La vidéo d’Eric Schmidt est intéressante à plus d’un titre: c’est le PDG de la société la plus en croissance dans le monde ces 5 dernières années qui répond à la question suivante: « quel est le meilleur conseil de votre vie? ». Il répond le « coaching » et donne le nom du coach, sur une chaîne spécialisée business (Fortune TV).
C’est comme si la plupart des patrons du CAC 40 étaient coachés et le disaient de façon ouverte sur une chaîne de TV spécialisée, comme BFM TV.
Le métier de business coach s’est développé aux USA très rapidement ces 10 dernières années, avec plusieurs milliers de coachs business en activité.
Les dirigeants américains font de plus en plus appel à des coachs parce qu’ils apportent avant tout des résultats tangibles, pour les dirigeants eux-mêmes et pour leur entreprise.
L’offre de business coaching se développe rapidement en Europe. Visconti est un des acteurs pionniers sur ce métier. Nous sommes déjà une dizaine de coachs chez Visconti pour environ 100 business coachs en France.
Par conséquent, nous serions ravis que, à la manière d’Eric Schmidt, vous soyez intéressés et convaincus par ce métier de business coach, métier que nous allons vous présenter.
En un mot, que vous en parliez autour de vous, à d’autres dirigeants, et que, pourquoi pas, vous ayez envie d’être coachés.
Voici, de manière synthétique les principaux défis d’un dirigeant. Très franchement, j’ai été confronté à tous ces défis et tous nos clients y sont confrontés.
NDLR: commencer par SOLITUDE pour finir par COMPETENCE:
Solitude: le dirigeant est souvent seul pour prendre des décisions difficiles (investissement, management, etc.) et cette solitude lui pèse. Le business coach joue à cet égard un rôle de « sparring partner » (partenaire d’entraînement pour les athlètes de haut niveau type boxe ou tennis).
Subjectivité: le dirigeant fait souvent appel à ses proches ou ses pairs dans sa prise de décision. Or ils ne sont pas les plus objectifs ou les plus à mêmes de le conseiller. Le dirigeant est également un homme (ou une femme). Il est donc ses propres biais.
Conflit d’intérêt: les dirigeants de PME sont souvent actionnaires minoritaires ou majoritaires, parfois propriétaires de leur entreprise. Il existe un conflit d’intérêt entre le rôle de manager et celui d’actionnaire. A l’extrême, nous pouvons voir certains dirigeants actionnaires préférer extraire un salaire ou des dividendes trop importants et couler leur entreprise.
Motivation: les dirigeants sont, comme tout le monde, sujet à des fluctuations de motivation personnelle. Ces fluctuations peuvent avoir pour origine la situation de l’entreprise (cercle vicieux). Par exemple, un dirigeant d’un éditeur de logiciel en hyper croissance était démotivé par sa difficulté à gérer cette hyper croissance, au point de réfléchir à une mise en gérance! Finalement, avec notre aide, il a travaillé sur son management et son organisation et continué à faire progresser durablement son entreprise.
Disponibilité: à la fois une cause et une conséquence des autres défis, le problème de manque de temps est crucial. C’est la raison pour laquelle nous menons rapidement avec le dirigeant un atelier d’optimisation de son agenda.
Compétence: la compétence est en fait le défi clé du dirigeant. En effet, un dirigeant doit maitriser l’ensemble des compétences fonctionnelles liées à l’entreprise (marketing, commerce, ressources humaines) et pas seulement être spécialiste de l’une ou l’autre. Comme un athlète de haut niveau, il doit sans cesse se perfectionner. Le business coach aide le dirigeant, semaine après semaine, à développer ses compétences en management et à maîtriser les différentes fonctions de son entreprise. C’est par cette mise à niveau permanente des compétences, mise à niveau adaptée au dirigeant et à son entreprise, que les 5 autres défis trouvent en partie leur solution
NDLR: demander à l’assistance de réagir en posant la question suivante: quelle est votre réaction face au schéma? Avez-vous vous-mêmes subi cela?
Lisser les paliers de maturité de l’entreprise et du dirigeant apportent un confort / une fiabilité / une plus-value business
Sans autonomie dirigeant / entreprise, les investisseurs appliquent une décote de 20% à 30% sur la valeur de l’entreprise. Cette décote est généralement prise en compte dans la décote de taille de 20% si taille société < 200 personnes. Autrement dit, si l’entreprise a un dirigeant trop proche et une petite taille, sa valorisation est décotée de 20 à 30% en tout.
Expliquer que l’outil est à usage exclusif des coachs, qu’il a pour vocation l’exhaustivité et la profondeur d’analyse en revue business.