4. 1. Définition des réseaux
informatiques
• Un réseau informatique (computer
network) est un système de
communication (ensemble matériel +
logiciel) qui permet à un ensemble
d’ordinateurs (au sens large)
d’échanger de l’information
• L’échange d’information n’est pas une
finalité en soi. Les réseaux servent
avant tout à réaliser des services 4
5. 2.• Caractéristiques des réseaux
Zone de couverture géographique (des
communications):
– LAN (Local Area Network) : Réseaux Locaux, ≈≤ 1Km, comme
Ethernet, WiFi
• LAN filaire
• WLAN (Wireless LAN) : réseaux locaux sans fil WIFI , Quelques
centaines de mètres
• PAN (Personal Area Network) : interconnexion d’équipements ,
bluetooth, quelques mètres
– WAN (Wide Area Network) : Réseaux à grande distance, > 1Km,
un pays, toute la planète, comme Internet (réseau des réseaux).
Les WAN assure la connexion des réseaux LAN.
– MAN (Metropolitan Area Networks): Réseaux métropolitains,
Intermédiaires entre LAN et WAN - qq dizaines de km, ville ou
région, comme WIMAX (60Km)
• Débit (nombre de bits transmis par seconde)
– LAN : 100Mbits/s, 1Gbits/s, 10Gbits/s 5
– WAN : 54Kbits/s, 128Kbits/s, 256Kbits/s,512kbits/s, 1Mbits/s …
6. Caractéristiques
des réseaux
• Support de transmission des données
– LAN : paires torsadés(RJ45), fibre optique, onde
radio ,…
– WAN : ligne téléphonique, satellite, câble, Ligne
spécialisée,…
6
7. Caractéristiques des réseaux
• Équipements d’interconnexion :
– LAN : Hub (concentrateur), switcher
(commutateur) ,…
– WAN : Routeur, Modem,…
7
8. Caractéristiques des réseaux
• une hiérarchie Modem puis routeur, puis des
switchers, puis des Hubs, puis des
ordinateurs
Réseaux
distants :
WAN
Réseaux
Locaux : LAN
8
9. Caractéristiques des réseaux
Type de liaisons entre Équipements
réseaux
• Liaison directe : sans commutation
– point à point : entre deux équipements (ordinateurs)
– accès multiple : Plusieurs ordinateurs utilisant
un même support de transmission
• Liaison commutée : utilisation des 9
équipements de commutation
10. Caractéristiques des réseaux
• Liaison directe : Point à Point
– point à point : modem, USB, port série,
câble croisé réseau (RJ45),…
USB
USB - port série
USB to RS232 (9-pin) Cable
Câble réseau : RJ45
10
11. Caractéristiques des réseaux
• Liaison directe : accès multiple
• Réseau en Bus utilisant le câble coaxiale
Connecteur en T et jonction coaxiale
• Réseau avec des HUB (concentrateurs): connecteur multipoints
Hub réseau RJ45 et BNC Hub réseau RJ45 et USB
11
12. Caractéristiques des réseaux
• Liaison commutée
– Le commutateur assure l’ouverture de lien avec d’autre
commutateur afin d’assurer l’acheminement des
communications
D A
Commutateur (switcher)
C
B
12
13. 3. Les services Internet
– le courrier électronique (mail)
– le transfert de fichiers (ftp)
– l’accès à distance (telnet)
– l’accès au World Wide Web
– les services utilisant le Web :
documentation, commerce électronique,
… 13
14. le courrier électronique
(email)
• L'e-mail permet non seulement d'envoyer des
textes, mais toutes sortes de fichiers
(programmes, images, vidéos, sons), sous la
forme de pièces jointes (attachements).
14
17. le courrier électronique (email) :
paramétrage
Informations sur l'utilisateur:
Votre nom: votre nom complet.
Adresse de messagerie: votre adresse e-mail
Informations sur le serveur:
Serveur de courrier entrant (POP3):
Serveur de courrier sortant (SMTP):
Informations de connexion:
Nom d'utilisateur: votre nom d'utilisateur
17
Mot de passe: votre mot de passe pour l'émail
18. FTP (File Transfer
Protocol) : Transfert de
fichiers
FTP (File Transfer Protocol) est le premier outil
qui a été mis à la disposition des utilisateurs
pour échanger des fichiers sur Internet.
En utilisant FTP, vous serez clients d'un modèle
client/serveur et vous vous adresserez à un
serveur. En effet, en quelques clics, vous
pourrez télécharger la dernière version d'un
logiciel ou inversement, vous pouvez mettre à
la disposition des utilisateurs des fichiers ou
18
des logiciels que vous avez créés.
21. Telnet
• Telnet (TErminal NETwork ou
TELecommunication NETwork, ou
encore TELetype NETwork) : Désigne
un protocole et une application qui
permet de travailler sur un ordinateur à
distance.
21
22. Telnet : connexion
pouvoir connecter au serveur TELNET il faut :
• Lancer la commande TELNET à partir d'un client TELNET
• Donner le nom ou l'adresse IP de la machine serveur TELNET, le
nom de compte d'utilisateur et le mot de passe
• Le serveur va faire la vérification de ces informations
• Les droits d'exécuter des commandes dépendent des droits de
compte d'utilisateur
• La connexion est faite, si l'authentification de client est bien réussite,
le client peut maintenant saisir une ligne de commande
• Le serveur reçoit cette ligne de commande et l'exécute. Le résultat
de l'exécution sera ensuite affiché à l'écran de la machine Client.
• EXIT est la commande pour quitter le client TELNET.
22
23. Telnet : utilisation
• Accès à une machine distante pour lire et
écrire des fichier à distance
• Accès à un serveur distante pour
exécuter des applications : simulateur de
phénomènes physiques …
• Accès distant à un serveur email
• Accès distant pour configurer un
équipement réseaux : routeur, …
23
27. World Wide Web
• Le World Wide Web, littéralement la « toile
(d'araignée) mondiale », communément appelé le
Web, parfois la Toile ou le WWW, est un système
hypertexte public fonctionnant sur Internet et qui
permet de consulter, avec un navigateur, des pages
mises en ligne dans des sites.
27
28. World Wide Web
Page web : est un document pouvant contenir
du texte, des images, du son, ... et des liens
vers d'autres documents.
Exemple : http://crb.ulco.free.fr/c2i/site
Site web :est un ensemble de pages web
reliées entre elles par des liens hypertextes.
Serveur web : est un ordinateur hôte qui
contient des pages web et les met à la
disposition du net.
28
29. World Wide Web :
navigateur
La barre d'adresse :
• C'est dans cette zone que vous taperez
l'adresse URL (Uniform Resource Locator) du
site à afficher.
• Le préfixe http:// se rajoute automatiquement. Il
désigne la nature du protocole de
communication entre le serveur web et le
navigateur : Hyper Text Transfert Protocol.
• Si l'échange de données est crypté, on utilisera
le protocole http sécurisé https:// (site
sécurisé). 29
33. Applications Multimédia sur
Internet : Vidéo avec WebCAM
• Vidéo surveillance
• Visualisation de place
principale dans les villes
• Communication audio visuel
Augustine au sud de l’Alaska en Eruption : WebCam du
Volcan
33
34. Applications Multimédia sur
Internet : Vidéo avec WebCAM
• Communication avec voix et vidéo
entre deux utilisant :
– WebCam
– Une connexion Internet
– Logiciel de visualisation temps réel : skype,
…
34
36. Téléphonie sur Internet
• Voix sur IP (aussi connu sous le nom de VoIP,
Téléphonie sur IP, téléphonie Internet) fait
référence à la technologie qui permet de router les
conversations vocales sur Internet ou un réseau
informatique
36
37. Téléphonie sur Internet
• Il y a deux types de téléphones :
– Téléphone IP, fonctionne sur le réseaux informatique
– Téléphone classique se connectant au réseau
téléphonique
• On peut passer du réseaux Internet au réseau
téléphonique et vise versa
37
39. Réseaux sans fil : WiFi
• Connexion à Internet via un routeur ADSL
sans fil
• Impression sans fil sans câble imprimante
• Utilisation des ressources (partage de fichier,
disque, lecteur CD…) d’une machine distante
sans câble.
39
40. GSM, GPRS : BTS
• La «Base Transceiver Station » (BTS) est
l’équipement terminal du réseau vers les
téléphones portables
• Une BTS est un groupement d’émetteurs et de
récepteurs fixes.
• Elle échange des messages avec les stations
mobiles présentes dans la cellule qu’elle BTS
contrôle.
40
41. GSM, GPRS :
architecture
• BSC « Base Station Controller » contrôleur des BTS
• BSC assure l’acheminement des communications
d’autres zones
• MSC « Mobile Switching Centre » assure
l’interconnexion vers le réseaux téléphonique (fixe).
41
42. Web sur mobile : WAP
• WAP : Wireless Application Protocol.
Protocole normalisé permettant l'accès
à l'Internet à partir d'un téléphone
portable.
Exemple www.awt.be
en Windows mobile
42
74. The OSI Reference Model
Application Application
Layer Layer
Presentation Presentation
Layer Layer
Session Session
Layer Layer
Transport Transport
Layer Layer
Network Network
Layer Layer
Data Link Data Link
Layer Layer
Physical Physical
Layer Layer
74
75. The Physical Layer Connection
Application Application
Layer Layer
Presentation Presentation
Layer Layer
Session Session
Layer Layer
Transport Transport
Layer Layer
Network
Layer
Specifies
Network
Layer
electrical
Data Link Data Link
Layer connectionLayer
Physical Physical
Layer Layer
75
76. The Physical Layer Connection
Application Application
Layer Layer
Presentation Presentation
Layer Layer
Session Session
Layer Layer
Transport Transport
Layer Layer
Network Network
Layer Layer
Amplification
Regeneration
Data Link Data Link
Layer Layer
Physical Physical
Hub
Layer Layer
76
77. The Data Link Connection
Application Application
Layer Layer
Presentation Presentation
Layer Layer
Session Session
Layer Layer
Transport Transport
DelineationLayer
Layer
Address
Error
of
Network Formatting
DetectionNetwork
Layer Data Layer
Data Link Data Link
Layer Layer
Physical Physical
Layer Layer
77
78. The Data Link Connection
Application Application
Layer Layer
Presentation Presentation
Layer Layer
Session Session
Layer Layer
Transport Transport
Layer Layer
Network Network
Layer Layer
Data Link Bridge Data Link
Layer & Switch Layer
Physical Physical
Layer Layer
78
79. The Network Layer Connection
Application Application
Layer Layer
Presentation Presentation
Layer Layer
Session Session
Layer Layer
Transport
Layer
End to end Layer
Transport
routing
Network Network
Layer Layer
Data Link Data Link
Layer Layer
Physical Physical
Layer Layer
79
80. The Network Layer Connection
Application Application
Layer Layer
Presentation Presentation
Layer Layer
Session Session
Layer Layer
Transport Transport
Layer Layer
Network Route Network
Layer r Layer
Data Link Data Link
Layer Layer
Physical Physical
Layer Layer
80
82. source
message M application
Encapsulation
segment Ht M transport
Datagram Hn Ht M network
(packet)
Frame Hl Hn Ht M link
(trame) physical
Hl Hn Ht M link Hl Hn Ht M
physical
switch
destination Hn Ht M network Hn Ht M
M application
Hl Hn Ht M link Hl Hn Ht M
Ht M transport physical
Hn Ht M network
Hl Hn Ht M link router
physical
82
118. Media de transmission
• Spécifications des câbles : il est important de tenir
compte des considérations suivantes liées aux
performances:
– À quelles vitesses la transmission de données. Le type de
conduit utilisé influence la vitesse de transmission.
– Les transmissions doivent-elles être numériques ou
analogiques ? La transmission numérique ou à bande de
base nécessite des types de câble différents de ceux utilisés
pour la transmission analogique ou à large bande.
– Quelle distance un signal peut-il parcourir avant que
l'atténuation n'affecte la transmission ? Si le signal est
dégradé, les équipements réseau ne peuvent ni le recevoir
ni l'interpréter. La dégradation est directement liée à la
distance parcourue par le signal et au type de câble utilisé
118
119. spécifications pour Ethernet : IEEE,
ITU, EIA
Les spécifications Ethernet suivantes se rapportent au type de
câble: 10BaseT , 10Base5 , 10Base2
10BaseT indique une vitesse de transmission de 10 Mbits/s.
La transmission est du type à bande de base ou interprétée
numériquement. La lettre T indique une paire torsadée.
119
120. Câble Coaxiale
Un câble coaxial présente plusieurs avantages pour les réseaux locaux. Il peut
couvrir des distances plus longues que les câbles à paires torsadées blindées
(STP), à paires torsadées non blindées (UTP) ou ScTP (screened twisted pair).
La taille du câble est un paramètre important. L'installation d'un câble coaxial
est plus onéreuse que celle d'un câble à paires torsadées. Les câbles Ethernet
épais ne sont presque plus utilisés ; ils sont désormais réservés à des 120
installations spécifiques.
121. Câble à paires torsadées blindées
(STP)
Le câble à paires torsadées blindées allie les techniques de blindage,
d'annulation et de torsion des fils. Chaque paire de fils est enveloppée dans
une feuille métallique et les deux paires sont enveloppées ensemble dans un
revêtement tressé ou un film métallique.
L'isolation et le blindage augmentent considérablement la taille, le poids et le coût
121
du câble
122. Câble à paires torsadées non
blindées (UTP)
Le câble à paires torsadées non blindées (UTP) est un média constitué de quatre
paires de fils. Chacun des huit fils de cuivre du câble est protégé par un matériau
isolant. De plus, les paires de fils sont tressées entre elles. Ce type de câble
repose uniquement sur l'effet d'annulation produit par les paires torsadées pour
limiter la dégradation du signal due aux interférences électromagnétiques et radio.
La norme TIA/EIA-568-B.2 comprend des spécifications liées aux performances
122
des câbles .
125. • Les connecteurs les plus fréquemment utilisés
sont les connecteurs SC (Subscriber Connector)
pour la fibre multimode, et les connecteurs ST
(Straight Tip) pour la fibre monomode
125
132. • Pour résoudre le problème d'incompatibilité, un point d'accès
est généralement installé pour servir de concentrateur central
dans le mode infrastructure des LAN sans fil. Le point
d'accès est relié par câble au réseau local câblé pour fournir
un accès Internet et la connectivité au réseau câblé. Les
points d'accès sont équipés d'antennes et fournissent la
connectivité sans fil sur une zone donnée appelée cellule.
La dimension d'une cellule dépend de la structure de
l'emplacement dans lequel le point d'accès est installé, outre
la taille et la puissance des antennes. Elle est généralement
comprise entre 91,44 et 152,4 mètres 132
133. Infrastructure sans fils à plusieurs points
d’accès
• Pour desservir des zones plus vastes, il est possible d'installer plusieurs
points d'accès avec un degré de chevauchement permettant le
«roaming» entre les cellules. Dans de nombreux réseaux de points
d'accès, le chevauchement est important pour permettre le déplacement
des équipements au sein du LAN sans fil. Un chevauchement de 20 à
30 % est souhaitable. Comme ce pourcentage favorise le «roaming»
entre les cellules, l'activité de déconnexion et de reconnexion peut se
produire en toute transparence sans interruption de service.
133
139. certification TIA/EIA-568-B
• Le bruit est toute énergie électrique dans un câble de
transmission qui rend difficile, pour le récepteur,
l’interprétation des données venant de l’émetteur. La
certification TIA/EIA-568-B exige désormais que les
câbles soient testés pour différents types de bruits.
139
145. Fibre optique
Valise de raccordement à froid pour
connecteur ST ou SC Outillage
Pince à dénuder 3 diamètres, 250, 900µm et 3mm
Pince à kevlar
Pince a sertir
Colle
Ensemble de tubes de colle Epoxy
Opticure Anaerobic Adhesive
accessoire de mélange pour Epoxy
Seringue et aiguille
Polissage
plaque de travail en verre
plateau de caoutchouc
Disques de polissage : SC/FC & STbr> Silicon Carbide S
145
148. Conception LAN
MDF : ((Main distribution facility) le répartiteur principal
IDF: (Intermediate distribution facility) Les locaux techniques secondaires
(appelés des répartiteurs intermédiaires)
HCC : horizontal cross-connect
VCC : interconnexion verticale (vertical cross-connect) permet d'interconnecter 148
les divers répartiteurs intermédiaires IDF au répartiteur principal MDF
156. HCC
Dans une topologie en étoile simple comportant un seul local technique, le
répartiteur principal MDF comprend un ou plusieurs tableaux d’interconnexions
horizontales (horizontal cross-connect ou HCC).
156
157. VCC
Une interconnexion verticale (vertical cross-connect ou VCC) permet
d'interconnecter les divers répartiteurs intermédiaires IDF au répartiteur principal
MDF. Un câblage en fibre optique est généralement utilisé car les câbles verticaux
dépassent souvent la limite des 100 mètres 157
162. Key Features of a LAN
• High throughput (débit élevé)
• Relatively low cost
• Limited to short distance
• Often rely on shared media (méduim
partagé)
• (fiabilité)
162
163. Star Topology
• Central component of network known
as hub
• Each computer has separate
connection to hub 163
164. Ring Topology
• No central facility
• Connections go directly from one
computer to another
164
165. Bus Topology
• Shared medium forms main
interconnect
• Each computer has a connection to the
medium 165
166. Example LAN : Ethernet
• Most popular LAN
• Widely used
• IEEE standard 802.3
• Several generations
– Same frame format
– Different data rates
– Different wiring schemes
166
171. Medium Access Control - How
• How
• Round Robin
– each station in turn is given opportunity to transmit
• Reservation
– time slots reserved for stream traffic
• Contention
– all stations compete for time as required - no control
171
174. 802.3 Ethernet and Fast Ethernet
• CSMA/CD
– If medium idle, transmit
– Else, wait until idle, then transmit
– If collision, transmit jamming signal
– Wait random time, transmit
174
178. CSMA/CD - Protocol
1. If the medium is idle, transmit; otherwise
go to step 2
2. If the medium is busy, wait until it is free
and transmit immediately
3. If a collision is detected, transmit a
jamming signal and stop
4. Wait a random length of time and try
again
178
180. Ethernet Frame Structure
Data:
Sending adapter encapsulates network
packet (≤1500B)
• Preamble:
• 7 bytes with pattern 10101010 followed by
one byte with pattern 10101011
• used to synchronize receiver, sender
clock rates
180
181. Ethernet Frame Structure
(more)
• Addresses: 6 bytes MAC
– if adapter receives frame with matching destination
address, or with broadcast address then pass to
network-layer
– otherwise, discard frame
• CRC: if CRC check fails then frame is dropped
181
182. Ethernet (Mac) Addressing
The MAC address consists of 12 hex digits (48 bits)
The first six digits (assigned by the IEEE) represent the Organizational
Unique Identifier (OUI) which identifies the manufacturer
The last six are assigned by the manufacturer and represent a unique
hardware ID number for the NIC 182
183. Ethernet Technologies 10BaseT and
100BaseT
• 10/100 Mbps rate; latter called “fast ethernet”
• T stands for Twisted Pair
• Nodes connect to a hub: “star topology”; 100
m max distance between nodes and hub
twisted pair
hub
183
186. Interconnecting with hubs
• Multi-tier topology extends max distance between
nodes
• But individual segment collision domains become
one large collision domain
(causes transmission rate reduction)
• Can’t interconnect 10BaseT & 100BaseT
Backbone hub
≤100m ≤100m
≤100m
hub
hub hub
≤100m ≤100m
≤100m
186
187. Switch
• Link layer device
– Operate on Ethernet frames rather than
bits
– examines frame header and selectively
forwards frame based on MAC dest
address
– when frame is to be forwarded on
segment, uses CSMA/CD to access
segment
• transparent
– hosts are unaware of presence of switches
• plug-and-play, self-learning 187
– switches do not need to be configured
188. Forwarding
switch
1
2 3
hub
hub hub
• How do determine onto which LAN segment to
forward frame?
• Looks like a routing problem...
188
189. Switch: traffic isolation
• switch installation breaks subnet into LAN
segments
• switch filters packets:
– same-LAN-segment frames not usually
forwarded onto other LAN segments
– segments become separate collision
domains switch
collision
domain
hub
hub hub
189
collision domain collision domain
190. Institutional network
mail server
to external
network 1Gbps
router 1Gbps
web server
switch
IP subnet
100Mbps
100Mbps 100Mbps
hub
hub hub
100Mbps
100Mbps 100Mbps
190
193. Token Ring Fundamentals
IEEE 802.5
• Stations take turns sending data:
– May transmit only during its turn and only one
frame during each turn
• Access method: “token-passing”
– A token is a placeholder frame
• Small “token” packet circulates on ring
• As token passes, transmitting station
changes token from “free” to “busy” and
follows token with data to be transmitted
193
195. IEEE Standard 802.5
• • A standard for Token Ring
• • Ring consists of point-to-point links
• • Can be connected by twisted pair,
coax, and fibre optics
• • Typical data rate: 4 Mbps à 16Mbp
195
197. MAU MAU
IBM Compatible
IBM Compatible
MAU MAU
IBM AS/400
197
198. IEEE 802.4 Token Bus
• Same technique as Token Ring but
implement in bus topology
• Because of complexity of implementation,
token bus is not a popular.
198
199. FDDI
• Fiber Distributed Data Interface
• 100 Mbps
• LAN and MAN application
• Use Token Ring technique
• Dual rings
• Mainly used for large span distance up to 200
km or for very high data rates
• Can connect up to 1000 stations
• 1 error in 2.5 x 1010 bits
199
200. FDDI Characteristics
Dual Counter-rotating Rings
Single-attached Single-attached
Concentrator Stations
Dual-attached Dual-attached
Concentrator Concentrator
• Max Size - 100 Km
• Max Nbr Stations - 500
200
210. Hubs
As seen earlier, a hub interconnects two or more workstations
into a local area network. A simple interconnecting device that
requires no overhead to operate.
When a workstation transmits to a hub, the hub immediately
resends the data frame out all connecting links.
A hub can be managed or unmanaged. A managed hub
possesses enough processing power that it can be managed from
a remote location.
Hubs continue to become smarter.
Some call any interconnection device in a LAN a hub!
210
212. Bridges
A bridge can be used to connect two similar LANs, such as two
CSMA/CD LANs.
A bridge can also be used to connect two closely similar LANs,
such as a CSMA/CD LAN and a token ring LAN.
The bridge examines the destination address in a frame and
either forwards this frame onto the next LAN or does not.
The bridge examines the source address in a frame and places
this address in a routing table, to be used for future routing
decisions.
212
215. Switches
.
It can interconnect two or more workstations, but like a bridge, it
observes traffic flow and learns.
When a frame arrives at a switch, the switch examines the
destination address and forwards the frame out the one necessary
connection.
•Workstations that connect to a hub are on a shared segment.
•Workstations that connect to a switch are on a switched
segment.
215
221. Routers (really specialized computers)
The device that connects a LAN to a WAN or a WAN to a WAN
(the INTERNET! – uses IP addresses).
A router accepts an outgoing packet, removes any LAN headers
(MAC addr) and trailers, and encapsulates the necessary WAN
headers (IP addr) and trailers.
Because a router has to make wide area network routing
decisions, the router has to dig down into the network layer of
the packet to retrieve the network destination address.
221
222. Routers
Thus, routers are often called “layer 3 devices”. They operate at
the third layer (IP), or OSI network layer, of the packet.
Routers often incorporate firewall functions.
222
223. Connections (in general)
Bridges for LANs and hubs.
Switches for LANs and workstations.
Routers for LANs and WANs (the Internet).
223
225. source
message M application
Encapsulation
segment Ht M transport
datagram Hn Ht M network
frame Hl Hn Ht M link
physical
Hl Hn Ht M link Hl Hn Ht M
physical
switch
destination Hn Ht M network Hn Ht M
M application
Hl Hn Ht M link Hl Hn Ht M
Ht M transport physical
Hn Ht M network
Hl Hn Ht M link router
physical
225
230. • Version—Indicates the version of IP currently used.
• IP Header Length (IHL)—Indicates the datagram header length in 32-bit words.
• Type-of-Service—Specifies how an upper-layer protocol would like a current
datagram to be handled, and assigns datagrams various levels of importance.
• Total Length—Specifies the length, in bytes, of the entire IP packet, including
the data and header.
• Identification—Contains an integer that identifies the current datagram. This
field is used to help piece together datagram fragments.
• Flags—Consists of a 3-bit field of which the two low-order (least-significant) bits
control fragmentation. The low-order bit specifies whether the packet can be
fragmented. The middle bit specifies whether the packet is the last fragment in a
series of fragmented packets. The third or high-order bit is not used.
• Fragment Offset—Indicates the position of the fragment's data relative to the
beginning of the data in the original datagram, which allows the destination IP
process to properly reconstruct the original datagram.
• Time-to-Live—Maintains a counter that gradually decrements down to zero, at
which point the datagram is discarded. This keeps packets from looping endlessly.
• Protocol—Indicates which upper-layer protocol receives incoming packets after
IP processing is complete.
• Header Checksum—Helps ensure IP header integrity
230
231. • Source Address—Specifies the sending node.
• Destination Address—Specifies the receiving node.
• Options—Allows IP to support various options, such as security.
• Data—Contains upper-layer information.
231
233. Global Addressing Scheme
• Specified by Internet Protocol
• In addition to physical address
(contained in NIC), each host is
assigned a 32-bit IP address.
233
234. Internet Addresses
• Each interface on the internet must have
a unique Internet Address, or IP
address.
• An IP address is a 32 bit number.
• Usually written using Dotted Decimal
Notation
• Example:
– 1000 1100 1111 1100 0000 1101 0010 0001
in binary
– 8C FC 0D 21 in hex
– 140.252.13.33 in dotted decimal 234
235. Dotted Decimal Notation
• Syntactic form used by IP software to
make the 32-bit form shorter and easier to
read
– Written in decimal form with decimal points
separating the bytes
235
236. Details of IP Addresses
• Assigned per interface, not per host, hence...
– Routers always have multiple IP addresses.
• Three kinds of IP Addresses
– unicast: destined for a single host
– broadcast: destined for all hosts on a local
net
(not all hosts on the “internet”)
– multicast:
destined for all hosts in a specific multicast
group.
• (We will concentrate for now on unicast
addresses) 236
237. IP Address Hierarchy
• 2-part IP address
– Prefix: identifies the physical network to
which the computer is attached – Network
number or id
– Suffix: identifies an individual computer on a
given physical network – Host id
• Unique address
– Netid assigned globally – Internet Assigned
Number Authority, IANA
– Hostid assigned locally
• How many bits for Netid and for Hostid?237
238. Classful IP addressing
• 5 different classes to cover the needs of
different types of organizations
– 3 primary classes: A, B, C
• Class type is determined by the first four
bits
– Netid and hostid have varying lengths,
depending on the class type and use byte
boundaries
• Classful IP addresses are self-identifying
• Maximum number of networks and
maximum number of hosts for each class? 238
239. Classes of IP Addresses
Class
7 bits 24 bits
A 0 netid hostid
14 bits 16 bits
B 10 netid hostid
21 bits 8 bits
C 1 10 netid hostid
28 bits
D 1110 multicast group id
27 bits
E 1 1110 (reserved for future use)
A: 0.0.0.0 to 127.255.255.255 D: 224.0.0.0 to 239.255.255.255
B: 128.0.0.0 to 191.255.255.255 E: 224.0.0.0 to 247.255.255.255
C: 192.0.0.0 to 239.255.255.255
239
241. Details of IP Addresses (continued)
• Assigned by a central authority
– the Network Information Center, or InterNIC
(rs.internic.net) assigns network id’s for the entire
internet.
– Local system administrator gets a network id from
the InterNIC, then assigned Id’s to individual
interfaces on each host.
• The hostid portion may be broken down by a
local system administrator into “subnet” and
“host”.
• Special case addresses:
241
246. Summary of special IP
Prefix Suffix addresses
Type of Address Purpose______
All 0s All 0s This computer Used during bootstrap
Network All 0s Network Identifies a network
Network All 1s Directed broadcast broadcast on specified net
All 1s All 1s limited broadcast broadcast on local net
127 Any loopback testing
246
247. Routers and IP addresses
• An internet is composed of arbitrarily
many physical networks interconnected by
routers
– Each IP address specifies only one physical
network. What is the router’s address?
– Routers can have more than two interfaces,
therefore must be assigned one IP address
for each connection.
• An IP address identifies a connection
between a computer and a network, not a247
249. Subnetting
• IP addressing has only two levels of
hierarchy
• Subnetting - Add another level to
address/routing hierarchy: subnetworks
249
250. Subnetting
• 3 levels of hierarchy: Netid, subnetid, hostid
• Subnets are visible only within the local site
• Masking: process that extracts address of physical
network from an IP address.
• Subnet masks define variable partition of host part of
Class A and B addresses
Class B Address
111111111111111111111111 00000000
Subnet Mask (255.255.255.0)
Network Number SubnetID HostID
Subnetted Address
250
251. Masking
To find network or subnetwork address, apply (perform AND)
the mask to the IP address
251
252. L'adresse 193.112.2.166 avec le masque 255.255.255.128 désigne la machine
numéro 38 du réseau 193.112.2.128 qui s'étend de 193.112.2.129 à
193.112.2.254 (plage de 126 adresses). Les adresses ont été converties en
base 2 :
252
254. CIDR notation
• CIDR: Classless Inter-Domain Routing
• CIDR notation uses slash notation followed
by the size of the mask in decimal
example: 128.10.0.0/16
• CIDR mask
The mask tells you which bits count
– Suppose 10.10.9.3 wants to send to 10.10.10.9
• Are we on the same network?
• That depends on the mask
– If we are 10.10.10.10/24, then no
– If we are 10.10.10.10/22, then yes 254
256. Summary on IP addressing
• Virtual network needs uniform addressing
scheme, independent of hardware
• IP address:
– 32-bit number
– 5 classes: A, B, C, D, E
– specifies a connection between a computer
and a network
– Dotted decimal notation and CIDR notation
– Some special IP addresses
256
258. Network Layer
• Handles the movement of packet around
the network
• Routing of packets (routage des paquets)
• Internet Protocol
258
259. ARP
• L'Address resolution protocol (ARP,
protocole de résolution d'adresse) est un
protocole effectuant la traduction d'une
adresse de protocole de couche réseau
(typiquement une adresse IPv4) en une
adresse MAC (typiquement une adresse
ethernet).
259
260. ICMP
• Internet Control Message Protocol est
l'un des protocoles fondamentaux
constituant la suite de protocoles Internet.
Il est utilisé pour véhiculer des messages
de contrôle et d'erreur pour cette suite de
protocoles, par exemple lorsqu'un service
ou un hôte est inaccessible.
260
261. Ping
• Ping est le nom d'une commande
informatique (développée par Mike Muuss
) permettant d'envoyer une requête ICMP
'Echo' d'une machine à une autre
machine. Si la machine ne répond pas il
se peut que l'on ne puisse pas
communiquer avec elle.
261
262. IP Routing
trois types de routes :
• les routes correspondant à des réseaux directement
connectés: pour ces réseaux, le routeur peut acheminer
le paquet directement à la destination finale en faisant
appel au protocole de niveau 2 (Ethernet par exemple).
• les routes statiques, configurées en dur sur le routeur
par l'administrateur du réseau,
• les routes dynamiques, apprises d'un protocole de
routage dynamique dont le rôle est de diffuser les
informations concernant les réseaux disponibles.
262
268. TCP : Transmission Control
Protocol
• Connection based communication
(communcation basée connexion)
• Uses the IP layer service
• Provides reliable service (service fiable)
268
269. TCP - Transmission Control Protocol
• TCP is the protocol layer responsible for making sure that the commands and messages are
transmitted reliably from one application program running on a machine to another one on the
other machine
• A message is transmitted and then a positive acknowledgement is being waited for If the
positive acknowledgement does not arrive in a certain period of time, the message is
retransmitted
• Messages are numbered in sequence so that no one is being lost or duplicated;
Messages are delivered at the destination in the same order they were sent by the source
• If the text of a mail is too large, the TCP protocol will split it into several fragments called
“datagrams” and it makes sure that all the datagrams arrive correctly at the other end where
they are reassembled into the original message
• TCP can be viewed as forming a library of routines that many applications can use when they
need reliable network communication with an application on another computer
• TCP provides also flow control and congestion control
269
272. TCP Protocol Format
Source Port Destination Port
Sequence Number
Acknowledgment Number
Offset Reserv Flags(6) Window (16 bits)
Checksum (16) Urgent Pointer
Options(If any) Padding
Data (variable length)
0 4 10 16 24 31
272
273. • Source/Dest port: TCP port numbers to ID
applications at both ends of connection
• Sequence number: ID position in sender’s byte
stream
• Acknowledgement: identifies the number of
the byte the sender of this segment expects to
receive next
• Hlen: specifies the length of the segment
header in 32 bit multiples. If there are no
options, the Hlen = 5 (20 bytes)
• Reserved for future use, set to 0
• Code: used to determine segment purpose,
e.g. SYN, ACK, FIN, URG 273
274. • Window: Advertises how much data this
station is willing to accept. Can depend on
buffer space remaining.
• Checksum: Verifies the integrity of the TCP
header and data. It is mandatory.
• Urgent pointer: used with the URG flag to
indicate where the urgent data starts in the data
stream. Typically used with a file transfer abort
during FTP or when pressing an interrupt key in
telnet.
• Options: used for window scaling, SACK,
274
timestamps, maximum segment size etc.
284. TCP flow control
• Windows vary over time
– Receiver advertises (in ACKs) how many it can
receive
• Based on buffers etc. available
– Sender adjusts its window to match advertisement
– If receiver buffers fill, it sends smaller adverts
• Used to match buffer requirements of receiver
• Also used to address congestion control (e.g. in
intermediate routers)
284
285. Well-known TCP ports
21 - FTP server
23 - telnet server
25 - SMTP mail server
53 - domain nameserver
109 - POP2 server
110 - POP3 server
285
320. JAVASCRIPT
• JavaScript est un langage de programmation de scripts principalement utilisé dans
les pages web interactives
• C'est un langage orienté objet à prototype, c'est-à-dire que les bases du langage et
ses principales interfaces sont fournies par des objets qui ne sont pas des
instances de classes
320
324. PHP et pages Web Dynamiques
• PHP signifiait à l'origine Personnal Home Page, on
considère maintenant qu'il veut dire PHP Hypertext
Preprocessor
• Langage permettant la création de pages Web au contenu
dynamique, analogue à la technologie ASP de Microsoft,
mais provenant des environnements UNIX-Apache et libre
de droits.
324
325. Pages Web statiques
Les fichiers de descriptions HTML sont de simples fichiers texte. Lorsque les données
arrivent sur le poste client, le navigateur interprète le code pour effectuer le rendu de la
page. 325
327. Pages dynamiques, scripts web côté serveur
Les scripts côté serveur, nécessitent deux éléments, le langage (php, perl, asp...) et le
327
moteur (zend dans le cas de php par exemple).
331. Implantation au sein du code
Html
Pour que le script soit interprété par le serveur, deux conditions sont
nécessaires :
• le fichier contenant le code doit avoir l'extension .php et non .html.
• le code PHP contenu dans le code HTML doit être délimité par les
balises <?php et ?>.
331
LAN : Un réseau local , souvent désigné par l' acronyme anglais LAN de Local Area Network , est un réseau informatique à une échelle géographique relativement restreinte, par exemple une salle informatique, une habitation particulière, un bâtiment ou un site d'entreprise. WLAN : Un réseau sans fil est un réseau informatique qui connecte différents postes entre eux par ondes radio. Wi-Fi (Wireless Fidelity) (prononcé /wifi/ ) est une technique de réseau informatique sans fil mise en place pour fonctionner en réseau interne et, depuis, devenue un moyen d’accès à haut débit à Internet . PAN : acronyme de Personal Area Network , désigne un réseau restreint d'équipements informatiques habituellement utilisés dans le cadre d'une utilisation personnelle. Les bus utilisés les plus courants sont l' USB , les technologies sans fil telles que Bluetooth ou IR (infra rouge). Par exemple, une personne utilisant un téléphone portable peut très bien transférer ces données (images) vers ordinateur via BlueTooth. WAN :Un réseau étendu , souvent désigné par l' anglais Wide Area Network ( WAN ), est un réseau informatique couvrant une grande zone géographique, typiquement à l'échelle d'un pays, d'un continent, voire de la planète entière. Le plus grand WAN est le réseau Internet MAN : Metropolitan area network , abrégé en MAN , désigne un réseau étendu d' ordinateurs habituellement utilisé dans les campus ou dans les villes . Le réseau utilise généralement des fibres optiques ou radio (comme les réseaux sans fil WiMax : débits de plusieurs dizaines de mégabits /seconde sur des zones de dizaines de kilomètres ). Le débit binaire mesure une vitesse de transfert de données numériques, mesurée en bits par seconde ( bit/s , b/s ou bps ). Ses principaux multiples sont : le kilobit par seconde (symbole kbit/s) équivalent à 1000 bit/s le megabit par seconde (symbole Mbit/s) équivalent à 1000 kbit/s le gigabit par seconde (symbole Gbit/s) équivalent à 1000 Mbit/s
LAN : RJ45 : c’est un câble de type paires torsadés( paires de files qui sont en torsion) pour interconnecter un ordinateur à un autre ou à un équipement (exemple HUB ou Switcher) réseau de communication. Câble Coaxiale : Il ressemble aux câbles de l’antenne de la télévision, il est plus fiable que le RJ45, mais plus rigide et encombrant en installation, c’est pour quoi en utilise plus les câbles RJ45. Fibre optiques : Une fibre optique est un fil en verre ou en plastique très fin qui a la propriété de conduire la lumière et sert dans les transmissions terrestres et océaniques de données. Elle offre un débit d' informations (vitesse) nettement supérieur à celui des câ bles (RJ45). Il peut être utilisé pour des grandes distances et avec une très bonne fiabilité (moins d’erreurs de transmission), mais son inconvénient est qu’elle est cher . Onde radio : se sont les réseaux sans fil comme WIFI, … Pour les réseaux WAN : Ligne téléphonique : elle permet de transmettre de la voix et les données via un équipement qui s’appel modem, son avantage est que l’infrastructure téléphonique est existant et qu’elle peut couvrir tout le monde connecté aux réseaux téléphoniques. Le seule inconvénient est qu’elle est limité en débit de transmission (vitesse de transmission dans l’ordre 54Kbits/secondes sauf avec l’ADSL on pourra avoir des débits de l’ordre 20 Mbits/s) Transmission par satellite : certains satellites( comme VSAT) sont utilisés pour la communication numérique, cela permet une communication à Internet avec un débit élevé de l’ordre de Mégabit/s. Ligne spécialisée : Une ligne spécialisée (LS) correspond, en informatique ou en télécommunication , à une liaison entre deux points, connectés en permanence ensemble. L’avantage qu’on peut avoir des débits de l’ordre par exemple de 512 Kbits/s. Ce débit n’est pas partagé, donc on peut profiter de la capacité maximale de ce débit.
LAN : HUB :un hub ou concentrateur est un appareil permettant d'interconnecter electriquement plusieurs appareils, typiquement des ordinateurs ( réseau informatique ) ou encore des périphériques ( USB , Firewire ,...]]) Switcher : Un commutateur réseau (en anglais, switch ) est un équipement qui relie plusieurs segments (câbles ou fibres) dans un réseau informatique . Il s'agit le plus souvent d'un boîtier disposant de plusieurs (entre 4 et 100) ports Ethernet . Il a donc la même apparence qu'un concentrateur ( hub ), mais il est plus performant et plus cher. WAN : Routeur :Un routeur est un élément intermédiaire dans un réseau informatique dont le rôle est de transmettre les données et de connecter un réseaux local (LAN) vers un réseaux WAN (comme Internet). Modem : Le modem ( mot-valise de modulateur-démodulateur), est un périphérique servant à connecter un équipement informatique à un réseau téléphonique. Il permet de traduire les données informatiques ou numérique en « données téléphoniques » (« en voix ») ou données analogiques.
Une architecture de réseaux informatiques peut être comme celle dans le schéma : les ordinateurs sont connectés à des Hubs (concentrateurs) puis les hubs sont regroupés dans un switcher, cela forme un réseau local connectant les machines (ordinateurs) locales. Pour avoir l’accès à Internet (aux réseaux WAN), on connecte le switcher au routeur puis au modem pour exploiter la ligne téléphonique à la connexion à Internet.
La liaison directe entre deux ordinateur peut être selon le mode point à point . La liaison point à point peut être faite par modems qui exploitent la ligne téléphonique ou par câble USB ou par câble RJ45. La différence entre USB et câble RJ45 réside dans la distance de connexion et la vitesse de communication. Le RJ45 est meilleur. Pour connecter deux ordinateurs, on utilise le câble RJ45 croisé (mais les ordinateurs portables acceptent aussi les câbles droits) , pour connecter un ordinateur à un switcher on utilise le câble RJ45 droit.
La liaison directe entre deux ordinateur peut être selon le mode accès multipoints qui consiste à partager un médium (bus ou hub,…) de communication pour plusieurs ordinateurs à communiquer. Le bus utilisant le câble coaxiale est une possibilité de communication multiple de plusieurs ordinateurs. Pour le faire, il faut que les cartes réseaux des ordinateurs disposent de connecteur BNC qui sera raccordé au bus (câble coaxiale de communication) à travers un connecteur en T. Le HUB ressemble à un fiche multiprise qui relie physiquement plusieurs fiches, pour le HUB il relie souvent des ordinateurs à travers les câbles RJ45.
Liaison commutée : Les ordinateurs sont reliés par des commutateurs (switchers) qui ressemble aux commutateurs téléphoniques assurant le relais entre les correspondants. Le route d’un commutateur est de rediriger une communication sur un autre lien jusqu’à arriver au correspondant. Les commutations sont étables de façon que les ordinateurs puissent communiquer. La commutation est une technique plus efficace que celle de liaison directe (par HUB ou bus, …), car elle permet d’établir des communications en parallèle et rapide entre les ordinateurs.
Le service e-mail est assuré par deux protocoles et serveurs réseaux : L’envoi d’un email est réalisé par le protocole SMPT. Le protocole SMTP ( Simple Mail Transfer Protocol, littéralement « Protocole simple de transfert de courrier »), est un protocole de communication utilisé pour transférer le courrier électronique vers les serveurs de messagerie électronique (comme « la poste » pour l’envoi des lettres) qui à son tour envoi les emails vers la destination en fonction de l’adresse email. La réception d’un email passe par le protocole POP3. Le protocole POP3 , ou Post Office Protocol Version 3 (littéralement le protocole du bureau de poste, version 3 ), est un protocole qui permet de récupérer les courriers électroniques situés sur un serveur de messagerie électronique (similaire à une boite à lettre pour recevoir les lettres même si on n’est pas présent).
Pour pouvoir utiliser le logiciel Outlook pour la réception et l’envoi d’email, il faut le configurer en lançant le menu paramètres de compte , puis créer un nouveau compte.
La configuration ou paramétrage du compte email passe l’introduction d’informations sur le nom du compte, l’adresse email utilisé (donnée par le fournisseur d’accès à Internet), le serveur de réception POP3, le serveur d’envoi SMTP, le mot de passe pour consulter le compte.
Connaissant l’adresse d’un serveur FTP (par exemple ftp://ftp.uptr.ca ), on peut l’introduire (au navigateur par exemple Internet Explorer) pour lui accéder. Le serveur va demander le mot de passe autorisant l’accès. L’adresse d’un serveur FTP doit commencer par FTP qui indique le protocole invoqué ou demandé, puis de l’URL ou nom logique du serveur (on peut utiliser l’adresse IP pour accéder au serveur.
À partir d’une machine distante, on peut accéder à un serveur FTP à travers les commandes put et get. La commande Put permet de mettre dans le serveur des fichiers. La commande get permet de récupérer les fichiers du serveur FTP.
le but du protocole Telnet est de fournir un moyen de communication très généraliste. telnet est aussi une commande permettant de créer une session Telnet sur une machine distante. Il est aussi une commande très pratique pour utiliser, tester et configurer les serveurs.
On lance la commande Telnet avec le nom du routeur ADSL, il y aura ouverture d’une fenêtre dans laquelle on demande en premier lieu le mot de passe pour accéder au routeur.
Des menus peut être en résultat afin de permettre de configurer le routeur. Pour l’exemple nous avons choisi 2 pour configurer l’adresse vers le réseaux LAN du routeur. Un autre menu s’affiche ainsi de suite pour configurer le routeur. Mais cela nécessite des connaissances approfondies sur les configurations des routeurs pour comprendre les détailles.
Le « modèle de référence OSI » — OSI signifiant « Open Systems Interconnection » soit en français « Interconnexion de systèmes ouverts » — défini par l' ISO décrit ainsi sept couches empilées les unes sur les autres. Le « modèle Internet » se contente de cinq par suppression de la couche numéro 5 et agglomération des deux plus hautes couches. Voici une description très simplifiée de chacune (consulter l'article sur chaque couche de protocole pour plus d'information). 1 • Physique La couche physique définit la façon dont les « symboles » (petits groupes de bits d'informations) seront convertis en signaux (électriques, optiques, radio, etc.) pour être transportés ainsi que le support de ce transport ( cuivre , fibre optique , etc.) 2 • Liaison La couche de liaison permet l'envoi et la réception de paquets d'informations (appelés souvent trames ) entre deux équipements voisins tout en gérant le partage du même support physique à plusieurs (en Wi-Fi par exemple une base simple emploie la même fréquence radio pour communiquer avec tous les équipements qui sont à proximité). 3 • Réseau La couche de réseau ajoute la notion de routage des paquets d'information depuis une adresse source et en les transférant de proche en proche vers une adresse destination (c'est par exemple à ce niveau qu'interviennent les adresses IP ). 4 • Transport La couche transport gère les communications de bout en bout entre processus . Le plus souvent cette communication se fera octet par octet et sera fiable (ou alors le processus sera prévenu de la perte de la connexion) cette couche prend donc à sa charge la retransmission d'octets en cas de besoin (c'est par exemple à ce niveau qu'interviennent les ports TCP ). 5 • Session Le modèle OSI définit ici la synchronisation des échanges et les « transactions », et permet l'ouverture et la fermeture de session. Note : on rencontre souvent le terme « session » pour désigner une connexion de niveau application, ou un contexte partagé par plusieurs connexions de niveau application sans support protocolaire (cas des « sessions Web » notamment) : c'est un usage dérivé de sa signification dans les systèmes d'exploitation, indépendant du modèle OSI. 6 • Présentation La couche de présentation définit la représentation des données de l'application et se charge de leur codage/décodage, le modèle OSI préconise l'emploi de ASN.1 . Dans le modèle Internet c'est bien plus compliqué car il n'existe pas de codage normalisé (historiquement l'emploi de ASCII s'est avéré insuffisant pour les langues utilisant des caractères non ASCII comme les caractères accentuées en français), d'où l'extension des protocoles de couche 7 pour intégrer ces nouveaux codages (cf. utilisation de MIME dans ESMTP et HTTP ). 7 • Application Cette couche fournit simplement le point d'accès au réseau par les applications.
03/11/98 6 Chapter 12 - Network Interconnections
03/11/98 7 Chapter 12 - Network Interconnections
03/11/98 8 Chapter 12 - Network Interconnections
03/11/98 9 Chapter 12 - Network Interconnections
03/11/98 10 Chapter 12 - Network Interconnections
03/11/98 13 Chapter 12 - Network Interconnections
03/11/98 14 Chapter 12 - Network Interconnections
Le « modèle de référence OSI » — OSI signifiant « Open Systems Interconnection » soit en français « Interconnexion de systèmes ouverts » — défini par l' ISO décrit ainsi sept couches empilées les unes sur les autres. Le « modèle Internet » se contente de cinq par suppression de la couche numéro 5 et agglomération des deux plus hautes couches. Voici une description très simplifiée de chacune (consulter l'article sur chaque couche de protocole pour plus d'information). 1 • Physique (physical layer) La couche physique définit la façon dont les « symboles » (petits groupes de bits d'informations) seront convertis en signaux (électriques, optiques, radio, etc.) pour être transportés ainsi que le support de ce transport ( cuivre , fibre optique , etc.) 2 • Liaison (link layer) La couche de liaison permet l'envoi et la réception de paquets d'informations (appelés souvent trames ) entre deux équipements voisins tout en gérant le partage du même support physique à plusieurs (en Wi-Fi par exemple une base simple emploie la même fréquence radio pour communiquer avec tous les équipements qui sont à proximité). 3 • Réseau (network layer) La couche de réseau ajoute la notion de routage des paquets d'information depuis une adresse source et en les transférant de proche en proche vers une adresse destination (c'est par exemple à ce niveau qu'interviennent les adresses IP ). 4 • Transport La couche transport gère les communications de bout en bout entre processus . Le plus souvent cette communication se fera octet par octet et sera fiable (ou alors le processus sera prévenu de la perte de la connexion) cette couche prend donc à sa charge la retransmission d'octets en cas de besoin (c'est par exemple à ce niveau qu'interviennent les ports TCP ). 5 • Session Le modèle OSI définit ici la synchronisation des échanges et les « transactions », et permet l'ouverture et la fermeture de session. Note : on rencontre souvent le terme « session » pour désigner une connexion de niveau application, ou un contexte partagé par plusieurs connexions de niveau application sans support protocolaire (cas des « sessions Web » notamment) : c'est un usage dérivé de sa signification dans les systèmes d'exploitation, indépendant du modèle OSI. 6 • Présentation La couche de présentation définit la représentation des données de l'application et se charge de leur codage/décodage, le modèle OSI préconise l'emploi de ASN.1 . Dans le modèle Internet c'est bien plus compliqué car il n'existe pas de codage normalisé (historiquement l'emploi de ASCII s'est avéré insuffisant pour les langues utilisant des caractères non ASCII comme les caractères accentuées en français), d'où l'extension des protocoles de couche 7 pour intégrer ces nouveaux codages. 7 • Application Cette couche fournit simplement le point d'accès au réseau par les applications.
Le Contrôle d'accès au support ( Media Access Control en anglais ou MAC ) est une sous-couche, selon les standards de réseaux informatiques IEEE 802 . x , de la partie inférieure de la couche de liaison de données dans le modèle OSI . Le rôle de la sous-couche MAC est principalement de : reconnaître le début et la fin des trames dans le flux binaire reçu de la couche physique ; délimiter les trames envoyées en insérant des informations (comme des bits supplémentaires) dans ou entre celles-ci, afin que leur destinataire puisse en déterminer le début et la fin ; détecter les erreurs de transmission, par exemple à l'aide d'une somme de contrôle ( checksum ) insérée par l'émetteur et vérifiée par le récepteur ; insérer les adresses MAC de source et de destination dans chaque trame transmise ; filtrer les trames reçues en ne gardant que celles qui lui sont destinées, en vérifiant leur adresse MAC de destination ; contrôler l'accès au média physique lorsque celui-ci est partagé. Une adresse MAC est une suite de 6 octets (souvent représentée sous la forme hexadécimale 01:23:45:67:89:ab) qui identifie de façon unique chaque interface réseau .
802.4 started life as the Manufacturing Automation Protocol (MAP) developed by GM. 802.5 came from IBM’s Token Ring Protocol.
Tous les ordinateurs d'un réseau Ethernet sont reliés à une même ligne de transmission, et la communication se fait à l'aide d'un protocole appelé CSMA/CD ( Carrier Sense Multiple Access with Collision Detect ce qui signifie qu'il s'agit d'un protocole d'accès multiple avec surveillance de porteuse ( Carrier Sense ) et détection de collision). Avec ce protocole toute machine est autorisée à émettre sur la ligne à n'importe quel moment et sans notion de priorité entre les machines. Cette communication se fait de façon simple : - Chaque machine vérifie qu'il n'y a aucune communication sur la ligne avant d'émettre - Si deux machines émettent simultanément, alors il y a collision (c'est-à-dire que plusieurs trames de données se trouvent sur la ligne au même moment) - Les deux machines interrompent leur communication et attendent un délai aléatoire, puis la première ayant passé ce délai peut alors réémettre
1 - Préambule Ce champ est codé sur 7 octets et permet de synchroniser l'envoi. Chacun des octets vaut 10101010 et cette série permet à la carte réceptrice de synchroniser son horloge. 2 - SFD Ce champ est codé sur 1 octet et indique à la carte réceptrice que le début de la trame va commencer. La valeur de SFD (Starting Frame Delimiter) est 10101011. 3 - Adresse destination Ce champ est codé sur 6 octets et représente l'adresse MAC (Medium Access Control) de l'adaptateur destinataire. Dans le cadre d'un broadcast, l'adresse utilisée est FF-FF-FF-FF-FF-FF. Cette adresse est ce que l'on appelle l'adresse physique d'une carte Ethernet (Hardware address). En fait cette adresse est divisée en deux parties égales : - Les trois premiers octets désignent le constructeur. C'est le l' organisation OUI (Organizationally Unique Identifier) gérer par l'IEEE, qui référence ces correspondances. - Les trois derniers octets désignent le numéro d'identifiant de la carte, dont la valeur est laissée à l'initiative du constructeur qui possède le préfixe L'association de l'IEEE et du constructeur assure ainsi l'unicité de l'attribution des numéros d'adresse MAC. 4 - Adresse source Ce champ est codé sur 6 octets et représente l'adresse MAC (Medium Access Control) de l'adaptateur émetteur. Cette adresse est ce que l'on appelle l'adresse physique d'une carte Ethernet (Hardware address). En fait cette adresse est divisée en deux parties égales : - Les trois premiers octets désignent le constructeur. C'est le l' organisation OUI (Organizationally Unique Identifier) gérer par l'IEEE, qui référence ces correspondances. - Les trois derniers octets désignent le numéro d'identifiant de la carte, dont la valeur est laissée à l'initiative du constructeur qui possède le préfixe L'association de l'IEEE et du constructeur assure ainsi l'unicité de l'attribution des numéros d'adresse MAC. 5 - Ether Type/ longueur 6 - Données Ce champ est codé entre 46 et 1500 octets et contient les données de la couche 3. Dans le cas de TCP/IP, c'est ici que vient se loger le datagramme IP. L'unité de transfert maximale est le MTU (Maximale Transfer Unit) et sa valeur est classiquement de 1500 octets. Si la taille des données est inférieure à 46 octets, alors elle devra être complétée avec des octets de bourrage (padding) et c'est la couche réseau qui sera chargée de les éliminer. 7 - FCS Ce champ est codé sur 4 octets et représente la séquence de contrôle de trame. Il permet à l'adaptateur qui réceptionnera cette trame de détecter toute erreur pouvant s'être glissée au sein de la trame. Les erreurs binaires sont principalement créées par les variations d'affaiblissement du signal et l'induction électromagnétique parasite dans les câbles Ethernet ou les cartes d'interface. La valeur de FCS (Frame Check Sequence) est le résultat d'un calcul polynomial appelé CRC (Cyclic Redundancy Code). A la réception de la trame, la couche liaison effectue le même calcul et compare les deux résultats qui doivent être égaux afin de valider la conformité de la trame reçue.
Ethernet (aussi connu sous le nom de norme IEEE 802.3 ) est un standard de transmission de données pour réseau local basé sur le principe suivant : Toutes les machines du réseau Ethernet sont connectées à une même ligne de communication, constituée de câbles cylindriques On distingue différentes variantes de technologies Ethernet suivant le type et le diamètre des câbles utilisés : 10Base2 : Le câble utilisé est un câble coaxial fin de faible diamètre, appelé thin Ethernet , 10Base5: Le câble utilisé est un câble coaxial de gros diamètre, appelé thick Ethernet , 10Base-T: Le câble utilisé est une paire torsadée (le T signifie twisted pair ), le débit atteint est d'environ 10 Mbps, 100Base-FX: Permet d'obtenir un débit de 100Mbps en utilisant une fibre optique multimode (F signifie Fiber ). 100Base-TX: Comme 10Base-T mais avec un débit 10 fois plus important (100Mbps), 1000Base-T: Utilise une double paire torsadée de catégorie 5e et permet un débit d'un Gigabit par seconde. 1000Base-SX: Basé sur une fibre optique multimode utilisant un signal de faible longueur d'onde (S signifie short ) de 850 nanomètrs (770 à 860 nm). 1000Base-LX: Basé sur une fibre optique multimode utilisant un signal de longueur d'onde élevé (L signifie long ) de 1350 nm (1270 à 1355 nm).
Un concentrateur (ou hub , de l'anglais) est un appareil informatique . Ce terme peut désigner soit un appareil permettant de créer un réseau informatique local de type Ethernet , soit un appareil permettant de brancher plusieurs appareils informatiques à un port d'un PC (par exemple un port USB ). En utilisant un concentrateur, chaque équipement attaché à celui-ci partage le même domaine de diffusion ainsi que le même domaine de collision . Comme dans tout segment de réseau Ethernet , une seule des machines connectées peut y transmettre à la fois. Dans le cas contraire, une collision se produit, les machines concernées doivent retransmettre leurs trames après avoir attendu un temps calculé aléatoirement par chaque émetteur.
Un commutateur réseau (ou switch , de l'anglais) est un équipement qui relie plusieurs segments (câbles ou fibres) dans un réseau informatique . Il s'agit le plus souvent d'un boîtier disposant de plusieurs (entre 4 et 100) ports Ethernet . Contrairement à un concentrateur, un commutateur ne se contente pas de reproduire sur tous les ports chaque trame (informatique) qu'il reçoit. Il sait déterminer sur quel port il doit envoyer une trame, en fonction de l'adresse à laquelle cette trame est destinée. Les commutateurs sont souvent utilisés pour remplacer des concentrateurs.
Le commutateur établit et met à jour une table d' adresses MAC , qui lui indique sur quel port diriger les trames destinées à une adresse MAC donnée, en fonction des adresses MAC source des trames reçues sur chaque port. Le commutateur construit donc dynamiquement une table qui associe des adresses MAC avec des ports correspondants. Lorsqu'il reçoit une trame destinée à une adresse présente dans cette table, le commutateur renvoie la trame sur le port correspondant. Si le port de destination est le même que celui de l'émetteur, la trame n'est pas transmise. Si l'adresse du destinataire est inconnue dans la table, alors la trame est traitée comme un broadcast, c'est-à-dire qu'elle est transmise à tous les ports du commutateur à l'exception du port d'émission.
Un commutateur de niveau 2 est similaire à un concentrateur dans le sens où il fournit un seul domaine de diffusion . En revanche, chaque port a son propre domaine de collision .
L'anneau à jeton (en anglais token ring ) est une technologie d'accès au réseau basé sur le principe de la communication au tour à tour, c'est-à-dire que chaque ordinateur du réseau a la possibilité de parler à son tour. C'est un jeton (un paquet de données), circulant en boucle d'un ordinateur à un autre, qui détermine quel ordinateur a le droit d'émettre des informations. Lorsqu'un ordinateur est en possession du jeton il peut émettre pendant un temps déterminé, après lequel il remet le jeton à l'ordinateur suivant
Fiber Distributed Data Interface ( FDDI ) est un type de réseau informatique LAN ou MAN permettant d'interconnecter plusieurs LAN à une vitesse de 100 Mbit/s sur de la fibre optique (ce qui lui permet d'atteindre une distance maximale de 200 km). La technologie LAN FDDI est une technologie d'accès au réseau sur des lignes de type fibre optique . Il s'agit en fait d'une paire d'anneaux (l'un est dit primaire , l'autre, permettant de rattraper les erreurs du premier, est dit secondaire ). FDDI est un protocole utilisant un anneau à jeton à détection et correction d'erreurs (c'est là que l'anneau secondaire prend son importance).
La topologie FDDI ressemble de près à celle de token ring à la différence près qu'un ordinateur faisant partie d'un réseau FDDI peut aussi être relié à un concentrateur MAU ( Media Access Unit ) d'un second réseau.
Le ou la [1] Wi-Fi est une technologie qui permet de relier sans fil plusieurs appareils informatiques ( ordinateur , routeur , décodeur Internet, etc.) au sein d'un réseau informatique . Cette technologie est régie par le groupe de normes IEEE 802.11 (ISO/CEI 8802-11). Le mode infrastructure est un mode de fonctionnement qui permet de connecter les ordinateurs équipés d’une carte Wi-Fi entre eux via un ou plusieurs Point d’accès (PA) qui agissent comme des concentrateurs (exemple : répéteur ou commutateur en réseau Ethernet).
Un bridges est un switcher à deux port. Il connecte deux réseaux similaires comme ethernets CSMA/CD, ou même des réseaux différents Ethernet (CSMA/CD) et réseau anneau à jeton.
Le switcher permet de connecter 2 ou plus de stations, comme un bridge il observe le trafique et apprend les emplacements machines. lorsqu’une trame arrive au switcher, il examine l’adresse mac destination pour le rediriger à connexion correspondante. Les stations dans un hub partage le segment . Les stations dans un switcher utilisent une commutation vers les segements (communication parallèle pour des segments différents).
Un routeur est un élément intermédiaire dans un réseau informatique assurant le routage des paquets . Son rôle est de faire transiter des paquets d'une interface réseau vers une autre, selon un ensemble de règles formant la table de routage . C'est un équipement de couche 3 du modèle OSI . Un routeur est un équipement d'interconnexion de réseaux informatiques permettant d'assurer le routage des paquets entre deux réseaux ou plus afin de déterminer le chemin qu'un paquet de données va emprunter. Lorsqu'un utilisateur appelle une URL , le client Web (navigateur) interroge le serveur de noms , qui lui indique en retour l' adresse IP de la machine visée. Son poste de travail envoie la requête au routeur le plus proche, c'est-à-dire à la passerelle par défaut du réseau sur lequel il se trouve. Ce routeur va ainsi déterminer la prochaine machine à laquelle les données vont être acheminées de manière à ce que le chemin choisi soit le meilleur.
Le routeur est équipement de niveau 3 (couche réseau), il opère sur la couche IP. I peut avoir des fonctions de firewall (filtrage des packets selon des régles)
Couche réseau (network layer)
l'en-tête IPv4 : -Version (4 bits) : version d'IP utilisée. Ici, 4. -Longueur de l'en-tête (4 bits) : nombre de mots de 32 bits, soit 4 octets (ou nombre de lignes du schéma). La valeur est comprise entre 5 et 15, car il y a 20 octets minimum et on ne peut dépasser 40 octets d'option (soit en tout, 60 octets). -Type de service (8 bits) : rarement utilisé. Ce champ permet de distinguer différentes qualité de service différenciant la manière dont les paquets sont traités. Composé de 3 bits de priorité (donc 8 niveaux) et trois indicateurs permettant de différencier le débit, le délai ou la fiabilité. -Longueur totale en octets (16 bits) : nombre total d'octets du datagramme, en-tête IP comprise. Donc, la valeur maximale est (2 16 )-1 octets. -Identification (16 bits) : numéro permettant d'identifier les fragments d'un même paquet. -Flag (3 bits) : (Premier bit) actuellement inutilisé. (Deuxième bit) DF ( Don't Fragment ) : lorsque ce bit est positionné à 1, il indique que le paquet ne peut pas être fragmenté. Si le routeur ne peut acheminer ce paquet (taille du paquet supérieure à la MTU), il est alors rejeté. (Troisième bit) MF ( More Fragments ) : quand ce bit est positionné à 1, on sait que ce paquet est un fragment de données et que d'autres doivent suivre. Quand il est à 0, soit le fragment est le dernier, soit le paquet n'a pas été fragmenté. -Fragment offset (13 bits) : position du fragment par rapport au paquet de départ, en nombre de mots de 8 octets. -Durée de vie ou TTL Time To Live (8 bits) : initialisé par l'émetteur, ce champ est décrémenté d'une unité généralement à chaque saut de routeur. Quand TTL = 0, le paquet est abandonné et un message ICMP est envoyé à l'émetteur pour information. -Protocole (8 bits) : numéro du protocole au-dessus de la couche réseau : TCP = 6, UDP = 17, ICMP = 1. Somme de contrôle de l'en-tête ou Checksum (16 bits) : complément à un de la somme complémentée à un de tout le contenu de l'en-tête afin de détecter les erreurs de transfert. Si la somme de contrôle est invalide, le paquet est abandonné sans message d'erreur. -Adresse source (32 bits) : adresse IP de l'émetteur sur 4 octets ou 32 bits. -Adresse destination (32 bits) : adresse IP du récepteur sur 4 octets ou 32 bits. Options (0 à 40 octets ou 0 à 320 bits par mots de 32 bits ou 4 octets) : facultatif. -Bourrage : de taille variable comprise entre 0 et 7 bits. Il permet de combler le champ option afin d'obtenir un en-tête IP multiple de 32 bits. La valeur des bits de bourrage est 0.
Une adresse IP peut être divisée en 2 parties : une partie servant à identifier le réseau ( net id ) et une partie servant à identifier un poste sur ce réseau ( host id ).
Il existe 5 classes d'adresses IP. Chaque classe est identifiée par une lettre allant de A à E. Ces différentes classes ont chacune leurs spécificités en termes de répartition du nombre d'octet servant à identifier le réseau ou les ordinateurs connectés à ce réseau : -Une adresse IP de classe A dispose d'une partie net id comportant uniquement un seul octet. -Une adresse IP de classe B dispose d'une partie net id comportant deux octets. -Une adresse IP de classe C dispose d'une partie net id comportant trois octets. -Les adresses IP de classes D et E correspondent à des adresses IP particulières
Classe A Une adresse IP de classe A dispose d'un seul octet pour identifier le réseau et de trois octets pour identifier les machines sur ce réseau. Ainsi, un réseau de classe A peut comporter jusqu'à 2 3×8 -2 postes, soit 2 24 -2, soit plus de 16 millions de terminaux. Le premier octet d'une adresse IP de classe A commence systématiquement par le bit 0 , ce qui a pour effet que le premier octet d'une adresse de classe A est systématiquement compris entre 0 et 127 . La valeur 0 étant réservée, donc le premier octet d'une adresse IP de la classe A va varier de 1 à 127. Un exemple d'adresse IP de classe A est : 10.50.49.13 Classe B Une adresse IP de classe B dispose de deux octets pour identifier le réseau et de deux octets pour identifier les machines sur ce réseau. Ainsi, un réseau de classe B peut comporter jusqu'à 2 2×8 -2 postes, soit 2 16 -2, soit 65 534 terminaux. Le premier octet d'une adresse IP de classe B commence systématiquement par la séquence de bits 10 , ce qui a pour effet que le premier octet d'une adresse de classe B est systématiquement compris entre 128 et 191 . Un exemple d'adresse IP de classe B est : 172.16.1.23 Classe C Une adresse IP de classe C dispose de trois octets pour identifier le réseau et d'un seul octet pour identifier les machines sur ce réseau. Ainsi, un réseau de classe C peut comporter jusqu'à 2 8 -2 postes, soit 254 terminaux. Le premier octet d'une adresse IP de classe C commence systématiquement par la séquence de bits 110 , ce qui a pour effet que le premier octet d'une adresse de classe C est systématiquement compris entre 192 et 223 . Un exemple d'adresse IP de classe C est : 192.168.1.34 Classe D Les adresses de classe D sont utilisées pour les communications multicast . Le premier octet d'une adresse IP de classe D commence systématiquement par la séquence de bits 1110 , ce qui a pour effet que le premier octet d'une adresse de classe D est systématiquement compris entre 224 et 239 . Un exemple d'adresse IP de classe D est : 224.0.0.1 Classe E Les adresses de classe E sont réservées pour la recherche. Un exemple d'adresse IP de classe E est : 240.0.0.1 les adresses de classe E débutent en 240.0.0.0 et se terminent en 255.255.255.255 réservées par IANA.
Couche réseau (network layer)
L' Address resolution protocol (ARP, protocole de résolution d'adresse) est un protocole effectuant la traduction d'une adresse de protocole de couche réseau (typiquement une adresse IPv4 ) en une adresse MAC (typiquement une adresse ethernet ).
Internet Control Message Protocol est l'un des protocoles fondamentaux constituant la suite de protocoles Internet . Il est utilisé pour véhiculer des messages de contrôle et d'erreur pour cette suite de protocoles, par exemple lorsqu'un service ou un hôte est inaccessible.
Ping est le nom d'une commande informatique (développée par Mike Muuss ) permettant d'envoyer une requête ICMP 'Echo' d'une machine à une autre machine. Si la machine ne répond pas il se peut que l'on ne puisse pas communiquer avec elle.
Pour effectuer le routage, on considère deux types de machines ou composants du réseau : les routeurs , qui servent d'intermédiaire dans la transmission d'un message, et les hôtes qui émettent ou reçoivent les messages. Lorsque le routeur se trouve entre deux réseaux dépendant d'autorités différentes, comme entre le réseau local d'une entreprise et l' Internet , on utilise alors une passerelle ; cet élément peut être considéré plus évolué qu'un simple routeur en raison de la conversion effectuée. Le routage est un processus décentralisé, c'est-à-dire que chaque routeur possède des informations sur son voisinage mais pas au-delà. Chaque routeur maintient une liste des réseaux connus, chacun de ces réseaux étant associé à un ou plusieurs routeurs voisins à qui le message peut être passé. Cette liste s'appelle la table de routage , et contient trois types de routes : -les routes correspondant à des réseaux directement connectés: pour ces réseaux, le routeur peut acheminer le paquet directement à la destination finale en faisant appel au protocole de niveau 2 ( Ethernet par exemple). - les routes statiques, configurées en dur sur le routeur par l'administrateur du réseau, - les routes dynamiques, apprises d'un protocole de routage dynamique dont le rôle est de diffuser les informations concernant les réseaux disponibles.
Couche transport Les protocoles de la couche de transport peuvent résoudre des problèmes comme la fiabilité des échanges (« est-ce que les données sont arrivées à destination ? ») et assurer que les données arrivent dans l'ordre correct. Dans la suite de protocoles TCP/IP , les protocoles de transport déterminent aussi à quelle application chaque paquet de données doit être délivré. TCP (protocole IP numéro 6) est un protocole de transport « fiable », orienté connexion, qui fournit un flux d'octets fiable assurant l'arrivée des données sans altérations et dans l'ordre, avec retransmission en cas de perte, et élimination des données dupliquées. Il gère aussi les données « urgentes » qui doivent être traitées dans le désordre (même si techniquement, elles ne sont pas émises hors bande ). TCP essaie de délivrer toutes les données correctement et en séquence - c'est son but et son principal avantage sur UDP, même si ça peut être un désavantage pour des applications de transfert ou de routage de flux en temps-réel, avec des taux de perte élevées au niveau de la couche réseau. UDP (protocole IP numéro 17) est un protocole simple, sans connexion, « non fiable » - ce qui ne signifie pas qu'il est particulièrement peu fiable, mais qu'il ne vérifie pas que les paquets sont arrivés à destination, et ne garantit pas leur arrivée dans l'ordre. Si une application a besoin de ces garanties, elle doit les assurer elle-même, ou bien utiliser TCP . UDP est généralement utilisé par des applications de diffusion multimédia (audio et vidéo, etc.) pour lesquelles le temps requis par TCP pour gérer les retransmissions et l'ordonnancement des paquets n'est pas disponible, ou pour des applications basées sur des mécanismes simples de question/réponse comme les requêtes DNS , pour lesquelles le surcoût lié à l'établissement d'une connexion fiable serait disproportionné par rapport au besoin.
Open Systems Interconnection (OSI) is a standard reference model for communication between two end users in a network. It is used in developing products and understanding networks. This figure shows where commonly-used Internet products and services fit within the model. Notes: The OSI Reference Model describes seven layers of related functions that are needed at each end when a message is sent from one party to another party in a network. An existing network product or program can be described in part by where it fits into this layered structure. For example, TCP/IP is usually packaged with other Internet programs as a suite of products that support communication over the Internet. This suite includes the File Transfer Protocol (FTP), Telnet, the Hypertext Transfer Protocol (HTTP), e-mail protocols, and sometimes others. Although TCP fits well into the Transport layer of OSI and IP into the Network layer, the other programs fit rather loosely (but not neatly within a layer) into the Session, Presentation, and Application layers. In this figure, we include only Internet-related programs in the Network and higher layers. OSI can also be applied to other network environments. A number of boxes under the Application and the Presentation layers do not fit as neatly into these layers as they are shown. A set of communication products that conformed fully to the OSI reference model would fit neatly into each layer.
Host Permet de préciser le site web concerné par la requête, ce qui est nécessaire pour un serveur hébergeant plusieurs sites à la même adresse IP (name based virtual host, hôte virtuel basé sur le nom). C'est le seul en-tête réellement important. Referer Indique l'URI du document qui a donné un lien sur la ressource demandée. Cet en-tête permet aux webmasters d'observer d'où viennent les visiteurs. User-Agent Indique le logiciel utilisé pour se connecter. Il s'agit généralement d'un navigateur Web ou d'un robot d'indexation
<html> <head> <title></title> <script type=&quot;text/javascript&quot;> <!-- Debut function dim(form, field) // Je reviendrais sur ces paramètres plus tard { if (field ==1) // Notez que field vaut 1 { Ctrl = form.boite; /* on met ici dans la variable Crtl form.boite (le formulaire et le nom de l'objet) qui nous serviront plus tard... */ y = 20; /* La on fixe la valeur maximale du nombre de caractères à entrer (ici 20) dans la variable y */ } x = Ctrl.value.length; /* Puis nous mettons le nombre de caractères de la valeur de l'objet <textarea> du formulaire dans une variable x. Ok c'est de la traduction mot a mot ;-), je vais mieux expliquer. Ctrl contient : le formulaire et la boite à texte value contient : tous les caractères tapés dans la boite length contient : le nombre de caractères Donc mis bout à bout ça donne que x = nombre de caractères du total entré dans la boite qui se trouve dans le formulaire, simple non ? ;-D */ if (x < y) // si x est plus petit que y SendMsg (Ctrl, &quot;Tout est OK ! &quot; + x +&quot; caractères&quot;); // Tout va bien else SendMsg (Ctrl, &quot;Attention ! Votre texte est trop long. &quot; + x +&quot; caractères&quot;); // Sinon on râle } /* Notez que l'on a envoyé notre texte à la fonction SendMsg qui se trouve juste en dessous function SendMsg (Ctrl, PromptStr) { alert (PromptStr); // On ouvre une boite d'alerte (avec la méthode alert) // et on y met notre texte (str) grâce à la méthode Prompt Ctrl.focus(); return; // ces lignes servent à remettre le curseur dans la boite } // fin du script --> </script> </head> <body> <FORM> <TEXTAREA NAME=&quot;boite&quot; COLS=40 ROWS=2> </TEXTAREA> <INPUT TYPE=&quot;button&quot; VALUE=&quot;Verif&quot; onClick=&quot;dim(this.form,1)&quot;> <!-- En cliquant sur le bouton, on active la fonction dim en lui envoyant les paramètres this.form (ce formulaire) et 1 qui sera compris dans notre fonction comme la valeur de field. Pourquoi ce 1 ? Tout simplement au cas où vous voudriez mettre plusieurs formulaires dans la même page avec une possibilité de nombre de caractères différent. --> </FORM> </body> </html>