Classement des Entreprises de Taille Intermédiaire surperformantes 2016
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Saúde e medicina
Le Magazine des Affaires publie le classement des 100 Entreprises de Taille Intermédiaire surperformantes afin de valoriser ces trajectoires d’entreprises.
Pour l’édition 2016, le groupe Almaviva Santé est classé en 2e position du palmarès.
Classement des Entreprises de Taille Intermédiaire surperformantes 2016
TOP
Edition2016
surperformantes
2016
desMagazine
AffairesPourunemeilleureinformationdesprofessionnels
Ledes
ETI
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100
50
Dossier ETI superformantes
L
a dernière étude réalisée par
EY sur la l’impact du capital-
transmission sur les PME a
le mérite de mesurer les effets d’une
ouverture du capital d’une PME à des
investisseurs privés.
Premier enseignement : la création
de valeur trouve majoritairement
sa source dans le développement
économique des entreprises.
En moyenne, la progression de la
valeur du capital des entreprises entre
la date d’entrée et de sortie des fonds
provient à 74% de la progression des
résultats (excédent brut d’exploitation).
Ainsi au sein des entreprises
accompagnées par les fonds de capital-
transmission / LBO, la création de
valeur s’explique majoritairement par
leur développement économique et
non par le remboursement de la dette
financière. Dans le détail, la croissance
d’excédent brut d’exploitation (EBE)
dégagé par les entreprises est générée
à 63% par la croissance organique et à
29% par la croissance externe.
Autre enseignement, la croissance
est prioritaire pour les investisseurs
et l’amélioration de la structure de
coûts des entreprises soutenues n’a
contribué qu’à hauteur de 8% à cette
performance.
Deuxième enseignement : Le LBO
favorise le changement de taille
des entreprises et donne les moyens
d’investir dans l’avenir.
Ainsi, 40% de la croissance organique
provient de la hausse des ventes sur
le périmètre historique, 38% de
l’acquisition de nouveaux marchés à
l’export, et 22% d’une extension de
l’offre de produits ou de services. Le
capital-transmission / LBO renforce
donc le modèle économique des
entreprises sur les marchés existants
et le développe à l’international.
Les effectifs cumulés des entreprises
étudiées ont augmenté de 39% (en net
des entrées et des sorties de personnel)
durant la période de détention par les
fonds, qui a été en moyenne de 5 ans
et 8 mois, soit une croissance moyenne
de +6,0% par an. 4 nouveaux emplois
sur 10 ont été créés sur le périmètre
historique et 6 via des opérations de
croissance externe après déduction
des cessions de filiales opérées dans
la période. Le capital-transmission
/ LBO permet aux entreprises de
franchir de nouveaux paliers en terme
de taille, tant sur le plan de l’activité
que des effectifs. A noter et c’est
important que les entreprises du panel
ont massivement continué à investir
dans leur projet de développement.
Dans plus de 9 cas sur 10 elles ont
augmenté (59%) ou maintenu (37%)
leur niveau d’investissement corporel
(Capital Expenditure), et la totalité
d’entre elles ont accru (62%) ou
stabilisé (38%) leurs dépenses en
recherche et développement. Les fonds
continuent à investir dans le potentiel
de croissance des entreprises qu’ils
financent. C’est d’autant plus naturel
que ce potentiel de croissance est la clé
de la valorisation de l’entreprise à sa
revente.
Le poids de la dette dans la
performance de l’investissement est
marginal
Le désendettement financier a peu
pesé dans la création de valeur (avec
seulement 17% de la variation totale
de la valeur des fonds propres). En
effet, les fonds de LBO privilégient
le réinvestissement des profits dans
des projets de croissance, plutôt que
dans des distributions de dividendes
ou le remboursement de la dette. De
facto, le financement de la croissance
des entreprises améliore leur capacité
à assumer leurs obligations financières
et allège le poids relatif de leur dette.
Grâce à la croissance des entreprises
accompagnées, le poids moyen de
la dette financière des entreprises de
l’échantillon a été réduit de près de
moitié (-42%) sur la période. Ainsi la
dette financière rapportée à l’excédent
brut d’exploitation global (EBE) est
passée de 4,4x l’EBE en début de
période de détention à 2,5x l’EBE
en fin de période. Une évolution qui
s’explique avant tout par la croissance
delatailledesentreprisesétudiées.Pour
Laurent Majubert, associé responsable
de l’étude chez EY : « Cette étude
sur les PME et ETI françaises est
cohérente avec les constats réalisés par
EY depuis maintenant 10 ans, dans
le cadre d’études plus larges réalisées
dans les différents pays européens.
L’analyse des cessions démontre,
année après année, que la croissance
opérationnelle reste le principal
levier de création de valeur par les
fonds, alors que le désendettement
financier y contribue de manière assez
modeste ». ■
Le LBO stimule la croissance économique
des PME et des ETI
La dernière étude d’EY montre que la capital-transmission permet aux entreprises de
changer de taille. D’ailleurs, en moyenne la croissance des effectifs des sociétés sous
LBO est de 39% sur un peu plus de cinq ans.
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Investisseur utile et impliqué
52
Dossier ETI superformantes
Les partenaires privilégiés des 100 ETI françaises surperformantes en 2015
Les partenaires privilégiés des 100 ETI françaises surperformantes en 2014
Les partenaires privilégiés des 100 ETI françaises surperformantes en 2013
Noms Nombre Participations en forte croissance
1 Ardian 9 investissements Anios, Bio7, Trescal, Synerlab, Newrest, Solina, CLS, Serma
2 Siparex 8 investissements Labellemontagne, Flash Europe, Le Noble Age, Malherbe, Synchrone T, Safe
3 Equistone CPE 5 investissements Unither Pharmaceuticals, Sogetrel, Meilleurtaux, Finaxy Group, Charles & Alice
4 Mbo Partenaires 4 investissements Edouard Denis, Raphael Michel, Camusat, Kaporal
5 BPIfrance 4 investissements Synchrone Technologies, PGS, Paprex, Tockeim
6 Bridgepoint 3 investissements Acteon, Efront, Balt
7 LBO France 3 investissements Alvest, CMR Group, Materne
8 Apax Partners 3 investissements Unilabs, Texa, Europe Snack, Amplitude
9 Cobepa 3 investissements Exclusive Networks, Babilou, Socotec
10 Montagu PE 3 investissements Nemera, Arkopharma, Saint Hubert
Noms Nombre Participations en forte croissance
1 Siparex 20 investissements Sipas, Le Noble Age, Malherbe, Rave, Ausy…
2 Ardian 14 investissements Anios, Bio7, Trescal, Siaci, Trescal, Solina…
3 Eurazeo/
Eurazeo PME 8 investissements Asmodée, Moncler, Colisée, Peters Surgical, Cap Vert, Flash Europe…
4 Equistone CPE 7 investissements
Unither Pharmaceuticals, Sogetrel, Meilleurtaux, Finaxy Group,
Charles & Alice, Adista, Camusat
5 UI Gestion 4 investissements Amaviva, Gault & Fremont, Sogal, Domidep
6 Mbo Partenaires 3 investissements Emagine, CFDP, Alkos-Cosmogen
7 Apax Partners 3 investissements Unilabs, Europe Snack, Amplitude
8 Cobepa 3 investissements Exclusive Networks, Babilou, Socotec
9 NiXEN Partners 3 investissements Babeau-Seguin, Vulcain, Weave
10 Qualium
Investissement 2 investissements Sogal, IMV Technologies
Noms Nombre Participations en forte croissance
1 Ardian 9 investissements Trescal, Synerlab, Diana, Newrest, Arkadin, Novark, Solina, CLS, Charlois
2 Siparex 9 investissements Rave, Marietton, Vulcain, Labellemontagne, Bouvard, Flash Europe, Le Noble Age...
3 Mbo Partenaires 5 investissements Edouard Denis, Kaporal, SMP, Raphael Michel
4 Equistone CPE 3 investissements Unither Pharmaceuticals, Sogetrel, Charles & Alice
5 Apax Partners 3 investissements Unilabs, Infopro, Inseec
6 LBO France 3 investissements Averys, MediPôle-Partenaires, Alvest
7 NiXEN Partners 2 investissements Ludendo, Ceva
8 Qualium
Investissement 2 investissements Poult, Mériguet
9 Bridgepoint 2 investissements MediPôle-Partenaires, Flexitallic
10 21 Partners 2 investissements Averys, Sud Robinetterie
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Source:MagazinedesAffairesSource:MagazinedesAffairesSource:MagazinedesAffaires
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54
Dossier ETI superformantes
MdA : Les derniers chiffres de l'Afic
montrent le capital investissement
regagne du terrain en France avec
plus de 1000 PME soutenues au
premier semestre 2016. Comment
interprétez-vous ces chiffres ?
Olivier Millet : En effet, au 1er
semestre 2016 le capital-investissement
français a franchi un nouveau palier
avec plus de 1.000 entreprises financées.
Des start-up, PME et ETI ont reçu 5,5
milliards d’euros de capitaux sur cette
période pour donner vie à leurs projets
de croissance. C’est 47% de plus que
l’an passé sur la même période ! Ces
excellents chiffres traduisent la montée
en puissance progressive du capital-
investissement français comme nouvelle
forme d’actionnariat professionnel qui
finance et accompagne les entreprises.
C’est une très bonne nouvelle pour
l’économie française, car cela traduit
la dynamique des PME et ETI qui
portent une grande partie de la
croissance française. C’est également le
signe de la confiance des entrepreneurs
vis-à-vis du capital-investissement, où
des actionnaires, pour un mandat en
moyenne de 5 à 6 ans, deviennent les
co-constructeurs de la croissance des
entreprises.
MdA : Vous disiez il y a un an que nos
PME sont deux fois plus nombreuses
que les PME allemandes ou anglaises
mais aussi deux fois plus petites.
Pensez-vous que nos PME peuvent
rattraper leur retard et à quel horizon
de temps ?
Olivier Millet : Oui je pense que la
France a tous les talents pour faire
croître en taille ses PME. Elle dispose
tout d’abord du talent entrepreneu-
rial. Les managers français évoluent
dans un environnement économique,
réglementaire, fiscal, extrêmement
complexe, spécifique à la France, dont
on peut souhaiter qu’il évolue vers un
allégement et une plus grande stabilité.
Malgré cela, force est de constater que
nous disposons de managers de très
grande qualité qui ont de l’ambition
pour leur entreprise et qui réussissent.
La France a également la chance
d’avoir une industrie du capital-inves-
tissement qui s’est construite au cours
de ces 30 dernières années. Elle a at-
teint un stade de maturité, fait preuve
d’un haut niveau de professionna-
lisme, et apporte une grande diversité
avec près de 300 sociétés de capital-in-
vestissement pour servir tous les types
d’entreprises. Nous sommes donc bien
armés pour rattraper notre retard et
construire de nouveaux champions,
pour autant que la confiance dans l’en-
treprise, insufflée par les politiques se
poursuive.
MdA : Nous sortons la 37ème édition
du Guide des ETI surperformantes
mettant à l'honneur les ETI
surperformantes. A notre grande
surprise, il y a trois ans, nous avions
découvert que plus de la moitié de ces
ETI avaient à leur capital un fonds
d'investissement. Les deux dernières
éditions confirment largement
cette tendance. Quelle signification
donnez-vous à ces chiffres ?
Olivier Millet : Vous avez raison de le
signaler ! On ne le dit pas assez, mais
nous réinvestissons plusieurs fois dans
les entreprises. Comme le montrent à
nouveau les chiffres du 1er semestre
2016, 6 entreprises sur 10 accompa-
gnées par le capital-investissement
français ont bénéficié de réinvestis-
sements, qui ont représenté 45% des
montants alloués. De surcroît la rota-
tion du marché se fait en grande partie
auprès de fonds de capital-investisse-
ment qui repartent pour une nouvelle
étape de 5 à 6 ans aux côtés des diri-
geants. Nous contribuons à construire
des entreprises plus grandes et plus
fortes qui ont bien compris l’impor-
tance et l’intérêt d’avoir un actionna-
riat stable, pour mener à bien leurs
projets de transformation et mieux
faire face à la concurrence mondiale. ■
3 Questions à : Olivier Millet
Président de l'Afic
Nous contribuons à construire des
entreprises plus grandes et plus fortes qui
ont bien compris l’importance et l’intérêt
d’avoir un actionnariat stable, pour mener
à bien leurs projets de transformation et
mieux faire face à la concurrence
mondiale
‘‘
’’
McDermott Will & Emery conducts its practice through separate legal entities in each of the countries where it has offices. This communication may be considered
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56
Dossier ETI superformantes
Société Taux de croissance
CA 2015
en M€
Nature de l'actionnariat
1 Capcom 97% 95 Omnes Capital, Management
2 Almaviva 81% 222 UI Gestion, GIMV, SRS, Management
3 Elsan 70% 1 200 CVC Capital Partners
4 Critéo 60% 1 193 Groupe coté, Index Ventures
5 Trigo 55% 207 Ardian, Management
6 Asmodée 55% 270 Eurazeo
7 Meilleurtaux 50% 120 Equistone CP, Management
8 Texa 48% 181 Naxicap Partners, Management
9 Colisée 45% 264 Eurazeo PME, Management
10 Sipas 43% 60 Siparex, Management
11 Wavestone 43% 233 Groupe coté
12 Solina Group 40% 303 Ardian, Management
13 Sogetrel 40% 259 Quilvest, Management
14 Grands Frais 39% 776 Siparex, Management
15 Peters Surgical 36% 63 Eurazeo PME, Management
16 Soitec 36% 232 CDC, BPIFrance
17 ProwebCE 32% 122 Edrip, IRIS
18 Exclusive Group 31% 840 Cobepa, Management
19 Sogal 30% 87 UI Gestion, Qualium, Management
20 Groupe Delpharm 30% 380 Groupe familial
21 La Maison Bleue 30% 100 Towerbrook, BPIFrance
22 Nemera 30% 82 Montagu PE, Management
23 Amaris France 30% 103 Management
24 Sia Partners 30% 115 Management
25 Esker 27% 59 Ardian, Management
26 Evolis 27% 77 Ardian, Management
27 Moncler 27% 880 Eurazeo
28 Showroomprivé 26,6% 443 Groupe coté
29 Efront 25% 90 Bridgepoint, coté
30 Oeneo 24% 211 Groupe familial
Source : Magazine des Affaires
Classement des 100 ETI françaises surperformantes
Sur 4800 ETI françaises, 200 sont dites surperformantes (c'est-à-dire que leur CA croît
de plus de 7% sur l'année). Sur ces 200 pépites, 72% étaient soutenues dans leur
croissancepardesfondsd'investissement.AprèsSofteam(2014)etExclusiveNetworks
(2015), notre Lauréat 2016 la société Capcom qui affichait 97% de croissance.
Pour l’instinct,
un conseil externe
est la bonne
solution.
Pour la raison,
la croissance
est entre
vos mains.
58
Dossier ETI superformantes
Société Taux de croissance
CA 2015
en M€
Nature de l'actionnariat
31 MGI Coutier 24% 860 Groupe coté
32 Le Belier 23% 319 Groupe coté
33 Trigano 22,5% 1317 Groupe coté
34 Adista 22,5% 66,6 Equistone CP, Management
35 Jacquet Metal Service 22,3% 1 377 Groupe coté (Jsa)
36 Orolia 22% 98 Eurazeo PME, Management
37 Fromagerie Guilloteau 22% 69 Idia, Management
38 Legallais 22% 220 Gimv, Management
39 Naturex 21,8% 398 Groupe coté (SGD, Caravelle…)
40 Vignal 21% 83 Eurazeo PME, Management
41 Cap Vert 20% 96 Eurazeo PME, Management
42 Gault & Frémont 20% 51,4 UI Gestion, Management
43 Invivo 20% 1500 Eurazeo
44 Pellenc 20% 212 Somfi Participations
45 Paprec 20% 900 Bpifrance, Management
46 Guerbet 19,5% 489 Groupe coté (Famille Guerbet)
47 Le Noble Age 19,3% 424 Groupe coté, Siparex
48 Scopelec 19% 304 Coorpérative
49 Fintrax 19% 212 Eurazeo
50 LNA 19% 425 Siparex, Management
51 Groupe Gorge 18,6 265 Groupe coté
52 Ouveo 18,5% 610 Ardian, Management
53 OVH 18% 250 Familial
54 Webhelp 18% 575 Dirigeants, KKR
55 Sword 17,5% 138 Ardian, Management
56 RAVE 17% 126 Siparex, Management
57 Trescal 16,8% 217 Ardian, Management
58 1000Mercis 16,6% 52 Ardian, Management
59 Acteon 16% 138 Bridgepoint, Management
60 Clasquin 16% 234 Groupe coté
61 Vulcain Ingénierie 16% 52,8 Nixen Partners
62 Ausy 15,5% 394 Siparex, Management
63 Legallais 15% 223 Siparex, Management
64 Edouard Denis 15% 180 Mbo Partenaires
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ET SEMOULE
PRODUCTION ET
NÉGOCE DE VINS
Source : Magazine des Affaires
Classement des 100 ETI françaises surperformantes
616160
Dossier ETI superformantesDossier ETI superformantes
Société Taux de croissance
CA 2015
en M€
Nature de l'actionnariat
65 Groupe Aqualande 15% 100 Coopérative agricole
66 Labellemontagne 14,3% 75 Siparex, Management
67 Charles et Alice 14% 76 Equistone CPE
68 Maped 14% 192 Siparex, Management
69 Domidep 14% 179 UI Gestion, Management
70 Environnement Sa 13,7% 71 Ardian, Management
71 ECM 13,6% 51 Siparex, Management
72 Amplitude 13,6% 80,7 Apax Partners
73 Delfingen Industry 13,5% 172 Familial
74 HR Path 13,5% 50-75 Ardian, Management
75 CLS 13,1% 109 Ardian, Management
76 Aubay 12,5% 135 groupe coté, Management
77 LDLC 12,2% 320 Groupe coté
78 Actia Group 12,2% 381 Groupe coté
79 Mauffrey 12% 196 Siparex, Management
80 Believe Digital 12% 94 Siparex, Management
81 Bouvard 12% 217 Siparex, Management
82 Ceva 12% 857 Temasek, Sagard, Management
83 Bastide LCM 12% 191 groupe coté
84 Ligier 11,6% 98 Siparex, Management
85 Artelia 11% 405 Salariés, CM CIC Capital Privé
86 SQLI 11% 179 Groupe coté
87 Babeau Seguin 10,6% 127,1 Nixen Partners
88 Virbac 10,3% 852 Groupe coté (Famille Dick)
89 IMV Technologies 10% 77 Qualium, Management
90 Interparfums 10% 327 Groupe coté
91 Emagine 10% 100 Mbo Partenaires
92 Coquelle 10% 65 Siparex, Management
93 Demeco 10% 82 Siparex, Management
94 Babilou 10% 220 Cobepa, SG CP, Raise
95 Metal Trading 10% 63,8 Personnes Physiques
96 Siaci 10% 238 Ardian, Management
97 Finaxy Group 10% 447 Equistone CPE, Management
98 Camusat 10% 175 Equistone CPE, Management
99 Mecaplast 9% 282 Equistone CPE, Management
100 Alkos Cosmogen 9% 51 Mbo Partenaires
9% Mbo partenairesSource : Magazine des Affaires
Classement des 100 ETI françaises surperformantes
lamartineconseil.com
S O C I É T É D ’ A V O C A T S
Au service des acteurs
du capital investissement
62
Dossier ETI superformantes
a cédé
a cédé
ont acquis
a recomposé
son actionnariat et
refinancé sa dette
Omnes Capital,
Parquest Capital et
Vivalto ont cédé
à IK Investment Partners à Apax Partners
auprès de
Bridgepoint & Eurazeo
à CDCIC, Mubadala et MACSF
32, rue de Lisbonne - 75008 Paris, France
www.natixispartners.com
Juin 2016
Septembre 2016
Mai 2016 Mai 2016
Février 2016Avril 2016 Janvier 2016
Conseil de l’Acquéreur
Conseil du Vendeur Conseil de l’Acquéreur
Conseil des AcquéreursConseil du Groupe Conseil des Vendeurs
Conseil du Vendeur
auprès d’Equistone
a acquis
SELECTION DETRANSACTIONS REALISEES EN 2016
a cédé
à Ardian
Juillet 2016
Conseil de l’Acquéreur
et le management
ont acquis
CONSEIL EN FUSIONS-ACQUISITIONS
Natixis Partners, anciennement Leonardo & Co. France, est l’entité de Natixis dédiée au Conseil en Fusions-
Acquisitions pour les transaction Midcap et Private Equity. Elle dispose d’une équipe Debt Advisory et d’un
réseau international de plus de 45 bureaux dans le monde avec des équipes M&A locales aux Etats-Unis (Peter
J. Solomon Company), en Espagne, en Italie et en Asie. La banque d’affaires, dirigée par une équipe d’associés
qui travaillent ensemble depuis plus de 10 ans, a conseillé plus de 150 transactions sur les 5 dernières années.
a cédé
à Naxicap Partners
Juillet 2016
Conseil du Vendeur
Depuis la
création du Réseau
Qualium PME, nous
avons identifié plus de
30 cibles de croissance
externe
‘‘
’’
Quel est l'apport réel des fonds dans le développement
international des ETI ? L'exemple du Réseau Qualium PME
Pour 7 ETI sur 10, la croissance externe est le principal levier de croissance. Quand il
s'agit d'aller à l'international, l'expérience des fonds fait souvent la différence car elle
permet d'identifier les bonnes cibles et de les intégrer. Jean Eichenlaub a accepté de
revenir sur l'apport du réseau international de Qualium Investissement.
des ETI de 1 000 à 5 000
salariés ont réalisé une ou
des opérations de croissance
externe dans les cinq
dernières années.
45%
des ETI qui ont déjà réalisé
une opération de croissance
externe au cours des cinq
dernières années prévoient
d’en refaire une dans les deux
prochaines années.
43%
MDA : Qu'apporte concrètement
le réseau Qualium PME dans la
croissance de sociétés telles qu'IMV
Technologies, Sogal ou Poult ?
Jean Eichenlaub : Les partenaires de
Qualium Investissement apportent
au départ leur connaissance de la
région et leur carnet d’adresses. Ils
aident principalement les entreprises
à mieux connaitre les particularités
de l’organisation locale et les arcanes
de leur administration, notamment
pour les appels d’offres. Ils organisent
des roadshows pour rencontrer des
clients potentiels, et/ou identifient
des cibles de croissance externe (plus
de 30 depuis la création), voire des
partenaires locaux pour création de
structures locales, de JV, etc. Par
exemple, pour Mériguet : création de
la filiale EDM Brésil ; création d’une
filiale au Qatar.
MDA : Quelles sont les
destinations privilégiées des
participations de Qualium
Investissement ?
Jean Eichenlaub : Compte tenu
des investissements dans des PME
françaises, le chiffre d’affaires des
sociétés du portefeuille de Qualium
Investissement est encore à près des
2/3 français, 25% dans le reste de
l’Europe et le solde se répartissant
dans les autres pays du monde.
La stratégie à l’export des sociétés
est éminemment dépendante de
leur activité et leur développement
à l’international est avant tout
pragmatique (ex. Mériguet,
société ayant une clientèle « haut
de gamme» ne peut pas avoir une
stratégie de développement dans
les mêmes pays que Sogal dont
les produits sur-mesure sont plus
difficilement exportables vers des
pays très lointains…). Les PME du
portefeuillesontengénéralarméespour
développer leur activité à l’export dans
les pays européens, soit par croissance
organique, soit par croissance externe
(ex. Poult/Banketgroep au Pays-Bas,
Invicta/CarminettiMonteGrappa
en Italie, etc.). En revanche,
elles n’ont pas toujours les
compétences en interne pour
se développer dans des pays
plus lointains, d’où la création
du Réseau Qualium PME pour
les aider (si elles le souhaitent)
au Moyen Orient, en Russie,
en Amérique Latine et en
Asie. Certains de ces pays sont
actuellement en situation
délicate sur le plan économique
(embargo russe, difficultés
au Brésil, etc.), mais la présence de
nos partenaires sur place permet de
pérenniser les relations locales et aux
sociétés d’être « prêtes » dès que ces
régions s’ouvriront de nouveau ou
retrouveront la croissance. ■
Jean Eichenlaub
Président de Qualium Investissement
656564
Dossier ETI superformantesDossier ETI superformantes
La croissance de son PIB devrait
atteindre cette année 1,6 % selon
la Banque fédérale allemande
(Bundesbank). La situation
économique actuelle et l’évolution de
la conjoncture sont encourageantes.
L’introduction en janvier 2015 d’un
salaire minimum (8,50 euros de
l’heure) soutient la consommation
interne. Le positionnement de
l’Allemagne est tel que le pays
bénéficiera à terme de la reprise de
la croissance en zone Euro, même si
celle-ci se fait encore attendre. Par
ailleurs, l’accueil et l’intégration des
réfugiés en Allemagne constituent un
immense défi sur le plan politique et
social mais aussi un relai de croissance
pour l’économie allemande confrontée
au vieillissement de sa population
active.
Pourquoi une entreprise française
devrait-elle investir en Allemagne
aujourd’hui ?
L’Allemagne bénéficie d’un
environnement des affaires favorable,
à la fois stable et sûr. Elle dispose
d’avantages structurels qui favorisent
les investissements étrangers sur son
territoire tels qu’une main d’œuvre
qualifiée (des ingénieurs dans les
domaines de la chimie, pharmacie,
automobile, mécanique notamment),
une position géographique au
cœur de l’Europe et d’excellentes
infrastructures. Enfin, c’est le marché
de consommateurs le plus important
en Europe avec plus de 80 millions
d’habitants.
Que conseillez-vous aux entreprises
françaisesquisouhaitents'implanter
en Allemagne ?
Il faut bien s’informer sur le pays
et ses pratiques avant de s’engager
dans toute forme d’investissement.
Ce pays est certes voisin, mais
possède de nombreuses particularités
: il est primordial de connaitre les
réglementations juridiques et fiscales,
les conditions d'une éventuelle
activité entrepreneuriale, les façons de
travailler ainsi que
les attentes de vos partenaires et
clients. Il existe des spécificités
marquées au niveau de l’organisation
des acteurs économiques, provenant
de l’histoire du pays et des différences
profondément ancrées dans la
perception collective des citoyens
allemands. ■
L' Allemagne, une destination prisée par les ETI
françaises
L’Allemagne s’affiche depuis plusieurs années comme le leader économique de
l’Europe, plus particulièrement depuis les crises des sub-primes et de la dette
souveraine. Malgré ces crises ainsi que le défi permanent de l’intégration des nouveaux
Länder, l’Allemagne enregistre un taux de chômage de seulement 4,6 %. Par ailleurs,
la balance commerciale excédentaire atteint presque 300 milliards d’euros en 2015 et
l’équilibre de ses finances publiques témoignent de la vigueur de son économie.
Tableau des indicateurs clés
“Doing Business” Guide - Allemagne
1 Aperçu global du pays
LʼAllemagne est le 1er partenaire commercial de la France et la 2ème destination des investissem
LʼALLEMAGNE EN QUELQUES CHIFFRES
Système politique
Nature du régime : République
fédérale. Démocratie
parlementaire
Chef de lʼEtat : Joachim Gauck
(18 mars 2012)
Chef du Gouvernement,
Chancelière : Angela Merkel
(17 décembre 2013)
Données générales
Capitale : Berlin
Langue officielle : Allemand
Monnaie : Euro (EUR)
Région : Union Européenne
Classification : Haut revenu -
Membre OCDE
2 Risque et climat des affaires
3 Indicateurs clés
4 5
la 4ème économie mondiale
la 1ère économie européenne
le 2ème plus grand exportateur au monde de biens indu
le 1er pays pour les investisseurs étrangers en Europe
Indicateurs (2015) Allemagne France
Rang du pays (PIB) 4 6
PIB (en Mds$) 3 371 2 423
Croissance du PIB (2015) 1,6% 1,0%
PIB /hab. (en $) 41 267 37 728
Population (en M) 82 64
Population urbaine 75% 79%
Rang du pays (population) 16 22
Stock d'IDE entrants (en Mds$) 744 729
Rang du pays (IDE entrants) 7 8
IDH* [0 – 1] 0,910 0,88
Part de la population connectée à Internet 86% 84%
Dette publique (du PIB) 71,4% 96,5%
Facilité de faire des affaires [1 – 189] 15 27
Risque souverain Standard & Poor's [ AAA – CC ] AAA
Rating Coface et risque de défaillance entreprises [ A1– D ] A1
Rating Coface environnement des affaires [ A1– D ] A1
Sources :
April 2015
E
0%
1%
2%
3%
4%
5%
( p) :
Prévisio
Sources : F
Diplomatie
▲1er pa
1ère p
▲Tissu
▲March
popul
▲Stabil
▼Popu
▼Manq
▼Coût
*IDH : Indice de Développement Humain se fonde sur trois critères majeurs : l'espérance de vie à la naissance, le niveau
d'éducation et le niveau de vie.
Sources : Eurostat, FMI, Banque mondiale, PNUD, CNUCED, COFACE
MdA : Vous accompagnez les PME/
ETI françaises dans leur croissance à
l'international depuis 20 ans. Diriez-
vous que la culture internationale
des PME s'est accélérée ces dernières
années ?
A.L. : Je ne dirai pas qu’elle s’est
accélérée mais qu’elle a plutôt fait
preuve d’une mutation… Ces
dernières années et notamment
depuis 2008, beaucoup d’entreprises
ont été confrontées à la crise et à une
croissance faible. Dans ce monde
instable, certaines ont eu tendance à
se replier sur elles-mêmes et d’autres,
plus « courageuses », ont pu saisir des
opportunités à l’international… Les
gagnantes sont incontestablement
cette 2ème catégorie…D’autre part,
le terme « PME » est devenu trop
générique. Il y a les start-ups qui sont
de plus en plus nombreuses et qui sont
de suite globales et internationales…
Les PME recouvrent une réalité très
divergente selon le secteur d’activité
et la taille. Enfin, les ETI (Entreprises
de Taille Intermédiaire) qui étaient,
pour la plupart, déjà internationales,
ont continué leur développement
notamment au travers d’opérations de
croissanceexterne,souventdansdespays
matures (Etats-Unis, Europe…) pour
gagner rapidement des parts de marché.
Mais globalement, l’accélération du
phénomène d’internationalisation par
croissance externe vient du constat
partagé par tous que la croissance en
France dans les années qui viennent sera
faible et que la croissance des entreprises
de taille moyenne ou intermédiaire
passera par la croissance externe, en
particulier à l’étranger.
MdA : Quelles sont les zones
géographiques qui ont les faveur des
dirigeants en 2015-2016 ?
A.L. : Ces dernières années, on a pu
constater un recentrage vers les pays
les plus « sûrs » : ceux disposant d’une
bonne croissance et d’un marché
important en nombre d’habitants…
Les Etats-Unis restent incontournables
ainsi que l’Allemagne et le Royaume-
Uni en Europe. L’Espagne a également
fait son grand retour car la croissance
y est forte depuis 2 ans. Parmi les pays
émergents, le Chine et l’Inde restent
deux locomotives importantes. Le
Brésil pourrait, quant à lui, revenir dans
la course en 2017 avec une croissance
positive et surtout un formidable
potentiel…
MdA : En pratique, quelles sont les
erreurs à éviter lors d'une opération
de croissance externe ?
A.L. : Il est vrai que réaliser une
opération de croissance externe à
l’international relève de la gageure !
En effet, il vous faudra surmonter de
nombreux écueils :
âLe manque de temps du dirigeant :
une opération de croissance externe,
de surcroît à l’international, exige
beaucoup d’investissement en temps
avec de nombreux déplacements
pour rencontrer la cible et discuter
les contours de l’opération… C’est
un élément important à prendre en
compte ;
âL’impréparation du dirigeant :
acquérir une cible à l’étranger demande
de la préparation en amont. Il faut
séduire la cible et lui démontrer en quoi
l’acquisition va pouvoir lui apporter
de la valeur ajoutée. C’est un travail
nécessairepourquelesdiscussionssoient
fluides et constructives… Cela nécessite
également une réflexion en amont sur
sa propre stratégie et la cohérence de
celle-ci avec l’acquisition envisagée. Il
en va de même pour appréhender la
valorisation de la cible, qui diffère selon
le contexte économique ;
âSous-estimer l’approche culturelle:
afin de réussir une opération de
croissance externe à l’international, il est
important de bien connaître la culture
du pays de la cible et de s’immerger
dans les nombreuses différences qui
peuvent faire échouer une opération ;
âNe pas s’entourer de conseils : on
ne saurait enfin finir cette rapide liste
sans parler du rôle des conseils (avocats,
conseils M&A, fiscalistes, spécialistes
en Transaction Services, etc.)… Il est
important d’avoir la bonne équipe pour
mener à bien une opération dans les
temps, et de rappeler que les conseils
jouent un rôle essentiel : un deal n’est
pas un long fleuve tranquille et leur
capacité à résoudre les problèmes est clé
dans ce type d’opérations. ■
3 Questions à : André Lenquette
Directeur Général de Pramex International
Ces dernières années, on a pu
constater un recentrage vers les pays
les plus « sûrs »
‘‘
’’
Par Guillaume Truchon-Bartès, Pramex International
676766
Dossier ETI superformantesDossier ETI superformantes
10 BONNES RAISONS DE SʼIMPLANTER EN ALLEMAGNE
Suite aux élargissements successifs de 2004, 2007
et 2013, lʼAllemagne se situe désormais au cœur de
lʼEurope et du vaste marché de lʼUnion Européenne.
Elle sʼillustre comme tremplin à lʼinternational. On y
trouve par exemple pas moins de 160 salons
internationaux qui rassemblent 10 millions de
visiteurs par an.
Plus généralement, la position centrale de
lʼAllemagne sur le continent lui confère le rôle de
passerelle pour approcher les marchés de lʼEurope
de lʼEst.
4ème économie mondiale en 2015
1ère économie dʼEurope en 2015
Moteur de la reprise européenne
15ème place mondiale en termes de facilité à faire des
affaires
Source : World Bank, Doing Business rankings.
Une force économique remarquable
Une position géographique
centrale en Europe
Le plus grand marché dʼEurope
Une main dʼoeuvre qualifiée et
compétitive
81% des Allemands ont lʼéquivalent du baccalauréat
ou une formation professionnelle. LʼAllemagne
dispose de plus de 400 universités et universités de
sciences appliquées. Ainsi, ce sont plus de 85 000
personnes qui ont terminé leurs études dʼingénieurs
en 2013.
Le système allemand propose une éducation duale
efficace avec une formation théorique conjuguée à
un enseignement pratique.
Enfin, le coût du travail reste maîtrisé en Allemagne.
Les charges patronales sont beaucoup moins
élevées quʼen France et sont, de surcroît,
plafonnées, rendant la main-dʼœuvre qualifiée très
compétitive.
1
2
LʼAllemagne est le pays le plus peuplé dʼEurope avec
plus de 80 millions dʼhabitants.
Par ailleurs, cette grande puissance revendique le PIB
européen le plus élevé.
La population allemande dispose dʼun pouvoir dʼachat
conséquent qui représente un potentiel important pour
des investisseurs.
3
4
Des infrastructures efficaces et
fiables
LʼAllemagne est dotée dʼun réseau dʼinfrastructures
complet et de qualité. Au total, elle compte
21 aéroports internationaux, 23 ports maritimes,
7 731 km de voies fluviales, 230 702 km de réseau
routier et 37 679 km de voies ferroviaires.
Par ailleurs, l'Allemagne domine le commerce de la
logistique. La qualité des réseaux d'énergie et de
communication couplée à la densité des infrastructures
de transport assurent un acheminement des
marchandises en temps voulu et ouvrent la voie vers le
succès.
5
Evalué à plus de 160 000, le nombre de Français
présents en Allemagne est un atout pour une PME
recherchant le profil bilingue adéquat.
Les expatriés français sont principalement installés à
Munich, Francfort-sur-le-Main, Cologne et Berlin
ainsi que dans les zones frontalières.
Une forte communauté française
6
Sources : Chambre de commerce française dʼAllemagne ; France Diplomatie ; German Trade and Invest, Invest in Germany ; Eurostat 2015 ; Banque Mondiale
LʼAllemagne occupe la 1ère place en Europe en matière
de recherche. La R&D est un secteur prioritaire dans
lequel elle investit plus de 3% de son PIB.
Les PME (petites et moyennes entreprises) sont la
pierre angulaire de la force industrielle allemande. Au
nombre de 3,7 millions, elles contribuent au savoir-faire
et à lʼinnovation en Allemagne.
De ce fait, le pays revendique un savoir-faire plus que
compétitif qui lui permet dʼêtre une grande puissance
industrielle.
La loi fondamentale allemande est source de liberté et
de stabilité. Elle représente les bases de la démocratie
allemande et se traduit par une culture non-
interventionniste qui laisse dʼavantage de liberté aux
acteurs économiques.
LʼAllemagne offre un environnement propice aux
affaires et favorise lʼesprit dʼentreprise. Elle se classe à
la 14ème place mondiale en ce qui concerne la facilité
de faire des affaires.
Un système de taxes avantageux
De profondes réformes ont permis de diminuer
significativement l'impôt et les taxes auxquelles sont
soumises les sociétés en Allemagne. LʼAllemagne est
dorénavant un pays compétitif sur le plan fiscal
Un savoir-faire industriel basé sur
lʼinnovation Un système politique stable et un
climat des affaires favorable
7
10
10 BONNES RAISONS DE SʼIMPLANTER EN ALLEMAGNE
0% 5% 10% 15% 20% 25% 30% 35%
France
Italie
Allemagne
Royaume-Uni
Taux d'imposition pour les sociétés en %
Les Allemands se démarquent en Europe et dans le
monde pour leur productivité et ce même dans les
tâches à haute valeur ajoutée.
LʼAllemagne a un rapport coût-travail parmi les
meilleurs dʼEurope.
Par ailleurs, lʼenvironnement du droit du travail est très
souple en Allemagne. Il existe de nombreux contrats
de travail plus flexibles : CDD, mini-jobs, alternance,
stages, etc.
Une productivité élevée
8
9
10 bonnes raisons de s'implanter en Allemagne 10 bonnes raisons de s'implanter en Allemagne
696968
Dossier ETI superformantesDossier ETI superformantes
La plupart des observateurs attendent
une croissance toujours supérieure
à 2 % en 2016. La volatilité récente
des marchés financiers aux États-
Unis traduit plutôt les incertitudes
sur l’économie mondiale et, sur le
plan interne, le coût toujours faible de
l’énergie et des taux d’intérêts encore
bas devraient continuer à soutenir la
consommation et les investissements.
Et, malgré toute l’attention médiatique
portée sur les élections présidentielles
de novembre, le contexte politique
a finalement aujourd’hui assez peu
d’impact sur l’économie.
Desopportunitéspourlesentreprises
françaises
Nouscontinuonsàobserverdesvolumes
importants d’implantations aux États-
Unis par des entreprises françaises
attirées par la taille et le dynamisme
du pays, et qui s’y installent en y créant
une filiale ou bien en rachetant un
acteur local pour être immédiatement
« américain ».
Le flux d’implantation des startup
françaises aux Etats-Unis s’est
accéléré depuis 18 mois
Le flux d’implantation des start-up
françaises aux Etats-Unis s’est
également accéléré depuis 18 mois
et nombre d’entre-elles lèvent des
fonds en France spécifiquement pour
financer une implantation outre-
Atlantique et se rapprocher d’un
écosystème très puissant qui facilite
ensuite leur développement. Malgré
l’attractivité du marché et l’apparente
facilité à s’implanter aux États-Unis,
nous conseillons de n’envisager une
implantation qu’avec des moyens
humains et financiers suffisants pour
être en mesure de gérer l’environnement
réglementaire complexe, les risques
juridiques, les recrutements, etc. Les
perspectives de gains aux États-Unis
sont élevées mais les risques sont aussi
bien réels. ■
Le contexte économique actuel aux États-Unis reste globalement très favorable. La taille
de l’économie américaine est aujourd’hui 10 % supérieure à son niveau d’avant la crise
financière, alors que l’Europe vient tout juste de revenir à son niveau de 2008. Le taux
chômage s’est stabilisé à 5 % et, depuis quelques mois, les salaires recommencent
à augmenter, ce qui contribue à soutenir la consommation. Certains secteurs sont
particulièrement porteurs, comme notamment les services, la santé, l’aéronautique
civile, les produits agro-alimentaire naturels, et bien sûr les nouvelles technologies
et les start-up qui, continuent à lever des fonds en venture-capital considérables aux
Etats-Unis : plus de 60 milliards de dollars en 2015.
Par Nicolas Ferry, Pramex International
Les Etats-Unis :
La destination préférée des ETI françaises
Tableau des indicateurs clés
“Doing Business” Guide – États-Unis
1 Aperçu global du pays
Les États-Unis ont l'économie la plus importante et la plus puissante du monde. Ils sont leaders sur la scène internationale
en matière dʼIDE, à la fois en tant que premier émetteur et premier bénéficiaire.
Sʼimplanter aux États-Unis
▲Vaste marché intérieur représentant 40 %
de la consommation mondiale
▲Forts clusters régionaux, forte compétitivité
▲Attrait de la zone dollar
▲Flexibilité du marché du travail, main-
dʼœuvre qualifiée
▼Faiblesses structurelles : sous-
investissements en infrastructures
▼Coût de la santé
▼Risque juridique
LES ÉTATS-UNIS EN QUELQUES CHIFFRES
Système politique
Nature du régime : Fédération
dʼÉtats. République
démocratique
Président des États-Unis
dʼAmérique : Barack Obama,
(2008-2016)
Vice-Président : Joe Bidden
(20 janvier 2009)
Secrétaire dʼÉtat : John Kerry
(1er février 2013)
Données générales
Capitale : Washington
Langue officielle : Anglais
Monnaie : Dollar Américain
(USD)
Taux de change (17/05/16) :
1 USD = 0,88 EUR
Région : Amérique du Nord
Classification : Haut revenu -
Membre OCDE
2 Risque et climat des affaires
3 Indicateurs clés
4 5
4
la 1ère puissance agricole
le 1er premier importateur mondial de marchandises
le 2ème exportateur mondial de marchandises
le 1er importateur et exportateur mondial de services commerciaux
Indicateurs (2015) États-Unis France
Rang du pays (PIB) 1 6
PIB (en Md$) 17 968 2 423
Croissance du PIB (2015) 2,7 % 1,0 %
PIB /hab. (en $) 55 904 37 728
Population (en M) 321 64
Population urbaine 81 % 79 %
Rang du pays (population) 3 22
Stock d'IDE entrants (en Md$) 5 409 729
Rang du pays (IDE entrants) 1 8
IDH* [0 – 1] 0,91 0,88
Part de la population connectée à Internet 87 % 84 %
Dette publique (du PIB) 111,4 % 96,5 %
Facilité de faire des affaires [1 – 189] 7 27
Sources : FMI, Banque Mondiale,Pnud, Coface, UNCTADz, France Diplomatie
Risque souverain Standard & Poor's [ AAA – CC ] AA+
Rating Coface et risque de défaillance entreprises [ A1– D ] A1
Rating Coface environnement des affaires [ A1– D ] A1
*IDH : Indice de Développement Humain se fonde sur trois critères majeurs : l'espérance de vie à la naissance, le niveau d'éducation et le
niveau de vie.
Sources : FMI, Banque mondiale, PNUD, CNUCED, COFACE
0
1
2
3
4
2013 2014 2015 (p) 2016 (p) 2017 (p) 2018 (p) 2019 (p)
United States France World
Sources : International Monetary Fund, World EconomicOutlook Database, April 2015
v
Evolution de la croissance du PIB
entre 2013 et 2019 (estimations)
“Doing Business” Guide – États-Unis
1 Aperçu global du pays
Les États-Unis ont l'économie la plus importante et la plus puissante du monde. Ils sont leaders sur la scène internationale
en matière dʼIDE, à la fois en tant que premier émetteur et premier bénéficiaire.
Sʼimplanter aux États-Unis
▲Vaste marché intérieur représentant 40 %
de la consommation mondiale
▲Forts clusters régionaux, forte compétitivité
▲Attrait de la zone dollar
▲Flexibilité du marché du travail, main-
dʼœuvre qualifiée
▼Faiblesses structurelles : sous-
investissements en infrastructures
▼Coût de la santé
▼Risque juridique
LES ÉTATS-UNIS EN QUELQUES CHIFFRES
Système politique
Nature du régime : Fédération
dʼÉtats. République
démocratique
Président des États-Unis
dʼAmérique : Barack Obama,
(2008-2016)
Vice-Président : Joe Bidden
(20 janvier 2009)
Secrétaire dʼÉtat : John Kerry
(1er février 2013)
Données générales
Capitale : Washington
Langue officielle : Anglais
Monnaie : Dollar Américain
(USD)
Taux de change (17/05/16) :
1 USD = 0,88 EUR
Région : Amérique du Nord
Classification : Haut revenu -
Membre OCDE
2 Risque et climat des affaires
3 Indicateurs clés
4 5
4
la 1ère puissance agricole
le 1er premier importateur mondial de marchandises
le 2ème exportateur mondial de marchandises
le 1er importateur et exportateur mondial de services commerciaux
Indicateurs (2015) États-Unis France
Rang du pays (PIB) 1 6
PIB (en Md$) 17 968 2 423
Croissance du PIB (2015) 2,7 % 1,0 %
PIB /hab. (en $) 55 904 37 728
Population (en M) 321 64
Population urbaine 81 % 79 %
Rang du pays (population) 3 22
Stock d'IDE entrants (en Md$) 5 409 729
Rang du pays (IDE entrants) 1 8
IDH* [0 – 1] 0,91 0,88
Part de la population connectée à Internet 87 % 84 %
Dette publique (du PIB) 111,4 % 96,5 %
Facilité de faire des affaires [1 – 189] 7 27
Sources : FMI, Banque Mondiale,Pnud, Coface, UNCTADz, France Diplomatie
Risque souverain Standard & Poor's [ AAA – CC ] AA+
Rating Coface et risque de défaillance entreprises [ A1– D ] A1
Rating Coface environnement des affaires [ A1– D ] A1
*IDH : Indice de Développement Humain se fonde sur trois critères majeurs : l'espérance de vie à la naissance, le niveau d'éducation et le
niveau de vie.
Sources : FMI, Banque mondiale, PNUD, CNUCED, COFACE
0
1
2
3
4
2013 2014 2015 (p) 2016 (p) 2017 (p) 2018 (p) 2019 (p)
United States France World
Sources : International Monetary Fund, World EconomicOutlook Database, April 2015
v
Evolution de la croissance du PIB
entre 2013 et 2019 (estimations)
717170
Dossier ETI superformantesDossier ETI superformantes
“Doing Business” Guide – États-Unis
10 BONNES RAISONS DE SʼIMPLANTER AUX ÉTATS-UNIS
1er importateur mondial (marchandises et services).
Réglementation douanière accessible et relativement
transparente, droits de douane limités en moyenne à 4 %.
Accès au continent américain (zone de libre échange
ALENA avec le Canada et le Mexique).
Proximité géographique et des échanges de plus en plus
significatifs avec lʼAmérique du Sud.
1ère puissance économique au monde.
De nombreux secteurs sont dominés par des
entreprises américaines.
30 % des 2 000 premières entreprises mondiales sont
américaines.
Les signes de reprise sont très positifs et la
consommation atteint de nouveau un niveau historique
dans un marché de plus de 300 millions de personnes.
1er émetteur et 1er bénéficiaire dʼIDE.
1er marché mondial
Un esprit entrepreneurial omniprésent
1
2
Le pays des start-up par excellence.
Lʼesprit dʼentreprendre est fortement valorisé.
Le Business est toujours au centre des conversations
des Américains.
Culture « high risk, high gain ».
3
4
5
Une ouverture aux échanges inégalée
5
Lʼinnovation est le principal moteur de lʼéconomie
américaine : informatique, médecine, aérospatial, etc.
En particulier pour les technologies de l'information et
de la communication, dont la Silicon Valley, au sud
de San Francisco, est le fer de lance.
La Californie représente à elle seule 25 %
des brevets déposés aux États-Unis.
Le Nord-Est du pays et le Midwest sʼaffichent
également comme des plateformes technologiques
incontournables.
Un pays à la pointe de la technologie
Un marché du travail dynamique
Flexibilité du marché du travail.
Forte mobilité géographique en fonction des opportunités
professionnelles.
Une main-dʼœuvre qualifiée et des cadres formés dans les
meilleures universités au monde.
Indice de lʼAttractivité des Pays pour les IDE
Source : A.T. Kearney Foreign Direct Investment (FDI) Confidence Index® 2015
1,40 1,60 1,80 2,00 2,20
10. Australie
9. Mexique
8. France
7. Japon
6. Bresil
5. Allemagne
4. Canada
3. Royaume Uni
2. Chine
1. Etats-Unis
“Doing Business” Guide – États-Unis
7
8
9
10
10 BONNES RAISONS DE SʼIMPLANTER AUX ÉTATS-UNIS
6
Source : World Bank 2015
6
Devenir “Américain” pour mieux
aborder le marché
Une implantation aux États-Unis crédibilise les démarches
commerciales vis-à-vis des clients et partenaires
américains.
La propension au « Buy American » impose une présence
locale, notamment dans de nombreux secteurs industriels.
Une présence locale est indispensable pour espérer avoir
accès aux ressources financières des banques et des
investisseurs.
Une présence française importante
1er pays dʼimplantation des entreprises françaises : près de
3 000 filiales actives aux Etats-Unis représentant
170 milliards de dollars de chiffre dʼaffaires et employant
550 000 personnes.
Des dizaines de nouvelles sociétés françaises sʼimplantent
chaque année aux États-Unis par création de filiale ou via
une acquisition.
Une perception positive des Américains pour les produits
français ainsi que les technologies et innovations.
Des effets indirects positifs en France
Permet dʼaccompagner ses clients européens sur le
premier marché mondial.
Effet dʼimage dʼune implantation aux Etats-Unis, visibilité
accrue notamment pour les recrutements.
Des modalités dʼimplantation
relativement simples
Pas de restrictions dʼinvestissements pour des entreprises
étrangères (sauf secteurs de la défense).
Processus de création de filiale simple et rapide.
Des règles complexes pour lʼimmigration des personnes
mais différents types de visas possibles selon les
situations.
Les États-Unis sont répertoriés comme étant la 7ème région
la plus favorable pour travailler dans le monde.
Des risques significatifs mais
maîtrisables
Un risque juridique élevé (procès, responsabilité des
produits, etc.) mais qui se gère avec lʼaide de
professionnels locaux hautement qualifiés : avocats,
compagnies dʼassurances, etc.
Un investissement et des dépenses de fonctionnement
locales souvent significatives qui nécessitent un strict suivi
budgétaire.Classement « Ease of Doing Business »
des principales économies mondiales
Pays (classés par PNB)
Rang mondial
(facilité des affaires)
Etats-Unis 7ème
Chine (hors Hong Kong) 90
Japon 29
Allemagne 14
Royaume-Uni 8
France 31
10 bonnes raisons de s'implanter aux états-Unis 10 bonnes raisons de s'implanter aux états-Unis