Cette recherche est une revue littéraire de l’Avare de Molière(1668) édité par Evelyne Amon pour l’édition Classiques Larousse en 1990. L’article scientifique est divisé en deux pentes. L’analyse structurelle et stylistique suivant par les enjeux et la recommandation. En fin, on conclut en ajoutant notre perspective en vue de transformer les âmes.
LA REVUE DE L’AVARE DE MOLIÈRE : C’EST L’HOMME QUI EST COURANT NON PAS LA LITTÉRATURE
1. LA REVUE DE L’AVARE DE MOLIÈRE :
C’EST L’HOMME QUI EST COURANT NON PAS LA LITTÉRATURE
Waliya Yohanna Joseph
Université de Calabar,
Calabar-Nigeria.
waliyayohannajoseph@unical.edu.ng
+234-803-894-0016
RÉSUMÉ
Cette recherche est une revue littéraire de l’Avare de Molière(1668) édité par Evelyne Amon
pour l’édition Classiques Larousse en 1990. L’article scientifique est divisé en deux pentes.
L’analyse structurelle et stylistique suivant par les enjeux et la recommandation. En fin, on
conclut en ajoutant notre perspective en vue de transformer les âmes.
INTRODUCTION
Après avoir lu l’Avare de Molière, on a constaté qu’elle est une comédie mêlée à la tragédie
(Acte III Scène 7, Acte V Scène 4), mettant en prose et cinq actes codés en règles classiques.
Elle est mise en scène à Paris à la maison d’Harpagon, le 9 septembre 1668 apr.-C. Harpagon,
un avare est un acteur principal dans la comédie. Il a proposé à ses enfants (Cléante, amant de
jeune Mariane, et Élise, amante de Valère) de se marier pour son intérêt d’acquérir du bien. Ils
lui ont désobéi (Acte I Scène 4). Valère, fils d’Anselme et amant d’Élise, Frosine, femme
d’intrigue et tous les entourages d’Harpagon l’ont flatté pour gagner sa tendresse (Acte I Scène
1, Acte III Scène 1)…Thématiquement, l’écriture s’agit de l’avarice, la flatterie, la vie
prétentieuse, insincérité (Acte II Scène I) et le mensonge.
PENTE I
ANALYSE STRUCTURELLE DE L’AVARE
L’intrigue de l’Avare n’est pas truquée. Le message que l’auteur a voulu passer à la société a
été mis en action ainsi que jusqu’à la fin, le texte reste avec l’intérêt. Les quatre aspects du
texte qui sont à savoir : l’intrigue, le personnage, le style et l’idée se sont bien accordés.
L’intrigue est captivante. Les personnages sont émouvants. Son idée centrale est originale.
Ainsi, sa définition de la comédie : « il s’agit d’un spectacle complet ouvert au rire, au sourire
et à la réflexion…p.13 (L’Avare)». Donc, sa structure catalyse les lecteurs de lire jusqu’au
bout du théâtre.
2. ANALYSE STYLISTIQUE DE L’AVARE
L’Avare est composé en cinq actes versifiés suivant les règles classiques. Au contraire, son
style de s’exprimer dans le texte n’est pas palatable (Acte I Scène 1, Acte I Scène 4) où l’auteur
doit garder la courtoisie du tutoiement, il a appliqué le vouvoiement vice versa. C’est ici que
son œuvre manque un peu de logique car si Valère, Élise et Cléante sont les jeunes du même
cadre d’âge, il est impératif de se tutoyer au lieu de se vouvoyer sans considérer leur noblesse.
Il est supposé qu’ils utilisent le français familier (Rodger Valatine Watson p.X). Le texte ne
tenait pas le début parce que le personnage principal ne trouve pas à la page 7 en respectant la
règle d’écriture littéraire comme affirmait Yves Meynard dans son excellente œuvre intitulée
« Comment ne pas écrire des histoires». Cela veut nous dire que l’écriture du 21e siècle aussi
possède ses propres codes différents de ceux-là de classique (17e S). Par exemple l’emploie de
l’infinitif à l’époque de Molière : Et pour ne faire rien, monsieur… (Acte III Scène 1)…ne garder
aucun ressentiment de toutes mes extravagances ? (Acte IV Scène 5).
Les emplois d’infinitif dans les phrases ci-dessus sont de grammaires défectives de nos jours
affirme (Jean Girodet p.620). Ils n’ont jamais suivi les règles d’accord d’infinitif aujourd’hui
qui disent « si l’infinitif est à la forme négative, la négation « ne… pas » précède le verbe (Y.
Delatour et al. p.182) ».
L’autre règle affirme que lorsque l’ordre ne s’adresse à personne en particulier, on utilise
l’infinitif (Brossier Évelyne no130). Mais, toutes les phrases ci-avant s’adressaient aux gens
directement. Même si l’infinitif prend la valeur d’impératif dans les concurrents de l’impératif,
« la règle d’accord dit qu’un ordre ou une défense s’adresse à une collectivité anonyme sont
souvent formulés à l’infinitif, notamment dans l’usage écrit (recettes de cuisine, consigne
administrative… (Arrivé Michel no163) ». Cette règle n’applique jamais à l’infinitif en
négation. Toutefois, l’auteur et l’éditrice faisait la faute de la défective grammatique.
De plus, en observant la pièce de théâtre toute entière, les histoires ne sont pas tout à fait
logiques et cohérentes. Par exemple, la déclaration de Valère : « je me déguise pour lui plaire
afin d’acquérir sa tendresse » (p.24, Acte I Scène 1). Le manquement de la rationalité est
évident. On n’agit jamais en raison de plaire à quelqu’un. Nous devons vivre ce qui on est
quotidiennement afin qu’on n’encourage pas le mal dans la société. Sinon, c’est un acte
d’hypocrisie. Si l’on vit dans ce cas, on doit faire tout pour se libérer de ce malaise. L’auteur
n’a pas montré comment Valère laisser tomber son attitude de flatterie. Il ne nous a que
présenté la conséquence (Acte V Scène 4). Il y a aussi la vie de contradiction, Harpagon et son
fils, Cléante sont religieux mais ils ne se comportent pas bien. Ils se sont rivaux. (Acte III
Scène 7, Acte IV Scène 5). Les vieillards se rendaient au stade de jeunesse au sujet du mariage.
PENTE II
ENJEUX
On se demande quel soit l’enjeu que nous puissions tirer de cette comédie du 17e siècle de nos
jours ?-Tout ce qui aime l’argent plus que l’humanité termine sa vie en disgrâce (Acte IV Scène
7, Acte V Scène 4 et 5). L’avarice est toujours le problème des hommes politiques partout
dans le monde entier. Notamment, chez nous en Afrique, la politique africaine nous dévoile
que les leadeurs ne font rien que pour eux-mêmes et les hauts peuples à cause de l’avarice.
3. C’est-à-dire, d’âge en âge, les nobles ne changent guère parce que la nature humaine est
encapsulée en Homme. Donc, la méchanceté dans la société est inévitable à jamais.
RECOMMANDATION
Cependant, on recommande ce chef-d’œuvre au public de lire car le classicisme est toujours
vivant dans la société millénaire. On est sûr que vous ne soyez pas regrettés. Bien qu’elle soit
une comédie, elle est un instrument de la transformation du destin du monde demain. Ayant
su nos histoires passées, nous devrions changer nos points de vue sur notre société afin de
bouger glorieusement envers le futur euphorique. Rire, sourire et réfléchir suffisamment!
CONCLUSION.
L’Avare est l’un des plus célébrés théâtres de Jean-Baptiste Poquelin (1622-1673) qui est plutôt
connu avec le nom Molière. C’est un œuvre satirique de son milieu au 17e siècle. On a mené
cette recherche pour démontrer qu’être-humain partout, en tout temps ou siècle est le même.
Ce n’est pas la littérature qui est courant mais la vision de monde du peuple qui l’est. Car, la
nature de l’homme est éternelle. Pour améliorer la convivialité dans notre vicinale, on doit
travailler sur l’homme et sa propension en les entrainant dans le Christianisme dont le plus
célèbre philosophe française du 18e siècle, Voltaire appelait son ardent « anabaptiste, le
meilleur des hommes » dans Candide (pp.269, 278). C’est ainsi que notre société se soit
évoluée dans le sain dont l’on cherche depuis des siècles
.
ŒUVRE CITÉES
Amon, Évelyne. L’avare de Molière (1668). Paris : Éd. Classiques Larousse,1990. Imprimé.
Arrivé, Michel. Bescherelle la conjugaison pour tous. Paris: Éd. Hatier, 2007. Imprimé.
Brossier Évelyne, Bescherelle la grammaire pour tous, Ed. Hatier, 2008.
Girodet, Jean. Dictionnaire Bordas (Pièges et difficultés de la langue française). Paris: Éd.
Bordas/SEJER, 2008. Imprimé.
Grevisse, Maurice. Le Français Correct (Guide Pratique). Paris-Gembloux: 3e Éd. Doculot, 1982.
Imprimé.
Jacques Van den Heuvel. Voltaire Roman Conteset Mélanges(Tome I). Paris : Éd. Librairie
Générale Française,1972. Imprimé.
Rodger Valantine Watson. Apprendre à traduire. Toronto: 3e
Éd. Canadian Scholars’ Press Inc.,
2004. eBook.
Simon Alfred. Molière, écrivains de toujours,Paris: Éd. Seuil, 1957. Imprimé.
Y. Delatour, D. Jennepin, M. Léon-Dufour et B. Teyssier. Nouvelle Grammaire du français. Paris :
Éd. Hachette,2004. Imprimé.