Cours de C++, en français, 2002 - Cours 3.4

Cours C++ (2002)
semaine 3
jour 4

Cours semaine 3 jour 4 Cours C++ 2
Plan du jour
 Présentation de l’univers de XML
 XML Namespaces
 Transformation de documents XML
 XPath
 XSL
 FO
 Réalisation de transformations en C++
 Autres standards :
 XForms, XML Events, XML Query

Namespaces
 Les langages orientés objet, comme C++ ou
Java, possèdent une notion d’espace de
nommage
 Cela permet de regrouper des classes en rapport
les unes avec les autres dans un même espace
lorsqu’elles ont des relations fortes
 Le principe peut se retrouver en UML avec la
notion de package, qui est la transposition du
namespace avec une notion de bloc insécable

Namespaces (2)
 Un aspect très important des espaces de
nommage dans les langages orientés objet
est qu’ils permettent de définir plusieurs
classes possèdant le même nom
 Cela ne pose pas de problème au système tant
que les classes sont dans des espaces de
nommage différents
 Il est possible d’utiliser deux classes de nom
identique dans des packages différents dans un
même programme (cela est impossible en C)

Namespaces (3)
 XML a de forte relations avec le monde
orienté objet et il est possible d’y retrouver
explicitement la notion d’espace de
nommage
 XML namespace
 Un namespace sert cependant de manière
détournée par rapport au monde orienté
objet

Namespaces (4)
 L’avantage des espaces de nommage en
XML est qu’il devient possible d’utiliser
plusieurs grammaires dans un même
document
 Un document XML peut donc avoir une
grammaire principale pendant que certains ilôts
du document contiennent des informations
respectant une autre grammaire

Namespaces (5)
 Un document avec un seul schéma ou DTD
est supposé être dans l’unique espace de
nommage
 L’usage de plusieurs espaces de nommage
doit se faire en précisant au préalable la liste
des espaces de nommage
 À chaque espace de nommage est associé
une URL permettant l’identification de
l’espace

Namespaces (6)
 Il est également possible d’inclure des
espaces de nommage dans les DTD
 Une grammaire peut alors explicitement faire
appel à une autre grammaire !
 Les espaces de nommage peuvent
également être utilisés avec XSL
 C’est naturel puisque les espaces de nommage
sont autorisés en XML !

Namespaces (7)
 Un espace de nommage doit être identifié
dans l’entête du document
 Un espace de nommage est signalé par
xmlns
 Il est possible d’identifier tous les espaces
de nommage ou d’en considérer un comme
l’espace de nommage par défaut

Namespaces (8)
<H:html xmlns:H="http://www.w3c.org/TR/REC-html40"
xmlns:mine="file:/DTD/lamienne.dtd">
<H:head>
<H:title>un titre HTML</H:title>
</H:head>
<H:body>
<H:p>un paragraphe HTML</H:p>
<mine:p>ma définition du paragraphe</mine:p>
</H:body>
</H:html>

Namespaces (9)
<html xmlns="http://www.w3c.org/TR/REC-html40"
<head>
<title>un titre HTML</title>
</head>
<body>
<p>un paragraphe HTML</p>
<mine:p>ma définition du paragraphe</mine:p>
</body>
</html>
L’espace de nommage HTML est devenu l’espace par défaut

XPath
 XPath est un langage très largement utilisé
en XML
 Entre autres dans XSL
 Également avec XPointer, XML Query, etc
 Il fournit une syntaxe et une sémantique
permettant d’identifier les adresses (les
emplacements de parties de documents
XML)

XPath (2)
 XPath fournit également un ensemble
d’opérateurs de base permettant de réaliser
des opérations sur les chaînes de caractères,
les nombres ou les variables booléennes
 XPath utilise une notation compacte plutôt
qu’une notation façon XML qui est elle
basée sur les éléments

XPath (3)
 XPath permet d’opérer sur la structure
logique et abstraite du document, donc ses
nœuds, plutôt que sur la syntaxe
 XPath utilise une notation ressemblant à
celle des URL pour définir une position
 XPath voit un document comme un arbre et est
donc proche de DOM de ce point de vue
 XPath permet de traiter des documents
utilisant les namespaces

XPath (4)
 XPath considère le document comme un arbre qui
possèderait 7 types de nœuds différents
 Nœud racine (1 seul !)
 Nœuds élément (1 pour chaque élément)
 Nœuds attributs
 Nœuds namespace
 Nœuds processing instructions
 Nœuds commentaires
 Nœuds texte
 La lecture de l’arbre se fait de haut en bas et de
gauche à droite

XPath (5)
<doc>
<?CR?>
<para>Un <em>premier</em> paragraphe</para>
<para>Un autre paragraphe</para>
</doc>
root
<doc>
<?pi?> <para>
text <em>
text
text text
<para>

XPath (6)
 Les chemins d’emplacement de XPath permettent
de spécifier un ensemble de nœuds
 Offrent plus de possibilités qu’avec les ID et IDREF
 Il existe des chemins relatifs et des chemins
absolus
 De la même manière que sur un système de gestion de
fichiers hiérarchique
 Un chemin est composé d’un ou plusieurs pas et
de prédicats optionnels

XPath (7)
 Exemples de chemins
 child::para : tous les éléments enfants de type para du
nœud courant
 child::* : tous les éléments enfants du nœud courant
 attribute::nom : sélection d’un attribut du nœud
courant dont l’identifiant est nom
 ancestor::div : sélection de tous les ancêtres du nœud
courant de type div
 self::para : sélection du nœud courant s’il est de type
para
 child::*/child::para : sélection de tous les petits fils de
type para
 / : la racine du document

XPath (8)
 XPath possède des axes de parcours
 ancestor, ancestor-or-self
 attribute (version abbrégée = ‘@’ )
 child (axe de parcours par défaut, peut être omis)
 descendant, descendant-or-self (abbrégé = ‘//’ )
 following
 preceding
 following-sibling, preceding-sibling
 namespace
 parent (version abbrégée = ‘..’ )
 self (version abbrégée = ‘.’ )

XPath (9)
 Le terme sibling représente la fratrie
 Un nœud peut avoir de 0 à n frères et il est
possible de faire un parcours sur le nœud
suivant ou sur le nœud précédent
 preceding-sibling et following-sibling pour
les frères
 preceding et following pour tout ce qui est
avant ou après (en prenant le document plat
comme référence)

XPath (10)
<chapitre>
<titre>…<titre>
<para>…</para>
<note>
<para>… </para>
</note>
<para>…</para>
</chapitre>
nœud courant = chapitre
para ou child::para

XPath (11)
<chapitre>
<titre>…<titre>
<para>…</para>
<note>
<para>… </para>
</note>
<para>…</para>
</chapitre>
nœud courant = chapitre
.//para ou descendant-or-self::node()/child::para

XPath (12)
 XPath réalise des évaluations d’expressions
 Les expressions peuvent traiter quatre types
de données
 Des ensemble de nœuds
 Des valeurs booléennes
 Des nombres (valeurs réelles : float)
 Des chaînes de caractères
 L’évaluation se fait en fonction du contexte

XPath (13)
 Les expressions d’évaluation sont réalisées grâce à
des opérateurs standards
 Booléens : and, or, =, !=, <, >, <=, >=
 Nombres : +, -, *, /, %
 Il existe également des opérations
 Filtres : ils sont mentionnés entre [ et ]
 position() : teste la position du nœud dans une liste
 last() donne le dernier frère d’une liste
 count() calcule le nombre d’éléments d’une liste
 id() vérifie l’identifiant d’un noeud

XPath (14)
 Opérations (suite)
 start-with( string, pattern ), ex : ( . , "Téléco" )
 contains( string, pattern )
 string-after
 string-before
 substring
 normalize : enlève les blancs inutiles
 translate : remplace une chaîne par une autre
 concat
 string-length

XPath (15)
 Opérations (suite)
 number() : transforme une chaîne de caractères
en un nombre
 round()
 floor()
 ceiling()
 mod()
 name()

XPath (16)
 Exemples XPath
 /bib/book[ @price < "60" ]
 /bib/book[ author/@age < "25" ]
 /bib//*[ name() = book ]
 Équivalent à /bib//book !

XSL
 Que peut-on faire avec XPath ?
 Des tas de choses !
 Entre autres, XPath sert à indiquer des
chemins pour traiter des éléments d’un
document
 Le traitement se fait avec XSL

XSL (2)
 XSL est le descendant de DSSSL qui était
associé à SGML
 XSL permet de réaliser des transformations
de documents et permet ainsi de séparer le
contenu (le document XML) de la
présentation (le résultat de la transformation
effectuée à l’aide de XSL)
 XSL = eXtensible Stylesheet Language

XSL (3)
 XSL est une spécification de documents
 Un fichier XSL est aussi un fichier XML
 XSL est une grammaire utilisant XML
 La transformation utilisant des documents
XSL est appelée XSLT, XSL
Transformation

XSL (4)
 XSL contient 34 éléments différents
 Seuls 3 suffisent à faire une feuille de style
 stylesheet
 template
 apply-templates
 XSL utilise deux autres normes, celles
présentées précédemment : les espaces de
nommage et XPath

XSL (5)
 La balise stylesheet permet de définir les
caractéristiques de la feuille de style
 Elle permet également de donner la liste des
espaces de nommage utilisés dans la feuille
de style
 Remarque : il est possible d’associer une ou
pluieurs feuilles de style à un document
XML avec xml-stylesheet, à placer en
entête du document XML

XSL (6)
 Attributs possibles
 default-space="preserve"
 indent-result="no"
<xsl:stylesheet
xmlns:xsl="http://www.w3.org/1999/XSL/Transform"
…
</xsl:stylesheet>

XSL (7)
 Il est possible de ne pas écrire beaucoup de
XSL pour avoir une feuille de style
 Il est possible d’importer une ou plusieurs
feuilles de style pour en faire une nouvelle
<xsl:stylesheet …>
<import href="tables.xsl" />
<import href="composants.xsl" />
…
</xsl:stylesheet>

XSL (8)
 Une feuille de style est composée de blocs
indépendants au niveau de la rédaction
 Plus il y en a et plus on traite de cas
 Les cas non traités ne sont pas pris en compte
par la transformation
 Les cas mentionnés sont des templates
 On recherche une expression particulière

XSL (9)
 L’attribut match de l’élément template
spécifie une expression XPath
 C’est donc grâce à ces templates que les nœuds
de l’arbre sont parcourus et traités si le cas est
prévu
<xsl:template match="para">
…
</xsl:template>

XSL (10)
 À l’intérieur d’un template, on donne le
texte qui sera le résultat de la transformation
 Il est par exemple possible d’écrire des
fragments de HTML qui seront mis dans le
résultat de la transformation
 Il est également possible de lancer un
traitement des autres nœuds se situant en
dessous du nœud courant

XSL (11)
 Apply-templates lance le traitement récursif
du document
 La feuille de style est reparcourue pour trouver
des templates qui traitent les enfants
…
<xsl:apply-templates />
…
</xsl:stylesheet>

XSL (12)
 Il est également possible de raffiner les
templates avec des modes de traitement
<xsl:template match="chapitre/titre">
…
<xsl:apply-templates select="//chapitre/titre" mode="h3"/>
…
</xsl:stylesheet>
<xsl:template match="chapitre/titre" mode="h3">
…
</xsl:stylesheet>

XSL (13)
 Il est enfin possible de faire des appels avec
des paramètres (call-template)
<xsl:template match="nom">
…
<xsl:call-template name="nom2">
<xsl:with-param name="salut">Bonjour <xsl-with-param>
</xsl:call-template>
…
</xsl:stylesheet>
<xsl:template name="nom2">
<xsl:value-of select="$salut" />
</xsl:stylesheet>

XSL (14)
 XSL ne se limite pas à cela !
 Il est possible d’effectuer des opérations sur le
nœuds courant et même sur ses enfants en étant
dans un template

XSL (15)
 value-of permet de convertir le nom du
nœud courant (select sur point) en une
chaîne de caractères qui est alors affichée
dans le reste du texte issu de la
transformation
…
<xsl:value-of select="." />
…
</xsl:stylesheet>

XSL (16)
 Le paramètre du select peut en fait être une
expression XPath
 Toute l’arborescence est donc disponible
 Remarque : le select peut également servir
lors de l’appel de apply-templates :
 <xsl:apply-templates select="name[ @type='title']" />
 Remarque supplémentaire : dans un même
template, il est possible d’appeler plusieurs fois
apply-templates, même sans paramètres !

XSL (17)
 Il est possible de demander à ce qu’un tri
soit effectué lors de la transformation
(éventuellement avec un select en plus)
…
<xsl:apply-templates>
<xsl:sort />
</xsl:apply-templates>
…
</xsl:stylesheet>

XSL (18)
 Le sort possède des attributs
 order, peut être ascending ou descending
 data-type, peut être text (défaut) ou number
 case-order, peut être lower-first ou upper-
first

XSL (19)
 Il est possible de demander à ce qu’une
numérotation automatique soit réalisée
 xsl:number
 Les attributs de number permettent de faire
varier le niveau de numérotation (un ou
plusieurs niveaux), de spécifier un format
de numérotation (chiffres ou lettres) ou
encore de grouper les éléments numérotés
par paquets d’un certain nombre

XSL (20)
 Il est également possible de créer des
variables qui pourront être utilisées pendant
le traitement
 <xsl:variable name="couleur">
rouge
<xsl:variable>
…
<xsl:value-of select="$couleur" />

XSL (21)
 Il est possible de créer des éléments dans le
document, les éléments pouvant être
rattachés à un espace de nommage
 <xsl:element namespace="html" name="h3">
</xsl:element>
 Peut s’utiliser en conjonction avec les variables
ou les paramètres : puissant !

XSL (22)
 Il est possible d’effectuer des copies
complètes d’une partie de l’arborescence
 xsl:copy-of
xsl:copy
 Permet de remplacer la création de template où
se trouve une série d’instructions xsl:value-of
 xsl:copy est plus flexible que xsl:copy-of

XSL (23)
 Dans les fonctions de copie, il est possible
d’utiliser un ensemble d’attributs qui
servent, d’une certaine manière, de
paramètres
<xsl:attribute-set name="couleurs">
<xsl:attribute name="standard">blue</xsl:attribute>
<xsl:attribute name="important">red</xsl:attribute>
</xsl:attribute-set>
…
<xsl:copy use-attribute-set name="couleurs">
</xsl:copy>

XSL (24)
 Il est également possible de réaliser des
tests
 xsl:if permet de réaliser un test simple
 Si le test est vérifié, le contenu de l’élément
est évalué
<xsl:if test="position() = 1">
<xsl:attribute name="style">color: red</xsl:attribute>
</xsl:if>

XSL (25)
 Les tests peuvent également être réalisés en
bloc avec xsl:choose
 Cela ressemble beaucoup à un switch C !
<xsl:choose>
<xsl:when test="position() = 1">red</xsl:when>
<xsl:when test="position() = 2">blue</xsl:when>
<xsl:otherwise>green</xsl:otherwise>
</xsl:choose>

XSL (26)
 Il est même possible de faire des itérations
 Cela permet de réaliser des sortes de
templates sans avoir à spécifier toutes les
navigations XPath ou tous les paramètres
<xsl:for-each select="nom">
Bonjour <xsl:value-of select="." /> !
</xsl:for-each>

XSL (27)
 Après cette présentation de XSL, vous avez
peut-être l’impression que XSL est une
sorte de langage de programmation
 Et c’est vrai !
 DSSSL, l’ancêtre, est une norme de
transformation inspirée du langage de
programmation Scheme
 XSL est donc une sorte de langage de
programmation fonctionnelle

XSL (28)
 Un exemple de XSL produisant du HTML :
<?xml version="1.0"?>
<xsl:stylesheet xmlns:xsl="http://www.w3.org/TR/WD-xsl">
<xsl:template match="/">
<HTML>
<BODY>
<table border="2" bgcolor="yellow">
<xsl:for-each select="records/purchaseOrder">
<tr>
<td><xsl:value-of select="shipTo/name"/></td>
<td><xsl:value-of select="comment"/></td>

XSL (29)
<xsl:for-each select="items/item">
<td><xsl:value-of select="price"/></td>
</xsl:for-each>
</tr>
</xsl:for-each>
</table>
</BODY>
</HTML>
</xsl:template>
</xsl:stylesheet>

FO
 FO, Formatting Objects, est une sous partie
de XSL
 FO est en fait une étape supplémentaire à
XSL
 Des instructions FO doivent être générées lors
de la transformation XSL
 Une transformation supplémentaire est alors
opérée

FO (2)
 FO permet de récupérer des documents
selon des formats d’impression paginés
 PDF
 PostScript
 PCL
 MIF (FrameMaker)
 SVG
 Java AWT (!)

FO (3)
 Cette étape est rendue nécessaire car les
standards comme SGML ou XML ou encore
HTML ne possèdent pas la notion de page
telle qu’on la trouve dans les documents
papier
 Une page HTML n’est pas limité en taille
comme une page papier
 Utilisez l’ascenseur de votre navigateur pour
vous en convaincre !

FO (4)
 Pour réintroduire la notion de page, FO est
nécessaire
 FO permet de spécifier tout un ensemble de
directives concernant l’impression de
documents papier comme
 Les marges
 La dimension d’une feuille
 etc

FO (5)
 À l’heure actuelle, aucune solution
Microsoft n’est disponible pour FO
 Il existe un produit qui s’interface avec
COM mais il est écrit … en Java
 La mise à disposition d’outil FO pourrait
amoindrir le juteux marché des logiciels de
production de rapports

MSXSL
 MSXSL est un outil fournit par Microsoft
permettant de réaliser des transformations
XSL
 L’outil est disponible précompilé mais il est
également possible d’en obtenir les sources
et de le compiler en dehors de Visual Studio

MSXSL (2)
 Avant de commencer quoique ce soit
 Modifier la variable d’environnement include
 Chemin vers les fichiers d’include pour VC++
 Rajouter ;C:Program FilesMSXML 4.0inc
 Modifier la variable d’environnement lib
 Chemin vers les librairies pour VC++
 Rajouter ;C:Program FilesMSXML 4.0lib

MSXSL (3)
 Le programme de Microsoft n’utilise pas
Visual C++ mais nmake !
 Pas de fichier .dsw (workspace) ou .dsp
(project)
 Créer un fichier make.bat dans le répertoire où
se trouve le fichier makefile contenant ces deux
lignes :
 nmake clean
pause

MSXSL (4)

MSXSL (5)
 Le fichier de commande que nous avons
écrit crée une version de debug
 Il est aussi possible de créer une version
normale avec la commande
 nmake clean cfg=retail
 Voir la documentation fournie avec nmake et
msxsl

MSXSL (6)
 Le programme étant compilé, il est possible
de l’utiliser à la ligne de commande
 MSXSL birds1.xml birds1.xsl
 MSXSL glossar.xml glossar.xsl > glossar.html
 MSXSL birds2.xml birds2.xsl | more
 MSXSL birds1.xml birds1.xsl > birds1.2.xml
2> err.txt

MSXSL (7)
 Le main du programme se trouve dans
main.cxx
 Comme hier pour les exemples XML, il s’agit
d’objets COM
 L’initialisation des connexions COM y est faite
 Le parsing de la ligne de commande y est fait
 L’appel à TransformHelper y est fait
 Fichier transfrm.cxx

MSXSL (8)
 Le fichier transfrm.cxx peut servir de base à
l’inclusions de transformations XSL dans un
programme
 Il faut juste faire les bonnes initialisations !
 La fonction principale est Transform(
MSXMLInfo )
 On y crée deux documents DOM, un pour le
fichier source et un pour le résultat
 On y charge le fichier XSL

MSXSL (9)
 Parmi les exemples qui vous sont fournis se
trouve une version modifiée d’un tutorial
sur FO formaté selon la grammaire
DocBook
 Un premier fichier XSL permet de récupérer
une version HTML
 Un deuxième fichier XSL permet de récupéré
un fichier FO destiné à être formaté en PDF
(cette étape est impossible dans notre cas)

MSXSL (10)
 Enfin, trois ensembles de test case sont
disponibles
 Ils permettent de tester la validité des parser
XML mais surtout de tester la validité de
l’étape de transformation XSL
 Ces tests suite ont été écrit par plusieurs
personnes / sociétés / organismes
 Ils sont disponibles sur le site du W3C

MSXSL (11)
 Exercice :
 Écrivez un document XML avec un ensemble
de tag que vous définirez
 Écrivez un document XSL permettant de
transformer votre document en HTML
 Faites tourner MSXSL avec vos deux fichiers
en entrée, en créant un fichier HTML en sortie
 Visualisez votre résultat dans Internet Explorer

XForms
 XForms se veut la suite des Forms de HTML qui
permettent à un utilisateur d’envoyer des
paramètres à un programme sur un serveur web
 Les Forms HTML sont cependant relativement
limitées
 Une page par Form (mais possibilité d’avoir plusieurs
Forms par page)
 Pas de langage de traitement sur le client (mais
possibilité d’utiliser Javascript ou d’autres)
 Envoi des données selon le formatage de HTTP

XForms (2)
 XForms n’est encore pas un standard, juste une
proposition, mais ses objectifs sont :
 Support de tous les terminaux (PDA, ordinateurs de
bureaux et … télévisions)
 Interface utilisateur riche
 Découplage des données, des traitements et de la
présentation
 Possibilité de traitements lourds
 Amélioration de l’internationalisation
 Support pour les données structurées
 Support de plusieurs pages par XForm
 Possibilité d’interrompre et de reprendre la saisie

XML Events
 XML Events correspond à la mise en œuvre
d’événements au sein de documents XML
 Puisque l’on introduit des évènements, on
introduit bien évidemment des handlers
 La notion d’événements est introduite dans la
deuxième version du DOM et ainsi, le DOM
possède désormais également des capacités de
SAX
 L’exploitation des évènements est cependant différente

XML Events (2)
 Les handlers d’évènements sont gérés à travers un
ensemble de classes
 Listener : regarde les évènements passer et réalise des
actions (il s’agit d’un élément XML)
 Handler : c’est un attribut du listener qui renvoie, par
hyperlien, à l’action rattachée au listener
 Event : pour représenter des évènements
 Il peut y avoir des évènements sur la structure mais également
des évènements lors de l’interaction avec l’utilisateur
 Un event est traité en descendant l’arborescence et
en remontant, avec des informations

XML Query
 XML Query (ou XQuery) est une proposition pour
un langage de requête dans les « documents »
XML
 Ce langage permettra d’effectuer une recherche et
de trouver une ou un ensemble de réponses
satisfaisant la requête
 Il est possible de considéré comme l’équivalent de
SQL pour les documents XML (un de ses ancêtres
s’appelle même XML-QL)

XML Query (2)
 XML Query utilise des template pour la définition
des éléments à trouver et des conditions à remplir
 XML Query utilise largement XPath
 De nombreux éditeurs de bases de données XML
offre XML Query, même s’il s’agit parfois de
versions anciennes du langage de requête
 Mais la version finale de XML Query n’a pas encore un
an d’âge ! Les éditeurs sont en train de mettre leurs
produits à jour.

XML Query (3)
 Exemples :
FOR $x IN document( "bib.xml" )/bib/book
WHERE $x/year > 1995
RETURN $x/title
FOR $p IN distinct( document( "bib.xml" )//publisher )
LET $b := document( "bib.xml" )/book[ publisher = $p ]
WHERE count( $b ) > 100
RETURN $p

Questions / Remarques

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