Dans ce numéro de mai, nous vous proposons d’aborder des sujets aussi variés que d’actualité dans notre course pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre. La plupart des articles synthétisent des projets auxquels nous nous sommes consacrés durant notre semestre d’étude et constituent des réflexions originales mêlant économie et énergie. S’il semble difficile de trouver une articulation au regard du sommaire, la prise de recul et le travail bibliographique font systématiquement émerger des limites à certaines solutions technologiques et politiques sur lesquelles nombre d’acteurs de la transition énergétique se reposent. Selon un volet technique, un dossier pointe les limites environnementales et économiques des technologies de capture et valorisation du carbone. Un autre article nous emmène en Afrique de l’Ouest et se consacre aux opportunités de prise de leadership de ces pays dans le développement des réseaux de demain, leviers de leur développement économique. Sera aussi abordé le paradoxe entre l’ahurissante empreinte environnementale de l’IT ou de la Blockchain face à la meilleure gestion des énergies qu’elle permet. Un autre volet nous livrera une réflexion sur les faiblesses de la COP21 et les « évasions » qui s’ensuivent naturellement. Un bref état de l’art du cadre des rénovations thermiques fermera cette partie. Paradoxalement, c’est à l’heure de l’explosion de l’influence des nouvelles technologies sur la modification de nos modes de vie que se pose urgemment la question de la soutenabilité de ces modes de vie… Bonne lecture ! Raphaël CLUET
Dans ce numéro de mai, nous vous proposons d’aborder des sujets aussi variés que d’actualité dans notre course pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre. La plupart des articles synthétisent des projets auxquels nous nous sommes consacrés durant notre semestre d’étude et constituent des réflexions originales mêlant économie et énergie. S’il semble difficile de trouver une articulation au regard du sommaire, la prise de recul et le travail bibliographique font systématiquement émerger des limites à certaines solutions technologiques et politiques sur lesquelles nombre d’acteurs de la transition énergétique se reposent. Selon un volet technique, un dossier pointe les limites environnementales et économiques des technologies de capture et valorisation du carbone. Un autre article nous emmène en Afrique de l’Ouest et se consacre aux opportunités de prise de leadership de ces pays dans le développement des réseaux de demain, leviers de leur développement économique. Sera aussi abordé le paradoxe entre l’ahurissante empreinte environnementale de l’IT ou de la Blockchain face à la meilleure gestion des énergies qu’elle permet. Un autre volet nous livrera une réflexion sur les faiblesses de la COP21 et les « évasions » qui s’ensuivent naturellement. Un bref état de l’art du cadre des rénovations thermiques fermera cette partie. Paradoxalement, c’est à l’heure de l’explosion de l’influence des nouvelles technologies sur la modification de nos modes de vie que se pose urgemment la question de la soutenabilité de ces modes de vie… Bonne lecture ! Raphaël CLUET