12. « J’avais un peu peur au début. Je n’avais
jamais utilisé de baladeur. Mais grâce à
l’aide des élèves et d’autres collègues, je
me suis débrouillée. Franchement, ce n’est
pas très difficile. »
Annie Gwynn, professeur d’anglais
22. « Nous disposons aujourd’hui de trente baladeurs MP3 dictaphones,
partagés entre les deux langues (anglais et espagnol). Si leur
nombre réduit ne permet pas le prêt à long terme aux élèves, ils sont
néanmoins très utiles et très sollicités en classe pendant les heures
de cours. Évitant les premiers prix très fragiles, nous avons opté
pour des modèles d'une bonne marque, mais anciens, avec moins de
fonctionnalités que les modèles récents, pour un prix intéressant.
Pas une seule panne à déplorer en trois ans d'usage intensif. »
Stéphane Busuttil, professeur d’anglais
20
28. « L'élève progresse non seulement en compréhension (puisqu’en
immersion), mais aussi en expression orale et/ou en interaction,
car un baladeur permet des enregistrements de qualité, ce qui
est extrêmement stimulant car porteur de sens dans le parcours
d'apprentissage. »
Jocelyne Robert, professeur d’anglais
32. « Avant de mutualiser une séquence pédagogique composée de
différents fichiers son ou vidéo, il est indispensable de s’assurer
que l'on peut le faire en toute légalité. »
Isabelle Guidat, professeur d'anglais
38. « Voici déjà quatre ans que j’ai intégré la baladodiffusion dans
mes pratiques pédagogiques quotidiennes. Les élèves de toutes
mes classes sont équipés de baladeurs enregistreurs – dotation
du conseil général des Pyrénées-Atlantiques sur appels à projets
– et ont accès à un environnement numérique de travail sécurisé,
l’ENT Argos mis à disposition des établissements par le rectorat de
l’académie de Bordeaux. »
Maïtena Susperregui, professeur d’espagnol