2. Si l’enquête parlementaire menée en 2020, et ses 48 propositions de loi laisse entrevoir un
contournement de cette restriction sur arrêté préfectoral, pour l’heure, « la réglementation
sanitaire prévoit qu’il est de la responsabilité individuelle de chaque particulier d’intervenir »
dans la dynamique de prolifération du moustique-tigre ». Un message sur les actions de
prévention qui semble commencer à porter ses fruits. « Il y a de nets progrès dans la
suppression des gîtes larvaires. Et quatre fois sur cinq quand on nous appelle, le problème s’il
n’est pas sur place, se situe chez le voisin ».
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