7. Importations des véhicules
Sur ces 439.637 véhicules importés en 2014
417.913 l'ont été dans le cadre commercial par une
soixantaine de concessionnaires activant sur le marché
national pour un montant de 5,7 mds usd, contre 529.970
pour une facture de 6,65 mds usd en 2013, soit une baisse
de 14,3% en valeur et de 21,14% en quantité.
Pour ce qui concerne le coût des importations par les
particuliers, il a totalisé 640 millions usd pour 21.724
véhicules en 2014, contre 686 millions usd pour 24.293 unités
en 2013, en baisse de 6,6% en valeur et de près de 10,6%
en nombre.
10. Répartition par Type de véhicules
2014
L’année 2014 a enregistré un volume de ventes total
de 339.094 véhicules incluant 274.628 véhicules particuliers
(VP) et 64.466 véhicules utilitaires (VU).
Le véhicule particulier représente, de ce fait, 80.99% du
volume global contre 19.01% pour les véhicules utilitaires.
Par rapport à 2013, le marché a enregistré une baisse de
-21,62% pour les véhicules particuliers et -9,98% pour les
véhicules utilitaires.
19. Renault Algérie
A terme, l’unité d’assemblage Renault Algérie Production composée
d’environ 380 employés devra produire 25 000 véhicules par an pour le
marché algérien ; 75 000 horizons 2019.
Rien à voir avec l’usine de Tanger et ses 5 500 employés, configurée
pour produire, pour l’exportation, jusqu’à 400 000 véhicules par an dans
le royaume chérifien.
L’usine est codétenue par l’Etat algérien à hauteur de 51 % – la Société
nationale des véhicules industriels (SNVI) prendra 36 % et le Fonds
national d’investissement algérien 15 %. Le gros de l’investissement,
50 millions d’euros pour le lancement de l’usine d’Oran, est donc de fait
porté par l’Etat.
Pour l’usine Renault, l’objectif est d’atteindre un niveau d’« intégration
locale » des pièces assemblées dans la Symbol de 42 % à terme, contre
12 % à 17 % aujourd’hui.