Réseaux sociaux d'entreprise : menaces et opportunités pour les veilleurs
Collaboration et Cloud computing
1. La Collaboration : de la nécessité à la mise en pratique
au quotidien, le rôle spécifique du Cloud Computing
Petit-déjeuner XWiki : Comment la collaboration et le Cloud
transforment les organisations
USEO SARL
149 rue Saint Honoré
Allier technologies et usages
75001 Paris
France
2. USEO en quelques mots
Un cabinet de conseil en organisation autour des
nouvelles technologies
30% de nos ressources investi en R&D :
Benchmark et modélisation des usages
Analyse des solutions du marché
Production d’études de l’état de l’art
Serious Game
Animation pédagogique
Ils nous font confiance : GDF Suez, Ifop, JCD,
Saur…Assemblée Nationale, plusieurs
Ministères et conseil généraux, Grand Lyon,
Strasbourg, …
Retrouvez nous sur communaute.useo.fr
pour accéder à l’ensemble des études et
ressources partagées.
2
3. USEO et moi
Je suis un directeur chez USEO, spécialisé autour des stratégies de collaboration sociale.
2 projets à mettre en avant
Un serious game autour de la maturité Des études sur les réseaux sociaux
des usages 2.0: http://sena.useo.net d’entreprise :
http://referentiel.useo.net
3
5. L’héritage managérial du XXe siècle s’oppose au
collaboratif
Barrières Barrières Ilôts
Hiérarchiques fonctionnelles déconnectés
5
Source: Martin Roulleaux-Dugage : Gérer la confiance
6. Les employés ne sont pas amenés à collaborer très souvent, s’ils
sont distants de plus de 15 mètres
Thomas Allen – MIT, 1977
35
30
20
15
10
5
30 40 50 60
6
7. Accroître la performance de l’entreprise
« La contribution du management au XXe
siècle : une productivité multipliée par 50
chez le travailleur manuel.
La plus importante contribution que le
management doive apporter au XXIe siècle ?
Accroître à l’identique la productivité du
travailleur du savoir. »
Peter Drucker
(Les défis du Management au XXIème siècle)
“Si HP savait ce que HP sait, nous serions 3 fois
plus profitables”
Lew Platt – Former CEO of HP
7
8. Les managers passent
2h/jour à rechercher
de l’information
50 % de l’information
trouvée n’a pas
d’utilité
59 % ne voient pas
d’information interne
qui soit utile
53 % disent qu’elle n’a
pas de valeur
36 % disent qu’il y en a
trop, rendant difficile
la recherche de la
bonne information
Tiré de la présentation de @ceciiil / Accenture : Survey 1000 middle managers US/UK –8 2007
Jan
9. Le monde de l’entreprise ne peut ignorer le
changement de culture générationnel
Baby-Boomers
Génération X
(1946/1964)
(1965/1977)
Génération Y
(1978/2000)
Culture entreprise baby-
boomers :
•Hiérarchie, procédures,
automatisation des tâches
Culture entreprise génération X :
• Processus, compétences,
équipes pluridisciplinaires
Culture entreprise génération Y :
Technologies
• Collaboration, réseaux,
communautés
Organisations
9
10. IDC - 2 décembre 2010
« Pour le cabinet d'études IDC, les services en
cloud, l'informatique nomade et les réseaux
sociaux vont passer du statut de technologies
d'avant-garde à celui d'évolution naturelle
pour les entreprises.
Dans le même temps, les réseaux sociaux
d'entreprise sont de plus en plus considérés
comme un atout pour la productivité, une
tendance qui va se maintenir dans les prochaines
années, IDC prévoyant une croissance annuelle
de ce segment de 38% jusqu'en 2014.»
Gartner – novembre 2010
« 20 % des salariés s ’ appuieront sur les
réseaux sociaux pour gérer leurs
communications professionnelles en 2014 »
10
12. Créer des dynamiques qui se trouve sur le web 2.0
Des dynamiques:
- Collaboratives,
- Communautaires,
- D’ouverture et de partage,
- Transversales et ascendantes
12
12
13. Matrice des potentiels sociaux
Relation
Networking Intelligence collective
Gestion des
relations entre Valorisation* du capital
les membres Valoriser les expertises et
social.
(déclaratif et maximiser les opportunités
analyse de *Effet de levier dépendant de de mise en relation.
l’activité ) l’activité des membres
Communautaire Dialogue
Mise à disposition
d’espaces d’expression Développer l’interaction et
Historique
individuels et valorisation le partage
des actions
des membres actifs
Centré sur le contenu Centré sur la conversation
Conversation
13
14. Cinq familles caractéristiques
Mise en relation
Coproduction Social
Discussion et concertation Collaboration
Partage de ressources
Ecouter ses clients et échanger avec eux
Mettre en relation ses clients et leur permettre Social
d'échanger autour du produit CRM
Co-innover
Partage d’expertises et de ressources
Social
Evaluation des expertises et des contributions
Sollicitation du réseau Questions/ Réponses KM
Faciliter la circulation de l’information,
Constituer des fils d’expertise (Veille), Social
S’informer sur la vie interne, Messaging
Propager des alertes
Créer des synergies
Savoir qui fait quoi Social
Trouver des opportunités de collaboration Networking
Animation de communautés
14
15. 5 principales familles d’usages – social collaboration
Collaboration 1.0 Collaboration 2.0
Social collaboration
Partager toute l’information liée à une activité au sein d’une conversation
15
16. 5 principales familles d’usages – Social CRM
Conception 1.0
Automobile
SA
?
Conception 2.0
Automobile
SA 2.0
Social CRM
L’entreprise s’ouvre sur l’extérieur et construit ses nouveaux produits en
partenariat avec ses clients
16
17. 5 principales familles d’usages – Social KM
Capital 1.0 Capital 2.0
Social KM
Associer aux savoirs formalisées, un réseau d’expertise en mesure de
converser
17
18. 5 principales familles d’usages – Social Messaging
!
Social Messaging
Se créer un fil d’informations en sélectionnant ses sources et
rediffuser les informations pertinentes
18
19. 5 principales familles d’usages – Social Networking
Réseau de Réseau de
relation 1.0 relation 2.0
Social Networking
Maximiser les opportunités de contact et développer le capital social des
collaborateurs
19
20. Gartner – novembre 2010
« Une vraie collaboration effective et efficace
n’émergera pas sauf si les entreprises
rendent ces possibilités largement
accessibles aux utilisateurs qui devront se
montrer à l’aise avec. La technologie est
seulement un catalyseur, la culture est un
must pour le succès. »
20
21. Faire émerger le collaboratif
Mettre en Former au Avoir les
Vouloir coopérer
Savoir coopérer
Pouvoir coopérer
place un management moyens
contrat qui collaboratif et techniques,
favorise cette faire évoluer humains et
culture l’organisation financiers
collaborative pour mettre pour
en œuvre pérenniser
cette culture cette culture
21
23. La confiance base du développement du collaboratif
L’animation d’une communauté doit permettre aux différents acteurs d’aller
au-delà de l’information vers un véritable travail collaboratif
Confiance Information Collaboratif
Coproduction
(synergie et
Valeurs complémentarité)
communes
Production
Compréhension parallèle
commune
(valeurs
communes)
Dialogue
Echange d’informations
23
Martin R. Dugage
24. Le collaboratif modifie les rapports entre les participants
La connaissance de l’autre devient plus large : au delà de sa fonction, un collaborateur
est également reconnu par ses expertises, ses contributions. Il développe une e-
reputation.
Une expression accessible à tous : Les canaux de communication ne sont plus limités,
des espaces conversationnels publics sont mis en place où chacun peut engager une
discussion librement.
Une interactivité plus importante et un renforcement des contacts : Chacun peut rester en
contact en suivant l’activité de ses collègues ou de sa communauté. Chaque
collaborateur identifie autour de lui les collègues qui partagent les mêmes centres
d’intérêt et les espaces conversationnels deviennent des lieux d’échanges où
naissent de nouvelles synergies.
24
26. Les principales raisons des entreprises pour collaborer
1 2 3 4 5 6 7 8
1 : Connecter les collaborateurs de manière transverse 2 : Faciliter l’accès aux experts
3 : Accroître la productivité 4 : Gérer et capitaliser les connaissances
5 : Favoriser l’innovation 6 : Réduire la duplication des efforts
7 : Réduire les doublons de contenu 8 : Renforcer la cohésion d’équipe
20Adoption council : FinalQ42009 26
Adoptionreport
27. ROI ou satisfaction ?
Quand on lit le « Entreprise 2.0 : state of adoption » de décembre 2009,
82% des organisations interrogées n’ont pas pu calculer un ROI.
Cependant si ces mêmes entreprises n’ont pas pu mesurer le ROI de cette
initiative 2.0, le même pourcentage (82%) se disent satisfaites d’avoir mis
en place une stratégie 2.0 dans leur organisation.
Cisco considère que le ROI de son investissement dans des solutions
collaboratives est de 900% et que le collaboratif a conduit Cisco en 2008 à
économiser 691 millions $ et accroître sa productivité de 4,9%.
« On a tendance à surestimer ce qu’on peut mesurer et sous-évaluer ce qui ne
peut pas l’être »
John Hayes directeur marketing d’American Express
27
28. Les gains du collaboratif en interne (étude McKinsey)
Accroissement des revenus
Accroissement de l’innovation
Réduction du « time to market »
Accès aux experts internes
Réduction des coûts de communication
Accès plus rapide à l’information
0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80%
28
29. Les gains du collaboratif avec les partenaires(étude
McKinsey)
Accroissement des revenus
Accroissement de l’innovation
Réduction du « time to market »
Accès aux experts externes
Accroissement de la satisfaction des partenaires
Réduction des coûts de communication
Accès plus rapide à l’information
0% 10% 20% 30% 40% 50% 60%
29
37. Développeur d’usage
Accompagner son organisation dans son apprentissage du 2.0 et
notamment encadrer l'usage des plateforme Saas, usages des médias
sociaux externes, acculturation de l'organisation, accompagner le
développement des usages (en partenariat avec les métiers)
En tant que référent technologique, éclairer l'organisation sur les enjeux et
les impacts de l'entreprise 2.0
Challenger les éditeurs/intégrateurs sur leur promesse 2.0
Préparer l'infrastructure de demain en parallèle
37