3. Ma femme et la voisine
l’ont vu à la TV et elles
en parlent
6
4. Les magazines forment le cœur d’une communauté
de gens qui partagent les mêmes intérêts :
• Les lecteurs sont hautement impliqués dans leur magazine,
dans le sujet
• Ils constituent un public qualitatif de leaders d’opinion et
d’adeptes de la première heure
• Les lecteurs estiment que le contenu magazine est pertinent
et fiable
• Lire des magazines engendre action et achats
• Les lecteurs magazine sont très sociaux : ils ‘discutent’ de
marques et partagent beaucoup
Ne délie pas les langues ?
6. Des gens disposant d’un vaste réseau social, qui font régulièrement
des recommandations dans plusieurs catégories de produits
Catalyseurs de conversations =
10. … et les sites Web de contenu aussi
Les marketeers touchent une cible hautement engagée
dans un environnement de première qualité
11. > 50 % des lecteurs magazine utilisent
les médias sociaux
Source : Experian, USA
Utilisation des médias sociaux (1)
Raisons :
67 % pour des coupons et réductions
42 % pour de l’information produit, y compris des
prévisualisations
13 % pour un meilleur service clientèle
Ils suivent plus souvent leurs marques
favorites
12. • sont plus ouverts aux opinions, critiques et
évaluations de leurs pairs au sein de leur
communauté
• se disent plus souvent d’accord avec l’affirmation
« I am more likely to purchase products I see used
or recommended by friends on social networking
websites »
• parlent à d’autres de sociétés et de produits qu’ils
apprécient
Source : Experian, USA
Utilisation des médias sociaux (2)
Les lecteurs magazine…
15. “In conclusion, if you want
to reach Influentials and get
your brand talked about,
there is no better place to
start than with magazine
brands.”
Stephanie Arlett, Carat, UK
16. Aperçu le plus complet au monde
de la recherche consacrée
aux médias magazine
Notas do Editor
Les annonceurs se basent parfois sur ce qu’ils observent dans leur environnement immédiat. Ce qu’on a vu hier à la télévision, fait souvent l’objet de conversations. Cela vaut parfois aussi pour la vidéo et Internet. À cause du caractère plus intime, ‘1 to 1’ des médias magazine, il est moins clairement visible quelle est l’influence du média sur les conversations.
Royaume-Uni, 2013 Une analyse de l’étude TouchPoints de l’IPA [83]
Les données récoltées parmi les grands consommateurs de médias hors ligne révèlent que les amateurs de cinéma assidus présentent l’indice le plus élevé, associé à leur profil d’âge, tandis que les grands lecteurs magazine enregistrent un indice de 116. Les grands consommateurs TV ont enregistré un indice inférieur au 100 de tous les adultes, à savoir 80.
Il a été établi que 9 visiteurs en ligne sur 10 discutent régulièrement de marques. Leurs conversations sont déclenchées par (par ordre d’importance) des achats ou une expérience d’achat ; une publicité ; du contenu en ligne ; et d’autres sources. Lorsqu’une conversation est inspirée par une publicité, les magazines/journaux imprimés (36 %) sont le contributeur principal, suivis à une distance respectable par la TV (19 %), les sites Web de contenu (17 %) et l’e-mail (12 %). D’autres sources, dont les médias sociaux, représentent moins de 8 % chacune.
En 2013, aux Etats-Unis, Experian Marketing Services a examiné l’utilisation des médias sociaux par les lecteurs magazine. L’analyse couvrait six segments de marché verticaux : Automotive, Entertainment, Epicurean, Health & Fitness, Home et Travel.
Magnify a comparé l’impact d’articles rédactionnels et de publicités et a constaté que les scores moyens étaient similaires (illustration 19). Le fait qu’on se rappelle autant des annonces que des articles démontre que les magazines forment un environnement très accueillant pour la publicité.
La lecture d’une partie ou de la totalité du contenu était supérieure pour le rédactionnel, mais le passage à l’acte après la lecture a tendance à être plus fort pour les publicités. Ainsi, des proportions plus importantes de lecteurs ayant remarqué des publicités plutôt que des articles récoltaient plus d’informations, visitaient des sites Web et envisageaient d’acheter. En moyenne, le score d’action net, combinant toutes les actions reprises dans le questionnaire, était le même pour le rédactionnel et la publicité. Bien sûr, la plupart des articles rédactionnels n’appellent à aucune action, mais la comparaison révèle bel et bien un degré substantiel d’implication active dans la publicité de la part des lecteurs.
AOP a commandé une étude de suivi baptisée The Value of Trust, menée par comScore et publiée en 2012 [77]. L’étude comparait des sites Web de contenu, des portails et des médias sociaux originaux et a conclu (illustration 52) que :- les taux de confiance supérieurs envers les sites de contenu originaux débordent pour créer un degré d’affinité et de confiance supérieur avec/envers les annonceurs apparaissant dans ces environnements ;- la publicité sur les sites de contenu originaux est sensiblement plus efficace que celle diffusée sur les portails et les médias sociaux lorsqu’il s’agit d’assurer lors de chaque étape du cycle d’achat, de la notoriété à l’achat ;
- les utilisateurs exposés à la publicité sur des sites de contenu originaux sont plus enclin à visiter le site de l’annonceur et/ou à rechercher la marque de l’annonceur que ceux exposés à de la publicité sur des portails ou des réseaux sociaux.
Voir article sur magazinemedia.be
http://magazinemedia.be/fr/qui-influence-les-influenceurs
http://magazinemedia.be/nl/wie-beinvloedt-de-beinvloeders
4 novembre 2014 (mise à jour), publiée à l’aide d’un webinar. Mise à jour d’une première version datant de 2012
Y compris les lauréats des FIPP Research Awards 2014
Première version contenait du matériel de 23 pays, 112 études
Contributions Belgique
Résultats internationaux se confirment mutuellement : ce qui vaut en Belgique, vaut aussi en … Et vice versa