24. Artemisia annua et protéase du SARS-CoV-2
Frontiers in Medicine, 15 juin 2022
25. Artemisia annua et SARS-CoV-2: Rhamnocitrine,
isokaempferide, kaempferol
• Les chercheurs de plusieurs pays dont le Nigéria, l’Egypte, l’Arabie
Saoudite et le Brésil ont réussi à partir de 168 molécules d’Artemisia
annua à isoler une molécule, la rhamnocitrine ayant le potentiel le plus
élevé pour inhiber la principale protéase du SARS-CoV-2, suivie par
deux autres molécules l’isokaempferide et du kaempferol.
• Les trois composés, comme le ligand standard, ont occupé le site actif
de Mpro, où ils ont interagi avec d’importants résidus d’acides aminés
comme HIS 41, ASN 142, CYS 145, et GLU 166, entre autres. La
rhamnocitrine s’est révélée stable, avec un mode de liaison unique
dans le site actif de la protéine tout au long de la simulation. Les trois
composés sélectionnés possèdent un profil ADMET favorable et aucun
d’eux n’a montré la tendance à l’hépatotoxicité, la cancérogénicité, la
mutagénicité, la cytotoxicité et l’immunotoxicité. Par conséquent, ces
composés d’Artemisia annua pourraient faire l’objet d’études
expérimentales et d’autres développements dans des médicaments
pour le traitement du SRAS-CoV-2. »
26. FIGURE 6. Interactions moléculaires de la
rhamnocitrine avec la protéase principale du SARS-
CoV-2
49. Dead Sea salts as a new approach for the treatment
of seborrheic dermatitis
Les sels de la mer Morte comme nouvelle approche
pour le traitement de la dermatite séborrhéique
50. De 1887 à 2022 : Vers une solution de la
dermite séborrhéique