Ce guide a été édité à l'occasion des Rencontres du Numérique #2 en Haute Bretagne, organisées par le Comité Départemental du Tourisme Haute Bretagne Ille-et-Vilaine. Ces Rencontres se sont déroulées le 25 novembre 2014 au Stade Rennais à Rennes. Avec l'aimable participation de Ludovic Dublanchet, Alexis Mons, Jérôme Morlon, Mathieu Bruc, Thomas Mathieu, Dolist, Olivier Méril, François Houste, Nicolas Rudelle et Thomas Picos.
Ce guide explore les tendances du e-tourisme, en mettant l'accent sur les actions à entreprendre pour booster sa visibilité et sa commercialisation en ligne.
Disponible en version papier sur simple demande à contact@bretagne35.com
Guide des Rencontres du Numerique en Haute Bretagne
1. Rencontres
du NumErique #2
en Haute Bretagne
L a r é u s s i t e d e l a d e s t i n a t i o n p a s s e
pa r l ' e x c e lle n c e d e s e s p r o f e s s i o n n e l s d u t o u r i s m e
Ce guide vous est offert par le
Comité Départemental du Tourisme Haute Bretagne Ille-et-Vilaine
2. ÉDITO
LUD0VIC
DUBLANCHET
Consultant etourisme
Plus on ajoute de
technologies, plus
l’humain devient
important
Et le tourisme se pose en
figure de proue !
#Dublanchet et Agitateurs
de Destinations Numériques
@dublanchet - @agitateurs
ludovic@dublanchet.com
ludovic@agitateurs.com
Comme tous les autres secteurs économiques, le
tourisme, sous toutes ses formes, a été fortement
impacté par la révolution numérique.
Séduction, préparation, information, réservation,
sur place ou après le séjour, tous les stades du
cycle de notre voyageur, lointain, proche ou
habitant, peuvent intégrer une interaction en ligne
avec des clientèles de plus en plus connectées.
Les grands acteurs du web, Google, Amazon,
Facebook ou Apple, façonnent les nouvelles
interfaces et induisent de nouveaux besoins,
attentes chez nos consommateurs. Les acteurs
majeurs du tourisme les reprennent à leur compte
et chacun, institutionnels, prestataires touristiques,
se voit contraint de s’y adapter pour ne pas être
mis à l’écart par un touristonaute toujours plus
exigeant.
Le web social apparu il y a moins de dix ans a
redonné le pouvoir aux internautes, en facilitant
leur expression, en augmentant les interactions,
en leur donnant le pouvoir de donner leur avis,
de devenir prescripteurs auprès d’un cercle de
connaissances bien plus large qu’auparavant.
L’instantanéité est devenue la règle, une exigence
à laquelle il est bien difficile de s’astreindre quand
on doit avant tout maintenir une prestation de
qualité avant de communiquer dessus.
La mobilité, avec l’irruption des smartphones,
puis des tablettes, nous permet d’approcher
une connexion permanente qui renforce cette
exigence d’instantanéité dans les échanges.
Elle a également cassé les codes classiques de
communication, balayant les ergonomies
classiques de communication web, induisant
de nouveaux modes de consommation et
d’information.
Derrière ce concept d’hyperconnexion mobile,
on observe que la relation client n’en prend
que davantage d’importance. Les canaux se
multiplient, et à l’email, outil préhistorique à
l’échelle du web mais qui reste diablement
efficace et souvent sous-utilisé, s’ajoutent le chat
en ligne, Twitter, Facebook… Vos clients veulent
un point de contact, à tout moment, en tout lieu.
Le touriste ne veut plus être pris pour un porte-feuille
sur pattes, il veut “vivre des expériences”,
il veut “vivre comme un local”, autant de termes
et positionnements à la mode, renforcés par
la montée en puissance de la consommation
collaborative, mais encore trop souvent galvaudés.
Photos, vidéos, textes de qualité, ergonomie
adaptée aux différents terminaux et aux tendances
ergonomiques et graphiques du moment dont
les cycles se raccourcissent toujours davantage,
prise de parole sur les réseaux sociaux et les sites
d’avis, être référencés sur les bons termes, dans
les bons moteurs, annuaires, portails et plates-formes
sans toutefois oblitérer sa marge,… les
ressources humaines et financières à consacrer
au numérique peuvent sembler disproportionnées
par rapport aux enjeux.
Les Rencontres du Numérique sont une
occasion d’échanger avec des professionnels
du secteur, d’opérer des choix stratégiques en
connaissance de cause, et de maximiser le retour
sur investissement que vous réaliserez, qu’il soit
humain et/ou financier.
La bonne nouvelle, c’est que plus on ajoute de
technologies, plus l’humain devient important, et
là encore, le tourisme se pose en figure de proue !
2
3. SOMMAIRE
LES ENJEUX DU NUMÉRIQUE
2 Édito
4-5 Tendances, la vérité est
plus que jamais dans le vécu……………...
6-7 Portrait d'un touriste en 2014
8-9 Être ou ne pas être
sur les réseaux sociaux
10-11 Vous avez dit e-réputation ?
12-13 Marketing digital &
protection des données
personnelles
14-15 SEO, 15 conseils rédactionnels
16-17 Search marketing,
à quoi ressemblera le futur ?
18-19 Faire vivre une expérience
à ses touristes
20-21 Faites le plein de vidéos
tutorielles
22-23 DIAG 35, 5 raisons de
s'engager dans la démarche
24-25 Chiffres clés 2013 de la
réservation en ligne
26 Glossaire
27 Carnet d'adresses
3
4. TENDANCES
Dans un tourisme en mutation, la vérité est plus que
jamais dans le vécu……………...
S’il est un secteur de pointe en matière de digitalisation, c’est bien
le Tourisme.
Le parcours d’achat y est un des plus numériques de l’économie
moderne, les places de marché type Booking y ont un rôle
central, tout comme les avis, mis en industrie par l’incontournable
TripAdvisor.
Enfin, l’économie du partage y est venue s’épanouir et transformer
de simples startups (Airbnb, Uber, La Fourchette, etc.) en dizaines
de milliards de dollars de capitalisation, le tout en moins de 5 ans.
Le premier constat est un bouleversement radical
du marché. Celui-ci est devenu mondial de fait.
Dans Booking, le monde entier voisine à moins
d’un clic de distance. Fixant des standards,
créant des archétypes, celui-ci est devenu plus
affinitaire et relationnel. L’autre vérité est que
le nouveau client se paye cher, raison de plus
pour surperformer la promesse de le fidéliser et
garder la marge la prochaine fois.
Vos meilleurs promoteurs sont vos clients. Ceux
qui publieront des avis élogieux. Ceux qui
posteront des photos de vacances suscitant
la jalousie sur les réseaux sociaux. Cela vous
obligera à créer du vécu et surtout, à vous assurer
que ce que vivent vos clients en dehors de vos
murs soit vraiment à niveau. Plus que jamais,
une destination est la réussite collective de ses
prestataires, marchands et non-marchands. Des
vacances réussies ne se limitent plus aux murs de
la location. Elles s’inscrivent dans le périmètre
de la destination. Tout exceptionnel que puisse
être l’hébergement, si le restaurant est moyen et
la visite du musée local décevante, cela ne sert
à rien. Les prestataires gagnants sont ceux qui
jouent collectifs et s’impliquent pour que leur
destination soit appréciée au niveau de valeur
voulu, tout en travaillant leur positionnement de
façon à être clairement identifiés.
4
5. Mais le plus important n’est pas là !
CE QUI N’ÉTAIT QUE DES
GENTILLES PRATIQUES
MARGINALES IL Y A QUELQUES
ANÉES SONT DEVENUES DES
MARCHÉS EN EUX-MÊMES.
Alexis Mons
Directeur Général Délégué emakina
Le fait majeur est de comprendre que les
mutations de marché observées sont avant la
manifestation que le touriste lui-même a changé.
Le développement accéléré de l’économie du
partage en est la démonstration. Ce qui n’était que
des gentilles pratiques marginales il y a quelques
années sont devenues des marchés en eux-mêmes.
Ce sont les touristes qui en sont à l’origine, les
opérateurs de cette économie ne faisant que
développer un besoin non exploité par le marché.
Airbnb est d’abord la proposition des touristes qui
“veulent vivre comme l’habitant“. Airbnb a révélé
l’existence de ce besoin. Certains auront noté
qu’entre Airbnb et des chambres d’hôtes, il n’y a
qu’un pas. Certes, sauf que ce pas est celui d’une
place de marché qui fait se rencontrer directement
l’offre et la demande dans une expérience de
marque explicite du besoin exprimé.
À ma connaissance “Chambre d’hôtes” n’est pas
une place de marché. Il est même probable que
ce type d’offre rejoigne Airbnb, la marque de
l’expérience de tourisme “comme chez l’habitant”.
Le touriste d’aujourd’hui cherche d’abord et avant
tout une expérience de tourisme. À cette expérience
correspondent des éléments de valeur de référence,
des prix et surtout des lieux d’intermédiation où se
faire connaître.
Le changement le plus important intervenu ces
dernières années, c’est la mutation du touriste
lui-même. Expérientiel, affinitaire, en recherche
d’un vécu bien identifié, il associe banalité et
conformisme à “low cost”, singularité et expérience
à “valeur”.
À vous de bien choisir comment vous voulez
être identifié et reconnu, où se situe votre valeur
d’expérience et de prix.
Dans ce contexte, l’expérience est le facteur clé.
La vérité est dans le produit. A telle enseigne que
2014 est marqué, me semble-t-il par un retour sur
l’offre, le produit. Après une décennie de montée en
puissance et en qualité du marketing de tourisme,
notamment numérique, la différence se fait plus que
jamais sur le vécu. À ce niveau, bien comprendre
ses clients, leurs attentes explicites et plus encore
non exprimées est devenu majeur.
5
6. Portrait d’un
touriste en
2014
Collaboratif dans la préparation et parfois l’exécution de
son séjour, nourri du conseil de ses pairs et souvent très
connecté, le touriste 2014 est à la fois plus autonome
dans sa capacité à trouver le meilleur prix, le bon
plan, mais aussi dans une démarche de recherche
d’inspiration et d’expérience.
Si Internet permet de comparer les prix, de trouver
de l’information précise via les avis de voyageurs,
et même de faciliter la mise en relation entre
particuliers, que reste-t-il aux professionnels du
tourisme en matière de conseil et d’agencement
de l’offre ?
Cette question est devenue centrale alors
que l’on assiste à la conjonction d’au moins
3 phénomènes : l’ampleur prise par la
recommandation sociale, la maturité des
services et des usages mobiles, et l’essor de la
“consommation collaborative”, particulièrement
notable dans l’hébergement de vacances.
Comment ces phénomènes
dessinent‑ils le portrait d’un
touriste en 2014 ?
Les comportements - mais aussi les attentes -
qu’ils favorisent sont essentiels à comprendre
pour se positionner en tant que professionnel :
agence, hébergeur, institutionnel…
Vers plus d’autonomie…
Selon les chiffres de l’Observatoire Next Content
de l’e-Tourisme, basé notamment sur une enquête
réalisée en mars 2014 auprès d’un échantillon
représentatif de 1 200 internautes consommateurs
de voyages, pour des séjours en France comme
à l’étranger, entre la prise de décision du voyage
et l’achat de l’ensemble des prestations, dans
60% des cas, il s’écoule 2 semaines ou plus. Et
pour les séjours de plus de 3 semaines, la durée
du parcours d’achat dépasse majoritairement 1
mois.
Cela veut dire quoi ? Que le voyageur internaute
(rappelons que les utilisateurs réguliers d’Internet,
en France, représentent environ 60% de la
population totale de plus de 18 ans, d’après
les données du Crédoc) n’hésite pas à passer
du temps sur différents sites pour s’informer,
comparer, composer.
Toujours selon l’Observatoire Next Content
de l’e-Tourisme 2014, les consommateurs, en
particulier les plus jeunes, s’appuient par ailleurs
de plus en plus sur la recommandation sociale. Et
les pratiques collaboratives, revêtant des formes
monétaires ou non, prennent de l’ampleur : près
de 3 voyageurs internautes sur 10 ont déjà
loué un logement à un particulier, tandis que
l’échange d’hébergement séduit même 22% des
18-24 ans.
Ajoutons à cela les nouvelles facilités du mobile
qui permettent une plus grande souplesse dans
6
7. Jérôme Morlon
Fondateur d’Iperiago, solution de création
de parcours touristiques ludiques.
les déplacements. Dans le cadre de leur dernier voyage, 5% des
possesseurs de smartphones disent l’avoir utilisé pour réserver des
hébergements. Dans le cadre d’un séjour à l’étranger, ce taux
monte à 7%. Cela conduit à des pratiques qui consistent à ne pas
réserver nécessairement tout ou partie de ses hébergements ou
trajets avant de partir et, dans le cadre d’un séjour, de changer
d’itinéraires ou de rester plus longtemps dans un lieu.
… Mais de nouvelles attentes
Nous sommes donc en présence d’un voyageur (surtout s’il est
“connecté”), investi, informé notamment grâce à ses pairs,
disposant la plupart du temps des éléments d’arbitrage nécessaires
et pouvant s’autoriser de la souplesse.
Cette “expertise” nouvelle le rend aussi plus exigeant, plus enclin à
l’authenticité et aux rencontres locales, et désireux d’autres formes
d’accompagnement de sa pratique touristique. Parmi celles-ci, le
besoin d’être inspiré à partir d’envies (d’activités, d’ambiances…)
non toujours reliées à une destination ou un itinéraire précis, mais
aussi le besoin de vivre une expérience originale, différente,
stimulante.
Quelles sont les conséquences ? Aux formes traditionnelles
de conseil et d’information émanant des producteurs d’offre
touristique, se substitue une mission de séduction qui passe par
un “storytelling”, une mise en avant enrichie, scénarisée de son
territoire, un croisement entre lieux et activités (sportives, culturelles,
de découverte…), la capacité à emporter la décision d’un touriste
qui, malgré l’autonomie croissante dans la conception de son
voyage, n’a pas toujours une idée de départ bien définie.
Cela passe aussi par un accueil et une mise en relief du séjour
qui prend acte des nouveaux usages sur les écrans mobiles
(smartphones et, dans une moindre mesure, tablettes), plus
largement s’incarne dans des formes de service innovantes et
souvent participatives : le voyageur est aussi ambassadeur,
prescripteur.
Parmi les consommateurs ayant acheté une prestation de voyage
(hors étranger) il y a moins d’1 an, les sites Internet des offices
de tourisme sont la 2e source d’influence la plus citée, après les
recommandations des amis et proches. Ce n’est pas anodin : le
nouveau voyageur, le touriste 2014, s’abreuve à la source, et de
ce point de vue souhaite une eau revigorante.
7
8. ?ÊTRE OU
NE PAS ÊTRE
sur les réseaux sociaux ? Telle n’est plus la question.
En 2013 , 8 internautes sur 10 sont inscrits sur au moins un
réseau social. Alors que les réseaux sociaux ont d’abord
proliféré chez les étudiants, les internautes français de plus de
55 ans représentent plus de 30 % de l’audience des médias
sociaux en France, autant que les 15 à 34 ans (Médiamétrie).
Pour les prestataires touristiques, la question
Organisationnel. Il s’agit d’impliquer
n’est plus de savoir s’il faut être sur les
vos équipes en sensibilisant l’ensemble du
réseaux sociaux mais comment y être ?
personnel, comme la fonction d’animateur
Le nombre d’utilisateurs n’est plus une fin
de communautés doit être transversale à
en soi. Autrement dit ce n’est pas la taille
votre activité et doit transpirer l’identité de
qui compte mais l’engagement d’une
votre entreprise.
communauté. Un phénomène qui se
traduit naturellement par toute marque
Stratégique. Sur les réseaux sociaux,
d’intérêt sur vos publications : appréciations,
tout peut aller très vite. L’anticipation est
partages, commentaires et autres formes
reine. D’une part, avec la mise en place
d’interactions spécifiques à chaque média
d’un planning des contenus permettant
social.
d’organiser vos publications en fonction de
vos temps forts, de l’événementiel et des
L’enjeu principal réside dans la
compétences en interne. Pour ne pas vous
mise en place d’une stratégie
retrouver quotidiennement face au syndrome
d’influence sur les réseaux sociaux qui
de la feuille blanche.
s’organise autour de plusieurs leviers :
Vos clients sont
dans les réseaux Sociaux
Et vous ?
Mathieu Bruc
Dirigeant, Tourisme Digital
8
9. D’autre part, en prévoyant tout
risque lié à votre métier, dont les
effets négatifs sur votre e-réputation
pourraient se révéler très
rapidement néfastes selon votre
capacité de réaction.
Opérationnel. Votre ligne
éditoriale doit s’articuler autour
d’une écriture soignée et d’une
audience ciblée pour générer de
l’interaction et gagner en visibilité.
Vos clients sont dans les
réseaux ! Il vaut mieux choisir
un média social en fonction de
l’audience et de vos objectifs plutôt
que d’être sur tous et nulle part à
la fois.
De façon générale, Facebook
reste incontournable avec ses
26 millions d’utilisateurs actifs
par mois. L’utilisation de Twitter
en France reste plus discrète
mais le site de micro-blogging
s’avère un excellent outil pour
favoriser la conversation dans
le cas d’un service client par
exemple. Les instagramers postent
quotidiennement 40 millions de
photos sur Instagram : un service
de partage de photos et vidéos
accessible sur mobiles, où l’image
occupe une place prépondérante.
Sur chaque média, il faut
adapter les publications selon les
fonctionnalités et les habitudes
propres à chaque outil.
Vos clients sont précieux !
Il faut miser sur leur qualification
dans le recrutement de vos
nouveaux abonnés notamment
grâce aux publications
sponsorisées et ciblées par
typologie, tranche d’âge, ville,
affinités, etc. et en fonction d’un
budget promotionnel à échelonner
sur l’année.
Vos clients sont exigeants !
La conciergerie trouve
aujourd’hui une seconde jeunesse
dans le numérique. L’exigence
des internautes sur votre
capacité à répondre se mesure
principalement sur l’immédiateté
et la personnalisation du message.
Mais au delà de votre propre
communauté, il faut savoir rester
en veille, dès qu’un utilisateur cite
votre marque ou votre activité,
prenez la parole et engagez
la conversation, en restant dans
la suggestion plus que dans
l’intrusion.
Vos clients sont créatifs !
De plus en plus de contenus sont
publiés sur les réseaux sociaux :
16 millions d’internautes ont posté
une photo sur un réseau social
en 2013 ; ils étaient 7 millions à
poster une vidéo (Médiamétrie).
Sur Facebook, 70% disent que
les expériences de leurs proches
les ont encouragés à partir dans
un endroit où ils n’avaient jamais
pensé aller auparavant (Facebook
/ Sparkler 2013).
Pour aller plus
loin, le Comité
Départemental
du Tour isme
Haute Bretagne
Ille & Vilaine peut
vous aider grâce
au Diagnostic
numérique et à un
accompagnement
personnalisé avec
les animateurs
numériques de
territoire.
Une source d’influence qu’il faut
savoir utiliser dans son propre
intérêt en encourageant les
publications des internautes
sur les médias sociaux autour de
votre entreprise touristique.
Vos clients sont hyper
connectés ! Et tout cet
environnement social est bousculé
avec l’essor du mobile.
En juin 2013, on compte
mensuellement 17 millions
d’utilisateurs actifs sur Facebook
et connectés à partir de leurs
mobiles.
Des comportements qui doivent
aussi vous faire réfléchir sur le
format de vos publications à
optimiser d’abord pour mobile et
à répartir sur les moments de la
journée propices à l’attention : au
réveil, dans les lieux d’attente, les
temps de transports, etc.
9
10. Avant de parler de l’e-réputation et ses enjeux, voici quelques
chiffres à connaître pour mesurer l’importance du tourisme
numérique :
• l’e-tourisme pesait 12,4 milliards d’euros en 2013 et c’est
un secteur en constante augmentation
• 62% des français qui sont partis en 2013 ont préparé leur
voyage sur internet
• 45% d’entre eux ont réservé tout ou en partie leur voyage
sur internet
• 89% des vacanciers lisent les avis en ligne
• 87% des vacanciers prennent en compte les avis au moment
de la réservation
Gérer son e-réputation
est un nouvel enjeu majeur
pour les professionnels
du tourisme
Thomas Mathieu
Co-Fondateur Guest App
10
11. Vous
avez dit
e-réputation ?
Gérer son e-réputation, un nouvel
enjeu pour les professionnels
Partant de ce constat, il est évident que
l’e‑réputation et notamment la gestion des avis
en ligne est un enjeu incontournable pour les
professionnels du tourisme. Alors, qu’est-ce que
l’e‑réputation ? Il s’agit de la perception qu’ont les
internautes de votre établissement. Cela inclut tous
les commentaires, avis déposés sur l’ensemble
de la toile mais aussi l’image que dégagent vos
canaux de communication en ligne : votre site
internet, vos réseaux sociaux. C’est à partir de ces
signaux que l’internaute se fera une image, bonne
ou mauvaise, de votre établissement.
Gérer son e-réputation est un nouvel enjeu majeur pour les
professionnels du tourisme. Cela concerne la gestion des avis
sur les plateformes d’avis, mais également la surveillance
des commentaires déposés sur les réseaux sociaux. C’est un
travail de fond que le professionnel du tourisme se doit de
réaliser afin d’assurer la compétitivité de son établissement et
la pérennité de sa relation client.
Les sites d’avis répondent à une demande de plus en plus
en importante auprès des consommateurs : ne pas prendre
le risque d’être déçu lors d’une réservation touristique.
Ils offrent la possibilité aux vacanciers de se renseigner
sur l’établissement, de consulter des photos et de prendre
connaissance des expériences des autres clients.
Attention tout de même, si les avis sont très suivis par les
clients, on estime pourtant qu’un avis sur deux est faux
(DGCCRF) ! Avis négatifs déposés par les concurrents, par
un client dans un cas de chantage à l’avis ou au contraire
avis positif dithyrambique laissé par le prestataire lui-même,
la question de la véracité des avis est maintenant remise en
question. Difficile donc de faire la distinction entre les faux et
les vrais avis.
Comment maitriser son
e-réputation ?
Face à ce contexte dans lequel l’e-réputation
joue de plus en plus un rôle important, des
actions doivent être mises en place pour
contrôler et gérer son e-réputation.
La veille : c’est le minimum
indispensable pour contrôler son
e-réputation, le professionnel du tourisme
doit absolument savoir ce qui se dit à
propos de son établissement en ligne.
Répondre aux avis sur les
plateformes c’est la suite logique,
mais pourtant bien souvent délaissée.
Répondre aux avis permet d’exposer
votre vision des choses, parfois de rétablir
la vérité, dans tous les cas cela envoie le
message à vos clients potentiels que la
satisfaction de vos clients est une chose
que vous prenez au sérieux.
Si vous souhaitez aller
plus loin dans la gestion de votre
e-réputation, vous pouvez mettre en
place des outils spécialisés qui vous
permettront de gérer simplement votre
e-réputation. Par exemple, vous pouvez
implémenter des solutions vous aidant
à solliciter de manière plus simple l’avis
de vos clients et ainsi capitaliser sur leur
satisfaction pour améliorer votre image
en ligne. Vous pouvez également utiliser
des outils permettant de monitorer votre
présence afin de prendre les décisions qui
s’imposent.
11
12. Marketing
digital &
protection
des données
personnelles
la confiance serait-elle un vain mot ?
Alors que le cadre législatif protège
relativement bien les internautes, ceux-ci sont
de plus en plus méfiants quant à la divulgation
de leurs données personnelles. Et l’actualité leur
donne malheureusement toujours davantage
de raisons de s’inquiéter. Mais comment les
professionnels du digital peuvent‑ils rétablir
la confiance pour développer des relations
durables et performantes ? À l’occasion de la
sortie de son nouveau livre blanc “Marketing
Digital : loi, confiance & performances”, Dolist
fait le point sur ce sujet.
La confiance des Français vis-à-vis des services
en ligne fond comme neige au soleil. Seuls 35 %
acceptent de communiquer des informations sur
leur vie personnelle, alors qu’ils étaient encore
49 % deux ans auparavant.
Afin de se protéger, 47 % donnent même
volontairement de fausses informations sur
Internet et 16 % utilisent des pseudonymes sur
les réseaux sociaux (1). Des résultats d’autant
plus paradoxaux que le cadre législatif ne
cesse de se durcir afin de mieux protéger les
internautes.
Alors, cette fameuse confiance après laquelle
courent les acteurs du marketing digital afin de
collecter les adresses e-mails et autres données
qualifiées, ne serait-elle qu’une quête vaine ?
Par-delà les chiffres pointe toutefois la
notion rassurante de déontologie que les
professionnels commencent à considérer, sous
l’impulsion de leurs fédérations de tutelle et de
spécialistes de la performance marketing qui, à
coup de codes de bonnes pratiques et de livres
blancs, évangélisent peu à peu le secteur.
Non, l’e-marketing n’est pas synonyme de
pillage systématique des données personnelles !
(1) 3ème édition du baromètre “La confiance des Français dans le numérique” - IDATE pour la CDC et l’ACSEL (juin 2013)
(2) Livre blanc “Marketing Digital : Loi, confiance & performances” - Dolist (nov. 2013)
12
13. L’opt-in, comment ça marche ?
De la même façon, les professionnels du web
intègrent de mieux en mieux le concept d’opt-in,
ce fameux consentement, sorte de Graal, sans
lequel rien ne devrait être possible et dont les
frontières restent encore floues pour beaucoup.
Pourtant, qu’il s’agisse de BtoB ou de BtoC,
la transparence prévaut pour obtenir ce
consentement qui permet d’impliquer l’internaute
et de prouver son adhésion au programme
relationnel qu’on lui propose.
Cela est clair : plus les discours et bénéfices
exposés sont limpides, plus le retour sur
investissement des campagnes est satisfaisant.
Mais comment procéder pour que le contact
accepte tout simplement de laisser son identité,
ses coordonnées et plus si affinité ? La réponse
est simple : il faut commencer par donner les
siennes. Mentions légales, adresse postale,
téléphone, e-mail nominatif…
C’est à l’annonceur de se dévoiler le premier
s’il souhaite créer une relation de confiance
pérenne.
Et ce n’est pas tout ! L’entreprise doit aussi
expliquer sa démarche : pourquoi souhaite-t-
elle collecter les données personnelles de
l’internaute ? Quelle en est la finalité ? Quelles
informations a-t-elle à partager avec lui ? A
quelle fréquence les adressera-t-elle ? Qu’il
s’agisse d’une newsletter, d’un programme de
fidélisation ou d’un jeu-concours, l’internaute doit
savoir à qui, et dans quel but, il communique ses
données. Plus il en sait et plus il aura confiance,
sans quoi, il ne validera pas le formulaire.
S’appuyer sur le double opt-in ne constitue pas
une assurance tout risque en soit, mais c’est un
excellent procédé pour mesurer et renforcer
l’intérêt manifesté par l’internaute et d’engager
immédiatement la relation avec ce dernier. Pour
cela, il suffit de lui adresser un message de
confirmation et de lui demander de cliquer sur
un lien pour valider son inscription (2).
La confiance comme enjeu de la performance
Ce qui vaut dans un sens, vaut aussi dans
l’autre : si le contact a besoin d’en savoir le
plus possible sur l’entreprise afin d’être rassuré,
il sera également plus facilement enclin à
communiquer des informations complémentaires
qui permettront de lui proposer un contenu
ou une offre en adéquation avec ses centres
d’intérêt.
Du message de bienvenue confirmant son
entrée dans un programme relationnel à la
collecte de données complémentaires pour
comprendre ses attentes et envies (par quel
canal souhaite-t-il être contacté, à quelle
fréquence, sur quelles thématiques…?), en
passant par un processus de désabonnement
clair et fonctionnel, l’instauration et le maintien
durable de la confiance se gagnent à chaque
étape de la relation.
Au-delà du périmètre tracé par la loi, le
marketing digital ne peut plus se contenter
de pousser des offres “à tout va”. Il doit au
contraire proposer des contenus et des services
sur mesure, en tenant compte des affinités et
des centres d’intérêt des internautes. Qu’on ne
s’y trompe pas : il s’agit là d’un enjeu capital
pour les marques qui cherchent à optimiser
les bénéfices et les performances de leurs
campagnes digitales.
Faut-il terminer en précisant que les promesses
avancées doivent être tenues ? Faute de quoi,
le prochain baromètre sur “La confiance
des Français dans le numérique” risque
d’afficher des indicateurs encore à la baisse
et les performances des campagnes digitales
décroître petit à petit…
13
14. 15 Conseils rédactionnels
SEO
1.Écrivez pour les internautes, mais en optimisant vos
contenus pour les robots des moteurs de recherche, en
respectant la règle du QQOQCCP (Qui? Quoi ? Où ?
Quand ? Comment ? Combien ? Pourquoi ?)
2.Soignez vos <title> (50-70 caractères) et vos
<meta name=”description”> (150-200 caractères)
ainsi que l’URL de votre article en y intégrant des
expressions différentes. Le mot clé le plus important
sera dans le <title>.
3.Le titre éditorial de votre article doit toujours être dans
une seule et unique balise <h1>
4.Résumez votre article dans le chapô en 3-4
lignes, en début d’article.
5.Structurez ensuite votre contenu unique de 1000
à 1500 caractères en développant votre raisonnement
point par point via des paragraphes de 5 à 7 phrases en
utilisant des sous-titres <h2> à <h6>
6. Variez vos mots clés en utilisant des synonymes
et les différentes orthographes des expressions de votre
thématique, ciblez les expressions qui génèrent de
l’audience et/ou qui sont en baisse.
7. Ne cherchez pas le
"nombre d'or" pour la densité
de mots clés à intégrer dans vos
articles, restez simplement
intelligible.
(Search Engine
Optimization/
référencement naturel)
14
15. 8. Tirez profit de la longue traîne
pour diversifier vos contenus et vous
positionner sur des expressions moins
concurrentielles
9. Mettez en exergue les expressions clés au sein de vos
contenus avec la balise <strong>
10. Intégrez des images et/ou
des vidéos pour illustrer vos propos sans
oublier de renseigner l’attribut “alt”
de vos images (vous pouvez y insérer mots
sans accent ou alors avec une petite faute
d’orthographe pour ceux qui génèrent des
volumes de recherche intéressants).
11. Pensez à faire des liens vers vos pages pour améliorer
votre maillage interne mais aussi vers d’autres sites de votre
thématique afin d’apporter de la valeur ajoutée à la lecture.
12. Variez et optimisez vos
ancres de liens pour indiquer à
l’internaute où il va arriver et améliorer
le positionnement de la page liée sur
l’expression utilisée.
13. Utilisez les ancres internes dans vos longs articles pour
faciliter l’accès à un paragraphe précis.
14. Répondez aux questions de
vos prospects en y dédiant un article.
15. Partagez et facilitez le partage de vos articles sur les réseaux
sociaux.
Infographie réalisée par
15
16. Search
Marketing
à quoi ressemblera le futur ?
Cela fait maintenant 15 ans que Google a débarqué
sur nos écrans. En 15 ans, le moteur californien
a détrôné tous ses concurrents sur le marché
européen jusqu’à représenter plus de 90% des
recherches internet faites en Europe. Et loin de se
contenter de cette position, Google s’est diversifié
pour proposer des services de plus en plus
intégrés, à la fois sur desktop et sur mobile. Et y
compris dans le secteur très convoité du voyage.
Côté professionnel, Google est devenu l’ami
indispensable, même si un peu forcé, du marketeur.
Impossible de passer à côté des obligations de
référencement naturel et des liens sponsorisés
AdWords si l’on veut réellement apparaître auprès
de ses futurs clients.
Dépenser 9 millions
de dollars par jour pour
son marketing, êtes-vous
prêts à faire face ?
François Houste
LSF Interactive
16
17. Quelques chiffres pour se rappeler
l’omniprésence du moteur : d’après l’étude
Google Traveler de 2013, près de 68% des
préparations de voyage démarrent sur un
moteur de recherche. Qui ne voudrait pas
profiter de cette manne ?
Donc, voilà. Référencement naturel et liens
sponsorisés sont aujourd’hui deux des
composantes indispensables de tout bon
commerçant.
Pour le premier, on travaille son site - son
architecture technique, son contenu, ses liens -
pour s’assurer qu’il présente la meilleure figure
possible aux robots du moteur, les fameux
crawlers.
Sur le second levier, on dépense avec
parcimonie un budget d’achat de mots-clés,
tout en surveillant que ceux-ci génèrent bien des
ventes sur son site. Et tout en sachant bien que
la majorité de la visibilité payante est trustée
par de grands acteurs, internationaux, et aux
budgets colossaux. N’oubliez pas qu’Expedia,
aux dernières nouvelles, dépense 9 millions de
dollars par jour pour son marketing ! Etes-vous
prêts à faire face ?
Ça, c’est le paysage actuel du Search
Marketing. Un paysage compliqué qui donne
la belle part aux grands acteurs, et laisse peu
de marge de manoeuvre aux indépendants...
Mais ce paysage évolue doucement. Depuis
3-4 ans, Google affirme ses ambitions
sur le marché du tourisme. D’abord, en
proposant des services dédiés aux voyageurs
internationaux : ce sont Hotel Finder et Flight
Search, qui référencent en direct les offres des
producteurs et viennent concurrencer les OTA.
Puis, ce sont les versions successives de Google
Place, aujourd’hui Google My Business, qui
veut devenir un point d’entrée incontournable
pour les commerces physiques. Et enfin, ce
sont les applications mobiles du groupe, dont
le fameux Google Now, qui entend bien
devenir un assistant personnel indispensable
et sort doucement du modèle Search pur par
la diffusion d’informations personnalisées et
géolocalisées. Google évolue et suit les usages.
Quelles conséquences pour l’hôtelier, le
restaurateur ou le parc d’attraction ? A terme,
un paysage où le Search Marketing tel que
nous l’entendons aujourd’hui n’existera sans
doute plus. Il ne s’agira plus d’exister sur des
mots clés, mais de s’indexer sur des services,
et dans le réel !
L’époque où Google ne référençait que des
sites Web touche à sa fin, le moteur indexe
aujourd’hui des “contenus”, indépendamment
des formats Web que nous ne connaissions
pas encore il y a 5 ans... Il indexe des données
issues de flux de produit, des offres, des bases
d’adresses physiques, des photos, des avis.
Avec l’avènement du mobile, le référencement
dans les 2 ans à venir ne sera plus affaire de
site Web, il sera affaire de présentation de
son offre. Diffuser son menu sur les sites qui
comptent, et au bon format. Bien renseigner son
adresse et ses caractéristiques pour apparaître
sur mobile, auprès de ceux qui cherchent un
hôtel à la dernière minute. Maîtriser ses avis
consommateurs, et leurs réponses, pour se
distinguer des autres sur les pages de service
géolocalisées et favoriser le clic de l’internaute.
Un travail plus complet, plus complexe mais
moins technique, et plus proche des métiers
traditionnels de la communication. Prêts ?
17
20. Faites le
plein de
vidéos
tutorielles !
Le Comité Départemental du Tourisme Haute
Bretagne, Tube2Com et FormaPeople vous
proposent une solution innovante dans le
domaine du tourisme pour vous perfectionner :
des vidéos tutorielles pour vous aider à acquérir
les bases du e-tourisme et vous initier aux
différents outils web du moment.
Tube2com, agence webmarketing Bretonne spécialisée dans le référencement et l'animation de
sites Internet propose depuis 4 ans des solutions pour booster la visibilité et la rentabilité des sites
de ses clients. En 2014, Tube2Com crée FormaPeople, son centre de formation 100% dédié au
webmarketing pour répondre au besoin des professionnels d'intégrer des compétences & des
savoirs dans leurs équipes.
20
21. Retrouvez une première série de 10 vidéos
pour apprendre à créer une page Facebook,
à modérer vos avis Tripadvisor ou encore
créer une page Google My Business…
Une véritable boîte à outils pour bien
communiquer sur le web et préparer sa
saison touristique efficacement !
D’autres vidéos suivront très prochainement,
pensez à vous abonner à la chaîne Youtube :
https://www.youtube.com/user/
cdthautebretagne pour être informé des
nouvelles vidéos mises en ligne.
Scannez ce code pour accéder
directement aux vidéos
21
22. Le dispositif permet aux professionnels :
• d’évaluer leur démarche numérique à travers le
référentiel qualité unique Diag 35, orienté usages et
relation avec le client (100 questions dans 5 domaines :
valorisation de l’offre, relation client, ergonomie et
graphisme, référencement naturel, réseaux sociaux).
• d’améliorer la qualité de leur démarche de
commercialisation et de marketing
• d’aligner par le haut l’offre du territoire en visant
l’excellence
À l’ensemble des acteurs du territoire :
• de disposer d’un diagnostic numérique permanent
et partagé
• de coordonner les actions et initiatives de chacun
tout en confortant son rôle
• d’exercer ses actions au profit de la réussite
collective.
En une année, le CDT et ses partenaires ont
accompagné 127 acteurs et professionnels du
tourisme.
Ils ont pu bénéficier d’un audit de leur site et de
leur stratégie marketing on-line, de conseils et
recommandations personnalisées. À la suite de cette
analyse, un accompagnement individualisé est mis
en place comprenant une évaluation continue de leur
performance et de leur progression, notamment après
optimisation ou refonte de leur site.
Le CDT, au travers de l’audit qu’il a
fait de notre site, nous a beaucoup
aidé à prendre du recul et à mieux
appréhender le point de vue “client”,
élément très important. Nous avons ainsi amélioré
l’ergonomie de notre site, avec des codes couleurs
améliorés, sa lisibilité et ses fonctionnalités.
Par ailleurs cette analyse externe nous a incité à être
plus présent sur les réseaux sociaux, en particulier
à créer une page Google Plus qui contribue à
l’amélioration de notre référencement naturel.
Un gain appréciable, une analyse simple
et immédiatement fonctionnelle, que du
bénéfice !
Monsieur Chatelier, Camping Dugueslin
à Saint‑Coulomb
DIAG 35
Il y a un an, le Comité Départemental du Tourisme
lançait DIAG 35 dans le cadre d'un accompagnement
des acteurs et professionnels du tourisme de
Haute Bretagne.
Un outil innovant qui est à présent repris dans 20 autres
départements en France !
"
"
22
23. 5 raisons de
s’engager dans la
démarche Diag 35
1. Un avis objectif
Le CDT n’est pas une agence web, il vous fournit un avis impartial, son objectif
étant que les sites Internet des professionnels du tourisme répondent au mieux
aux attentes et besoins des internautes.
2. Des experts du web et du tourisme à votre disposition
Le CDT dispose de collaborateurs qualifiés à la fois dans le domaine du web
et dans le tourisme, pour vous apporter des conseils personnalisés propres à
votre activité, votre clientèle et votre secteur géographique. Ils réalisent un audit
de votre site et de votre stratégie marketing sur Internet et vous accompagnent
dans la mise en place de leurs recommandations. Ils peuvent aussi réaliser une
nouvelle analyse de votre site après sa refonte.
3. Des conseils compréhensibles pour les non-initiés
L’analyse, qui comporte 5 volets : visibilité de l’offre, relation client, ergonomie
et graphisme, référencement naturel, réseaux sociaux, est rédigée de manière
à être compréhensible par tous. Les termes techniques utilisés sont clairement
expliqués et les bénéfices à attendre des conseils dispensés clairement exposés.
4. Des recommandations facilement applicables
Nos experts vous donnent des conseils facilement applicables qui vous
permettront d’être plus performant sur Internet. Ces conseils sont adaptés aux
caractéristiques de votre site et correspondent aux pratiques actuelles du web
dans le domaine du tourisme. Certaines recommandations qui concernent les
réseaux sociaux notamment, peuvent être mises en place immédiatement par
vous-même.
5. Une approche globale de votre présence sur Internet
L’audit intègre une analyse non seulement de
votre site Internet, mais aussi de votre présence
sur les réseaux sociaux. Elle vous apporte
des recommandations sur la gestion de votre
e-réputation et l’amélioration de votre notoriété
sur le web.
Vous n’avez pas
encore fait réaliser
un audit de votre site ?
N’attendez plus !
www.diag35.com
Elisabeth Pontais :
e.pontais@bretagne35.com
23
24. chiffres clés
2013
De la réservation en ligne en Haute Bretagne
Ces statistiques ont été extraites de l'outil de
disponibilités et de réservation proposé par le
Comité Départemental du Tourisme sur la base d'une
simple adhésion et sans commission sur les ventes
réalisées. Cet outil permet une mise en marché de
leur offre et facilite la mise en relation directe entre
les internautes et les professionnels.
Ces chiffres clés 2013 aident les professionnels à mener
des actions pertinentes en fonction du comportement
et de la période d'achat des internautes.
Volume d’affaires généré
525 089€
TOP 8
Des origines géographiques
des clients hébergements
qui sont nos clients ?
Quand viennent-ils ?
Combien de temps
passent-ils
en Haute Bretagne ?
24
25. Aujourd’hui plus de 700
professionnels utilisent la
plateforme de réservation .
Le volume d’affaires généré a
augmenté de 34% en 1 an.
Il ne tient qu’à vous de nous
rejoindre !
Hébergement,
quand communiquer ?
Mois ayant enregistré le plus de réservations en ligne
Octobre 13%
Mars 10%
Avril 10%
Juillet 10%
Février 17%
Mars 15%
Avril 12%
Juillet 11%
Avril 14%
Mars 13%
Juillet 13%
Février 12%
LOCATIIONS
Juillet 16%
Juin 15%
Août 15%
Avril 9%
CHAMBRES
D’HÔTES
Anticipation des séjours
Entre 3 et 6 mois Entre 1 et 3 mois Entre 1 semaine
et 1 mois
Moins
d’1 semaine
Dernière minute
le jour même
ou la veille
HOTELS
CAMPINGS
LOCATIONS
CHAMBRES
D’HÔTES
35%
2%
16%
33%
13%
20%
4%
36%
24%
13%
28%
2%
9%
37%
18% 19%
7%
2%
31%
34%
Durée des séjours
Hôtels |Campings |Locations |Chambres d’Hôtes
1 nuit 70% 5-7 nuits 71% 5-7 nuits 52% 1 nuit 59%
2-4 nuits 29% 2-4 nuits 15% 2-4 nuits 26% 2-4 nuits 36%
5-7 nuits 1% 8-14 nuits 10% 1 nuit 16% 5-7 nuits 5%
25
26. Glossaire
Dailymotion : site Internet de partage de vidéos (chaînes)
Facebook : site Internet, réseau social le plus populaire, pour répondre aux besoins
des professionnels, il est recommandé de créer une page "entreprise" et
non une page de profil.
FlickR : site Internet de partage de photos (galerie)
Google Adwords : annonce commerciale (avec un lien vers le site) qui apparaît selon des
mots clés achetés. Le budget défini pour une “campagne” peut diminuer à chaque
clic sur l’annonce.
Google My Business : est un réseau social sur lequel apparaît une fiche sur votre établissement
visible sur Internet et sur les GPS qui emploient Google Maps (Androïd).
Ce site permet le dépôt d’avis et la diffusion d’actualités.
Google Hotel Finder : moteur de recherche spécialisé sur les Hôtels
Moteur de recherche : il s’agit d’un site Internet (par exemples : Google, Yahoo, Bing…)
permettant de retrouver des ressources (pages web, articles de forums, images,
vidéo, fichiers, etc.) associées à des mots quelconques.
Un système de recherche par mots clés peut aussi apparaître dans unsite Internet
pour retrouver des pages (par exemple lorsque vous cherchez un hôtel sur un site
Internet spécialisé)
Pinterest : site Internet de partage de photos (galerie)
Référencement : consiste en le fait d’apparaître dans la liste des résultats des moteurs de recherche
(on parle aussi d’indexation), il existe différentes techniques qui visent à améliorer
son positionnement selon des mots clés.
On différencie le référencement "naturel" gratuit, du référencement payant (achat
de "Google Adwords").
Réseaux sociaux : tout site permettant la création et l’animation de liencommunautaire, par exemple :
facebook, twitter, google my business … D’autres réseaux spécialisés existent
comme les plateformes partages de photos : FlickR, Pinterest, Instagram… et
vidéos : YouTube, Viméo, Daily Motion…pour les avis : Zoover, tripadvisor…
Robots : ce sont les programmes des moteurs de recherche qui visitent votre site.
Ces programmes vérifient la pertinence de votre site pour leréférencement.
Smartphone : est un appareil téléphone mobile enrichi avec des fonctionnalités
proches d’un ordinateur. Il permet d’accéder à Internet, consulter ses mails,
commander en ligne, s’orienter via un GPS, déposer des avis…
Les constructeurs les plus populaires sont : Apple (i-phone), Samsung
(série “Galaxy”...), Nokia (Lumia), Huawei, Blackberry, LG,...
Twitter : réseau social qui permet l’envoi gratuit de courts messages, appelés
"Tweets" (140 signes maximum).
Youtube : site Internet de partage de vidéos (chaînes).
26
27. Alexandre Ionoff
www.alexionoff.fr
Création de site web à Rennes
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À l'encre bleue
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360 Degrés
http://360degres.info
Adrien Duquesnel
Photos reportage
Carnet d’adresses
Remerciements
Le Comité Départemental du Tourisme Haute Bretagne remercie
toutes les personnes ayant contribué à la rédaction de ce guide des
Rencontres du Numérique #2 en Haute Bretagne :
Ludovic Dublanchet
Alexis Mons
Jérôme Morlon
Mathieu Bruc
Thomas Mathieu
L’agence Dolist
Olivier Méril
François Houste
Nicolas Rudelle
Thomas Picos
27
28. DXM Profuse® Partenaire officiel
des Rencontres du Numérique #2
CONCEPT INNOVATION DESIGN CREATION DIGITAL
Spécialiste des métiers du Tourisme,
DXM Profuse est la référence en affichage
dynamique.
Concepteur & designer, nous proposons
des produits toujours plus innovants et
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entrées, des écrans et murs d’images dans
vos hôtels, des tables tactiles dans vos
thalassothérapies, des bornes intéractives
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Une multitude de possibilités pour élever
votre communication encore plus haut.
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Comité Départemental du Tourisme Haute Bretagne Ille-et-Vilaine
5 rue du pré Botté - BP60149 - 35101 Rennes cedex3
Tel 02 99 78 47 47 - Fax 02 99 78 33 24 - contac@bretagne35.com