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  1. 1. CINESIOLOGIE DU TRONC 1. Le rachis dans son ensemble 2. Ceinture pelvienne et articulations sacro-iliaque 3. Rachis lombaire 4. Rachis dorsal et respiration 5. Rachis cervical
  2. 2. 1. Le rachis dans son ensemble
  3. 3. LE RACHIS AXE HAUBANNE • 2 impératifs: – Rigidité – Souplesse • Mat d’un navire • 2 systèmes de haubans • Haubans: ligaments et muscles • Souplesse: multiples pièces superposées
  4. 4. LE RACHIS AXE DU CORPS PROTECTEUR DE L’AXE NERVEUX • Pilier central du tronc • Protecteur de l’axe nerveux: du trou occipital à L2
  5. 5. COURBURES DU RACHIS • Plan frontal: rectiligne • Plan sagittal – Courbure sacrée fixe – Lordose lombaire – Cyphose dorsale – Lordose cervicale
  6. 6. APPARITION DES COURBURES DU RACHIS • Phylogenèse: – Redressement – Inversion de la courbure lombaire • Ontogenèse: – Même développement – 1 jour: rachis lombaire concave en avant – 10 ans: courbure définitive 1 jour 5 mois 13 mois 3 ans 8 ans 10 ans
  7. 7. Corps vertébral Arc post Apophyses articulaires Pédicules Lame Apophyse épineuse Apophyses transverses
  8. 8. Axe rachidien: un trépier • 3 colonnes le long du rachis: – Colonne principale en avant (corps vertébraux) – 2 colonnettes secondaires en arrière (apophyses articulaires) • Corps vertébraux réunis par DIV
  9. 9. DIVISION FONCTIONELLE DU RACHIS • Pilier antérieur (A) – Rôle statique de support • Pilier postérieur (B) – Rôle dynamique • Segment passif (I) • Segment moteur (II) • Liaison fonctionnelle entre pilier ant et post: pédicules • Système de levier d’amortissement: – Point d’appui – Amortissement passif – Amortissement actif
  10. 10. LVCA LVCP Nucleus pulposus Annulus fibrosus Ligament jaune Ligament inter-épineux Ligament sur-épineux Ligament inter-transversaire Ligament inter-apophysaire LES ELEMENTS DE LIAISON INTERVERTEBRALE
  11. 11. Nucléus assimilé à une rotule • Forme de sphère • Mouvement d’une bille intercalée entre 2 plans (articulation dite « à rotule ») • Permet 3 types de mouvements: – Inclinaison (flexion/extension; inflexion latérale) – Rotation – Glissement ou cisaillement
  12. 12. • Compression axiale: – Nucleus: 75% de la charge – Annulus: 25% • Nucleus: répartiteur de pression dans le sens horizontal sur l’annulus (EX: repos L5-S1 : 28Kg par cm linéaire et 28 KG par cm2. à la flexion et au port de charge • Pression du nucleus jamais nulle (hydropillie): état de précontrainte qui augmente sa résistance lors de l’apparition d’une force • Qualité elastique du DIV (Exp de Hirsch)
  13. 13. • En position debout : passage d’eau du nucleus vers le centre des plateaux vertebraux: – Donc en fin de soirée le nucleus est moins hydraté et le DIV a perdu de son épaisseur.(2 cm au total) • Inversement en DD l’hydrophilie du nucleus attire l’eau
  14. 14. • Compression quand on s’approche du sacrum • La de hauteur du disque n’est pas la même sur les DIV déjà lésés • Écrasement progressif du DIV retentit sur les articulations interapophysaires arthrose
  15. 15. • Epaisseur du DIV # selon l’étage rachidien • Notion de proportion du disque par rapport à la hauteur du corps vertébral: reflet de la mobilité • Mobilité cervicale > lombaire > dorsale
  16. 16. COMPORTEMENT DU DIV DANS LES MOUVEMENTS ELEMENTAIRE • Elongation – épaisseur du DIV – Nucleus devient sphérique – pression dans le nucleus ( base du traitement des HD par élongation) • Compression – Nucleus s’aplatit – Transmission latérale des forces vers les fibres les plus internes de l’annulus • Contraintes asymetriques – Extension (46) Nucleus chassé vers l’avant, appuie sur les fibres antérieures de l’anneau dont il la tension ce qui tend à ramener la vertébre supérieure dans sa position initiale (auto stabilisation) – Flexion : inverse
  17. 17. ROTATION DU RACHIS LORS DE L’INFLEXION LATERALE • Lors de l’inflexion latérale les corps vertébraux tournent sur eux-mêmes: leur ligne médiane antérieure se déplace vers la convexité de la courbure. • La ligne des épineuse se déplace vers la concavité • Mécanismes: – Compression des DIV dans la concavité – Mise en tension ligamentaire dans la convexité • Rotation permanente pathologique des corps vertébraux : SCOLIOSE: – Inflexion + rotation – Voussure thoracique du coté de la convexité
  18. 18. Amplitude flexion-extension • Plan sagittal • Référence au crâne : plan masticateur • Amplitude totale du rachis : 250°
  19. 19. AMPLITUDE D’INFLEXION • Plan frontal • Plan du plateau supérieur de la vértebre considérée • Crâne : ligne bi- mastoïdienne • Inclinaison totale : 75 à 85°
  20. 20. AMPLITUDE DE ROTATION • Difficile à mesurer • Cervical > dorsal > lombaire • Role de l’atlas • Rotation totale entre bassin et crane = 90°
  21. 21. APPRECIATION CLINIQUE DES AMPLITUDES ARTICULAIRES
  22. 22. 2. CEINTURE PELVIENNE ET ARTICULATIONS SACRO-ILIAQUE
  23. 23. ARCHITECTURE DU PELVIS • Poids P su L5 se transmet vers les ailerons sacrés, éperons sciatique et cotyle. • Force R du sol transmise par col fémoral. • Ensemble forme un anneau complet.(détroit sup, système trabéculaire) • Sacrum considéré comme un coin entre les ailes iliaques (système autobloquant dans le plan frontal et horizontal) • Interdépendance des différents éléments de l’anneau pelvien: – Si dislocation de la symphyse pubienne possibilité de déplacement du sacrum
  24. 24. SURFACE ARTICULAIRE DE L’ARTICULATION SACRO-ILIAQUE • Facette auriculaire de l’os coxal: – Croissant à concavité post-sup – Rail plein (Farabeuf) – Centre du cercle: tubérosité iliaque (ligaments++) • Surface auriculaire du sacrum: – Inversement conformée – Rail creux – Centre du cercle: 1er tubercule sacré (ligaments++) • Rail plein et creux : pas tout a fait vrai: – Vrai à la partie sup et moyenne, pas vrai en inf – Conséquence: difficulté « d’enfiler » l’articulation par un rayon radio.
  25. 25. Facette auriculaire du sacrum: plusieurs types • Courbure du rachis très accentuées (dynamique): – Sacrum horizontal – Facette très concave – Mobilité+++ • Courbures du rachis faibles (statique) – Sacrum vertical – Facette allongée – Faible mobilité
  26. 26. NUTATION DU SACRUM • Sacrum tourne autour de l’axe • Promontoire se déplace en bas et avant • Pointe du sacrum en arrière • DAP du détroit sup de S2 • DAP du détroit inf de D2 • Ailes iliaques se rapprochent • Tubérosités ischiatiques s’écartent
  27. 27. CONTRE NUTATION
  28. 28. SYMPHYSE PUBIENNE • Amphi-arthrose : mobilité quasi nulle sauf grossesse et accouchement • Coupe horizontale : – Extrémité osseuse des pubis encroûtée de cartilage (ligament inter osseux) • Vue interne : – Surface art oblique en haut et avant – Surmontée par le tendon du grand droit(1) – Lgmt ant en avant (3) (aponévrose Gd oblique + grand droit + pyramidal + expansion droit interne et moyen adducteur • Face post : – Lgmt post de la symphyse (5) = membrane fibreuse continue avec le périoste horizontale Vue interne Face post
  29. 29. INFLUENCE DE LA POSITION 1/ POSITION DEBOUT • 2 articulations: coxo-fémorale et sacro-iliaque • Poids du tronc (P) s’applique sur la face sup de S5 et a tendance à abaisser le promontoire • Le sacrum est donc sollicité vers la nutation (N1) • Mouvement limité par les 2 Lgmt sacro-sciatique: empêchent l’écartement de la pointe du sacrum • Simultanément réaction R du sol appliquée sur les têtes fémorales • Couple de rotation R et P tendant à faire basculer l’os iliaque en arriere (N2) • En fait très peu de mouvement: vite limité par le puissant système ligamentaire
  30. 30. 2/ APPUI MONOPODAL • Réaction du sol R élève l’art coxo-fémorale • De l’autre coté le poids du membre abaisse l’art coxo-fémorale • Donc contrainte en cisaillement de la symphyse • Si pathologie: dénivellation « d » lors de la marche • Même sollicitation sur les sacro-iliaque • Mais résistance dûe à la puissance des lgmts • Si dislocation traumatique: mouvements ressentis de façon douloureuse à chaque pas
  31. 31. 3.LE RACHIS LOMBAIRE
  32. 32. LE RACHIS DANS SON ENSEMBLE FACE • Largeur des corps vertébraux régulièrement de bas en haut • Ligne horizontale h passant par la partie sup des cretes iliaquespasse entre L4 et L5 • Les verticales a et a’ abaissées du bords externes de l’aileron sacré tombent dans le fond du cotyle
  33. 33. LE RACHIS DANS SON ENSEMBLE PROFIL • Angle sacré « a »: 30° • Angle lombo-sacré « b »: 140° • Angle d’inclinaison du bassin « c »: 60° • Flèche de la lordose lombaire « f » • Renversement post « r »: distance entre bord post-inf de L5 et la verticale descendant du bord post-inf de L5 – Positive si le rachis lombaire est renversé en arrière – Négative si le rachis lombaire est penché en avant
  34. 34. FLEXION EXTENSION DU RACHIS LOMBAIRE • Flexion – Vertèbre sus-jacente s’incline et glisse en AV (F) – du DIV dans sa partie ant et dans sa partie post – Nucleus pulposus chassé en AR et la pression des fibres post de l’annulus – Mouvement limité par capsule et lgmt des art inter apophysaire + lgmt jaune + lgmt inter épineux, sur- épineux + LVCP • Extension – Mécanisme inverse sur le DIV, nucleus et annulus – Mouvement limité par: • Tension du LVCA • Butées osseuses au niveau de l’arc post
  35. 35. INCLINAISON DU RACHIS LOMBAIRE • Vertèbre s’incline du coté de la concavité • Nucléus vers la convexité • Mise en tension du lgmt inter-transversaire du coté de la convexité (6) • L’articulaire de la vertèbre sup s’élève (8) • Simultanément: détente des lgmts jaunes et de la capsule articulaire inter- apophysaire du coté de la concavité et mécanisme inverse du coté de la convexité
  36. 36. ROTATION DANS LE RACHIS LOMBAIRE • Rotation du rachis lombaire très faible (1° par coté et par étage) Pourquoi? • Facettes articulaires sup regardent en AR et DD • Décrivent un cercle de centre O • Diamètre du cercle plus grand sur vert inf, ce qui recule le point O • Le centre de ce cylindre n’est pas confondu avec le centre des plateaux vertébraux • La rotation se fait autour du centre O et s’accompagne obligatoirement d’un glissement du corps vertébral et donc de contraintes en cisaillement du DIV Vert sup Vert inf Vue sup
  37. 37. CHARNIERE LOMBO SACRE ET SPONDYLOLISTESIS • Point de faiblesse+++ • L5 glisse sur S1 • Glissement empêché par l’encastrement des art inf de L5 sur les art sup de S1 • Transmission de force max au niveau de l’isthme • Si rompu : spondylolyse • Alors glissement de L5 : spondylolisthesis • L5 retenu par DIV et muscles paravertébraux (contracture = douleur) • Sur radio de ¾ image du chien : fracture de l’isthme = cou du chien coupé
  38. 38. MUSCLES DE LA PAROI ABDOMINALE : LA ROTATION DU TRONC • Rotation sur l’axe rachidien réalisée par – Muscles des gouttières vertebrales (transversaire épineux) – Muscles larges de l’abdomen +++ • Rotation vers la gauche contraction synergique : – GO droit – PO gauche
  39. 39. MUSCLES DE LA PAROI ABDOMINALE: FLEXION DU TRONC • Action puissante car 2 grands bras de levier: – Bras de levier inf (distance promonto-pubienne) – Bras de levier sup (console dorso-xiphoïdienne) • Muscles: – GD +++ – PO – GO • GD = tendeur direct • PO = tendeur oblique en bas et AR • GO = tendeur oblique en bas et AV
  40. 40. REDRESSEMENT DE LA LORDOSE LOMBAIRE • Position asthénique: – de toutes les courbures – Bassin en anté-version • Redressement des courbures prend son origine au pelvis: – Action des extenseurs de hanches (IJ et GF) qui basculent le bassin en AR (rétro-version) – Action des GD +++
  41. 41. TRONC = STRUCTURE GONFLABLE Action isolée des muscles rachidiens • Calcul des pressions sur le DIV L5-S1+++ • Poids du tronc P va s’appliquer au niveau du bras de levier P1 • Pour équilibrer: force S1 des muscles spinaux (S1 = P1 × 8) • P1 + S1 s’applique sur DIV L5-S1 • Plus on se penche + P1 • Ex: – Charge 10Kg, genoux fléchis, tronc vertical, S1 = 141Kg – Charge 10Kg, genoux tendus, penché en avant, S1 = 256Kg – Charge 10Kg, bras tendu, S1 = 363Kg. Charge subie par le nucléus jusqu’à 1200Kg
  42. 42. TRONC = STRUCTURE GONFLABLE mécanisme de protection • de pression par intervention du tronc • de pression abdomino-thoracique: manœuvre de Valsalva • Poutre rigide gonflable en avant du rachis • Pression de: – 50% sur D12-L1 – 30% sur L5-S1 • de 55% de la tension des muscles spinaux • Mais n’agit que temporairement: – Apnée – pression veineuse et retour veineux au cœur – Intégrité des systèmes de fermeture du caisson.
  43. 43. Statique lombaire en position debout Concavité coté appui Concavité opposée à l’appui Concavité coté appui
  44. 44. FLEXION ET REDRESSEMENT • Flexion du tronc: – Spinaux – Fessiers – Ischio – Soléaires • Redressement: ordre inverse • En position debout le léger déséquilibre antérieur est controlé par les muscles post: – T – IJ – F – S
  45. 45. AMPLITUDE DU RACHIS LOMBAIRE
  46. 46. AMPLITUDE D’INCLINAISON
  47. 47. AMPLITUDE DE ROTATION DU RACHIS DORSO LOMBAIRE PENDANT LA MARCHE • Méthode des broches métaliques • DIV D7-D8 reste en place pdt la marche • Mais rotation maximale entre les 2 vertèbres adjacentes • D7-D8 : espace pivot pendant la marche • Faible rotation du rachis lombaire et dorsal sup
  48. 48. AMPLITUDE TOTALE DE ROTATION DU RACHIS DORSO LOMBAIRE • Amplitude + faible assis car bassin – mobile hanches fléchies • Rachis lombaire : 10° (5° de chaque coté donc 1° par étage) • Rachis dorsal : 75° (37° de chaque coté donc 3,4° par étage) • ROT rachis dorsal 4 fois + grande qu’au niveau lombaire • Méthode des broches difficile en pratique
  49. 49. TROU DE CONJUGAISON RAPPELS Trou de conjugaison Pédicule de la vertèbres sus-jacente DIV Pédicule vertèbres sous-jacente Articulation post Lgmt jaune NR dans le sac dural
  50. 50. DIFFERENTS TYPES DE HERNIES DISCALES • Si fibres de l’annulus résistantes (<25 ans), effondrement des plateaux vertébraux = hernie intra-spongieuse • >25 ans : annulus fragile : déchirures intra-fasciculaires • Substance du nucleus fuse à travers les fibres • Fusées radiales > > concentriques • Fusées post > > ant vers le LVCP
  51. 51. DIFFERENTS TYPES DE HERNIES DISCALES A. HD bloquée sous le LVCP (traction vertébrale++) B. Effondrement du LVCP, libération dans le canal vertébral : HD libre C. HD bloquée sous le LVCP alors que les fibres de l’annulus se sont refermées derrière elle (pas de retour possible) D. HD migratrice sous ligamentaire • Lombalgie quand mise en tension du LVCP • Radiculalgie si compression de la racine
  52. 52. RACHIS DORSAL RESPIRATION
  53. 53. LA VERTEBRE DORSALE PARTICULARITES • 3 facettes articulaires • Articulation costo-vertébrale • 2 sur le corps vertébral – Bord post-sup – Bord post-inf • 1 sur l’apophyse transverse – Facette costale • D12: vertèbre charnière – Facette art qu’au bord sup du corps – Partie inf ressemblant aux vertèbres lombaires
  54. 54. FLEXION-EXTENSION DU RACHIS DORSAL • Extension – Inclinaison en AR du CV de la vert sup – DIV s’écrase en AR et s’élargit en AV – Nucleus chassé en AV – Mouvement limité par • Butée des apophyses art • Apophyses épineuses (très inclinées et très proches) • Flexion – Mouvement inverse des corps et DIV – Mouvement limité par: • Tension du Lgmt inter-épineux • Lgmt jaune et capsule des articulations inter- apophysaires • LVCP
  55. 55. INFLEXION LATERALE DU RACHIS DORSAL • Glissement différentiel des art inter- apophysaires: – Coté convexité les facettes glissent vers le haut – Coté concavité vers le bas • Limitation du mouvement: – Butée des apophyses articulaires coté concavité – Tension des Lgmt jaune et inter- transversaire coté convexité – Role +++ de la cage thoracique
  56. 56. ROTATION DU RACHIS DORSAL • # de la rotation lombaire: – Orientation # des articulations inter- apophysaires – Axe du cylindre de mouvement au centre des CV – Donc torsion-rotation des DIV et non plus cisaillement – Amplitudes torsion-rotation > cisaillement – Rotation dorsale élémentaire = 3 fois la rotation lombaire
  57. 57. ROTATION DU RACHIS DORSAL •Mais la rotation dorsale pourrait être encore + grande si pas limitée par le thorax: -Chaque étage vertébral entraîne la déformation de la paire de côtes correspondante - Glissement des côtes limité par le sternum • de la concavité costale du côté de la rotation (1) • de la concavité costale du côté opposé (2) • de la concavité chondr-costale du coté opposé à la rotation (3) • de la concavité chondro-costale du coté de la rotation (4) •Effort de cisaillement du thorax qui devient de + en + rigide avec l’age
  58. 58. ARTICULATIONS COSTO-VERTEBRALE
  59. 59. MOUVEMENT DES COTES AUTOUR DES ARTICULATIONS COSTO-VERTEBRALE • Lors de l’élévation des côtes: – du diamètre transversal du thorax inférieur – du diamètre antéro-postérieur du thorax supérieur • Car axe OO’ passant par les art coto-vertébrale et costo- transversaire est: – Proche du plan sagittal pour les côtes basses – Proche du plan frontal pour les côtes supérieures
  60. 60. DEFORMATION DU THORAX DANS LE PLAN SAGITTAL • Pentagone formé par le rachis, la 1er côte, le sternum, la 10ème côte • La 1er côte s’élève de AA’ • Alors élévation du sternum passant de AB à A’B’ • Il ne reste pas // à lui-même (cote sup le diamètre ant-post augmente plus) • Fermeture de l’angle OA’B’ • La 10ème côte s’élève de CC’ • Ici le cartilage costal reste // à lui-même • Donc ouverture de l’angle C en C’
  61. 61. MUSCLES INTERCOSTAUX • Muscles surcostaux (s): inspirateurs • M. intercostaux externes(E): inspirateurs • M. intercostaux internes (I): expirateurs • Schéma d’Hamberger expliquant en fonction de l’obliquité des fibres, le mécanisme d’action de ces muscle (OO’ = rachis fixe): – Intercostaux ext: on passe du parallélogramme OA1B1O’ à OA2B2O’ – Intercostaux int: on passe du parallélogramme OA1B1O’ à OA2B2O’
  62. 62. LE DIAPHRAGME • Descend +bas en AR qu’en AV • Point culminant: centre phrénique (1) dont partent les fibres musculaires qui rayonnent vers le thorax (2): – CC 11ème et 12ème côte – Rachis (pilier G 3 et pilier D 4) – Arcade du psoas (7) – Arcades du Carré des lombes (8) • Il agrandit les 3 volumes thoraciques: – Diamètre vertical par abaissement du centre phrénique – Diamètre transversal par élévation des côtes inférieures – Diamètre ant-post par élévation des côtes supérieures par l’intermédiaire du sternum
  63. 63. LES MUSCLES DE LA RESPIRATION 4 Groupes • M. inspirateurs principaux: – Diaphragme, intercostaux ext et surcostaux • M. inspirateurs accessoire: – SCM, scalènes ant moy post, – Grand pectoral, petit pectoral – Fx inf du grand dentelé, grand dorsal – Petit dentelé • M. expirateurs principaux: – Intercostaux int seul. Car exp est un phénomène passif++ • M. expirateurs accessoires (expiration forcée): – Grand droit, grand oblique, petit oblique – Long dorsal, carré des lombes
  64. 64. LE RACHIS CERVICAL
  65. 65. LE RACHIS CERVICAL DANS SON ENSEMBLE • Constitué de 2 parties anatomiquement et fonctionnellement distinctes: – Le rachis cervical sup: • Atlas et axis • Articulation complexe avec occiput à 3 degrés de liberté – Le rachis cervical inf: • Du plateau inf de l’axis au plateau sup de D1 • Seul mouvement de flexion-extension et inclinaison • Les vertèbres cervicales sont toutes semblable sauf C1 et C2
  66. 66. ATLAS Masse latérale Facette articulaire Arc antérieur Facette articulaire avec apophyse odontoïde de C2 Arc post Crête verticale Apophyse transversale Artère vertébrale Gouttière dans les masses de l’artère vertébrale
  67. 67. AXIS Corps vertébral Apophyse odontoïde Facette articulaire Arc postérieur/pédicule lame Apophyse épineuse Apophyse articulaire inf Apophyse transverse Artère vertébrale
  68. 68. ARTICULATION ATLOIDO-AXOIDIENNES • 3 articulations: – Atloïdo- odontoïdienne (axiale, sert de pivot) – Atloïdo- axoïdienne (2 art latérale et symétriques) • Facette art sup: – ovalaire, convexe d’AV en AR mais rectiligne dans le sens transversal. – Considérée comme un cylindre dirigé en DH et en bas • Apophyse odontoïde: – Cylindrique, déjetée en AR – Facette art en AV convexe s’articulant avec arc ANT de l’atlas – En AR une gouttière s’articulant avec le Lgmt transverse de l’atlas
  69. 69. FLEXION-EXTENSION ENTRE C1 ET C2 Mouvement théorique • Si les masses latérales de l’atlas roule sur l’axis alors: – Flexion: • Avancée de la ligne PA en PA’ • Baillement vers le haut de l’arc ant de l’atlas – Extension: • Ligne PB en PB’ • Baillement inf de l’arc ant B’ B
  70. 70. FLEXION-EXTENSION ENTRE C1 ET C2 • En fait: ce baillement n’existe pas car: – Présence du ligament transverse – Facette inf des masses latérales de l’atlas roule et glisse sur l’axis (Cf tibia)
  71. 71. ROTATION C1-C2 • Articulation atloido-odontoïdienne: trochoïde comportant 2 surfaces cylindrique emboitées: – Cylindre plein: odontoïde (facette art ant et post) – Cylindre creux entourant ce cylindre plein: • Arc ant de l’atlas en AV • Masses latérales sur les cotés avec sur face interne un tubercule ou se fixent: • Le ligament transverse en AR • Deux articulations: – En AV type synovial avec capsule – En AR pas de capsule entre 2 surfaces fibro- cartilagineuses • Lors de la rotation vers la G: l’odontoïde reste fixe et l’anneau tourne
  72. 72. ROTATION C1-C2 • Rotation de la G vers la D: – Masse latérale gauche avance – Masse latérale droite recule • Inverse vers la G
  73. 73. • Mais surface sup de l’axis convexe d’AV en AR • Trajet des masses latérales est curviligne à convexité sup (trajet X-X’) • Rotation nulle: position moyenne de O • Lorsqu’il se déplace vers l’AV il descend de 2 à 3mm
  74. 74. ARTICULATION OCCIPITO- ATLOIDIENNE • 2 art, paires et symétriques • Facettes atloïdiennes ovalaires, à grand axe oblique en AV et DD, convergeant vers un point N en AV de l’arc ant. • Concave dans les 2 sens • Comprise sur la surface d’une sphère de centre O • Condyles occipitaux situés sur la même sphère : centre O à l’intérieur du crâne au dessus du trou occipital • 3 axes de liberté: – Rot axiale autour d’un axe vertical QO – Flexion extension, autour d’un axe transversal passant par le centre O – Inclinaison latérale autour d’un axe ant-post PO
  75. 75. INCLINAISON DANS L’ARTICULATION OCCIPITO-ATLOIDIENNE • Aucun déplacement entre C1 et C2 • Inclinaison uniquement entre: – Axis et C3 – Occipital et atlas (amplitude faible, glissement des condyles) • Inclinaison G: Le condyle Gse rapproche de l’odontoïde mais ne vient pas à son contact (mvt limité par le lgmt occipito-odontoïdien latéral droit) • Inclinaison totale entre occipital et C3: 8°: – 5° entre axis et C3 – 3° entre occipital et atlas Vue post
  76. 76. FLEXION DANS L’ARTICULATION OCCIPITO-ATLOIDIENNE • Glissement des condyles occipitaux sur les masses latérales de l’atlas • Flexion: – CO reculent sur les masses latérales – Écartement de l’écaille de l’occipital de l’arc post de l’atlas – Arc post de l’atlas s’écarte de l’arc post de l’axis – Limité par lgmt et capsule post • Extension – Mvmt inverse – Limité par le contact des 3 éléments osseux – Arc post de l’atlas pris comme dans un casse- noisette peut être brisé • Amplitude totale flex-ext dans l’occipito- atloïdienne: 15°
  77. 77. FLEXION-EXTENSION DANS LE RACHIS CERVICAL INF • Extension: – Vert sup s’incline et glisse vers l’AR – Baillement dans l’art inter-apophysaire – Facette sup glisse en bas et AR et forme un angle x’ avec l’autre facette – Mvmt limité par les butées osseuse et LVCA • Flexion – Mvmt inverse – Formation d’un angle Y’ – Mvmt limité uniquement par tension ligamentaire (LVCP, capsule inter- apophysaire, lgmt jaune, lgmt inter-épineux • Coup du lapin: extension puis flexion max: au max : luxation antérieure des articulaires: mise en danger du bulbe et de la moelle
  78. 78. MOUVEMENT DANS LES ARTICULATIONS UNCO- VERTEBRALE • Le DIV ne va pas jusqu’au bord • Le plateau sup se relève en 2 apophyses unciformes encroûtées de cartilage+ capsule art • Mvmt d’inclinaison: – Bâillement de cette art d’angle a’ et a’’ – En fait mvmt très complexe inclinaison + rotation + extension
  79. 79. MESURE DES AMPLITUDES DU RACHIS EN PRATIQUE • Flexion-extension: – Référence: plan masticateur • Inclinaison: – Angle formé par la ligne des clavicules et la ligne des yeux • Rotation – Sujet assis – ligne des épaules et plan frontal passant par les oreilles (R) – Soit plan sagittal de la tête avec plan sagittal du corps (ROT)
  80. 80. AMPLITUDE ARTICULAIRE DU RACHIS CERVICAL • Flexion-extension dans le rachis cervical inf: 100 à 110° • Flexion-extension rachis total: 130° • Donc flexion-extension dans le rachis sous-occipital: 20 à 30° • Inclinaison totale: 45° • Rotation totale: 80 à 90° de chaque coté
  81. 81. EQUILIBRE DE LA TETE SUR LE RACHIS CERVICAL • Équilibre quand le regard est à l’horizontale • Plan masticateur et auriculo-nasal sont horizontal • La tête réalise un levier inter-appui: – Point d’appui O au niveau des condyles occipitaux – Résistance G: poid de la tete à partir de son centre de gravité (prés de la selle turcique) – Puissance F : force des muscles de la nuque: contractés en permanence pour lutter contre l’appesanteur
  82. 82. RAPPORT DE L’ AXE NERVEUX AVEC LE RACHIS CERVICAL • Canal rachidien protège le bulbe et la moelle cervicale • Rachis sous-occipital=zone de transition mécanique: – Bulbe puis moelle situés en AR et entre les 2 condyles occipitaux – Mais entre CO et C3 , l’atlas et l’axis répartissent sur 3 colonnes le poids de la tête, d’abord supporté par 2 colonnes (C, C’). Ces 3 colonnes sont: • Colonne des CV • 2 colonnes latérales des apophyses art (A et A’)
  83. 83. RAPPORT DE L’ AXE NERVEUX AVEC LE RACHIS CERVICAL • Division des lignes de forces au niveau de l’axis (=répartiteurs de forces entre crâne et atlas / rachis cervical inf) • Les efforts supportés par chaque condyle occipital (c) vont se diviser en 2: •Vers AV et DD: efforts statiques vers les CV à travers le corps de l’axis •Vers AR et DH: efforts dynamiques vers la colonne des articulaires • Importance des facteurs de stabilité (risque de tétraplégie, mort subite): •Apophyse odontoïde •Ligament transverse
  84. 84. RAPPORT DE L’ AXE NERVEUX AVEC LE RACHIS CERVICAL ETAGE CERVICAL INF • Le point le plus sollicité entre C5 et C6 ( freq max de luxation ant) • Moelle comprimée entre – Arc post de C5 – Angle post-sup du corps de C6 • Prévention +++ lors des manipulations des blessés

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