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  1. © Marc LINTS Ballotin d’ondes purpurines 1er Recueil
  2. © Marc LINTS @lfa Arrivés de nuit, nos vaisseaux ne purent pas vraiment viser le lieu de l’impact Malgré les lumières dont nous disposions et toutes les images précédentes. Ce n’est que bien plus tard que nous comprîmes que cet endroit de l’univers Etait vraiment très différent de notre base de départ et de notre monde. L’analyse très précise de l’atmosphère autorisa le chef de mission A nous permettre de quitter nos esquifs sans armures protectrices. Nous nous firent le grand plaisir de nous baigner enfin Et de vibrer aux vagues océanes de l’aurore naissante. Nous décidâmes de nous installer, suivant en cela notre code de mission Sans interférer sur la vie locale, en suivant donc nos principes fondamentaux Nous avions embarqués des anthropologues afin d’engager le dialogue avec les populations locales, celles que nous pensions découvrir. Au cours de notre approche, nous n’avions encore découvert âme qui vive. @lpha serait donc vide de vie connue malgré nos études préalables D’aucuns prétendirent que nous devrions nous montrer Après tout nous avions fait le premier pas et pacifique en plus L’installation de la base extra-solaire fut entamée. La sécurité était évidemment très nerveuse Le très gros dossier établi sur cette planète avait permis D’engager une équipe de baroudeurs
  3. © Marc LINTS Très loin de notre consortium de scientifiques Le retour des baigneurs fut l’occasion d’un premier test À la fois médical et sécuritaire. En effet, les baroudeurs exigèrent d’être tenus au courant Les scientifiques arguèrent de la précaution scientifique pour ne rien communiquer. Toutefois, le bon sens pris le dessus et les baigneurs se firent « volontairement » observés en détail et ce pendant douze heures Les médecins furent très prudents dans leur premier diagnostic Les baroudeurs reprirent en main toute la sécurité La tempête de sable qui se leva au cours de la nuit suivante Sonna l’alarme dans la base et dans nos vaisseaux Le trouble fut intense et la confusion totale Tant nos outils de communications internes furent défaillants La construction de nos modules confiés à des sous-traitants Sélectionnés rigoureusement et reconnus, nous avaient rassurés. Tant que des soupçons n’apparurent au grand jour De collusions entre des scientifiques et des soumissionnaires. Et nous affrontions notre première tempête de sable Des particules grippèrent le système de conditionnement d’air Malgré la fermeture des sas d’entrée au moment de l’alerte Comme dans un sous-marin nous étions rentrés en autonomie
  4. © Marc LINTS Chacune et chacun se dirigèrent donc vers leurs lits de voyage Et se coulèrent dans la couette à survie Celle-là même qui a permis la mission L’oxygène ne manquant pas dans les soutes la nuit fut agréable L’aube éblouissante en troubla plus d’un en réveil face à une image comparable aux aurores boréales décrites dans nos manuels Les volutes de retombées de lumière firent chaud au cœur Le petit déjeuner se prit au soleil avec des enthousiasmes de gosses Le programme de travail de la journée fut adopté sans opposition La priorité évidemment fut réservée à la sécurisation de la base Les scientifiques y participèrent en ne ménageant pas leur temps Afin que leurs outils puissent être d’une utilisation optimale Les anthropologues délivrés des pénibles opérations d’installation de la base Se réunirent pour envisager la suite de leur mission Evidemment toute l’équipe souhaitait partir à la découverte de la planète Mais la sécurité a exigé une observation aérienne par les drones avant toute expédition Le montage des drones mit plusieurs semaines tant les tâches furent compliquées Les outils ne fonctionnaient pas correctement Tout tournait à l’envers et nous mîmes en place un atelier coopératif Impliquant l’équipage, la sécurité et les scientifiques
  5. © Marc LINTS Quelques curieux s’aventurèrent vers les bouts du bout de notre territoire (Ce qui n’était pas recommandé par les consignes de sécurité) Equipés des scaphandres autonomes L’expédition fit grand bruit en rentrant Le retour fut dramatique La sécurité mit l’équipe au mitard Les collègues réussirent à sauver Les récoltes de pièces et d’objets Nous étions en face d’une collection de créations D’une culture totalement inconnue L’excitation à son comble, le commandant de bord Exigeât la duplication vers la terre La sécurité ne put s’opposer à la mise en images 3D des pièces Mais communiquât à la Terre sa totale désapprobation des pratiques en cours Et exigeât la démission du commandant Tout en réclamant le contrôle des opérations. En attente de la réponse de la Terre La communauté resta divisée et ne se parlât plus vraiment Chacun dans son coin ruminât ces longues heures depuis le départ Les proches devenus lointains et la famille abandonnée. Les images en 3D firent le tour de la terre et des colonies
  6. © Marc LINTS Les réactions des médias et des critiques furent enthousiastes Et les candidatures d’experts en arts extra-solaires Envahirent les Ministères des Relations Extérieures et des Cultures RPT Jr obtint l’autorisation de rejoindre l’expédition avec carte blanche Il constituât donc son aréopage sans thuriféraires imposés Le départ fut très médiatisé La Terre attendait une Nouvelle Frontière et ses richesses Entretemps, la situation sur @lpha vira au cauchemar Les différentes équipes ne se parlant plus Les sorties toujours interdites La contestation s’organisait discrètement Fort de l’appui de la Terre, le commandant de bord Mit la sécurité hors d’état de nuire Un coup d’état mené avec les scientifiques L’équipage subjugué marquât son accord La liberté Le plaisir de sortir après tant et tant de jours Tous sont partis respirer cet air pur non filtré Ont contemplés ces nuances de couleurs stellaires La sécurité fut priée de patrouiller aux abords de la base
  7. © Marc LINTS Et d’équiper une installation protégée en cas de repli éventuel Les équipes scientifiques acceptèrent l’accompagnement des sécuritaires Et la découverte organisée fût enfin mise en route. Les traces de la civilisation de cette planète éblouirent même les blasés RPT Jr força le turbo pour arriver avant que tout ne soit décrit Par des ignares, certes bienveillants, Et qu’il ne puisse, lui, en analyser les fondements. Et là soudainement un soulèvement de toute cette enveloppe Sur laquelle nous étions posés secouât toute la base Accompagné d’un son que l’un de nos baroudeurs identifiât Comme celui du didgeridoo venu du fonds du temps Cette musique fut tout de suite envoyée à la Terre Nous étions sous le charme Comme dans le conte du joueur de pipeau L’immensité nous envahit Le réveil fît mal aux crânes Une gueule de bois collective Sans raison apparente Sauf cette musique La Terre ne mit pas de temps à répondre
  8. © Marc LINTS Que la Commission allait écouter notre envoi Et recommandât de clore toutes les écoutilles Les risques inconnus seraient dramatiques pour la suite. Notre maître plombier sortit du vaisseau en annonçant son initiative Accompagné de quelques anthropologues En ayant pris tous ses tuyaux qu’il fit délicatement résonner En notes choisies en accord harmonique avec ce que nous venions de vivre Une délicate volute de sons associée à des images solaires Venues de nulle part ou d’ailleurs Firent le bonheur de l’équipage ébloui et très heureux d’être là Le contact était établi.
  9. © Marc LINTS ACCIDENT La bulle voyageuse s’est engouffrée Très brutalement dans notre petite planète Rien n’était prévu pour la recevoir Ni réception, ni fanfares, ni discours des élus perpétuels La montée de l’eau dans les mines abandonnées Aurait du alerter les observateurs patentés Invités dans les dernières festivités de l’été Se sont d’abord fait plaisir Comme d’habitude et en famille Les petites folies n’ont pas fait de grands effets Les musiques du terroir ont fait danser et chanter Et tout fit rêver de lendemains chatoyants La bulle voyageuse avait pourtant été annoncée Par des hommes de sciences « d’horribles scientifiques » Les plus sages d’entre eux furent potencés Les plus rapides rejoignirent les catacombes La vie terrestre s’arrêta sur la surface
  10. © Marc LINTS AGALEGA La brise de mer s’est engouffrée dans l’espace sablonneux Les pêcheurs du jour allaient donc rentrer aussi Le village descendit vers le rivage Charriant les paniers déjà chargés d’algues Les vaisseaux armés de la « coalition » Sont entrés dans le lagon en brisant la barrière de corail L’intensité de l’opération a surpris toute la population Très peu habituée à un tel déploiement de militaires. Ils n’étaient pourtant pas très nombreux à AGALEGA À vivre calmement de la pêche et de cultures vivrières De la coco et de l’huile de palme et de quelques volailles Ils et elles n’avaient rien fait qui puisse nuire aux autres. La brise de mer s’est enflée et a soulevé la houle Les îliens ont compris et se sont mis à l’abri Arrogants les envahisseurs sont restés sur le pont La belle et grande vague les a balayés
  11. © Marc LINTS AOUALA Le son des bambous soufflés envahit la nuit étoilée La sécheresse persistante bouge tout le peuple La première transhumance vers le nord Depuis la nuit des temps du souvenir Les innombrables objets ouvragés reçus de nos parents Font partie du bagage embarqué par les passeurs Pour la traversée vers la fin du cauchemar Qu’avons-nous fait pour être chassés ainsi de chez nous Les vagues de vent chargées de sables mélangés Fatiguent les yeux des déchiffreurs de pistes La progression est lente et cahotée Le bout du chemin semble tellement loin Les haltes succèdent aux arrêts d’orientation Les devins se proposent en éclaireurs illuminés Les tribus se divisent sur la marche à suivre D’interminables conciliabules ralentissent la traversée Le ciel se met de la partie D’innombrables nuages rendent l’horizon lointain De violents orages éclatent au dessus de nos têtes
  12. © Marc LINTS La panique envahit toutes les familles Jamais nous n’aurions du quitter notre territoire Dont nous étions les seuls à connaître toute la beauté Qui racontait toute la vie depuis le bout du bout A chacun de ses enfants que plus personne n’écoute désormais
  13. © Marc LINTS AU TOUBOU Nous n’étions plus très nombreux Avançant en flèches Les plus valides au devant Les tributs ensuite Et les vieux brisquards Sur tous les fronts possibles L’arrière garde faisait pitié Chariots à bestiaux Chargés de toute la mémoire De notre peuple Exilé chez lui De tous côtés vinrent les agresseurs Militaires en quête de gloire facile Chercheurs d’ors et de diamants Pilleurs d’ombres et de rêves Charognards Nous ne sommes plus.
  14. © Marc LINTS BOREAL Les chasseurs viennent de rentrer de leur campagne d’été Sans illusions Les innombrables proies d’antan ne sont plus que misères Une année de plus Les chasseurs de notre tribu réunis Proposent de quitter cette terre ancestrale devenue stérile Les autres tribus prévenues font opposition Les chamans entament la cérémonie d’appel aux esprits Ceux-ci se perdent en images historiques Des troupeaux immenses Des granulées abondantes Des fruits rouges à plaisir La réunion des tribus se résume à une énorme incompréhension Personne d’autre ne veut quitter son territoire conquis par les anciens Malgré tout ce qui est raconté Par les chasseurs de notre tribu
  15. © Marc LINTS Des mères arrivent au conseil des anciens En présentant leurs enfants totalement affaiblis Une initiative historiquement unique Les femmes ne sont pas autorisées à parler aux sages La réunion tourne à la confusion Les sages des tribus du nord refusent tout éloignement Ceux des tribus du sud sont sensibles à la détresse exprimée Et expriment leur solidarité avec les familles fragilisées Les chasseurs des tribus du sud décident de partir De l’autre côté du chemin de l’étoile du nord Vers le SUD
  16. © Marc LINTS CINQ HEURES Il n’était pas plus de cinq heures et l’aurore se devinait Evidemment, je n’avais pas dormi d’une traite Ecoutant les bruits environnants à chaque réveil Le feulement lointain d’un fauve me rassura J’écoutai donc tout bruit, respiration, mouvements A la recherche de cette vie que je croyais perdue La mer s’est retirée plus loin que dans mon souvenir Des odeurs étranges se dégagent de cet amas découvert Les crabes et les goélands circulent en se servant La lumière se dégage de la nuit sans conviction La vie semble reprendre tranquillement sa place Même si le fond de l’horizon est toujours très sombre Je retournai donc vers l’intérieur à la recherche D’une âme perdue dans ce bouleversement Et pris soin de me dégager la tête de la suie L’herbe brûlée m’envahit les pieds M’encrasse les poumons et ma conscience Ne fallait-il pas rester là, face à la mer ?
  17. © Marc LINTS Le nomade mal sédentarisé a pris le pas Et le rythme de la route a remis mes esprits Ma petite musique envahit l’espace environnant. Le cheminement lent et prudent dura toute la journée Les ombres au sol s’allongeant, je m’installai sur une branche A contempler le ciel à nouveau étoilé. Doucement et très lointainement monta un son familier Des pas sur le sol, en cadence, des voix, des chants Et une subtile odeur de feu de bois, de cuisine. J’ai repris la route vers la mer dès le réveil Le fauve ne devait pas être très loin et l’air était pur La journée s’annonçait belle.
  18. © Marc LINTS EIDEIN Nous arrivâmes, venus depuis quelques stades, De roches en sables, de rêveries en fables, Toutes en découvertes et envisagées réelles, Nous nourrissant aux bords du fleuve. Venus du Centre, nous n’étions pas là Pour chercher autre chose qu’un peu de vie Sous le soleil, nous cherchions l’ombre Celle qui permet la plante. Dans les scories nous installâmes un paradis Pour celles qui auraient survécu Et de celles qui firent le voyage Et ne perdirent pas leur mémoire EIDEIN Un souffle de parole Un mot de survie Un rituel de plaisir
  19. © Marc LINTS Il y a quelques temps Notre dernière réunion avait conclu à l’urgence d’une position commune. Malgré les évidents problèmes de logistique pour nous retrouver Et surtout de traduction entre nous. Les délégués s’étaient mis d’accord sur une motion minimale. Sans animosité excessive Sans ostracisme de mauvais aloi Sans débordements populistes Notre assemblée a décidé De ne plus parler aux êtres humains Dans leur langue Hélas Des animaux trop proches des humains Ont considérablement triché entre-temps Nous avons donc décidé de ne plus les écouter De ne plus leur parler De mener la Grande Opération entre nous Celle-ci a pris quelques temps Des alliés humains furent récupérés ET La terre-mère sauvée
  20. © Marc LINTS JERICHO Les jeunes gens et jeunes filles du village avaient écouté sa musique ils avaient ensuite exprimé tout leur intérêt Ils firent partir du village des messages -on parlait de bouteilles à la mer ou de papillons battant des ailes au bout du monde- Des bénévoles et des coopérants au village des musiciens et des papillons de par le monde entendirent et relayèrent patiemment Le compositeur rassembla tout son barda numérique rejoignit le village encerclé par une muraille de sécurité haute de neuf mètres Les premiers sons mélangés déchirèrent le village s’ouvrait enfin à d’immenses espaces leur musique entrait dans le monde le complice saxophoniste se mit à jouer le saxe ténor le plus grave de son répertoire la magie numérique décupla cette mélodie
  21. © Marc LINTS Alors donc la muraille commença à s’effriter et les spectateurs firent sept rappels dansants et chantants en chœur LA MURAILLE S’EST ECROULEE
  22. © Marc LINTS La dernière vague Les signes avant-coureurs n’ont pas été décryptés À temps Les premiers avions qui ont raté les décollages et Ceux qui firent tout autant aux atterrissages Furent montrés du doigt par les ultra- pros De l’aviation civile. Evidemment, pour tout le monde ce sont les aéronefs usés Et les équipages de têtes brûlées ex-militaires Qui sont devenus totalement responsables Des accidents de par le monde Toutefois, les commandants de bord chevronnés Ont émis quelques réserves L’avion ne volait plus aussi facilement Et surtout plus aussi haut Les premiers déchets des envois en orbite Une oubliette satellitaire de nos essais scientifiques Magnifiés par les propagandes de la guerre froide Flambèrent en magnifiques aurores boréales
  23. © Marc LINTS Le ciel nous tombait sur la tête La mer attirée par la lune se mit à monter Les vagues passèrent les dunes et les digues La terre de se soulever en crachant des volutes de fumées L’océan planétaire déborda La dernière vague fit le tour du monde Un immense silence s’ensuivit Dans un calme apocalyptique Un écho étourdissant Venu du fonds de l’espace vibrât la terre Cette musique inconnue fut reconnue par quelques uns Des humains issus des premiers habitants de notre planète
  24. © Marc LINTS La Libella La pluie venait de gonfler la terre cuivrée Charriant des odeurs anciennes Libérant des myriades de bestioles ailées. Sans émoi aucun, je continuai de marcher Certes plus lentement, de plus en plus lentement, Afin de me laisser envahir par toutes ces senteurs. Mon esprit nomade s’est pris au jeu et Me mit sur la route de La Libella Peut être pour rejoindre l’Unique. Dès l’arrivée, était annoncé l’événement Le patriarche nous avait quitté Et le monde avait l’air de se vider Le peuple se mit en route Quittant terres et maisons Avec bétail et victuailles. Emotion évidente au sein de toutes ces tribus Présentes pour un deuil éternel En attente d’un nouveau pasteur
  25. © Marc LINTS Les fumerolles enchantées Les herbes vertes mâchées Le thé servi par rasades Et la musique ont comblé ma nuit . Je suis reparti sur la route, Ahasvérus disent-ils.
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