LOMBALGIES COMMUNES : CROYANCES & ATTITUDE DES PATIENTS
Commotion 2
1. L’évaluation et la prise en charge des enfants et des
adolescents victimes d’une commotion liée à un sport
Document de principe
Société canadienne de Pédiatrie de Janvier 2012
Stage de pédiatrie - Novembre 2012
Michael Samman
R1 en médecine familiale
2. Plan de la présentation
Épidémiologie
Définition
Signes et symptômes
Évaluation initiale
Investigations
Le retour au jeu
La prévention
Recommandation de la société canadienne de
pédiatrie
3. Épidémiologie
Au États-Unis, 135 000 visite à l’urgence pour des
commotions cérébrales liées à un sport ou une
actvité récréative chez les cinq à 18ans 1
Les commotions représenteraient 8.9% de toutes les
blessures sportives au secondaire 2
4. Définition de la commotion
« Processus physiopathologique complexe qui
touche le cerveau, est induit par des forces
biomécaniques traumatiques et entraîne l’apparition
rapide d’une atteinte à court terme de la fonction
neurologique qui se résorbe spontanément » 3
6. Signes et symptômes
Durée des symptômes de 7 à 10 jours
habituellement. 3
Dans certains cas, les symptômes peuvent persister
plusieurs semaines et même des mois. 4
La durée des symptômes serait liée à l’âge; plus
l’enfant est jeune, plus il s’en remettrait lentement. 5
8. Œdème cérébral diffus fatal
Râre complication des TCC presque exclusivement
chez les enfants et adolescents. 6
Serait secondaire à une perte de l’autorégulation
vasculaire cérébrale et une augmentation de la
pression intracrânienne. 6
Risque d’hernie du tronc cérébral et de coma.
6
9. Évaluation initiale
Si on suspecte une commotion cérébrale, l’athlète
devrait être retiré du jeu immédiatement sans
possibilité de retour au jeu le jour même. 7
En raison de la diminution de concentration, du
temps de réaction et des pertes de mémoire, l’athlète
ayant subi une commotion est plus à risque de
nouvelle commotion ou d’une autre blessure. 7
10. Évaluation initiale
Si l’enfant est inconscient 7
suspecter un traumatisme cervical ou une hémorragie
cérébrale
immobiliser sur une planche
installer un collet cervical
évaluer notre A-B-C (évaluations sériées)
Transfert à l’urgence par ambulance
11. Évaluation initiale
Les symptômes peuvent se manifester ou s’aggraver
plus tard dans la journée ou le lendemain. 7
Tout athlète victime d’une commotion devrait être
évalué par un médecin dans les plus brefs délais. 7
Examen neuro complet
Évaluation des fonctions mentales
12. Information pour la famille
L’athlète ne devrait pas être laissé seul pour le 24-48
heures suivant la commotion. 7
Un adulte responsable doit surveiller l’enfant afin de
déceler une aggravation des symptômes. 7
Graves céphalées
Vomissements persistants
Convulsions
Respiration anormale durant la nuit
15. Rôle de l’imagerie
La commotion est un traumatisme crânien fonctionnel
plutôt que structurel. 8
Les résultats des examens de neuro-imagerie classique
(scan cérébral, IRM) sont normaux et non recommandés
systématiquement. 8
La tomographie par émission monophotonique (TEP
scan) et l’IRM fonctionnelle pourront peut-être
démontrer des anomalies physiologiques mais sont en
première phase de leur mise au point, peu accessibles et
non recommandées. 8
16. Rôle de l’imagerie
Indications de l’imagerie
Signes d’une atteinte structurelle
Déficit neurologique focal
Convulsion
Perte de conscience prolongée
17. Tests neuropsychologiques
Utile pour orienter la décision de retour au jeu.
9
Tests neuropsychologiques brefs (30 min.) sur
papier ou informatisé (ImPACT et CogSport). 9
Les experts recommandent d’obtenir des données de
base au début de chaque saison, avant une
commotion éventuelle. 9
Compte tenu des coûts, du temps et des ressources
nécessaires, ils ne sont pas systématiquement
recommandés dans la population pédiatrique. 9
18. Prise en charge
Principal aspect LE REPOS STRICT 7
Physique et cognitif 7
Aucune activité physique
Aucune activité qui demande un effort de concentration
L’enfant symptomatique devra parfois s’absenter de l’école
pendant quelques jours pour éviter l’aggravation des
symptômes par l’effort mental nécessaire pour effectuer le
travail scolaire
19. Le traitement pharmacologique
Aucun médicament n’a fait l’objet d’études pour le
traitement des commotions. 3
L’ibuprofène et l’acétaminophène peuvent être
utilisés pour atténuer les symptômes de la
commotion. 3
Dans certains cas, un traitement pharmacologique
pourrait être nécessaire pour traiter des symptômes
précis : Insomnie, anxiété, dépression. 3
20. Retour au jeu
Sujet controversé
Aucune étude prospective randomisée à double insu
n’a évalué les lignes directrices du retour au jeu chez
les jeunes athlètes.
Les enfants et adolescents ne devraient pas être
autorisés à rependre le jeu le jour même. 10
21. Retour au jeu
Lorsqu’ils ne présentent plus de symptômes depuis plusieurs
jours, les jeunes athlètes devraient suivre un protocole de
retour au jeu graduel supervisé par un médecin. 10
Chaque étape devrait durer au moins 24h.
10
L’athlète peut passer à la prochaine étape du protocole
uniquement si les symptômes ne se manifestent pas de
nouveau. 10
Si les symptômes se manifestent, le jeune devra se reposer
pendant 24 à 48h avant de reprendre le protocole à la
dernière étape à laquelle il était asymptomatique. 10
23. Facteurs modifiant la prise en charge des
commotions
•
Évaluation par un neuropsychologue et une imagerie pourraient
être justifiées dans certaines situations. 3
Âge plus jeune
ATCD de commotion multiple
Comorbidités neuropsychologique
TDAH
Trouble d’apprentissage
24. Commotions multiples
Plus de récidives chez les athlètes ayant subi de
multiples commotions. 11
Requiert une évaluation individualisée.
11
Il est possible qu’un changement de position ou
même de sport soit nécessaire dans certains cas. 11
25. La prévention
Port d’un casque certifié et bien ajusté dans tous les
sports de contact lors des activités qui comportent
un risque de trauma crânien. 12
Les casques “anti-commotions” n’existent pas. 12
Important que les entraîneurs enseignent les bonnes
techniques sportives. 12
26. Recommandations
Informer les athlètes, les parents et les entraîneurs
des S & S des commotions
L’athlète victime d’une commotion devrait être retiré
du jeu sans possibilité de retour au jeu le jour même.
Il devrait être surveillé de près en cas de signes de
détérioration
Une évaluation par un médecin dans les plus brefs
délais est toujours nécessaire.
27. Recommandation
L’imagerie diagnostique n’est habituellement pas
nécessaire
Le traitement principal est le repos physique et cognitif
Le retour au jeu doit être progressif et sous supervision
médicale
La décision de retour au jeu doit ce faire avec plus de
prudence dans la population pédiatrique
33. Références
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́
d’affiche au Second International Symposium on Concussion in Spor t, Prague 2004.
Notas do Editor
Cause de commotion
Coup direct à la tête ,au cou ou au visage
Coup ailleurs sur le corps qui transmet une force impulsionnelle à la tête
Symptômes plus discret comme des changements de comportement et des maux de ventre chez les plus jeunes plûtot ue des céphalés et des symptômes cognitifs.
On manquerais le diagnostic plus souvent chez les plus jeunes.
Ces séquelles peuvent nuire au travaux scolaire et à la réussite académique
Add stats if possible and references
Si l’adulte note une déterioration, l’enfant devrait être réevaluer à l’urgence
Perte de conscience prolongée?
Les enfants et ado sont en période de développement cognitif rapide et démontrent une amélioration considérable de la performance entre neuf et 18 ans et devraient reprendre les tests aux 6 mois
Les enfants victimes de commotions multiples ou qui démontrent des symptômes prolongé devrait subir une évaluation détaillépar un neuropsycologue
Aucune activité physique, même légère tant que l’enfant est symptômtique
Ne doit pas ce chamailler avec ses frères et soeurs
Pas de lecture, d’ordi de tele, de messages text de jeux electroniques
Si les sym
Déterminer la durée des symptomes, si un contact moins important à causer les symptômes
Bonne esprit sportif
Bonne technique de blaquage au football
Jeux de tête
Mise en echec au hockey