1. Etude comparée de la rétroaction
corrective en situation d’expression orale
synchrone et asynchrone.
- le cas de l’allemand.
I. Introduction
II. Cadre théorique
III. Méthodologie
IV.Résultats
V. Discussion
VI.Conclusion
VII.Bibliographie
2. Introduction
Point de départ = mon expérience professionnelle /
mon rôle dans la classe
Bifocalisation sens et forme
Mettre à jour les mécanismes de RC (=rétroaction
corrective) et le panel à disposition
Comparer synchrone et asynchrone (pratique plus
récente)
3. Problématique :
L’impact du présentiel de l’enseignant sur la RC en
situation d’apprentissage : ce que modifie (ou non)
sur le feedback la possibilité pour l’enseignant
d’intervenir.
4. Cadre théorique – mots-clé
communication exolingue
contrat didactique
correction, autocorrection et
hétérocorrection
dé-fossilisation ou
dénativisation
erreur
étayage
évidence positive et négative
feedback positif et négatif
input (saisie)
intake, noticing the gap
interlangue
négociation du sens et de la
forme...
output
procéduralisation
rectification, réparation
remédiation
réparation auto- ou hétéro-
initiée, auto ou hétéro-
réparée
séquences potentiellement
acquisitionnelles (SPA)
séquence latérale...
uptake (incorporation : uptake
with repair)
5. Cadre théorique - plan
1. L’erreur
a) la norme
b) l’erreur
c) l’interlangue
II. La rétroaction corrective
a) la définition de la RC
b) les types de RC
c) le potentiel de la RC
III. La réparation.
a) le rôle de l’attention : notice the
gap
b) le degré d’activité de l’apprenant
c) l’incorporation (uptake) IV. Positionnement de l’étude
a) la synthèse
b) les études antérieures
c) le questionnement et les
hypothèses
6. Cadre théorique - hypothèses
Synchronie
feedback non exhaustif : ne pas faire perdre le fil
communicatif
(parole éphémère : laisser des erreurs serait
acceptable + question de la surcharge cognitive)
Asynchronie
rétroaction corrective plus exhaustive
davantage centrée sur le code avec un métalangage
plus développé
(discours fixé : réticence à laisser des erreurs +
possibilité de relecture)
7. Questions ouvertes
Dans quelle proportion l’apprenant est-il incité à
s’auto-corriger par rapport aux corrections directes
de l’enseignant?
Y a-t-il une différence du point de vue du type de
RC en fonction de la nature des erreurs
(phonologiques, lexicales, grammaticales,
pragmatiques)?
8. Corpus
Synchrone : enregistrement de séances de cours
Asynchrone : productions orales enregistrées
Entretiens avec des enseignants
9. Méthodologie – recueil des
données
5 enseignants
Apprenants B1-B2
1. Synchrone :
1 ou 2 h de cours par enseignant (donc 7 classes /
10h d’enregistrement)
2. Asynchrone :
Productions orales enregistrées des mêmes élèves
avec feedback par les mêmes enseignants
3. Entretiens enregistrés
11. Données secondaires :
Enregistrements audio / vidéo (en synchrone et
asynchrone + entretiens)
Plan du cours fourni par l’enseignant / copie des
documents supports utilisés pendant les séances
Données primaires :
Transcriptions
Notes de terrain
Formulaires de consentement
Méta-données
12. Analyse des données
Je pense ne conserver que les phases
d’interaction en allemand (exclusion par exemple
des phases de PRL, méthodologie ou de traduction
par exemple)
13. Analyse des données
Pour vérifier mes hypothèses, je comparerai donc
entre synchronie et asynchronie
la proportion de RC par rapport au nombre
d’erreurs (question de l’exhaustivité),
la proportion de RC centrées sur le message par
rapport à celles centrées sur le code et en
synchronie la proportion des rétroactions
correctives qui interrompent l’apprenant
(question du fil communicatif),
les types RC et leur proportion (question du
métalangage),
et vérifierai lors des entretiens (voir infra) les
motifs invoqués par les enseignants pour corriger
de telle ou telle manière.
14. Mes questions
Que faire des questions posées par les élèves en
classe (comment dit-on…)?
Jusqu’à quel point un complément donné par
l’enseignant fait-il partie de la rétroaction?
16. Les difficultés
Articles en anglais
Accord des enseignants et chefs d’établissement
Recueil de données chronophage
Enseignants ne pratiquant pas l’enregistrement de
productions orales
Compréhension et acceptation de cette pratique
pour l’occasion
17. Mes craintes
La qualité sonore des enregistrements
La pertinence des données en asynchrone du fait
de la nouveauté (pratique non ancrée)
Avoir du mal à catégoriser (erreurs et rétroaction à
cheval sur plusieurs catégories)
Âge des apprenants variable (14-19 ans)
Avoir oublié un aspect primordial
18. L’atout ?
Se pencher sur la réalité de l’asynchrone en classe
de langue. S’informer pour former.