commenter dans un précèdent projet de la Commission
Européenne, nous inquiète car elle créerait davantage
de désagréments que de bénéfices pour les industriels …
Cette base répond à plusieurs
objectifs dont l’information des
consommateurs ainsi qu’un ac-
cès facilité aux dossiers tech-
niques des produits.
Les entreprises développent des
procédures complexes pour la
conception de leurs produits,
incluant la gestion de la confor-
mité. Bien loin est le temps où le
dossier technique d’un produit
tenait dans un classeur... Une
telle base de données demande-
rait donc des développements
informatiques et un travail admi-
nistratif non négligeable. Si le but
recherché est louable, la surveil-
lance des marchés, quelle exploi-
tation de ces informations sera
faite et par quelles ressources ?
Commentlesautoritésdesurveil-
lance feront le tri entre les indus-
triels sérieux et les fraudeurs ?
Si cette disposition est adoptée
dans le cadre de l’étiquetage
énergétique, elle risque de
s’étendre aux autres textes, en
particulier à la Directive Ma-
chines dont la révision va pro-
chainement démarrer.
Aux industriels de se mobiliser
pour faire des contre-proposi-
tions :outils,procédures,moyens
pourrenforcerlasurveillancedes
marchés mais d’une façon prag-
matique et efficace !
Quand les idées
les plus simples ne
sont pas les meilleures…
Le premier guide à l’usage
des mécaniciens
Usine du Futur
Destiné aux entreprises et accessible à tous ses niveaux,
le guide pratique pour l’Usine du Futur est un outil opérationnel
pour accompagner les chefs d’entreprise dans la conception
et le développement des usines de demain : des usines plus
modernes, plus connectées et respectueuses de l’environnement
dans lesquelles les technologies deviennent des moteurs
de compétitivité et de développement à l’export.
Ce guide poursuit deux objectifs
majeurs :
• Opérer un travail de définition
du concept d’Usine du Futur
et d’identification des 5 enjeux
majeurs qui lui sont liés
• Proposer des solutions opéra-
tionnelles, réalistes et person-
nalisables pour une mise en
œuvre immédiate à différents
niveaux selon les besoins des
chefs d’entreprise.
Chaque enjeu fait l’objet de
fiches thématiques détaillées,
conçues pour guider les entre-
prises dans la mise en place
des leviers d’actions présents
et chaque solution fait l’objet
d’une fiche pratique simple et
pédagogique.
+ d’infos : technics@profluid.org
Parmi les mesures contenues
dans ce Projet de Loi de
Finances 2016 :
• La création de taxes affectées
pour financer des CTI qui
étaient jusqu’ici financés par
des dotations budgétaires
que l’État souhaite suppri-
mer (cas du CTIF pour la Fon-
derie).
• La création d’un CTI dans le
domaine de la Plasturgie et
des composites (CTIPC) sur
la base du Pôle Européen de
la Plasturgie d’Oyonnax.
• La gouvernance et le contrôle
du recouvrement des taxes
sont également l’objet de
mesures.
La nouvelle taxe CTIF concerne
les produits des fonderies fran-
çaises, mais pourrait toucher
également les produits issus des
« fonderies intégrées » ainsi que
la taxation des importations
extra-communautaires.
Cela correspond donc à une
double imposition avec la taxe
du COREM, déjà acquittée
par l’ensemble des indus-
triels « mécaniciens ».
Depuis septembre 2015, l’en-
semble des acteurs concernés,
dont la FIM, s’est fortement
mobilisé.
Des courriers ont été adressés
à Emmanuel MACRON et à
Michel SAPIN, sur les sujets
« gouvernance » et« contrôle des
taxes » et une dizaine de députés
ont déposés des amendements
sur ces mêmes sujets.
En revanche, concernant les
nouvelles taxes CTIF et CTIPC,
la taxation des importations
continue à poser problème et
la question de la double taxa-
tion des mécaniciens doit
encore être clarifiée par les
pouvoirs publics.
Le Projet de Loi de Finances 2016
contient un certain nombre de mesures
concernant le fonctionnement
des Centres Techniques Industriels (CTI)
au premier titre duquel le CETIM
(Centre Technique des Industries
Mécaniques) mais également le CTIF
(Centre Technique des Industriels
de la Fonderie).
Centres Techniques
Industriels
Financement et gouvernance
Signature d’une convention nationale avec
la Caisse Nationale de l’Assurance Maladie
Prévention
Cette convention nationale
d’objectifs vient d’être signée
par PROFLUID, pour une
durée de 4 ans, et a pour
objet le financement d’actions
de prévention afin de réduire
les risques professionnels.
Sont éligibles les entreprises de
moins de 200 salariés pour l’éta-
blissement concerné par la mise
en place de ce contrat de préven-
tion. La prévention des risques
suivants est ciblée en priorité :
• Risques liés aux manuten-
tions manuelles et troubles
musculo-squelettiques
• Risques d’exposition aux
agents chimiques dangereux
• Risques liés aux nuisances
physiques (bruit, vibration,
rayonnements, chutes).
Les actions qui seront éligibles
peuvent être soit la réalisation
d’études d’aménagement de
postes, la mise en œuvre de dis-
positifs (aide à la manutention,
ventilation…) ainsi que la for-
mation et l’accompagnement
aux risques.
Les taux d’aide vont, en fonc-
tion de la mesure et de son
caractère plus ou moins inno-
vant, de 15 à 70 % et corres-
pondent à des avances sus-
ceptibles d’être transformées
en subvention.
Le texte de cette convention
est disponible sur le site
de PROFLUID.
En septembre 2015, le GIFIC a fusionné avec INTERCHIMIE
pour donner naissance à une nouvelle association,
« le Groupement Interprofessionnel des Industriels Fournisseurs
des Industries Chimiques ».
Téléchargeable sur www.industriedufutur.fim.net, le site propose
un espace de contributions et de questions qui permettra de
faire évoluer le guide.
3. PROFLUID a participé à cette
rencontre et aux débats qui ont
eu lieu autour des différentes
propositions entre la Commis-
sion et la centaine de représen-
tants de l’industrie des diffé-
rents pays.
Le premier des 10 axes soumis à
la discussion est celui qui a don-
né lieu au plus grand nombre de
questions puisqu’il s’agit d’élar-
gir le périmètre du règlement
aux biens qui ont un impact sur
la sécurité humaine et les droits
de l’homme, avec notamment la
cyber-surveillance. Plus proche
de nos préoccupations : les dis-
cussions sur la clause attrape-
tout, (comment harmoniser son
application dans les différents
pays ?), le système de licences
générales qui devrait être étendu
à davantage de biens, ou la révi-
sion annuelle par actes délégués
des annexes de biens. La mise
en place de comités techniques
incluant des industriels pour
discuter des révisions des listes
est également au programme,
PROFLUID veillera à être impli-
qué dans ces discussions.
Un projet de texte de règlement
modifié devrait être soumis à la
consultation courant 2016.
3
Un forum pour débattre
des propositions de modifications
du règlement Biens Double Usage
Contrôle des exportations :
Le 7 Décembre, la Commission Européenne a invité les
différentes parties prenantes à participer à un forum sur les
pistes de réflexion pour réviser le règlement Biens Double Usage.
L’Union économique eurasia-
tique (UEEA ou EEU) est une
organisation internationale d’in-
tégration économique régionale ;
en chiffre elle représente 20 mil-
lions de km2
, 170 millions d’ha-
bitants, et 2 300 milliards de
dollars de PIB. L’UEEA succède
à la Communauté économique
eurasiatique mise en place par la
signature du Traité sur l’Union
économique eurasiatique le 29
mai 2014 par les présidents de la
Biélorussie, du Kazakhstan et de
la Russie. Elle est entrée en vi-
gueur le 1er
janvier 2015, rejointe
par l’Arménie puis le Kirgyzstan.
35 Règlements Techniques sont
déjà entrés en vigueurs et appli-
cables aujourd’hui ; les textes des
règlements en anglais et français
avecdescommentairesd’experts
sont disponibles et commerciali-
sés sur le site:
www.ccis-expertise.com.
Les Règlements techniques de
l’Union douanière qui concernent
les équipements mécaniques et
les produits électrotechniques
sont écrits sur la base des direc-
tives européennes. Le marquage
des produits (EAC) assure la libre
circulation des produits sur
le marché unique de l’Union
douanière.
Les certificats pour le dédouane-
ment et la mise sur le marché
ainsi que les procédures de mise
en conformité ont également fait
l’objetd’explicationsetd’échanges
lors de cette réunion.
Les présentations
et les informations
complémentaires
sont disponibles
sur le site de PROFLUID.
Ce qu’il faut savoir…
L’union
économique
eurasiatique
Le 17 Novembre dernier,
le département industrie de
PROFLUID a reçu Mme Olga
Michau, Directeur Russie et CEI,
de la société CCIS pour un
échange sur les réglementations
techniques applicables.
Le besoin d’une méthode partagée
par tous pour mesurer l’impact
environnemental des produits est
bien réel. La Commission Euro-
péenne est certainement le seul
acteur à même d’imposer une
méthodologie pouvant permettre
à un industriel de communiquer
au sein de sa chaine de valeur,
aveclesdifférentsmarchésclients,
dans toute l’Europe et ailleurs
dans le monde.
Les travaux européens sont tou-
tefois loin d’être finalisés :
• les coûts de mise en œuvre
sont encore très au-delà de
l’objectif fixé par la Commis-
sion à 1500€ par calcul ;
• les indicateurs actuels ne per-
mettent pas de prendre en
compte de manière fiable
l’épuisement des ressources ;
• certains débats méthodolo-
giques, tels que la prise en
compte du recyclage, sont
sans fin…
Mais le mouvement de fond est
enclenché. La communication en-
vironnementale est déjà présente
sur le marché du bâtiment en
France et elle va continuer à se
développer sous le poids de
contraintes réglementaires de plus
en plus fortes. La profession reste
doncmobiliséepouréviterl’appari-
tion de contraintes administratives
inefficaces et couteuses. Plusieurs
travaux de normalisation, au
CETIM, ou encore avec nos comi-
tés européens vont dans ce sens.
Empreinte
environnementale
des produits
Un projet de longue haleine
Le 3 novembre dernier, la Commission Européenne a invité
les parties prenantes à discuter de l’empreinte
environnementale des produits et faire un point d’étape
sur son projet d’harmonisation des différentes initiatives.
+ d’infos : technics@profluid.org
Ce que nous réserve la future
réglementation ?
Bâtiment économes
en énergie
La directive européenne 2010/31/UE sur la performance énergétique des bâtiments prévoit
que l’ensemble des nouveaux bâtiments soient à « consommation quasi nulle » à partir
du 31 décembre 2020. Cette échéance est même avancée à 2018 pour les bâtiments publiques.
À suivre…
Dans une publication du mois de
juin dernier, l’association Cercle
Promodul synthétise les diffé-
rentes recommandations des
groupesdetravailquisesontpen-
chéssurlesorientationsàdonner
à la future règlementation ther-
mique des bâtiments en France.
Au-delà de l’énergie, c’est
l’ensemble des impacts
environnementaux qui
sera à prendre en
considération
La nouvelle réglementation sera
plus globale et les différentes
étapesducycledeviedubâtiment
serontàprendreencompte :ges-
tion de l’eau et des déchets, du
bruit… La communication sur le
niveau de performance (bâti et
système) sera renforcée avec par
exemplelapropositiond’unindi-
cateur « équivalent CO2 ». Les
différents travaux menés par la
professionsurlacommunication
environnementale seront donc
intégrés.
Une reconnaissance du
rôle de la maintenance
Le rôle de l’exploitation et de la
maintenance du bâtiment tout
au long de la vie de l’ouvrage
comme source de nouveaux
métiers est reconnue, avec une
place encore sans doute plus
importante que ceux liés aux
matériaux et à la construction.
L’obligationdemaintenancedans
la réglementation fait également
partie des recommandations,
gage de maintien des perfor-
mances dans le temps.
Mesurer, compter pour
responsabiliser l’occupant
La mesure doit servir dans un
premier temps à responsabiliser
l’usagermaiségalementàcontrô-
ler les consommations. Les sys-
tèmespermettantàl’occupantde
comprendre et de piloter sa
consommation d’énergie pour
adopteruncomportementactifet
responsableserontdoncvalorisés.
Les autres éléments
Parmi les recommandations, on
trouve également une meilleure
intégrationdubâtimentdansson
environnement ; le bâtiment est
une unité de production et de
consommation intégrée dans un
ilot, un quartier. Cette notion de
territoire implique une gestion
intelligente des réseaux élec-
triques et énergétiques.
L’ensembledesacteursestencou-
ragéàpoursuivrel’intégrationdes
protocolesdecommunicationen
amont de leurs offres. Favoriser
les innovations et les expérimen-
tations, prendre en compte le
confortdel’usageretlaqualitéde
l’airintérieursontégalementmen-
tionnés dans les pistes de travail
de la future réglementation.