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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE
Du 11 au 17 avril 2016
LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL
Immobilier ancien : fin de la baisse des prix en
2016 ?
Le 11/04/2016
Le nombre de transactions progresse : + 9% de croissance enregistrée entre le 4ème trimestre 2015
et le 1er trimestre 2016 dans les agences du réseau Laforêt.
REUTERS/Charles Platiau
La reprise amorcée en 2015 sur le marché de l'immobilier ancien s'est confirmée au premier
trimestre 2016. L'année devrait être marquée par la fin de la baisse des prix, voire une légère
hausse dans certaines zones, selon les réseaux Century 21, Guy Hoquet et Laforêt.
MeilleursAgents.com demeure plus mesuré et considère que le terme de "reprise" est
trompeur. Bilan du 1er trimestre 2016 et perspectives d'ici la fin de l'année.
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L'année 2016 démarre sur les chapeaux de roues ! Le nombre de transactions progresse : + 9% de
croissance enregistrée entre le 4ème trimestre 2015 et le 1er trimestre 2016 dans les agences du
réseau Laforêt. Même constat chez Century 21 avec une hausse des transactions de 12% en un an.
"En quatre ans, les prix ont baissé de 8% et les taux de crédit immobilier ont perdu 2 points. La
conjonction de ces deux facteurs dope le pouvoir d'achat des Français", analyse Yann Jehanno,
directeur exécutif de Laforêt.
On emprunte aujourd'hui à moins de 2% ! Et les taux baissent encore depuis le début du mois : entre
1,15 et 1,85% sur 15 ans et entre 1,41% et 2,10% sur 20 ans en fonction du profil, selon le courtier
Empruntis. Et "les taux devraient rester bas jusqu'à la fin de l'année, avoisinant les 2,20% en
moyenne", anticipe le Crédit Foncier.
La demande a ainsi bondi de 15% entre le 4ème trimestre 2015 et le 1er trimestre 2016 chez Laforêt,
ainsi que chez Guy Hoquet. Même constat chez les courtiers en taux. Empruntis note une hausse de
22% des intentions d'achat au 1er trimestre 2016 par rapport à la même période en 2015. De quoi
exercer une pression sur les prix.
8319 euros le m² à Paris
"Les prix parisiens, en hausse de 0,7% entre fin 2015 et début 2016, passent de nouveau au-dessus
de la barre des 8 000 euros le mètre carré", rapporte Yann Jehanno. +1,6% chez Guy Hoquet entre
les 1ers trimestres 2015 et 2016. Chez Century 21, le prix moyen au mètre carré dans la capitale (qui
était en repli de -2,2% en 2015) enregistre même une hausse de +2,5%. Il s'établit au 1er trimestre
2016 à 8 319€ le m². Le montant moyen d'une transaction s'élève désormais à 424 305€.
L'Ile-de-France s'inscrit dans la même tendance haussière des prix : le prix moyen au m² augmente de
0,7% entre le 1er trimestre 2015 et le 1er trimestre 2016 pour s'établir, tous types de biens confondus,
à 3 070€ le m² (Century 21). Le montant moyen d'une acquisition s'élève désormais à 241 914 euros.
Même constat chez Laforêt, qui enregistre une hausse des prix des logements franciliens de l'ordre de
0,8% entre le dernier trimestre 2015 et le premier trimestre 2016.
De fortes disparités régionales
Selon Guy Hoquet, entre le 1er trimestre 2015 et le 1er trimestre 2016, les prix restent stables à -0,1%
en France. Une stabilité qui masque cependant de fortes disparités régionales : les prix augmentent
de 1,6 % à Paris et de 0,1% en Ile-de-France, alors qu'ils baissent de 0,9% en province. Les écarts de
prix continuent de se creuser, avec plus de 6 500 euros de différence au m² entre Paris (8 319 euros,
source Century 21 ) et la province (1 728 euros, source Guy Hoquet).
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Chez Laforêt, si les prix reculent globalement de - 1,4%, des disparités importantes apparaissent
entre les communes où les prix se redressent comme Lyon (+ 0,9%) et Bordeaux (+ 0,6%) et celles
qui poursuivent une lente baisse, comme Lille (-0,9%) ou Marseille (-0,6%).
"Les mouvements de prix sont souvent liés à la tension entre l'offre et la demande", rappelle Yann
Jehanno. Ainsi, "les petites surfaces, demandées à la fois par les primo-accédants et par les
investisseurs, se vendent rapidement et souvent au prix fort. A l'inverse, les logements énergivores
(des années 1960-1970, ndlr) qui trouvent difficilement preneur, influencent nettement les prix à la
baisse.
Le nouveau PTZ : coup de pouce pour les primo-accédants dans l'ancien ?
Au 1er trimestre 2016, le courtier en taux Vousfinancer.com a enregistré près de 400 demandes de
prêt comprenant un PTZ (prêt à taux zéro accordé aux primo-accédants pour l'achat d'une résidence
principale), soit 4 fois plus qu'au 1er trimestre 2015 ! Mais attention, "seules 15 % des demandes de
crédit avec un PTZ concernent le financement d'une acquisition dans l'ancien avec travaux. 85% sont
attribuées pour l'achat d'un logement neuf", précise Sandrine Allonier, directrice des partenariats
bancaires de Vousfinancer.com.
Même constat chez les autres courtiers : seulement "8% d'acquéreurs dans l'ancien ont bénéficié d'un
PTZ au 1er trimestre 2016", confirme Cécile Roquelaure, directrice Communication et Etudes
d'Empruntis.
Selon le réseau Laforêt, le PTZ étendu à toute la France est "davantage sollicité en régions pour des
opérations inférieures ou égales à 100 000 euros". "Compte tenu des prix élevés pratiqués en région
parisienne et de l'obligation de réaliser des travaux à hauteur de 25% du coût total de l'opération, le
PTZ dans l'ancien est inadapté à Paris et en Ile-de-France", regrette Valérie Durand, directrice des
agences L'Adresse de Maisons-Alfort, Alfortville et Charenton-le-Pont.
Retour progressif des investisseurs
"Face à la volatilité des marchés financiers, ainsi qu'à la faible rémunération des supports d'épargne,
les investisseurs s'intéressent de nouveau à l'immobilier dont le rendement et la stabilité rassurent",
analyse Yann Jehanno. Les investisseurs représentent 16% des ventes du réseau Guy Hoquet au 1er
trimestre 2016 contre 11% au 1er trimestre 2014.
Après leur retour dans le neuf depuis un an grâce au dispositif de défiscalisation Pinel, "les
investisseurs reviennent progressivement dans l'ancien, sauf à Paris, où l'encadrement des loyers les
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pousse en petite et grande couronne", constate Fabrice Abraham, directeur Général du réseau Guy
Hoquet.
Reprise durable ?
Certes, "les transactions se font plus facilement et les prix remontent dans la capitale, en première
couronne et dans plusieurs grandes villes en régions. Pourtant, le retour d'un nombre suffisant
d'acheteurs dans le marché, seul moteur d'une reprise durable, n'est toujours pas présent", nuance
Sébastien de Lafond, président de MeilleursAgents.com. Pour ce dernier, pas de doute, cette situation
exceptionnelle masque encore un déséquilibre entre l'offre et la demande.
Ainsi à Paris, il y a 1,3 acheteur pour un vendeur, contre 4,4 acheteurs pour un vendeur en 2011,
rapporte-t-il. En Petite et Grande Couronne le déséquilibre est encore plus criant avec respectivement
0,8 et 0,5 acheteur pour un vendeur. La situation est identique dans les grandes villes de province
avec 1,3, 0,8 et 0,7 acheteur pour un vendeur à Bordeaux, Strasbourg et Marseille. "Pour que le
marché redémarre vraiment et que les prix soient à nouveau durablement orientés à la hausse, il
faudrait compter au moins 2 acheteurs pour un vendeur", analyse Sébastien de Lafond.
Le nombre de transactions s'élève à 803 000 en 2015 sur l'ensemble du territoire, soit une
progression de +15,7% par rapport à 2014, selon les notaires. "Cette belle performance doit, elle
aussi, être tempérée". Compte tenu de l'augmentation de la population française, "il faudrait atteindre
environ 900 000 transactions par an pour retrouver la fluidité maximum du marché", explique
Sébastien de Lafond.
Le Crédit Foncier table sur 825 000 transactions en 2016, soit 3% de plus qu'en 2015. "L'activité
devrait rester soutenue avec des disparités évidentes en fonction des régions, de l'emplacement et de
la qualité des biens", anticipe le Crédit Foncier. Et d'ajouter "la baisse des prix va se poursuivre d'ici la
fin de l'année : -0,9% en France, -1%en Province et -0,8% en Ile-de-France". La reprise est loin d'être
acquise.
Source: L’Express.fr
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Immobilier locatif : le crédit pas cher renforce
l'attrait des SCPI
Le 11/04/2016
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Rendement moyen : de 4,5 à 5% Ces produits, investis en immobilier tertiaire, sont souvent
accessibles via l’assurance vie. De quoi profiter de son cadre fiscal privilégié.
Décidément insubmersibles, les SCPI ! Ces fonds investis en murs de bureaux ou de magasins
devraient en effet verser un peu moins de 5% de rendement au titre de 2015. Une rentabilité en repli
régulier, mais encore largement supérieure à nombre d’autres placements, notamment immobiliers.
Prudence toutefois, car la collecte auprès des épargnants ne cesse d’enfler (elle aurait atteint
4 milliards d’euros rien que pour 2015, soit plus de 10% de leur capitalisation totale). Un succès qui
fait grimper la valeur des parts et devrait du coup réduire le rendement à attendre.
Jouez de l’effet de levier du crédit
Avec des taux d’intérêt, pour ce genre d’opérations, fixés à seulement 2,30% sur quinze ans et un
rendement à attendre entre 4,5 et 5%, le calcul est vite fait : s’endetter pour acheter des SCPI n’a
jamais été aussi intéressant. Comme le montre notre tableau ci-contre, l’effet de levier du crédit
permet d’obtenir une rentabilité près de deux fois supérieure à celle d’un achat au comptant (6,6%
dans le cas n° 2 contre 3,6% dans le cas n° 1). Mais encore faut-il décrocher ce financement. Car les
réseaux bancaires ne l’accordent souvent qu’à la condition de l’utiliser pour acquérir leurs propres
SCPI, pas toujours les meilleures. Si vous voulez investir sur celles pilotées par des gérants
indépendants, il faudra donc vous montrer convaincant avec votre conseiller. «La moitié de nos clients
arrive tout de même à se financer de la sorte», précise Philippe Vergine, fondateur de l’intermédiaire
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Primaliance. Sinon, direction le Crédit foncier, seul établissement acceptant de jouer le jeu de la
concurrence. A noter : le plus souvent, aucun apport personnel ne sera exigé.
Pour un achat comptant, préférez l’assurance vie
Rien ne vous oblige à financer vos SCPI à crédit. Mais, en cas d’achat au comptant, sans doute
devrez-vous privilégier l’assurance vie plutôt que la détention en direct de ces mêmes parts. Outre le
fait que vous percevrez immédiatement les loyers (alors qu’en direct ce délai atteint jusqu’à six mois),
le rendement net d’impôts a toutes les chances d’être meilleur. C’est la seconde leçon de notre
tableau : du fait de la lourde fiscalité des revenus fonciers, et à condition d’être imposé au moins à la
tranche marginale de 30%, l’assurance vie l’emporte. Ainsi, dans cette dernière configuration, la
rentabilité nette atteint 3,9% en assurance vie (notre cas n° 3), contre 3,6% en direct. Pour un
contribuable imposé à 41%, elle tombe même à 3,1% en direct, contre toujours 3,9% en assurance
vie. Nous avons pourtant retenu des hypothèses plutôt défavorables à cette dernière. Dans notre
simulation, l’assureur s’accapare ainsi 15% des loyers, tout en prélevant ses frais de gestion. Ce ne
sont d’ailleurs pas les seules contraintes à respecter dans ce cadre. Aucun assureur ne permet de
verser de façon mensuelle sur ce genre de fonds. Chez Fortuneo, la mise sur chaque SCPI est
doublement limitée à 50 000 euros et à 50% de l’encours du contrat. Quant à Spirica, il prélève 3% en
cas de revente avant trois ans. La dernière limite étant que c’est l’assureur qui décide ou non d’en
proposer, et lesquelles souscrire… Même si certains font des efforts. La Carac vient ainsi de créer
Carac Perspectives Immo, SCPI spécifique à son contrat multisupport.
Diversifiez la mise sur au moins trois SCPI
Pour un investissement au comptant comme financé à crédit, mieux vaut au minimum miser 50 000 -
euros. Ce montant vous permettra tout d’abord d’espérer un revenu avoisinant les 200 euros par mois
et, surtout, de diversifier sur au moins trois SCPI différentes. Vous êtes proche de la retraite ? «Le
mieux est de privilégier les plus anciennes d’entre elles, au rendement régulier, et qui affichent un
patrimoine étoffé, comme Accès Valeur Pierre, Allianz Pierre, ou Rivoli Avenir Patrimoine», explique
Philippe Vergine. Pensez aussi à mélanger des SCPI dites «diversifiées», surtout investies dans des
immeubles de bureaux, avec celles axées sur les seuls murs de magasins. A l’inverse, si vous êtes
jeune, vous pouvez tenter des SCPI plus récentes, qui misent sur les établissements de santé (c’est le
cas de Primovie et Pierval Santé) ou l’immobilier européen, le plus souvent implanté en Allemagne
(comme LFP Europimmo ou Eurovalys). Attention, certaines banques se montrent toutefois réticentes
à financer l’achat de SCPI dont l’historique de gestion est insuffisant.
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Vérifiez la part de loyers réellement encaissée
Certes, 2016 devrait à nouveau être un bon cru pour l’immobilier tertiaire. C’est ainsi que l’ouverture
des magasins le dimanche a commencé à tirer les loyers des boutiques parisiennes vers le haut, de
10% en 2015 selon Knight Frank. Mais si les SCPI font preuve de résistance, elles ne sont pas pour
autant à l’abri de la crise. Parmi les indicateurs à surveiller, attachez-vous au TOF, le taux
d’occupation financier indiquant la part des loyers réellement encaissés. Le seuil à respecter
dépendra de l’âge de la SCPI. «Celles des années 1980, souvent en train de rénover leurs
immeubles, pourront enregistrer entre 80 et 90%», indique Paul Bourdois, cofondateur de France
SCPI. Mais les plus récentes devront s’approcher des 95%. A l’image de PFO2, de Périal, créée en
2009, qui affiche un TOF de 92%. Idem avec celles spécialisées dans les commerces. C’est ainsi que
Foncia Pierre Rendement offrait, au dernier trimestre 2015, un taux de 95%, et Pierre Plus de Ciloger
96%. 
Source : Capital.fr
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A quoi pourrait ressembler l’assurance loyers
impayés pour jeunes voulue par Valls ?
Le 11/04/2016
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Le Premier ministre a annoncé ce lundi matin onze mesures pour aider les jeunes. Parmi elles : une
nouvelle garantie contre les impayés de loyers dont les contours restent encore à préciser.
Alors que le gouvernement semblait avoir définitivement enterré l’idée d’une garantie universelle des
loyers, la voilà qui ressurgit… pour les jeunes locataires. Parmi la batterie de mesures annoncées ce
lundi par Manuel Valls pour soutenir la jeunesse figure en effet l’idée d’instaurer "un droit universel à
la garantie locative pour les jeunes de moins de 30 ans."
Selon le gouvernement cette mesure, dont le coût est estimé à 100 millions d’euros chaque année
pourrait profiter à 300.000 jeunes par an. Quels seront donc les contours du nouveau dispositif ? C’est
toute la question. Contacté par nos soins, l’Association pour l’Accès aux Garanties Locatives explique
que le projet est encore à l’étude…
Une des pistes les plus sérieuses serait d’étendre le tout nouveau dispositif - Visa pour le logement et
l'emploi - aux jeunes chômeurs de moins de 30 ans.
Pour l’instant, cette super assurance, financée par Action Logement (l’ex 1% Logement), est réservée
aux personnes qui sont à la recherche d’un logement et viennent de décrocher un emploi précaire
dans le secteur privé (CDD, intérimaires, apprentis, contrats aidés). Le dispositif concerne aussi les
CDI hors période d’essais dès lors qu’ils ont moins de 30 ans
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Pour être éligibles au dispositif, les locataires doivent, en outre, s’acquitter de loyers ne dépassant
50% de leurs revenus, loyers plafonnés à 1.500 euros par mois (charges comprises) à Paris intra-
muros et à 1.300 euros sur le reste du territoire. Une fois mise en place, la garantie prend en charge
les impayés de loyers pendant les trois premières années du bail.
Si ce dispositif était étendu aux jeunes de moins de 30 ans sans emploi, il ne devrait toutefois pas
concerner le public étudiant qui dispose déjà d’une garantie prenant en charge les impayés de loyers.
Depuis fin 2014, les étudiants âgés de moins de 28 ans - boursiers ou non – qui envisagent de louer
un logement dans le parc privé peuvent prétendre à une garantie de l’Etat – baptisée CLé (caution
locative étudiante) couvrant les défauts de paiement à hauteur de 10 mois de loyers (soit une année
universitaire).
En attendant donc d’en savoir davantage sur les arbitrages de l’exécutif, les jeunes éligibles à l’un ou
l’autre de ces dispositifs peuvent donc y souscrire dès aujourd’hui.
Source. Capital.fr
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Immobilier : comment financer la
construction ?
Le 12/04/2016
Tenir le cap de 7.500 constructions de logements par an, c'est l'ambition de la nouvelle patronne de
Bordeaux Euratlantique, Virginie Calmels (Crédits : Agence Appa)
Invité à Bordeaux par les promoteurs immobiliers, l’économiste Philippe Dessertine a conseillé aux
politiques de ne manipuler les dispositifs de défiscalisation qu’avec prudence et proposé de s’appuyer
sur la création monétaire par la Banque centrale européenne (BCE) pour financer la construction.
La conférence-débat organisée le 7 avril par la Fédération des promoteurs immobiliers Aquitaine
Poitou-Charentes (FIAPC), au Palais de la Bourse, à Bordeaux, était intitulée "Le logement neuf sous
l'angle économique" et rassemblait Virginie Calmels, adjointe au maire de Bordeaux en charge de
l'Economie, de l'Emploi et de la Croissance durable, vice-présidente de Bordeaux Métropole, et
l'économiste Philippe Dessertine, professeur à l'Institut d'administration des entreprises (IAE) de
l'université Paris I Panthéon Sorbonne, directeur de l'Institut de haute finance. Une rencontre qui a
d'abord été l'occasion pour Alain Ferrasse, président de la FPIAPC, de faire l'éloge de Virginie
Calmels, grâce à laquelle les promoteurs ont selon lui "enfin le sentiment d'être écoutés".
La jeunesse qui triomphe
Philippe Dessertine a précisé d'entrée que, en tant que membre du Haut conseil des finances
publiques, la situation de la construction provoque de l'inquiétude et qu'il était nécessaire d'agir.
Ceci avant de dérouler une analyse macroéconomique express, aux accents parfois prophétiques. S'il
faut agir, c'est dans un contexte économique paradoxal brouillé par des signaux négatifs et positifs, a
La revue de Presse KYLIA
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prévenu l'économiste. Côté négatif, il a souligné que "la croissance actuelle est artificielle"car
dopée par la chute du pétrole. Son optimisme se nourrit de la certitude que nous assistons à "la fin
d'un vieux monde" et au triomphe de la jeunesse, portée par l'irrésistible vague du numérique : "Les
gamins adorent travailler chez Google" a-t-il notamment illustré, avant de préciser que devenir
propriétaire ne fait pas partie de leurs préoccupations.
Construire, c'est stratégique
Dans la course aux nouvelles technologies, "la France est en retard" a poursuivi le conférencier, pour
mieux réintroduire le secteur de la construction dans le débat. Un domaine stratégique qui supporte
mal les violents changements de cap politiques.
"A cause de la chute de la construction nous avons perdu entre 0,7 et 0,8 % de croissance !" a
relevé Philippe Dessertine.
Hyper sensible à l'excès de dette de l'Etat, l'économiste a tenu a souligner qu'il ne fallait pas "bouger
sur la fiscalité de la construction" car ce secteur subit déjà un choc majeur, "celui de la baisse de la
dépense publique".
Rappelons que la réduction en 2012 du périmètre d'action du prêt à taux zéro renforcé (PTZ +) par le
gouvernement (LR) Fillon, avec sa mise sous condition de ressources et sa limitation au logement
neuf, à l'exclusion de l'ancien, a permis au gouvernement de réduire l'engagement financier de l'Etat
dans ce dispositif de 2,4 Md€ à 800 M€ par an. Une mesure d'économie qui a provoqué un violent
choc en retour, un véritable tsunami sur le marché immobilier. Entre 2011 et 2012 le nombre de
bénéficiaires du PTZ + au plan national est passé de 353.309 ménages à 79.421, tandis que le
montant des fonds levés grâce à cette aide de l'Etat a chuté de 8,1 Md€ à 2,5 Md€, soit un manque à
gagner de 5,6 Md€ pour les artisans et PME du Bâtiment chargés des travaux de rénovation !
Canaliser les excédents dans la construction
Jugeant les aides financières accordées au secteur de la construction comme une injection massive
de drogue, la ministre écologiste Cécile Duflot, sous le gouvernement (PS) Ayrault, a refusé par la
suite de relancer le PTZ +, bien décidée à purger le marché de son addiction aux fonds publics...
Philippe Dessertine n'est pas revenu sur ces éléments clés qui ont lourdement pesé dans
l'effondrement du marché immobilier, comme l'avait pronostiqué en novembre 2011 René
Pallincourt, président de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), quand il avait averti François
Fillon qu'avec sa réforme du PTZ + le gouvernement risquait de "bloquer les transactions dans
l'ancien, qui représentent plus de la moitié du marché".
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Concernant la politique financière accommodante de la BCE, dont l'objectif est de faire circuler
davantage d'argent en gonflant le volume de la masse monétaire, avec le rachat de dettes
souveraines, Philippe Dessertine a observé que ces liquidités ont du mal à se répandre dans la
sphère économique. Avant d'indiquer que la construction de logements pourrait être un bon moyen
de canaliser cet argent dans l'économie réelle. Ceci à condition de passer par les marchés
financiers et non pas par les banques, entravées par de fortes contraintes réglementaires et
dissuadées de trop en faire dans l'immobilier à cause de l'extrême faiblesse des taux, qui ne leur
permet plus "de gagner leur vie".
Développer l'offre locative
L'orateur est enfin revenu au niveau de l'offre et de la demande avec un sujet qui hante depuis des
années le marché immobilier à Bordeaux et ailleurs : la construction "de logements plus grands"
pour répondre "aux besoins des familles". Un thème plus complexe qu'il n'y paraît que Virginie
Calmels, élue le 25 mars dernier à la tête de l'établissement public d'aménagement Bordeaux
Euratlantique, en remplacement d'Alain Juppé, a abordé avec prudence.
"Il faut voir si l'on a vraiment besoin de ces grands logements", a-t-elle relevée, faisant sans
doute écho à la tendance du marché pointée à Bordeaux Métropole en 2015 par l'Observatoire de
l'immobilier du Sud-Ouest (Oiso).
"Ce n'est pas encore alarmant mais nous devons avoir l'œil sur les 4 et 5 pièces : on en vend
beaucoup moins que ce que l'on produit. Les T4 et T5 ont pesé 9 % des ventes à Bordeaux
Métropole en 2015, alors qu'ils représentaient 18 % de l'offre !" avait ainsi souligné le président de
l'Oiso, Laurent Mathiolon, lors de la présentation des chiffres en mars dernier.
Dans son intervention lors de la conférence-débat, Virginie Calmels a insisté sur la nécessité de
construire 7.500 logements par an sur le territoire de Bordeaux Métropole. "La dynamique ne
doit pas fléchir" a-t-elle averti, en plaidant pour "une intensification de l'offre locative. Le soutien à
l'accession à la propriété est-ce une bonne idée ? Le nouveau modèle de logement repose d'abord
sur la location" a-t-elle jugé. La nouvelle patronne d'Euratlantique s'est dit fière de "voir des grues
partout à Bordeaux", signe que la ville va bien.
Source : La Tribune.fr
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Île-de-France : l'immobilier de bureaux est-il en
crise ?
Le 12/04/2016
Le marché de l'immobilier de bureaux en Île-de-France peut-il s'écrouler ?
(Crédits : Décideurs en région)
En 2015, le marché de l'immobilier tertiaire en Île-de-France reste en situation de surproduction. Rien
d'inquiétant cependant, si l'on en croit la fédération des promoteurs immobiliers...
Paradoxalement en Île-de-France, le marché de l'immobilier tertiaire neuf se porte moins bien que
celui du résidentiel, dont les mises en chantier sont en hausse de près de 20 % sur les douze derniers
mois. L'immobilier de bureau francilien se trouve, il faut dire, dans une situation compliquée. Par le
passé, les acteurs de ce marché ont en effet trop produit, faisant par ailleurs de l'Île-de-France le
premier parc de bureaux en Europe -environ 53 millions de m². Grâce notamment au soutien financier
des investisseurs institutionnels, près de 10 millions de m² de bureaux supplémentaires ont été
construits en Île-de-France sur la décennie 2003-2013.
Déséquilibre du marché
Il a découlé de cette période un « déséquilibre du marché des bureaux, conséquence d'une
production de bureaux trop largement fondée sur le développement de sites tertiaires nouveaux et pas
La revue de Presse KYLIA
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assez sur le renouvellement de l'existant », indiquait en 2014 une étude de l'institut d'aménagement et
d'urbanisme de la région Île-de-France. Désormais, environ 4,4 millions de m² de bureaux sont vides
en Île-de-France. Et la situation ne devrait pas s'améliorer : autour la plupart des 72 gares du Grand
Paris, plusieurs millions de mètres carrés de constructions de bureaux sont prévus. Et il y a fort à
parier qu'ils ne trouveront pas tous preneurs.
Des chiffres préoccupants
Par ailleurs, concernant la situation actuelle, les chiffres publiés ce lundi par la fédération des
promoteurs immobiliers (FPI) sur les constructions de bureaux neufs interrogent. A fin 2015, les
promoteurs proposaient encore à la vente 452.000 m² en cours de construction, 600.000 m² de
bureaux déjà achevés et 1,1 million de m² en projets ! un niveau d'invendus préoccupant.
De fait, les promoteurs sont donc contraints de moins construire qu'auparavant : 450.000 m² de
bureaux ont été mis en chantier en Île-de-France en 2015, un niveau de 42 % inférieur à la moyenne
des dix dernières années. Preuve que le marché se purge en partie.
Risque d'écroulement ?
Mais y a-t-il un risque d'écroulement ? Il n'y en tout cas pas d'inquiétude du côté des promoteurs
immobiliers. « Malgré le niveau relativement faible des mises en construction, ces chiffres traduisent
un secteur relativement sain et reflètent un comportement prudentiel par rapport à l'activité
économique globale », tempère Christian Terrassoux, le président de la FPI Île-de-France. Il préfère
pointer la nécessite de « répondre aux besoins de surfaces neuves des entreprises sans augmenter la
vacance de bureaux », ce qui « implique de relier plus directement le marché des bureaux neufs à
celui du renouvellement ».
Les investisseurs prennent le risque
Cette posture plutôt offensive des promoteurs tient aussi au fait qu'ils ne portent plus autant les
risques des opérations qu'auparavant. Marqués profondément par l'écroulement du marché immobilier
au début des années 1990, les promoteurs franciliens minimisent désormais leurs prises de risque.
Les pertes potentielles reposeraient en fait davantage sur les investisseurs institutionnels qui
financent les programmes, eux qui ont déserté le secteur de l'immobilier résidentiel au début des
années 2000 pour se tourner vers l'immobilier de bureaux.
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Un problème de riche ?
Or, que de grands investisseurs institutionnels subissent des pertes sur certaines opérations
confinerait aux « problèmes de riches », estime Christian Terrassoux. Avec un patrimoine diversifié
sur des marchés internationaux, les grands investisseurs institutionnels dilueraient en effet leurs
pertes dans un océan de gains réalisés par ailleurs. Pas d'inquiétude donc...
Pourtant, une question se pose : pourquoi ces investisseurs institutionnels s'obstinent-ils à refuser
d'investir dans le logement en France, malgré des avantages fiscaux accordés dans le logement
intermédiaire, et alors même qu'ils continuent à investir, parfois à perte et certainement avec un grand
risque, dans les bureaux ? Pour y répondre, Christian Terrassoux avance la faible « confiance » des
ces investisseurs dans l'immobilier résidentiel, qui aurait été durement altérée par la loi Alur de
l'ancienne ministre du Logement Cécile Duflot. Cette loi déséquilibrerait les rapports entre locataires
et propriétaires, au détriment des derniers. Peut-être. Mais dans un environnement de taux au plus
bas et face à un marché de bureaux en forte surcapacité, cet argument semble financièrement assez
discutable.
Source : La Tribune.fr
La revue de Presse KYLIA
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Votre ville respecte-t-elle les quotas de
logements sociaux ?
Le 13/04/2016
1.115 communes ne respectent pas leurs obligations en matière de logements sociaux. (Ministère
Logement)
Le ministère du Logement propose un moteur de recherche dédié accessible à tous.1.115
communes ne respectent pas leurs obligations en matière de logements sociaux.
Y a-t-il assez de logements sociaux dans votre commune ? Si la réponse vous intéresse, direction. Le
ministère du Logement et de l’Habitat durable vient de mettre en ligne ce module pour les habitants
soient informés du respect ou non de leur commune de leurs obligations en matière de HLM, dans le
cadre de la loi SRU (Solidarité et Renouvellement Urbains) du 13 décembre 2000, renforcées par la
loi du 18 janvier 2013 "relative à la mobilisation du foncier public en faveur du logement et au
renforcement des obligations de production de logement social", dite loi Duflot I.
Pour rappel, d’ici 2025, les communes situées dans les principales agglomérations doivent se doter
de 20 % à 25 % de logements sociaux. Aujourd’hui, 1.115 communes n’ont pas encore atteint cet
objectif, elles ont pour la plupart engagé des programmes pour rattraper leur déficit. Pour chacune
d'elles, le ministère rend publics le taux de logements sociaux à atteindre en 2025 par la commune,
via un rattrapage progressif fixé par période triennale (20 % ou 25 %) ; le taux de logements sociaux
sur la commune (chiffres au 1
er
janvier 2014, mais aussi leur évolution depuis 2002) ; l’état de carence
La revue de Presse KYLIA
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éventuel de la commune (si non atteinte des objectifs de rattrapage triennaux) et le montant des
pénalités payées par la commune en 2015.
Selon le bilan 2015 de la loi SRU, 31 communes ont un taux de logements sociaux inférieur à 1 %.
Pire : 5 communes (Ensuès-la-Redonne dans les Bouches-du-Rhône, Annet-sur-Marne et Villevaudé
en Seine-et-Marne, Villejust en Essonne et Mamoudzou à Mayotte), ne disposaient, au 1
er
janvier
2014, d’aucun HLM sur leur territoire. Elles ont donc du s’acquitter de pénalités (qui devraient être
renforcées dans le cadre de la loi Egalité et citoyenneté, dont le projet a été présenté ce matin en
Conseil des ministres) s’élevant respectivement à 128.364 euros, 39.546 euros, 31.171 euros, 90.906
euros, sachant que la commune de Mamoudzou n’a pas été pénalisée.
Source : L’Obs.com
La revue de Presse KYLIA
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Paris-province : le grand écart des prix
Le 14/04/2016
Selon une étude de l'Insee, publiée ce jeudi 14 avril, les prix pratiqués en région parisienne sont
supérieurs de près de 9% à ceux affichés en province. Les causes principales : le logement, certes,
mais aussi les dépenses de santé et de loisirs.
Si la France affiche des prix à la consommation plus élevés qu'en moyenne en Europe (+7,3%), elle
se distingue également par l'hétérogénéité des prix sur son propre territoire. Dans une étude publiée
ce jeudi 14 avril, l'Insee lève le voile sur ces écarts étonnants en s'attardant dans un premier temps
sur les différences de prix observables entre l'agglomération parisienne et la province (hors Corse). Et
pour cause, la capitale pratique des prix à la consommation en moyenne 8,8% supérieurs à ceux du
reste du territoire sur la base d'un panier moyen établi par l'Insee.
Sans surprise, les dépenses globales relatives au logement (loyer, ordures ménagères, entretien, etc.)
demeurent le poste de dépenses qui affiche l'écart de prix le plus important entre Paris et le reste de
la France métropolitaine (+24,7%). Une différence essentiellement dûe au prix des loyers qui est en
moyenne supérieur de 48,9% à Paris. Si l'on retire les loyers proprement dit, l'écart des prix liés au
logement s'établit à 6,1%. Ce ne sont en revanche ni les les tarifs d'électricité et ni ceux du gaz qui
contribuent à cet écart restant, puisqu'ils sont uniformes sur la métropole, mais plutôt les services liés
La revue de Presse KYLIA
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au logement «qu'il s'agisse de la gestion des ordures ménagères, des services d'assainissement, du
petit entretien ou de la réparation du logement», note l'Insee.
Des prix plus élevés à Paris qu'en province, dans tous les secteurs
D'autres écarts de prix, certes moins considérables mais tout aussi parlants, sont mis en avant dans
l'étude. Sur le plan de la santé notamment, les Parisiens font face à des prix 6,5% supérieurs à ceux
pratiqués en province, essentiellement en raison de dépassements d'honoraires plus fréquents.
Les tarifs liés aux loisirs et à la culture en agglomération parisienne sont également plus élevés de
6,6%. Enfin, première destination touristique mondiale oblige, la région parisienne affiche des prix
18% supérieurs à la province pour ce qui concerne les hôtels et autres hébergements.
S'agissant de l'alimentation, de la restauration, des transports, des meubles ou des vêtements, les
écarts de prix entre la région parisienne et la province subsistent, même s'ils restent moins importants.
A titre d'exemple, les cafés et restaurants de la capitale sont en moyenne plus chers de 5,4% - avec
certes de fortes variations suivant les quartiers - tandis que les prix des boissons alcoolisées et du
tabac, fixés uniformément sur le territoire, sont sensiblement les mêmes (+0,5%). A noter que le prix
des transports en commun est également plus élevé de 6,9% à Paris: «le métro parisien offre, par
exemple, une densité du maillage et une fréquence du service supérieures à ce que l'on trouve dans
les grandes villes de provinces, ce qui pourrait justifier son prix» suppose l'étude.
De manière générale, de tels écarts de prix peuvent s'expliquer par des modes de vie et des
habitudes de consommation qui diffèrent en fonction de l'environnement de l'individu (urbanisation,
accès aux transports…). De fait, le budget de consommation d'un ménage provincial tout juste arrivé à
Paris augmenterait de 9,2% tout en gardant le même mode de vie tandis qu'à l'inverse, celui d'un
ménage parisien installé en province diminuerait de 7,8% sans changer ses habitudes pour autant.
L'alimentaire beaucoup plus cher dans les DOM
Les écarts de prix entre la métropole et les départements d'outre-mer (DOM) sont également élevés.
Mais cette fois, ce sont les DOM qui pratiquent des prix supérieurs. De 12,5 % de plus en
Guadeloupe, 12,3 % en Martinique, 11,6 % en Guyane, et 7,1 % à La Réunion, indique la note. C'est
l'alimentation qui concentre le plus fort contraste de prix entre la métropole et les DOM. En Martinique,
on paye 38% de plus qu'en métropole, en Guyane 34%, en Guadeloupe 33% et à La Réunion 28%.
Dans les DOM, se soigner coûte également beaucoup plus cher qu'en métropole: médecin,
médicaments, matériel technique. «On parle ici de prix bruts avant remboursement par la sécurité
sociale et les complémentaires santé», précise l'Insee. Les communications (téléphonie, Internet,
La revue de Presse KYLIA
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envois postaux) pâtissent aussi des écarts de prix. Les habitants d'outre-mer n'ont pas bénéficié
comme en métropole des offres de forfait «low cost» et de la baisse généralisée des forfaits qui a
suivi. En ce qui concerne le prix des loyers et les services liés (électricité, gaz, eau), les prix sont très
disparates dans les différents DOM. On ne peut donc pas faire de généralités.
Source : Le Figaro.fr
La revue de Presse KYLIA
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Des prix immobiliers stabilisés
Le 14/04/2016
Pour acheter un appartement ancien, il faut débourser plus de 3 fois plus à Paris que dans le Val
d'Oise ou la Seine-et-Marne. (FRANCOLON XAVIER SIPA)
Le dernier trimestre 2015 aura également été marqué par une augmentation des ventes de 16
%, avec 809.000 transactions enregistrées.
Selon les derniers chiffres publiés par les Notaires de France, les prix des logements anciens ont
légèrement augmenté au 4
ème
trimestre 2015, pour le deuxième trimestre consécutif : + 0,4 % par
rapport au 3
ème
trimestre 2015 (en données provisoires corrigées des variations saisonnières), après +
0,2 % le trimestre précédent. Après un léger recul au premier semestre, les prix se sont donc
stabilisés sur un an (-0,2 %).
Pour la première fois depuis début 2012, les prix des maisons ont progressé de 0,4 % au 4
ème
trimestre sur un an, tandis qu’ils ont baissé de 1 % pour les appartements", précisent les
Notaires.
Le dernier trimestre 2015 aura également été marqué par une augmentation des ventes de 16 %,
avec 809.000 transactions enregistrées. Seuls les départements de l’Indre, de la Lozère, de la Haute-
Corse et du Cantal enregistrent une baisse des volumes de vente comprise entre 2 et 5 %, tandis que
le Morbihan, le Pas-de-Calais ou encore la Charente-Maritime ont constaté des hausse des ventes
allant jusqu’à 25 %.
La revue de Presse KYLIA
22
La projection de l’indice des prix sur l’ensemble du territoire à partir des avant-contrats indique une
baisse des prix des appartements et une légère hausse en maisons (+1,3 %) sur un an. En province,
l’indicateur avancé des appartements anciens est en légère diminution sur un an (- 0,2 %), tandis que
celui des maisons progresse de 1 % sur un an. En Ile-de-France, ces indicateurs montrent que la
stabilité des prix observée en 2015 pour les appartements anciens devrait perdurer début 2016 et
laissent présager une légère hausse du prix des maisons anciennes.
Source : L’Obs.com
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Les prix en Ile-de-France plus élevés que dans
les autres régions, d'après l'Insee
Le 14/04/16
Les prix en région parisienne sont en moyenne 9% plus élevés qu'en province, principalement à
cause du coût des loyers, supérieurs de près de 50% à Paris, d'après une étude de l'Insee publiée
jeudi.
L'étude réalisée par l'Insee révèle les écarts de prix des biens et services entre la province et la région
parisienne sur le mois de mars 2015.
Ainsi, si un ménage provincial s'établissait à Paris en conservant son niveau de vie, son budget à la
consommation augmenterait de 9,2%. Le niveau général des prix à la consommation est 8,8% plus
élevés en région parisienne que dans les autres régions, hors Corse.
A l'inverse, un ménage parisien déménageant en province diminuerait naturellement son budget
consommation de 7,8%. Dans les faits, les ménages "adaptent leur consommation en fonction de
l'offre et des prix disponibles", note l'étude.
Les dépenses relatives au logement, représentant 14% du budget des ménages métropolitains en
France, marquent les écarts les plus élevés. A Paris, les loyers sont supérieurs de 48,9% à ceux de la
province et les dépenses relatives au logement (eau, entretien, gaz, électricité) de 6,2%.
L'écart entre les prix sur le territoire métropolitain est également marqué par les services de santé, de
loisirs et d'hébergement, à nouveau plus chers dans l'agglomération parisienne.
Avant remboursement, le surcoût lié aux dépenses de santé est ainsi plus élevé de 6,2% à Paris. De
même, les tarifs de loisirs et de culture sont, de manière générale, 6,2% plus élevés pour les
Parisiens.
Le décalage persiste concernant l'alimentation, la restauration, les transports, les meubles et
vêtements mais est moins important. Ainsi, les prix des cafés et restaurants dépassent de 5,4% ceux
de la province et les vêtements et meubles sont 2,9% plus élevés à Paris.
Le coût des transports pour les usagers de l'agglomération parisienne est 5,4% plus important.
La revue de Presse KYLIA
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Selon l'Insee, l'ensemble de ces différences est "à mettre en regard des différences de rémunération
entre régions": le salaire horaire net moyen d'un ouvrier est 8 à 10% plus élevé en Ile-de-France.
L'institut de statistique relève également que les prix en Corse sont, en moyenne et hors loyers, 4%
supérieurs à ceux de la province.
Enfin, en 2014, l'Insee note que les prix des biens et services dépassaient en France de 7,3% ceux de
l'Union européenne et de 5,5% ceux de la zone euro.
Source : Capital.fr
La revue de Presse KYLIA
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LES ARTICLES DE LA SEMAINE - COMMERCE
Quel est l'impact des couleurs sur l'état d'esprit des clients ?
Le 12/04/2016
Tork s'est appuyé sur la mesure des ondes cérébrales et du rythme cardiaque pour analyser la
réaction de la clientèle en fonction des couleurs.
Les couleurs d'un environnement ont un impact important sur l'humeur et le comportement humain.
Les couleurs d'un environnement ont un impact important sur l'humeur et le comportement humain. Le
groupe SCA et sa marque internationale de produits d'hygiène pour les professionnels Tork ont
cherché à démontrer que les couleurs jouent un rôle essentiel dans l'expérience des clients et
permettent de créer une véritable ambiance dans un restaurant. Pour cela, le groupe s'est appuyé sur
la mesure des ondes cérébrales et du rythme cardiaque afin d'analyser les réactions des clients. Les
résultats révèlent des schémas précis et récurrents des humeurs et émotions que suscite chaque
couleur.
Pour comprendre comment les couleurs affectent l'expérience des clients dans un restaurant, Tork a
équipé 16 personnes de dispositifs analysant leurs ondes cérébrales et leur rythme cardiaque dans 8
environnements monochromes. Dans chacun de ces environnements, décors, murs, sols, meubles et
vaisselles étaient exactement du même pantone.
La revue de Presse KYLIA
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Des couleurs et des émotions : les résultats
L'analyse a fait ressortir des résultats visibles et répétés d'un individu à l'autre quant aux humeurs et
émotions suscitées par les couleurs. Ils révèlent que certaines couleurs sont plus adaptées à certains
types de repas et à certaines occasions. Par exemple, le rouge stimule des liens émotionnels forts et
la créativité tandis que le bleu favorise l'apaisement. Toutes les données de l'expérience ont été
décryptées afin de définir un profil pour chaque couleur. Le but est de nourrir la réflexion dans le
secteur de l'hôtellerie-restauration sur l'aménagement et le design des établissements.Les nuances
utilisées pour l'expérience proviennent de la nouvelle palette de couleurs de la gamme Table de Tork.
Vert méditatif
Les analyses cérébrales révèlent que le vert possède des propriétés revitalisantes, favorise la
relaxation et renforce le système immunitaire. Le rythme cardiaque des clients était légèrement plus
lent que pour les autres couleurs. Le vert est décrit comme idéal pour un déjeuner ou un café avec
ses proches.
Orange heureux
Moderne et sympathique, la couleur orange est généralement associée à des événements heureux,
entre amis ou en famille.Elle est cependant perçue comme modeste et peu romantique.
Noir sophistiqué
Synonyme de complexité, le noir est perçu comme luxueux, moderne et sophistiqué. Il est idéal pour
un rendez-vous galant raffiné ou des sorties nocturnes. Les résultats révèlent un taux d'excitation plus
élevé et une baisse de la concentration, ce qui rend cette couleur moins adaptée à un contexte
professionnel.
Bleu calme
Le bleu est décrit comme une couleur apaisante et accueillante. Les ondes relevées renvoient à des
états de relaxation intense, la présence de créativité et de liens émotionnels forts.Elle est idéale pour
un moment en famille,un petit-déjeuner ou un café. A contrario,elle n'est pas adaptée à un rendez-
vous d'affaires ou à un milieu luxueux.
Rouge romantique
Cette couleur sort du lot et suscite des émotions puissantes. Elle traduit des liens émotionnels forts et
un niveau de créativité élevé. Le rythme cardiaque relevé était plus élevé dans cet environnement.
Sans surprise, le rouge est la couleur de l'amour et des sorties nocturnes.
La revue de Presse KYLIA
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Blanc luxueux
Idéale pour les environnements professionnels, le blanc est une couleur neutre qui suscite peu
d'émotions. Comme une toile vierge sur laquelle les clients peuvent dépeindre leurs propres
expériences, le blanc génère l'attention et la concentration.
Marron traditionnel
Neutre, le marron est facile à associer à d'autres couleurs. Il est idéal pour des ambiances
traditionnelles et favorisera la relaxation sans éveiller les sens.
Jaune palpitant
Couleur amusante et stimulante, le jaune convient parfaitement à un petit-déjeuner ou à un moment
avec ses enfants. Les résultats du test montrent des niveaux plus élevés d'excitation et de créativité.
L'étude
Réalisée avec l'institut de recherche United Minds, l'étude a été menée en décembre 2015 à La
fabrique à couleurs de Stockholm. Choisis sur une base démographique représentative, les individus
ont tous été équipés d'un casque EEG MindWave Mobile ainsi que d'un bracelet avec capteur de
rythme cardiaque Mio Fuse. Les 16 clients étaient répartis dans 4 sessions distinctes, permettant ainsi
d'obtenir 128 points d'observation uniques. L'activité cérébrale et cardiaque a été mesurée pour
chaque participant et dans chaque univers. Les dispositifs ont permis d'analyser 5 ondes cérébrales
par seconde, soit 1500 ondes cérébrales par pièce et par individu. Les réactions des clients face aux
couleurs ont ensuite été collectées à l'aide d'un questionnaire. "En 1810, Goethe a développé la
première théorie des couleurs. Il ne s'agit pas de remettre en cause cette théorie, mais plutôt d'y
contribuer grâce à des informations supplémentaires sur les couleurs dans le domaine de la
restauration", explique Catherine d'Hubert, responsable Europe de l'assortiment Table Tork chez
SCA.
Source : lhotellerie-restauration.fr
La revue de Presse KYLIA
28
Paris Ile de France : mois de mars décevant
pour les professionnels du tourisme
Le 13/04/2016
© Christian Milet
Seul le département des Yvelines a vu une progression de son activité en mars 2016, par rapport à
mars 2015.
Mois de mars décevant, titre le baromètre mensuel publié par Région Paris. « Malgré le week-end de
Pâques, l'activité à Paris Ile-de-France, ne parvient pas à retrouver son dynamisme habituel. Les
attentats de Bruxelles ont, selon 56% des professionnels, une fois de plus ébranlé une activité
fortement fragilisée par les événements survenus à Paris en novembre 2015. Si le repli de
fréquentation, par rapport à 2015, est généralisé à l'ensemble des départements, à l'exception des
Yvelines, il est particulièrement marqué à Paris et en Seine-Saint-Denis. »
Tendances générales pour les hôtels et hôtels/restaurants
43% des hôteliers qualifient de moyenne leur activité du mois de mars, 40% de bonne et 17% de
mauvaise. La clientèle française est en baisse par rapport à mars 2015. En revanche, elle est en
hausse par rapport au mois de février dernier. Mêmes constats pour la clientèle internationale. L'état
des réservations pour le mois d'avril 2016 est qualifié de moyen par 43%, de bon, voire très bon, pour
38% et de mauvais, voire très mauvais, par 19%.
La revue de Presse KYLIA
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Concernant l'hôtellerie parisienne
Dans les hôtels 3 à 5 étoiles, 47% des professionnels considèrent que leur activité du mois de mars a
été bonne et dans les hôtels économiques 53% la jugent moyenne. 59% des hôteliers estiment que
leur activité est en baisse par rapport à 2015. A l'instar des autres départements et hébergeurs, les
clientèles françaises et étrangères sont en hausse par rapport au mois de février dernier. Principales
nationalités citées : Britanniques, Américains et Allemands. L'état des réservations est qualifié de
moyen par 41%, de bon, voire très bon, par 36% et de mauvais, voire très mauvais, par 23%
Pour les hébergeurs dans leur ensemble*, dans les autres départements
En Seine-et-Marne : 50% des professionnels qualifient de bonne l'activité du mois mars. 40%
constatent une baisse d'activité par rapport à 2015. Principales nationalités citées : britanniques,
allemands et belges. L'état des réservations est qualifié de bon voire très bon par 48, de moyen par
35% et de mauvais voire très mauvais par 17%
Dans les Yvelines : 44% des professionnels qualifient de moyenne l'activité du mois de mars. 42%
constatent une hausse d'activité par rapport à 2015. Clientèles étrangères citées : allemands,
britanniques et espagnols. L'état des réservations est qualifié de bon, voire très bon, par 54%, de
moyen par 42% et de mauvais par 4%.
Dans l'Essonne : 50% des professionnels du tourisme interrogés qualifient de moyenne leur activité
du mois de mars. 52% constatent une activité en baisse par rapport à 2015. Principales nationalités
citées : Britanniques, Belges et Chinois. L'état des réservations est qualifié de moyen par 57% des
professionnels interrogés de bon par 30% et de mauvais voire très mauvais par 13%.
Dans les Hauts de Seine : 45% des professionnels qualifient leur activité du mois de mars de bonne et
45% de moyenne. 50% constatent une baisse d'activité par rapport à 2015. Principales nationalités
citées : Britanniques, Allemands et Chinois. L'état des réservations est qualifié de moyen par 63%, de
bon, voire très bon, par 30% et de mauvais par 7%.
En Seine Saint-Denis : 63% des professionnels du tourisme qualifient leur activité du mois de mars
de moyenne. 62% constatent une baisse d'activité par rapport à 2015. Principales nationalités citées :
Allemands, Britanniques et Belges. L'état des réservations est qualifié de moyen par 53%, de bon par
29% et de mauvais, voire très mauvais, par 18%.
Dans le Val-De-Marne : 47% des professionnels qualifient leur activité du mois de mars a été
moyenne. 50% des professionnels constatent une baisse d'activité par rapport à 2015. Principales
La revue de Presse KYLIA
30
nationalités citées : Chinois, Britanniques et Espagnols. L'état des réservations est qualifié de moyen
par 46%, de bon par 32% et de mauvais voire très mauvais par 22%.
Dans le Val d'Oise : 50% des professionnels interrogés qualifient leur activité du mois de mars de
moyenne. 50% constatent une baisse d'activité par rapport à 2015. Principales nationalités citées :
Britanniques, Allemands et Chinois. L'état des réservations est qualifié de bon, voire très bon, par
50% des professionnels, de moyen par 40% et de mauvais par 10%.
*hôteliers, propriétaires ou gérants de résidences de tourisme, de gîtes, de chambres d'hôtes et de
camping en saison
Source : lhotellerie-restauration.fr
La revue de Presse KYLIA
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Les vins du Chili à l'ordre du jour
Le 13/04/2016
Voici la réponse à quelques questions essentielles sur les vins chiliens pour ne pas être pris au
dépourvu face à ses clients.
Vignoble chilien © Thinkstock
Cette année, le vin officiel du Tour de France 2016 n'est pas français mais... chilien. Voici la réponse à
quelques questions essentielles sur les vins chiliens pour ne pas être pris au dépourvu face à ses
clients.
Le Chili s'étire sur plus de 4 000 km du nord au sud sur la côte occidentale de l'Amérique du Sud.
Cela se traduit par des zones climatiques très différentes. La viticulture est présente dans le pays
depuis plus de cinq siècles et le premier vin chilien aurait été élaboré en 1551
Quelle est l'importance du vignoble chilien ?
Avec une production de l'ordre de 7 millions d'hectolitres, le vignoble chilien figure parmi les 10
principaux vignobles mondiaux (9e).
Quels ont les principaux cépages ?
Le Chili présente la particularité de ne pas avoir subi le phylloxéra : les vins sont donc issus
essentiellement de vignes franches de pied.
La revue de Presse KYLIA
32
• Cépages blancs : sauvignon, muscat d'Alexandrie, chardonnay, sémillon …
• Cépages rouges : cabernet sauvignon, merlot, carmenère, carignan, cinsault, malbec, pinot noir,
tintoreras, pais (cépage local)…
Actuellement, le pays met en valeur et obtient d'excellents résultats avec un cépage bordelais qui a
pratiquement disparu des bords de la Gironde : le carmenère.
Existe-t-il de grands vins au Chili ?
Incontestablement ! Quelques exemples :
- Almaviva : un grand vin rouge franco-chilien ;
- Seña lancé en 1997 ;
- Clos Apalta : vin, haut de gamme élaboré par Casa Lapostole (Grand Marnier) ;
- Don Melchior : qui porte le nom du fondateur de Concha y Toro en 1883.
Liste non limitative.
Sur quels plats peut-on les servir ?
Souvent le cépage prend le pas sur l'origine. Ainsi l'on proposera :
- chardonnay, sauvignon, riesling, chenin sur les poissons, les coquillages et les fruits de mer ;
- cabernet sauvignon, merlot, carmenère, pais, sur les viandes rouges ;
- pais, merlot, chardonnay sur les viandes blanches et les volailles ;
- cabernet sauvignon, carmenère, syrah, sangiovese. sur le gibier et les plats en sauce
- un des nombreux vins élaborés à partir de cépage muscat avec les desserts.
Source : lhotellerie-restauration.fr
La revue de Presse KYLIA
33
Fonds de commerce : un restaurant
traditionnel se vend environ 70 % du chiffre
d'affaires HT
Le 14/04/2016
© Source : Bodacc-Altarès
Montant du fonds de commerce exprimé en % du CA HT du vendeur.
D'après le 6e baromètre du Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales (Bodacc), qui
analyse les chiffres des annonces qui y ont été publiées en 2015, le prix des fonds exprimé en
pourcentage du chiffre d'affaires (CA) hors taxes du vendeur, se situent en moyenne à moins de 60 %
du CA dans la restauration rapide et à plus de 70 % dans la restauration traditionnelle. Cette moyenne
atteint presque 80 % pour les hôtels, et monte à 90 % pour les débits de boissons. "Le prix des fonds
de commerce est bien entendu tiré par le chiffre d'affaires développé par le vendeur", rappelle le
document.
Source : lhotellerie-restauration.fr
La revue de Presse KYLIA
34
Management : comment le coaching peut
redynamiser une équipe
Le 15/04/2016
Paris (75) Lorsqu'un coach aide des salariés à chasser le stress, en finir avec une suractivité
inefficace ou gérer un conflit, l'établissement concerné ne peut que mieux se porter. Rencontre avec
Sophie Audubert-Todorovic, à la tête de Restarto, société de conseil en management.
© DR
'Chaque client est acteur du coaching', explique Sophie Audubert-Todorovic, créatrice de Restarto,
société de conseil en management.
D'emblée, Sophie-Audubert-Todorovic prévient : "Le coaching n'est pas de la formation". La
créatrice de Restarto, société de conseil en management, fait la nuance entre guider et former. "Le
coaching, c'est aider un client à trouver ses propres solutions pour mieux se les approprier."
Autrement dit, le coach accompagne l'entreprise "en attente de changement", mais ne se substitue
pas à elle. "Une des conditions de la réussite d'un coaching, c'est que les personnes coachées soient
impliquées, motivées. Chaque client est acteur du coaching : on part de son vécu, passé et présent."
"Aider à mieux travailler ensemble"
Diplômée de l'École hôtelière de Lausanne, un master 2 en management des ressources humaines et
un diplôme de coach certifié en poche, Sophie-Audubert-Todorovic connaît le secteur de l'hôtellerie-
La revue de Presse KYLIA
35
restauration par coeur : elle totalise une dizaine d'années de management hôtelier pour Concorde
Hotels et Sofitel. Elle sait repérer les situations qui nécessitent l'intervention d'un coach au sein d'une
équipe : "la gestion de conflits, du temps ou du stress, la suractivité inefficace, la conciliation entre vie
professionnelle et vie privée, un changement en interne… Le coach accompagne un processus
d'équipe pour aider à mieux travailler ensemble", poursuit-elle. Une façon d'inciter les salariés à
travailler de concert sur ce qui peut être mis en oeuvre pour améliorer conditions de travail, l'efficacité,
le dialogue. "Il suffit parfois que des salariés s'interrogent sur ce qu'est, par exemple, une véritable
urgence, pour qu'il y ait une prise de conscience et de recul sur ce qui ne fonctionne pas", explique
Sophie-Audubert-Todorovic. L'occasion pour les membres d'une équipe de se rapprocher, de fédérer
leurs compétences, d'échanger, pour davantage de pertinence dans les orientations à prendre et les
actions à mener.
Contrat d'objectif et bilan à mi-parcours
Enfin, un coaching réussi dépend du choix… du coach. "Celui-ci doit avoir suivi une formation
reconnue et faire signer un contrat d'objectif à chacun de ses clients", souligne la fondatrice de
Restarto. Contrat qui peut être affiné au fil des séances de coaching, car la problématique ciblée peut
évoluer. En outre, ce contrat engage à un bilan à mi-parcours et, surtout, une mesure des objectifs
atteints à l'issue du coaching.
Source : lhotellerie-restauration.fr
La revue de Presse KYLIA
36
A propos de Kylia
KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières Nouvelle
Génération : Le 1
er
réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents.
Kylia développe un modèle économique orienté « Agent » : Une entreprise construite par et pour ses
agents immobiliers.
Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com
Contact Presse : KYLIA Immobilier
Marie LAURENT Caroline PILATO / rp@kylia-immo.com / 01 47 70 24 18

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La revue de presse de la semaine du 11 au 17 avril 2016

  • 1. La revue de Presse KYLIA 1 LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du 11 au 17 avril 2016 LES ARTICLES DE LA SEMAINE - RESIDENTIEL Immobilier ancien : fin de la baisse des prix en 2016 ? Le 11/04/2016 Le nombre de transactions progresse : + 9% de croissance enregistrée entre le 4ème trimestre 2015 et le 1er trimestre 2016 dans les agences du réseau Laforêt. REUTERS/Charles Platiau La reprise amorcée en 2015 sur le marché de l'immobilier ancien s'est confirmée au premier trimestre 2016. L'année devrait être marquée par la fin de la baisse des prix, voire une légère hausse dans certaines zones, selon les réseaux Century 21, Guy Hoquet et Laforêt. MeilleursAgents.com demeure plus mesuré et considère que le terme de "reprise" est trompeur. Bilan du 1er trimestre 2016 et perspectives d'ici la fin de l'année.
  • 2. La revue de Presse KYLIA 2 L'année 2016 démarre sur les chapeaux de roues ! Le nombre de transactions progresse : + 9% de croissance enregistrée entre le 4ème trimestre 2015 et le 1er trimestre 2016 dans les agences du réseau Laforêt. Même constat chez Century 21 avec une hausse des transactions de 12% en un an. "En quatre ans, les prix ont baissé de 8% et les taux de crédit immobilier ont perdu 2 points. La conjonction de ces deux facteurs dope le pouvoir d'achat des Français", analyse Yann Jehanno, directeur exécutif de Laforêt. On emprunte aujourd'hui à moins de 2% ! Et les taux baissent encore depuis le début du mois : entre 1,15 et 1,85% sur 15 ans et entre 1,41% et 2,10% sur 20 ans en fonction du profil, selon le courtier Empruntis. Et "les taux devraient rester bas jusqu'à la fin de l'année, avoisinant les 2,20% en moyenne", anticipe le Crédit Foncier. La demande a ainsi bondi de 15% entre le 4ème trimestre 2015 et le 1er trimestre 2016 chez Laforêt, ainsi que chez Guy Hoquet. Même constat chez les courtiers en taux. Empruntis note une hausse de 22% des intentions d'achat au 1er trimestre 2016 par rapport à la même période en 2015. De quoi exercer une pression sur les prix. 8319 euros le m² à Paris "Les prix parisiens, en hausse de 0,7% entre fin 2015 et début 2016, passent de nouveau au-dessus de la barre des 8 000 euros le mètre carré", rapporte Yann Jehanno. +1,6% chez Guy Hoquet entre les 1ers trimestres 2015 et 2016. Chez Century 21, le prix moyen au mètre carré dans la capitale (qui était en repli de -2,2% en 2015) enregistre même une hausse de +2,5%. Il s'établit au 1er trimestre 2016 à 8 319€ le m². Le montant moyen d'une transaction s'élève désormais à 424 305€. L'Ile-de-France s'inscrit dans la même tendance haussière des prix : le prix moyen au m² augmente de 0,7% entre le 1er trimestre 2015 et le 1er trimestre 2016 pour s'établir, tous types de biens confondus, à 3 070€ le m² (Century 21). Le montant moyen d'une acquisition s'élève désormais à 241 914 euros. Même constat chez Laforêt, qui enregistre une hausse des prix des logements franciliens de l'ordre de 0,8% entre le dernier trimestre 2015 et le premier trimestre 2016. De fortes disparités régionales Selon Guy Hoquet, entre le 1er trimestre 2015 et le 1er trimestre 2016, les prix restent stables à -0,1% en France. Une stabilité qui masque cependant de fortes disparités régionales : les prix augmentent de 1,6 % à Paris et de 0,1% en Ile-de-France, alors qu'ils baissent de 0,9% en province. Les écarts de prix continuent de se creuser, avec plus de 6 500 euros de différence au m² entre Paris (8 319 euros, source Century 21 ) et la province (1 728 euros, source Guy Hoquet).
  • 3. La revue de Presse KYLIA 3 Chez Laforêt, si les prix reculent globalement de - 1,4%, des disparités importantes apparaissent entre les communes où les prix se redressent comme Lyon (+ 0,9%) et Bordeaux (+ 0,6%) et celles qui poursuivent une lente baisse, comme Lille (-0,9%) ou Marseille (-0,6%). "Les mouvements de prix sont souvent liés à la tension entre l'offre et la demande", rappelle Yann Jehanno. Ainsi, "les petites surfaces, demandées à la fois par les primo-accédants et par les investisseurs, se vendent rapidement et souvent au prix fort. A l'inverse, les logements énergivores (des années 1960-1970, ndlr) qui trouvent difficilement preneur, influencent nettement les prix à la baisse. Le nouveau PTZ : coup de pouce pour les primo-accédants dans l'ancien ? Au 1er trimestre 2016, le courtier en taux Vousfinancer.com a enregistré près de 400 demandes de prêt comprenant un PTZ (prêt à taux zéro accordé aux primo-accédants pour l'achat d'une résidence principale), soit 4 fois plus qu'au 1er trimestre 2015 ! Mais attention, "seules 15 % des demandes de crédit avec un PTZ concernent le financement d'une acquisition dans l'ancien avec travaux. 85% sont attribuées pour l'achat d'un logement neuf", précise Sandrine Allonier, directrice des partenariats bancaires de Vousfinancer.com. Même constat chez les autres courtiers : seulement "8% d'acquéreurs dans l'ancien ont bénéficié d'un PTZ au 1er trimestre 2016", confirme Cécile Roquelaure, directrice Communication et Etudes d'Empruntis. Selon le réseau Laforêt, le PTZ étendu à toute la France est "davantage sollicité en régions pour des opérations inférieures ou égales à 100 000 euros". "Compte tenu des prix élevés pratiqués en région parisienne et de l'obligation de réaliser des travaux à hauteur de 25% du coût total de l'opération, le PTZ dans l'ancien est inadapté à Paris et en Ile-de-France", regrette Valérie Durand, directrice des agences L'Adresse de Maisons-Alfort, Alfortville et Charenton-le-Pont. Retour progressif des investisseurs "Face à la volatilité des marchés financiers, ainsi qu'à la faible rémunération des supports d'épargne, les investisseurs s'intéressent de nouveau à l'immobilier dont le rendement et la stabilité rassurent", analyse Yann Jehanno. Les investisseurs représentent 16% des ventes du réseau Guy Hoquet au 1er trimestre 2016 contre 11% au 1er trimestre 2014. Après leur retour dans le neuf depuis un an grâce au dispositif de défiscalisation Pinel, "les investisseurs reviennent progressivement dans l'ancien, sauf à Paris, où l'encadrement des loyers les
  • 4. La revue de Presse KYLIA 4 pousse en petite et grande couronne", constate Fabrice Abraham, directeur Général du réseau Guy Hoquet. Reprise durable ? Certes, "les transactions se font plus facilement et les prix remontent dans la capitale, en première couronne et dans plusieurs grandes villes en régions. Pourtant, le retour d'un nombre suffisant d'acheteurs dans le marché, seul moteur d'une reprise durable, n'est toujours pas présent", nuance Sébastien de Lafond, président de MeilleursAgents.com. Pour ce dernier, pas de doute, cette situation exceptionnelle masque encore un déséquilibre entre l'offre et la demande. Ainsi à Paris, il y a 1,3 acheteur pour un vendeur, contre 4,4 acheteurs pour un vendeur en 2011, rapporte-t-il. En Petite et Grande Couronne le déséquilibre est encore plus criant avec respectivement 0,8 et 0,5 acheteur pour un vendeur. La situation est identique dans les grandes villes de province avec 1,3, 0,8 et 0,7 acheteur pour un vendeur à Bordeaux, Strasbourg et Marseille. "Pour que le marché redémarre vraiment et que les prix soient à nouveau durablement orientés à la hausse, il faudrait compter au moins 2 acheteurs pour un vendeur", analyse Sébastien de Lafond. Le nombre de transactions s'élève à 803 000 en 2015 sur l'ensemble du territoire, soit une progression de +15,7% par rapport à 2014, selon les notaires. "Cette belle performance doit, elle aussi, être tempérée". Compte tenu de l'augmentation de la population française, "il faudrait atteindre environ 900 000 transactions par an pour retrouver la fluidité maximum du marché", explique Sébastien de Lafond. Le Crédit Foncier table sur 825 000 transactions en 2016, soit 3% de plus qu'en 2015. "L'activité devrait rester soutenue avec des disparités évidentes en fonction des régions, de l'emplacement et de la qualité des biens", anticipe le Crédit Foncier. Et d'ajouter "la baisse des prix va se poursuivre d'ici la fin de l'année : -0,9% en France, -1%en Province et -0,8% en Ile-de-France". La reprise est loin d'être acquise. Source: L’Express.fr
  • 5. La revue de Presse KYLIA 5 Immobilier locatif : le crédit pas cher renforce l'attrait des SCPI Le 11/04/2016 Tous droits réservés - © REA Rendement moyen : de 4,5 à 5% Ces produits, investis en immobilier tertiaire, sont souvent accessibles via l’assurance vie. De quoi profiter de son cadre fiscal privilégié. Décidément insubmersibles, les SCPI ! Ces fonds investis en murs de bureaux ou de magasins devraient en effet verser un peu moins de 5% de rendement au titre de 2015. Une rentabilité en repli régulier, mais encore largement supérieure à nombre d’autres placements, notamment immobiliers. Prudence toutefois, car la collecte auprès des épargnants ne cesse d’enfler (elle aurait atteint 4 milliards d’euros rien que pour 2015, soit plus de 10% de leur capitalisation totale). Un succès qui fait grimper la valeur des parts et devrait du coup réduire le rendement à attendre. Jouez de l’effet de levier du crédit Avec des taux d’intérêt, pour ce genre d’opérations, fixés à seulement 2,30% sur quinze ans et un rendement à attendre entre 4,5 et 5%, le calcul est vite fait : s’endetter pour acheter des SCPI n’a jamais été aussi intéressant. Comme le montre notre tableau ci-contre, l’effet de levier du crédit permet d’obtenir une rentabilité près de deux fois supérieure à celle d’un achat au comptant (6,6% dans le cas n° 2 contre 3,6% dans le cas n° 1). Mais encore faut-il décrocher ce financement. Car les réseaux bancaires ne l’accordent souvent qu’à la condition de l’utiliser pour acquérir leurs propres SCPI, pas toujours les meilleures. Si vous voulez investir sur celles pilotées par des gérants indépendants, il faudra donc vous montrer convaincant avec votre conseiller. «La moitié de nos clients arrive tout de même à se financer de la sorte», précise Philippe Vergine, fondateur de l’intermédiaire
  • 6. La revue de Presse KYLIA 6 Primaliance. Sinon, direction le Crédit foncier, seul établissement acceptant de jouer le jeu de la concurrence. A noter : le plus souvent, aucun apport personnel ne sera exigé. Pour un achat comptant, préférez l’assurance vie Rien ne vous oblige à financer vos SCPI à crédit. Mais, en cas d’achat au comptant, sans doute devrez-vous privilégier l’assurance vie plutôt que la détention en direct de ces mêmes parts. Outre le fait que vous percevrez immédiatement les loyers (alors qu’en direct ce délai atteint jusqu’à six mois), le rendement net d’impôts a toutes les chances d’être meilleur. C’est la seconde leçon de notre tableau : du fait de la lourde fiscalité des revenus fonciers, et à condition d’être imposé au moins à la tranche marginale de 30%, l’assurance vie l’emporte. Ainsi, dans cette dernière configuration, la rentabilité nette atteint 3,9% en assurance vie (notre cas n° 3), contre 3,6% en direct. Pour un contribuable imposé à 41%, elle tombe même à 3,1% en direct, contre toujours 3,9% en assurance vie. Nous avons pourtant retenu des hypothèses plutôt défavorables à cette dernière. Dans notre simulation, l’assureur s’accapare ainsi 15% des loyers, tout en prélevant ses frais de gestion. Ce ne sont d’ailleurs pas les seules contraintes à respecter dans ce cadre. Aucun assureur ne permet de verser de façon mensuelle sur ce genre de fonds. Chez Fortuneo, la mise sur chaque SCPI est doublement limitée à 50 000 euros et à 50% de l’encours du contrat. Quant à Spirica, il prélève 3% en cas de revente avant trois ans. La dernière limite étant que c’est l’assureur qui décide ou non d’en proposer, et lesquelles souscrire… Même si certains font des efforts. La Carac vient ainsi de créer Carac Perspectives Immo, SCPI spécifique à son contrat multisupport. Diversifiez la mise sur au moins trois SCPI Pour un investissement au comptant comme financé à crédit, mieux vaut au minimum miser 50 000 - euros. Ce montant vous permettra tout d’abord d’espérer un revenu avoisinant les 200 euros par mois et, surtout, de diversifier sur au moins trois SCPI différentes. Vous êtes proche de la retraite ? «Le mieux est de privilégier les plus anciennes d’entre elles, au rendement régulier, et qui affichent un patrimoine étoffé, comme Accès Valeur Pierre, Allianz Pierre, ou Rivoli Avenir Patrimoine», explique Philippe Vergine. Pensez aussi à mélanger des SCPI dites «diversifiées», surtout investies dans des immeubles de bureaux, avec celles axées sur les seuls murs de magasins. A l’inverse, si vous êtes jeune, vous pouvez tenter des SCPI plus récentes, qui misent sur les établissements de santé (c’est le cas de Primovie et Pierval Santé) ou l’immobilier européen, le plus souvent implanté en Allemagne (comme LFP Europimmo ou Eurovalys). Attention, certaines banques se montrent toutefois réticentes à financer l’achat de SCPI dont l’historique de gestion est insuffisant.
  • 7. La revue de Presse KYLIA 7 Vérifiez la part de loyers réellement encaissée Certes, 2016 devrait à nouveau être un bon cru pour l’immobilier tertiaire. C’est ainsi que l’ouverture des magasins le dimanche a commencé à tirer les loyers des boutiques parisiennes vers le haut, de 10% en 2015 selon Knight Frank. Mais si les SCPI font preuve de résistance, elles ne sont pas pour autant à l’abri de la crise. Parmi les indicateurs à surveiller, attachez-vous au TOF, le taux d’occupation financier indiquant la part des loyers réellement encaissés. Le seuil à respecter dépendra de l’âge de la SCPI. «Celles des années 1980, souvent en train de rénover leurs immeubles, pourront enregistrer entre 80 et 90%», indique Paul Bourdois, cofondateur de France SCPI. Mais les plus récentes devront s’approcher des 95%. A l’image de PFO2, de Périal, créée en 2009, qui affiche un TOF de 92%. Idem avec celles spécialisées dans les commerces. C’est ainsi que Foncia Pierre Rendement offrait, au dernier trimestre 2015, un taux de 95%, et Pierre Plus de Ciloger 96%.  Source : Capital.fr
  • 8. La revue de Presse KYLIA 8 A quoi pourrait ressembler l’assurance loyers impayés pour jeunes voulue par Valls ? Le 11/04/2016 Tous droits réservés - © REA Le Premier ministre a annoncé ce lundi matin onze mesures pour aider les jeunes. Parmi elles : une nouvelle garantie contre les impayés de loyers dont les contours restent encore à préciser. Alors que le gouvernement semblait avoir définitivement enterré l’idée d’une garantie universelle des loyers, la voilà qui ressurgit… pour les jeunes locataires. Parmi la batterie de mesures annoncées ce lundi par Manuel Valls pour soutenir la jeunesse figure en effet l’idée d’instaurer "un droit universel à la garantie locative pour les jeunes de moins de 30 ans." Selon le gouvernement cette mesure, dont le coût est estimé à 100 millions d’euros chaque année pourrait profiter à 300.000 jeunes par an. Quels seront donc les contours du nouveau dispositif ? C’est toute la question. Contacté par nos soins, l’Association pour l’Accès aux Garanties Locatives explique que le projet est encore à l’étude… Une des pistes les plus sérieuses serait d’étendre le tout nouveau dispositif - Visa pour le logement et l'emploi - aux jeunes chômeurs de moins de 30 ans. Pour l’instant, cette super assurance, financée par Action Logement (l’ex 1% Logement), est réservée aux personnes qui sont à la recherche d’un logement et viennent de décrocher un emploi précaire dans le secteur privé (CDD, intérimaires, apprentis, contrats aidés). Le dispositif concerne aussi les CDI hors période d’essais dès lors qu’ils ont moins de 30 ans
  • 9. La revue de Presse KYLIA 9 Pour être éligibles au dispositif, les locataires doivent, en outre, s’acquitter de loyers ne dépassant 50% de leurs revenus, loyers plafonnés à 1.500 euros par mois (charges comprises) à Paris intra- muros et à 1.300 euros sur le reste du territoire. Une fois mise en place, la garantie prend en charge les impayés de loyers pendant les trois premières années du bail. Si ce dispositif était étendu aux jeunes de moins de 30 ans sans emploi, il ne devrait toutefois pas concerner le public étudiant qui dispose déjà d’une garantie prenant en charge les impayés de loyers. Depuis fin 2014, les étudiants âgés de moins de 28 ans - boursiers ou non – qui envisagent de louer un logement dans le parc privé peuvent prétendre à une garantie de l’Etat – baptisée CLé (caution locative étudiante) couvrant les défauts de paiement à hauteur de 10 mois de loyers (soit une année universitaire). En attendant donc d’en savoir davantage sur les arbitrages de l’exécutif, les jeunes éligibles à l’un ou l’autre de ces dispositifs peuvent donc y souscrire dès aujourd’hui. Source. Capital.fr
  • 10. La revue de Presse KYLIA 10 Immobilier : comment financer la construction ? Le 12/04/2016 Tenir le cap de 7.500 constructions de logements par an, c'est l'ambition de la nouvelle patronne de Bordeaux Euratlantique, Virginie Calmels (Crédits : Agence Appa) Invité à Bordeaux par les promoteurs immobiliers, l’économiste Philippe Dessertine a conseillé aux politiques de ne manipuler les dispositifs de défiscalisation qu’avec prudence et proposé de s’appuyer sur la création monétaire par la Banque centrale européenne (BCE) pour financer la construction. La conférence-débat organisée le 7 avril par la Fédération des promoteurs immobiliers Aquitaine Poitou-Charentes (FIAPC), au Palais de la Bourse, à Bordeaux, était intitulée "Le logement neuf sous l'angle économique" et rassemblait Virginie Calmels, adjointe au maire de Bordeaux en charge de l'Economie, de l'Emploi et de la Croissance durable, vice-présidente de Bordeaux Métropole, et l'économiste Philippe Dessertine, professeur à l'Institut d'administration des entreprises (IAE) de l'université Paris I Panthéon Sorbonne, directeur de l'Institut de haute finance. Une rencontre qui a d'abord été l'occasion pour Alain Ferrasse, président de la FPIAPC, de faire l'éloge de Virginie Calmels, grâce à laquelle les promoteurs ont selon lui "enfin le sentiment d'être écoutés". La jeunesse qui triomphe Philippe Dessertine a précisé d'entrée que, en tant que membre du Haut conseil des finances publiques, la situation de la construction provoque de l'inquiétude et qu'il était nécessaire d'agir. Ceci avant de dérouler une analyse macroéconomique express, aux accents parfois prophétiques. S'il faut agir, c'est dans un contexte économique paradoxal brouillé par des signaux négatifs et positifs, a
  • 11. La revue de Presse KYLIA 11 prévenu l'économiste. Côté négatif, il a souligné que "la croissance actuelle est artificielle"car dopée par la chute du pétrole. Son optimisme se nourrit de la certitude que nous assistons à "la fin d'un vieux monde" et au triomphe de la jeunesse, portée par l'irrésistible vague du numérique : "Les gamins adorent travailler chez Google" a-t-il notamment illustré, avant de préciser que devenir propriétaire ne fait pas partie de leurs préoccupations. Construire, c'est stratégique Dans la course aux nouvelles technologies, "la France est en retard" a poursuivi le conférencier, pour mieux réintroduire le secteur de la construction dans le débat. Un domaine stratégique qui supporte mal les violents changements de cap politiques. "A cause de la chute de la construction nous avons perdu entre 0,7 et 0,8 % de croissance !" a relevé Philippe Dessertine. Hyper sensible à l'excès de dette de l'Etat, l'économiste a tenu a souligner qu'il ne fallait pas "bouger sur la fiscalité de la construction" car ce secteur subit déjà un choc majeur, "celui de la baisse de la dépense publique". Rappelons que la réduction en 2012 du périmètre d'action du prêt à taux zéro renforcé (PTZ +) par le gouvernement (LR) Fillon, avec sa mise sous condition de ressources et sa limitation au logement neuf, à l'exclusion de l'ancien, a permis au gouvernement de réduire l'engagement financier de l'Etat dans ce dispositif de 2,4 Md€ à 800 M€ par an. Une mesure d'économie qui a provoqué un violent choc en retour, un véritable tsunami sur le marché immobilier. Entre 2011 et 2012 le nombre de bénéficiaires du PTZ + au plan national est passé de 353.309 ménages à 79.421, tandis que le montant des fonds levés grâce à cette aide de l'Etat a chuté de 8,1 Md€ à 2,5 Md€, soit un manque à gagner de 5,6 Md€ pour les artisans et PME du Bâtiment chargés des travaux de rénovation ! Canaliser les excédents dans la construction Jugeant les aides financières accordées au secteur de la construction comme une injection massive de drogue, la ministre écologiste Cécile Duflot, sous le gouvernement (PS) Ayrault, a refusé par la suite de relancer le PTZ +, bien décidée à purger le marché de son addiction aux fonds publics... Philippe Dessertine n'est pas revenu sur ces éléments clés qui ont lourdement pesé dans l'effondrement du marché immobilier, comme l'avait pronostiqué en novembre 2011 René Pallincourt, président de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim), quand il avait averti François Fillon qu'avec sa réforme du PTZ + le gouvernement risquait de "bloquer les transactions dans l'ancien, qui représentent plus de la moitié du marché".
  • 12. La revue de Presse KYLIA 12 Concernant la politique financière accommodante de la BCE, dont l'objectif est de faire circuler davantage d'argent en gonflant le volume de la masse monétaire, avec le rachat de dettes souveraines, Philippe Dessertine a observé que ces liquidités ont du mal à se répandre dans la sphère économique. Avant d'indiquer que la construction de logements pourrait être un bon moyen de canaliser cet argent dans l'économie réelle. Ceci à condition de passer par les marchés financiers et non pas par les banques, entravées par de fortes contraintes réglementaires et dissuadées de trop en faire dans l'immobilier à cause de l'extrême faiblesse des taux, qui ne leur permet plus "de gagner leur vie". Développer l'offre locative L'orateur est enfin revenu au niveau de l'offre et de la demande avec un sujet qui hante depuis des années le marché immobilier à Bordeaux et ailleurs : la construction "de logements plus grands" pour répondre "aux besoins des familles". Un thème plus complexe qu'il n'y paraît que Virginie Calmels, élue le 25 mars dernier à la tête de l'établissement public d'aménagement Bordeaux Euratlantique, en remplacement d'Alain Juppé, a abordé avec prudence. "Il faut voir si l'on a vraiment besoin de ces grands logements", a-t-elle relevée, faisant sans doute écho à la tendance du marché pointée à Bordeaux Métropole en 2015 par l'Observatoire de l'immobilier du Sud-Ouest (Oiso). "Ce n'est pas encore alarmant mais nous devons avoir l'œil sur les 4 et 5 pièces : on en vend beaucoup moins que ce que l'on produit. Les T4 et T5 ont pesé 9 % des ventes à Bordeaux Métropole en 2015, alors qu'ils représentaient 18 % de l'offre !" avait ainsi souligné le président de l'Oiso, Laurent Mathiolon, lors de la présentation des chiffres en mars dernier. Dans son intervention lors de la conférence-débat, Virginie Calmels a insisté sur la nécessité de construire 7.500 logements par an sur le territoire de Bordeaux Métropole. "La dynamique ne doit pas fléchir" a-t-elle averti, en plaidant pour "une intensification de l'offre locative. Le soutien à l'accession à la propriété est-ce une bonne idée ? Le nouveau modèle de logement repose d'abord sur la location" a-t-elle jugé. La nouvelle patronne d'Euratlantique s'est dit fière de "voir des grues partout à Bordeaux", signe que la ville va bien. Source : La Tribune.fr
  • 13. La revue de Presse KYLIA 13 Île-de-France : l'immobilier de bureaux est-il en crise ? Le 12/04/2016 Le marché de l'immobilier de bureaux en Île-de-France peut-il s'écrouler ? (Crédits : Décideurs en région) En 2015, le marché de l'immobilier tertiaire en Île-de-France reste en situation de surproduction. Rien d'inquiétant cependant, si l'on en croit la fédération des promoteurs immobiliers... Paradoxalement en Île-de-France, le marché de l'immobilier tertiaire neuf se porte moins bien que celui du résidentiel, dont les mises en chantier sont en hausse de près de 20 % sur les douze derniers mois. L'immobilier de bureau francilien se trouve, il faut dire, dans une situation compliquée. Par le passé, les acteurs de ce marché ont en effet trop produit, faisant par ailleurs de l'Île-de-France le premier parc de bureaux en Europe -environ 53 millions de m². Grâce notamment au soutien financier des investisseurs institutionnels, près de 10 millions de m² de bureaux supplémentaires ont été construits en Île-de-France sur la décennie 2003-2013. Déséquilibre du marché Il a découlé de cette période un « déséquilibre du marché des bureaux, conséquence d'une production de bureaux trop largement fondée sur le développement de sites tertiaires nouveaux et pas
  • 14. La revue de Presse KYLIA 14 assez sur le renouvellement de l'existant », indiquait en 2014 une étude de l'institut d'aménagement et d'urbanisme de la région Île-de-France. Désormais, environ 4,4 millions de m² de bureaux sont vides en Île-de-France. Et la situation ne devrait pas s'améliorer : autour la plupart des 72 gares du Grand Paris, plusieurs millions de mètres carrés de constructions de bureaux sont prévus. Et il y a fort à parier qu'ils ne trouveront pas tous preneurs. Des chiffres préoccupants Par ailleurs, concernant la situation actuelle, les chiffres publiés ce lundi par la fédération des promoteurs immobiliers (FPI) sur les constructions de bureaux neufs interrogent. A fin 2015, les promoteurs proposaient encore à la vente 452.000 m² en cours de construction, 600.000 m² de bureaux déjà achevés et 1,1 million de m² en projets ! un niveau d'invendus préoccupant. De fait, les promoteurs sont donc contraints de moins construire qu'auparavant : 450.000 m² de bureaux ont été mis en chantier en Île-de-France en 2015, un niveau de 42 % inférieur à la moyenne des dix dernières années. Preuve que le marché se purge en partie. Risque d'écroulement ? Mais y a-t-il un risque d'écroulement ? Il n'y en tout cas pas d'inquiétude du côté des promoteurs immobiliers. « Malgré le niveau relativement faible des mises en construction, ces chiffres traduisent un secteur relativement sain et reflètent un comportement prudentiel par rapport à l'activité économique globale », tempère Christian Terrassoux, le président de la FPI Île-de-France. Il préfère pointer la nécessite de « répondre aux besoins de surfaces neuves des entreprises sans augmenter la vacance de bureaux », ce qui « implique de relier plus directement le marché des bureaux neufs à celui du renouvellement ». Les investisseurs prennent le risque Cette posture plutôt offensive des promoteurs tient aussi au fait qu'ils ne portent plus autant les risques des opérations qu'auparavant. Marqués profondément par l'écroulement du marché immobilier au début des années 1990, les promoteurs franciliens minimisent désormais leurs prises de risque. Les pertes potentielles reposeraient en fait davantage sur les investisseurs institutionnels qui financent les programmes, eux qui ont déserté le secteur de l'immobilier résidentiel au début des années 2000 pour se tourner vers l'immobilier de bureaux.
  • 15. La revue de Presse KYLIA 15 Un problème de riche ? Or, que de grands investisseurs institutionnels subissent des pertes sur certaines opérations confinerait aux « problèmes de riches », estime Christian Terrassoux. Avec un patrimoine diversifié sur des marchés internationaux, les grands investisseurs institutionnels dilueraient en effet leurs pertes dans un océan de gains réalisés par ailleurs. Pas d'inquiétude donc... Pourtant, une question se pose : pourquoi ces investisseurs institutionnels s'obstinent-ils à refuser d'investir dans le logement en France, malgré des avantages fiscaux accordés dans le logement intermédiaire, et alors même qu'ils continuent à investir, parfois à perte et certainement avec un grand risque, dans les bureaux ? Pour y répondre, Christian Terrassoux avance la faible « confiance » des ces investisseurs dans l'immobilier résidentiel, qui aurait été durement altérée par la loi Alur de l'ancienne ministre du Logement Cécile Duflot. Cette loi déséquilibrerait les rapports entre locataires et propriétaires, au détriment des derniers. Peut-être. Mais dans un environnement de taux au plus bas et face à un marché de bureaux en forte surcapacité, cet argument semble financièrement assez discutable. Source : La Tribune.fr
  • 16. La revue de Presse KYLIA 16 Votre ville respecte-t-elle les quotas de logements sociaux ? Le 13/04/2016 1.115 communes ne respectent pas leurs obligations en matière de logements sociaux. (Ministère Logement) Le ministère du Logement propose un moteur de recherche dédié accessible à tous.1.115 communes ne respectent pas leurs obligations en matière de logements sociaux. Y a-t-il assez de logements sociaux dans votre commune ? Si la réponse vous intéresse, direction. Le ministère du Logement et de l’Habitat durable vient de mettre en ligne ce module pour les habitants soient informés du respect ou non de leur commune de leurs obligations en matière de HLM, dans le cadre de la loi SRU (Solidarité et Renouvellement Urbains) du 13 décembre 2000, renforcées par la loi du 18 janvier 2013 "relative à la mobilisation du foncier public en faveur du logement et au renforcement des obligations de production de logement social", dite loi Duflot I. Pour rappel, d’ici 2025, les communes situées dans les principales agglomérations doivent se doter de 20 % à 25 % de logements sociaux. Aujourd’hui, 1.115 communes n’ont pas encore atteint cet objectif, elles ont pour la plupart engagé des programmes pour rattraper leur déficit. Pour chacune d'elles, le ministère rend publics le taux de logements sociaux à atteindre en 2025 par la commune, via un rattrapage progressif fixé par période triennale (20 % ou 25 %) ; le taux de logements sociaux sur la commune (chiffres au 1 er janvier 2014, mais aussi leur évolution depuis 2002) ; l’état de carence
  • 17. La revue de Presse KYLIA 17 éventuel de la commune (si non atteinte des objectifs de rattrapage triennaux) et le montant des pénalités payées par la commune en 2015. Selon le bilan 2015 de la loi SRU, 31 communes ont un taux de logements sociaux inférieur à 1 %. Pire : 5 communes (Ensuès-la-Redonne dans les Bouches-du-Rhône, Annet-sur-Marne et Villevaudé en Seine-et-Marne, Villejust en Essonne et Mamoudzou à Mayotte), ne disposaient, au 1 er janvier 2014, d’aucun HLM sur leur territoire. Elles ont donc du s’acquitter de pénalités (qui devraient être renforcées dans le cadre de la loi Egalité et citoyenneté, dont le projet a été présenté ce matin en Conseil des ministres) s’élevant respectivement à 128.364 euros, 39.546 euros, 31.171 euros, 90.906 euros, sachant que la commune de Mamoudzou n’a pas été pénalisée. Source : L’Obs.com
  • 18. La revue de Presse KYLIA 18 Paris-province : le grand écart des prix Le 14/04/2016 Selon une étude de l'Insee, publiée ce jeudi 14 avril, les prix pratiqués en région parisienne sont supérieurs de près de 9% à ceux affichés en province. Les causes principales : le logement, certes, mais aussi les dépenses de santé et de loisirs. Si la France affiche des prix à la consommation plus élevés qu'en moyenne en Europe (+7,3%), elle se distingue également par l'hétérogénéité des prix sur son propre territoire. Dans une étude publiée ce jeudi 14 avril, l'Insee lève le voile sur ces écarts étonnants en s'attardant dans un premier temps sur les différences de prix observables entre l'agglomération parisienne et la province (hors Corse). Et pour cause, la capitale pratique des prix à la consommation en moyenne 8,8% supérieurs à ceux du reste du territoire sur la base d'un panier moyen établi par l'Insee. Sans surprise, les dépenses globales relatives au logement (loyer, ordures ménagères, entretien, etc.) demeurent le poste de dépenses qui affiche l'écart de prix le plus important entre Paris et le reste de la France métropolitaine (+24,7%). Une différence essentiellement dûe au prix des loyers qui est en moyenne supérieur de 48,9% à Paris. Si l'on retire les loyers proprement dit, l'écart des prix liés au logement s'établit à 6,1%. Ce ne sont en revanche ni les les tarifs d'électricité et ni ceux du gaz qui contribuent à cet écart restant, puisqu'ils sont uniformes sur la métropole, mais plutôt les services liés
  • 19. La revue de Presse KYLIA 19 au logement «qu'il s'agisse de la gestion des ordures ménagères, des services d'assainissement, du petit entretien ou de la réparation du logement», note l'Insee. Des prix plus élevés à Paris qu'en province, dans tous les secteurs D'autres écarts de prix, certes moins considérables mais tout aussi parlants, sont mis en avant dans l'étude. Sur le plan de la santé notamment, les Parisiens font face à des prix 6,5% supérieurs à ceux pratiqués en province, essentiellement en raison de dépassements d'honoraires plus fréquents. Les tarifs liés aux loisirs et à la culture en agglomération parisienne sont également plus élevés de 6,6%. Enfin, première destination touristique mondiale oblige, la région parisienne affiche des prix 18% supérieurs à la province pour ce qui concerne les hôtels et autres hébergements. S'agissant de l'alimentation, de la restauration, des transports, des meubles ou des vêtements, les écarts de prix entre la région parisienne et la province subsistent, même s'ils restent moins importants. A titre d'exemple, les cafés et restaurants de la capitale sont en moyenne plus chers de 5,4% - avec certes de fortes variations suivant les quartiers - tandis que les prix des boissons alcoolisées et du tabac, fixés uniformément sur le territoire, sont sensiblement les mêmes (+0,5%). A noter que le prix des transports en commun est également plus élevé de 6,9% à Paris: «le métro parisien offre, par exemple, une densité du maillage et une fréquence du service supérieures à ce que l'on trouve dans les grandes villes de provinces, ce qui pourrait justifier son prix» suppose l'étude. De manière générale, de tels écarts de prix peuvent s'expliquer par des modes de vie et des habitudes de consommation qui diffèrent en fonction de l'environnement de l'individu (urbanisation, accès aux transports…). De fait, le budget de consommation d'un ménage provincial tout juste arrivé à Paris augmenterait de 9,2% tout en gardant le même mode de vie tandis qu'à l'inverse, celui d'un ménage parisien installé en province diminuerait de 7,8% sans changer ses habitudes pour autant. L'alimentaire beaucoup plus cher dans les DOM Les écarts de prix entre la métropole et les départements d'outre-mer (DOM) sont également élevés. Mais cette fois, ce sont les DOM qui pratiquent des prix supérieurs. De 12,5 % de plus en Guadeloupe, 12,3 % en Martinique, 11,6 % en Guyane, et 7,1 % à La Réunion, indique la note. C'est l'alimentation qui concentre le plus fort contraste de prix entre la métropole et les DOM. En Martinique, on paye 38% de plus qu'en métropole, en Guyane 34%, en Guadeloupe 33% et à La Réunion 28%. Dans les DOM, se soigner coûte également beaucoup plus cher qu'en métropole: médecin, médicaments, matériel technique. «On parle ici de prix bruts avant remboursement par la sécurité sociale et les complémentaires santé», précise l'Insee. Les communications (téléphonie, Internet,
  • 20. La revue de Presse KYLIA 20 envois postaux) pâtissent aussi des écarts de prix. Les habitants d'outre-mer n'ont pas bénéficié comme en métropole des offres de forfait «low cost» et de la baisse généralisée des forfaits qui a suivi. En ce qui concerne le prix des loyers et les services liés (électricité, gaz, eau), les prix sont très disparates dans les différents DOM. On ne peut donc pas faire de généralités. Source : Le Figaro.fr
  • 21. La revue de Presse KYLIA 21 Des prix immobiliers stabilisés Le 14/04/2016 Pour acheter un appartement ancien, il faut débourser plus de 3 fois plus à Paris que dans le Val d'Oise ou la Seine-et-Marne. (FRANCOLON XAVIER SIPA) Le dernier trimestre 2015 aura également été marqué par une augmentation des ventes de 16 %, avec 809.000 transactions enregistrées. Selon les derniers chiffres publiés par les Notaires de France, les prix des logements anciens ont légèrement augmenté au 4 ème trimestre 2015, pour le deuxième trimestre consécutif : + 0,4 % par rapport au 3 ème trimestre 2015 (en données provisoires corrigées des variations saisonnières), après + 0,2 % le trimestre précédent. Après un léger recul au premier semestre, les prix se sont donc stabilisés sur un an (-0,2 %). Pour la première fois depuis début 2012, les prix des maisons ont progressé de 0,4 % au 4 ème trimestre sur un an, tandis qu’ils ont baissé de 1 % pour les appartements", précisent les Notaires. Le dernier trimestre 2015 aura également été marqué par une augmentation des ventes de 16 %, avec 809.000 transactions enregistrées. Seuls les départements de l’Indre, de la Lozère, de la Haute- Corse et du Cantal enregistrent une baisse des volumes de vente comprise entre 2 et 5 %, tandis que le Morbihan, le Pas-de-Calais ou encore la Charente-Maritime ont constaté des hausse des ventes allant jusqu’à 25 %.
  • 22. La revue de Presse KYLIA 22 La projection de l’indice des prix sur l’ensemble du territoire à partir des avant-contrats indique une baisse des prix des appartements et une légère hausse en maisons (+1,3 %) sur un an. En province, l’indicateur avancé des appartements anciens est en légère diminution sur un an (- 0,2 %), tandis que celui des maisons progresse de 1 % sur un an. En Ile-de-France, ces indicateurs montrent que la stabilité des prix observée en 2015 pour les appartements anciens devrait perdurer début 2016 et laissent présager une légère hausse du prix des maisons anciennes. Source : L’Obs.com
  • 23. La revue de Presse KYLIA 23 Les prix en Ile-de-France plus élevés que dans les autres régions, d'après l'Insee Le 14/04/16 Les prix en région parisienne sont en moyenne 9% plus élevés qu'en province, principalement à cause du coût des loyers, supérieurs de près de 50% à Paris, d'après une étude de l'Insee publiée jeudi. L'étude réalisée par l'Insee révèle les écarts de prix des biens et services entre la province et la région parisienne sur le mois de mars 2015. Ainsi, si un ménage provincial s'établissait à Paris en conservant son niveau de vie, son budget à la consommation augmenterait de 9,2%. Le niveau général des prix à la consommation est 8,8% plus élevés en région parisienne que dans les autres régions, hors Corse. A l'inverse, un ménage parisien déménageant en province diminuerait naturellement son budget consommation de 7,8%. Dans les faits, les ménages "adaptent leur consommation en fonction de l'offre et des prix disponibles", note l'étude. Les dépenses relatives au logement, représentant 14% du budget des ménages métropolitains en France, marquent les écarts les plus élevés. A Paris, les loyers sont supérieurs de 48,9% à ceux de la province et les dépenses relatives au logement (eau, entretien, gaz, électricité) de 6,2%. L'écart entre les prix sur le territoire métropolitain est également marqué par les services de santé, de loisirs et d'hébergement, à nouveau plus chers dans l'agglomération parisienne. Avant remboursement, le surcoût lié aux dépenses de santé est ainsi plus élevé de 6,2% à Paris. De même, les tarifs de loisirs et de culture sont, de manière générale, 6,2% plus élevés pour les Parisiens. Le décalage persiste concernant l'alimentation, la restauration, les transports, les meubles et vêtements mais est moins important. Ainsi, les prix des cafés et restaurants dépassent de 5,4% ceux de la province et les vêtements et meubles sont 2,9% plus élevés à Paris. Le coût des transports pour les usagers de l'agglomération parisienne est 5,4% plus important.
  • 24. La revue de Presse KYLIA 24 Selon l'Insee, l'ensemble de ces différences est "à mettre en regard des différences de rémunération entre régions": le salaire horaire net moyen d'un ouvrier est 8 à 10% plus élevé en Ile-de-France. L'institut de statistique relève également que les prix en Corse sont, en moyenne et hors loyers, 4% supérieurs à ceux de la province. Enfin, en 2014, l'Insee note que les prix des biens et services dépassaient en France de 7,3% ceux de l'Union européenne et de 5,5% ceux de la zone euro. Source : Capital.fr
  • 25. La revue de Presse KYLIA 25 LES ARTICLES DE LA SEMAINE - COMMERCE Quel est l'impact des couleurs sur l'état d'esprit des clients ? Le 12/04/2016 Tork s'est appuyé sur la mesure des ondes cérébrales et du rythme cardiaque pour analyser la réaction de la clientèle en fonction des couleurs. Les couleurs d'un environnement ont un impact important sur l'humeur et le comportement humain. Les couleurs d'un environnement ont un impact important sur l'humeur et le comportement humain. Le groupe SCA et sa marque internationale de produits d'hygiène pour les professionnels Tork ont cherché à démontrer que les couleurs jouent un rôle essentiel dans l'expérience des clients et permettent de créer une véritable ambiance dans un restaurant. Pour cela, le groupe s'est appuyé sur la mesure des ondes cérébrales et du rythme cardiaque afin d'analyser les réactions des clients. Les résultats révèlent des schémas précis et récurrents des humeurs et émotions que suscite chaque couleur. Pour comprendre comment les couleurs affectent l'expérience des clients dans un restaurant, Tork a équipé 16 personnes de dispositifs analysant leurs ondes cérébrales et leur rythme cardiaque dans 8 environnements monochromes. Dans chacun de ces environnements, décors, murs, sols, meubles et vaisselles étaient exactement du même pantone.
  • 26. La revue de Presse KYLIA 26 Des couleurs et des émotions : les résultats L'analyse a fait ressortir des résultats visibles et répétés d'un individu à l'autre quant aux humeurs et émotions suscitées par les couleurs. Ils révèlent que certaines couleurs sont plus adaptées à certains types de repas et à certaines occasions. Par exemple, le rouge stimule des liens émotionnels forts et la créativité tandis que le bleu favorise l'apaisement. Toutes les données de l'expérience ont été décryptées afin de définir un profil pour chaque couleur. Le but est de nourrir la réflexion dans le secteur de l'hôtellerie-restauration sur l'aménagement et le design des établissements.Les nuances utilisées pour l'expérience proviennent de la nouvelle palette de couleurs de la gamme Table de Tork. Vert méditatif Les analyses cérébrales révèlent que le vert possède des propriétés revitalisantes, favorise la relaxation et renforce le système immunitaire. Le rythme cardiaque des clients était légèrement plus lent que pour les autres couleurs. Le vert est décrit comme idéal pour un déjeuner ou un café avec ses proches. Orange heureux Moderne et sympathique, la couleur orange est généralement associée à des événements heureux, entre amis ou en famille.Elle est cependant perçue comme modeste et peu romantique. Noir sophistiqué Synonyme de complexité, le noir est perçu comme luxueux, moderne et sophistiqué. Il est idéal pour un rendez-vous galant raffiné ou des sorties nocturnes. Les résultats révèlent un taux d'excitation plus élevé et une baisse de la concentration, ce qui rend cette couleur moins adaptée à un contexte professionnel. Bleu calme Le bleu est décrit comme une couleur apaisante et accueillante. Les ondes relevées renvoient à des états de relaxation intense, la présence de créativité et de liens émotionnels forts.Elle est idéale pour un moment en famille,un petit-déjeuner ou un café. A contrario,elle n'est pas adaptée à un rendez- vous d'affaires ou à un milieu luxueux. Rouge romantique Cette couleur sort du lot et suscite des émotions puissantes. Elle traduit des liens émotionnels forts et un niveau de créativité élevé. Le rythme cardiaque relevé était plus élevé dans cet environnement. Sans surprise, le rouge est la couleur de l'amour et des sorties nocturnes.
  • 27. La revue de Presse KYLIA 27 Blanc luxueux Idéale pour les environnements professionnels, le blanc est une couleur neutre qui suscite peu d'émotions. Comme une toile vierge sur laquelle les clients peuvent dépeindre leurs propres expériences, le blanc génère l'attention et la concentration. Marron traditionnel Neutre, le marron est facile à associer à d'autres couleurs. Il est idéal pour des ambiances traditionnelles et favorisera la relaxation sans éveiller les sens. Jaune palpitant Couleur amusante et stimulante, le jaune convient parfaitement à un petit-déjeuner ou à un moment avec ses enfants. Les résultats du test montrent des niveaux plus élevés d'excitation et de créativité. L'étude Réalisée avec l'institut de recherche United Minds, l'étude a été menée en décembre 2015 à La fabrique à couleurs de Stockholm. Choisis sur une base démographique représentative, les individus ont tous été équipés d'un casque EEG MindWave Mobile ainsi que d'un bracelet avec capteur de rythme cardiaque Mio Fuse. Les 16 clients étaient répartis dans 4 sessions distinctes, permettant ainsi d'obtenir 128 points d'observation uniques. L'activité cérébrale et cardiaque a été mesurée pour chaque participant et dans chaque univers. Les dispositifs ont permis d'analyser 5 ondes cérébrales par seconde, soit 1500 ondes cérébrales par pièce et par individu. Les réactions des clients face aux couleurs ont ensuite été collectées à l'aide d'un questionnaire. "En 1810, Goethe a développé la première théorie des couleurs. Il ne s'agit pas de remettre en cause cette théorie, mais plutôt d'y contribuer grâce à des informations supplémentaires sur les couleurs dans le domaine de la restauration", explique Catherine d'Hubert, responsable Europe de l'assortiment Table Tork chez SCA. Source : lhotellerie-restauration.fr
  • 28. La revue de Presse KYLIA 28 Paris Ile de France : mois de mars décevant pour les professionnels du tourisme Le 13/04/2016 © Christian Milet Seul le département des Yvelines a vu une progression de son activité en mars 2016, par rapport à mars 2015. Mois de mars décevant, titre le baromètre mensuel publié par Région Paris. « Malgré le week-end de Pâques, l'activité à Paris Ile-de-France, ne parvient pas à retrouver son dynamisme habituel. Les attentats de Bruxelles ont, selon 56% des professionnels, une fois de plus ébranlé une activité fortement fragilisée par les événements survenus à Paris en novembre 2015. Si le repli de fréquentation, par rapport à 2015, est généralisé à l'ensemble des départements, à l'exception des Yvelines, il est particulièrement marqué à Paris et en Seine-Saint-Denis. » Tendances générales pour les hôtels et hôtels/restaurants 43% des hôteliers qualifient de moyenne leur activité du mois de mars, 40% de bonne et 17% de mauvaise. La clientèle française est en baisse par rapport à mars 2015. En revanche, elle est en hausse par rapport au mois de février dernier. Mêmes constats pour la clientèle internationale. L'état des réservations pour le mois d'avril 2016 est qualifié de moyen par 43%, de bon, voire très bon, pour 38% et de mauvais, voire très mauvais, par 19%.
  • 29. La revue de Presse KYLIA 29 Concernant l'hôtellerie parisienne Dans les hôtels 3 à 5 étoiles, 47% des professionnels considèrent que leur activité du mois de mars a été bonne et dans les hôtels économiques 53% la jugent moyenne. 59% des hôteliers estiment que leur activité est en baisse par rapport à 2015. A l'instar des autres départements et hébergeurs, les clientèles françaises et étrangères sont en hausse par rapport au mois de février dernier. Principales nationalités citées : Britanniques, Américains et Allemands. L'état des réservations est qualifié de moyen par 41%, de bon, voire très bon, par 36% et de mauvais, voire très mauvais, par 23% Pour les hébergeurs dans leur ensemble*, dans les autres départements En Seine-et-Marne : 50% des professionnels qualifient de bonne l'activité du mois mars. 40% constatent une baisse d'activité par rapport à 2015. Principales nationalités citées : britanniques, allemands et belges. L'état des réservations est qualifié de bon voire très bon par 48, de moyen par 35% et de mauvais voire très mauvais par 17% Dans les Yvelines : 44% des professionnels qualifient de moyenne l'activité du mois de mars. 42% constatent une hausse d'activité par rapport à 2015. Clientèles étrangères citées : allemands, britanniques et espagnols. L'état des réservations est qualifié de bon, voire très bon, par 54%, de moyen par 42% et de mauvais par 4%. Dans l'Essonne : 50% des professionnels du tourisme interrogés qualifient de moyenne leur activité du mois de mars. 52% constatent une activité en baisse par rapport à 2015. Principales nationalités citées : Britanniques, Belges et Chinois. L'état des réservations est qualifié de moyen par 57% des professionnels interrogés de bon par 30% et de mauvais voire très mauvais par 13%. Dans les Hauts de Seine : 45% des professionnels qualifient leur activité du mois de mars de bonne et 45% de moyenne. 50% constatent une baisse d'activité par rapport à 2015. Principales nationalités citées : Britanniques, Allemands et Chinois. L'état des réservations est qualifié de moyen par 63%, de bon, voire très bon, par 30% et de mauvais par 7%. En Seine Saint-Denis : 63% des professionnels du tourisme qualifient leur activité du mois de mars de moyenne. 62% constatent une baisse d'activité par rapport à 2015. Principales nationalités citées : Allemands, Britanniques et Belges. L'état des réservations est qualifié de moyen par 53%, de bon par 29% et de mauvais, voire très mauvais, par 18%. Dans le Val-De-Marne : 47% des professionnels qualifient leur activité du mois de mars a été moyenne. 50% des professionnels constatent une baisse d'activité par rapport à 2015. Principales
  • 30. La revue de Presse KYLIA 30 nationalités citées : Chinois, Britanniques et Espagnols. L'état des réservations est qualifié de moyen par 46%, de bon par 32% et de mauvais voire très mauvais par 22%. Dans le Val d'Oise : 50% des professionnels interrogés qualifient leur activité du mois de mars de moyenne. 50% constatent une baisse d'activité par rapport à 2015. Principales nationalités citées : Britanniques, Allemands et Chinois. L'état des réservations est qualifié de bon, voire très bon, par 50% des professionnels, de moyen par 40% et de mauvais par 10%. *hôteliers, propriétaires ou gérants de résidences de tourisme, de gîtes, de chambres d'hôtes et de camping en saison Source : lhotellerie-restauration.fr
  • 31. La revue de Presse KYLIA 31 Les vins du Chili à l'ordre du jour Le 13/04/2016 Voici la réponse à quelques questions essentielles sur les vins chiliens pour ne pas être pris au dépourvu face à ses clients. Vignoble chilien © Thinkstock Cette année, le vin officiel du Tour de France 2016 n'est pas français mais... chilien. Voici la réponse à quelques questions essentielles sur les vins chiliens pour ne pas être pris au dépourvu face à ses clients. Le Chili s'étire sur plus de 4 000 km du nord au sud sur la côte occidentale de l'Amérique du Sud. Cela se traduit par des zones climatiques très différentes. La viticulture est présente dans le pays depuis plus de cinq siècles et le premier vin chilien aurait été élaboré en 1551 Quelle est l'importance du vignoble chilien ? Avec une production de l'ordre de 7 millions d'hectolitres, le vignoble chilien figure parmi les 10 principaux vignobles mondiaux (9e). Quels ont les principaux cépages ? Le Chili présente la particularité de ne pas avoir subi le phylloxéra : les vins sont donc issus essentiellement de vignes franches de pied.
  • 32. La revue de Presse KYLIA 32 • Cépages blancs : sauvignon, muscat d'Alexandrie, chardonnay, sémillon … • Cépages rouges : cabernet sauvignon, merlot, carmenère, carignan, cinsault, malbec, pinot noir, tintoreras, pais (cépage local)… Actuellement, le pays met en valeur et obtient d'excellents résultats avec un cépage bordelais qui a pratiquement disparu des bords de la Gironde : le carmenère. Existe-t-il de grands vins au Chili ? Incontestablement ! Quelques exemples : - Almaviva : un grand vin rouge franco-chilien ; - Seña lancé en 1997 ; - Clos Apalta : vin, haut de gamme élaboré par Casa Lapostole (Grand Marnier) ; - Don Melchior : qui porte le nom du fondateur de Concha y Toro en 1883. Liste non limitative. Sur quels plats peut-on les servir ? Souvent le cépage prend le pas sur l'origine. Ainsi l'on proposera : - chardonnay, sauvignon, riesling, chenin sur les poissons, les coquillages et les fruits de mer ; - cabernet sauvignon, merlot, carmenère, pais, sur les viandes rouges ; - pais, merlot, chardonnay sur les viandes blanches et les volailles ; - cabernet sauvignon, carmenère, syrah, sangiovese. sur le gibier et les plats en sauce - un des nombreux vins élaborés à partir de cépage muscat avec les desserts. Source : lhotellerie-restauration.fr
  • 33. La revue de Presse KYLIA 33 Fonds de commerce : un restaurant traditionnel se vend environ 70 % du chiffre d'affaires HT Le 14/04/2016 © Source : Bodacc-Altarès Montant du fonds de commerce exprimé en % du CA HT du vendeur. D'après le 6e baromètre du Bulletin officiel des annonces civiles et commerciales (Bodacc), qui analyse les chiffres des annonces qui y ont été publiées en 2015, le prix des fonds exprimé en pourcentage du chiffre d'affaires (CA) hors taxes du vendeur, se situent en moyenne à moins de 60 % du CA dans la restauration rapide et à plus de 70 % dans la restauration traditionnelle. Cette moyenne atteint presque 80 % pour les hôtels, et monte à 90 % pour les débits de boissons. "Le prix des fonds de commerce est bien entendu tiré par le chiffre d'affaires développé par le vendeur", rappelle le document. Source : lhotellerie-restauration.fr
  • 34. La revue de Presse KYLIA 34 Management : comment le coaching peut redynamiser une équipe Le 15/04/2016 Paris (75) Lorsqu'un coach aide des salariés à chasser le stress, en finir avec une suractivité inefficace ou gérer un conflit, l'établissement concerné ne peut que mieux se porter. Rencontre avec Sophie Audubert-Todorovic, à la tête de Restarto, société de conseil en management. © DR 'Chaque client est acteur du coaching', explique Sophie Audubert-Todorovic, créatrice de Restarto, société de conseil en management. D'emblée, Sophie-Audubert-Todorovic prévient : "Le coaching n'est pas de la formation". La créatrice de Restarto, société de conseil en management, fait la nuance entre guider et former. "Le coaching, c'est aider un client à trouver ses propres solutions pour mieux se les approprier." Autrement dit, le coach accompagne l'entreprise "en attente de changement", mais ne se substitue pas à elle. "Une des conditions de la réussite d'un coaching, c'est que les personnes coachées soient impliquées, motivées. Chaque client est acteur du coaching : on part de son vécu, passé et présent." "Aider à mieux travailler ensemble" Diplômée de l'École hôtelière de Lausanne, un master 2 en management des ressources humaines et un diplôme de coach certifié en poche, Sophie-Audubert-Todorovic connaît le secteur de l'hôtellerie-
  • 35. La revue de Presse KYLIA 35 restauration par coeur : elle totalise une dizaine d'années de management hôtelier pour Concorde Hotels et Sofitel. Elle sait repérer les situations qui nécessitent l'intervention d'un coach au sein d'une équipe : "la gestion de conflits, du temps ou du stress, la suractivité inefficace, la conciliation entre vie professionnelle et vie privée, un changement en interne… Le coach accompagne un processus d'équipe pour aider à mieux travailler ensemble", poursuit-elle. Une façon d'inciter les salariés à travailler de concert sur ce qui peut être mis en oeuvre pour améliorer conditions de travail, l'efficacité, le dialogue. "Il suffit parfois que des salariés s'interrogent sur ce qu'est, par exemple, une véritable urgence, pour qu'il y ait une prise de conscience et de recul sur ce qui ne fonctionne pas", explique Sophie-Audubert-Todorovic. L'occasion pour les membres d'une équipe de se rapprocher, de fédérer leurs compétences, d'échanger, pour davantage de pertinence dans les orientations à prendre et les actions à mener. Contrat d'objectif et bilan à mi-parcours Enfin, un coaching réussi dépend du choix… du coach. "Celui-ci doit avoir suivi une formation reconnue et faire signer un contrat d'objectif à chacun de ses clients", souligne la fondatrice de Restarto. Contrat qui peut être affiné au fil des séances de coaching, car la problématique ciblée peut évoluer. En outre, ce contrat engage à un bilan à mi-parcours et, surtout, une mesure des objectifs atteints à l'issue du coaching. Source : lhotellerie-restauration.fr
  • 36. La revue de Presse KYLIA 36 A propos de Kylia KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau d’agences immobilières Nouvelle Génération : Le 1 er réseau immobilier à partager sa croissance avec l’ensemble de ses agents. Kylia développe un modèle économique orienté « Agent » : Une entreprise construite par et pour ses agents immobiliers. Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier Marie LAURENT Caroline PILATO / rp@kylia-immo.com / 01 47 70 24 18