1. LOLIPOP ELP
POINTS POSITIFS
Point de vue de mon conjoint Mon point de vue
GÉNÉRAL Outil en ligne.
Outil « personnel ».
Permet de fournir des preuves de la maîtrise de compétences en langues
étrangères.
Réel outil d’apprentissage et pas uniquement outil d’évaluation de
compétences.
Possibilité de choisir sa langue d’enseignement.
Possibilité de choisir plusieurs langues cibles.
Sections Biographie / Passeport / Dossier / Ressources interconnectées.
Outil de progression, évolutif (tout est modifiable).
Outil réflexif.
L’apprenant est au centre de son apprentissage.
BIOGRAPHIE
Bilan Peut-être modifié donc réalisé à plusieurs moments, enrichi (intéressant
notamment pour la partie compétences transférables).
Apprentissages formels et informels : analyse réflexive des expérience(s)
langagière(s) et interculturelle(s).
Auto-évaluer S’auto-évaluer en ligne est très agréable.
Icônes compétences originales et assez compréhensibles.
Aide orale claire.
Les exemples donnés pour certaines compétences sont utiles et permettent
de s’auto-évaluer plus « justement ».
L’idée de se fixer un objectif pour progresser dans l’acquisition d’une
compétence que l’on juge ne pas avoir acquise est une très bonne idée.
Dépôt de document prouvant la maîtrise d’une compétence appréciable.
Possibilité de s’auto-évaluer pour tous les niveaux ou non.
Possibilité de mettre à jour son auto-évaluation.
Présence d’exemples (supports audio / image / texte).
Détail : Auto-évaluation basée sur l’encouragement (je m’attendais à ce que
les compétences non acquises soient marquées au fer rouge et bien non !
Merci !).
Les exemples donnent du sens à l’évaluation.
Objectif daté (encourageant l’apprenant à se donner une limite dans
l’acquisition de compétences).
Planifier Récapitulatif objectifs utile.
Relation objectifs / ressources très utile.
La planification de l’apprentissage d’une langue à long terme peut être utile
pour certains.
Idem conjoint pour relations base de données.
Analyse réflexive sur son/ses mode(s) d’apprentissage.
Permet d’organiser son propre apprentissage.
Détail : le message audio de la partie Séjours à l’étranger m’a bien fait
sourire…
PASSEPORT Pratique lors d’un entretien professionnel pourquoi pas… Possibilité d’imprimer son portfolio (soit pour un employeur, université,
service diplomatique pays d’accueil, soit pour visualiser une progression, à
différents moments).
Seules apparaissent les compétences acquises.
Sont inclues les compétences transférables.
DOSSIER Prouver ses compétences par le dépôt de ses propres travaux est pertinent.
RESSOURCES Base de données très intéressante, qui donne envie de se remettre à
l’apprentissage de l’anglais.
Champs de la base de données pertinents (notamment ressources par
niveaux, commentaires).
Possibilité de sélectionner les ressources par compétence(s), mode(s)
d’apprentissage, niveau(x) et sujet(s).
Possibilité d’ajouter des ressources supplémentaires dans la base de données.
2. LOLIPOP ELP
POINTS NÉGATIFS
Point de vue de mon conjoint Mon point de vue
GÉNÉRAL Accès au PEL difficile.
Modification de la langue d’enseignement pas évidente.
Compétences qui ne sont pas adaptées au monde professionnel.
Interface pas très agréable parfois.
Manque de consignes.
PEL dont on pourrait difficilement se servir dans un contexte professionnel
tel quel.
Definitely not user-friendly… Je ne vais pas m’étendre là-dessus.
Au risque de me faire des ennemi(e)s ici mais ce PEL est basé sur les
compétences telles que définies dans le CECRL. A ce propos, je vous invite, si
vous ne connaissez pas, à écouter Yannick Lefranc ICI
Outil qui peut être utilisé dans le cadre de l’enseignement supérieur, il n’est
peut-être pas adapté pour d’autres publics (le public que je forme par
exemple) et c’est bien dommage (ceci dit, je tenterai bien une expérience
avec mes apprenants).
BIOGRAPHIE
Bilan Je cite : « Je ne sais pas si c’est vraiment une bonne idée de définir le nombre
d’années durant lesquelles j’ai appris ou côtoyé la langue anglaise… Vu mon
niveau actuel, c’est plutôt déprimant ! » Aie.
Prise en compte insuffisante des apprentissages informels (les expériences de
la partie Réflexion ne sont pas répertoriées dans le Passeport).
Selon moi, il y a bilan et bilan… On peut faire un premier bilan de ce que l’on
sait faire, très à la mode aujourd’hui, le fameux bilan de compétences mais
on peut aussi faire des bilans intermédiaires, très utiles dans le cadre d’une
situation d’apprentissage. Si Lolipop est utilisé dans le cadre d’un
apprentissage, il faudrait peut-être séparer ces 2 types de bilans.
L’apprenant peut s’interroger, au moins à première vue, sur la présence de
compétences transférables. Un guidage de la part de l’enseignant est
évidemment nécessaire.
Auto-évaluer Au niveau du tableau d’auto-évaluation, la rubrique Se fixer un objectif
devrait faire l’objet d’une explication (mon conjoint ne comprenait
absolument pas l’utilité de cette colonne au départ).
Un nombre hallucinant de compétences évaluées.
Cette auto-évaluation, si elle est destinée à prouver que l’on maîtrise une
langue, est extrêmement « poussée », trop « technique ».
Certains exemples sont mal choisis (annonce hall de gare : « on me fait
écouter la même annonce en français, je ne comprendrais pas mieux ! Il y a
trop de bruit ! Ce n’est pas un problème de compréhension de la langue
là ! »).
Les compétences interculturelles, telles qu’annoncées, ne sont pas des
compétences propres à l’apprentissage d’une langue, cela va au-delà. Ont-
elles leur place dans ce tableau ?
Temps de réalisation très long.
Cette auto-évaluation permet-elle vraiment d’avoir une vision juste et réelle
des compétences que l’on maîtrise ou non ?
Les compétences interculturelles (à l’exception de celles concernant de
certains savoirs) n’ont, pour moi, pas leur place ici. Je les vois plus comme des
compétences transversales.
Je ne vois pas comment certaines compétences interculturelles peuvent être
évaluables… Ayant donc testé cette auto-évaluation, je suis restée très
dubitative sur certains points (notamment certaines compétences des
niveaux C1 et C2).
Planifier La partie Séjours à l’étranger n’a pas trop d’intérêt… Où veut-on en venir ? Dans le cadre de l’utilisation du PEL en tant qu’outil d’apprentissage, ne
serait-il pas judicieux d’ajouter, dans la partie Mes séjours à l’étranger, les
compétences acquises après le voyage, s’il a lieu pendant la formation ?
Partie Séjours à l’étranger toujours : il manque peut-être des liens vers des
ressources et je ne comprends pas bien le point Résultats anticipés.
Ne serait-il pas intéressant de voir la partie Mes séjours à l’étranger dans le
Passeport ?
PASSEPORT Tout ce qui concerne l’apprentissage informel n’apparaît pas.
DOSSIER Limité à 2Mo
RESSOURCES Base de données à compléter (même si je trouve globalement que le travail
réalisé sur cette bdd est remarquable)
L’intrusion intempestive de Roger Duflair…