1. Fiche de lecture
Sous la direction de jean michelsaussois Les organisations. État des
savoirs.2012 sciences humaines. Editions
Saussois J-M. Les organisations, état des savoirs. Auxerre : sciences humaines
Editions ; 2012
Classer les org. Pour cela, il faut les décrire
La taille,
La structure classique, verticale, horizontal
Buts lucratif ou pas
Sphère de production ou de service ou au contraire sphere de non production =
produisent des consensus, commission
Bénévolat
Comment classer les universités, les entreprises de réinsertions ?
Entreprises virtuelles ? Elle gère la production par des indépendants ainsi que
la vente…. Ex Benetton p37
Externalisation : cette activité signifie que l’entreprise possède des prestataires
pour les différentes phases de production. L’entreprise possède des soustraitants. L’entreprise n’a pas de locaux, elle gère seulement les transactions t
les bénéfices. Ce type d’organisation s’appelle des entreprises virtuelles.
INTERNET : gère la communication électronique dans le monde entier. Cette
organisation virtuelle pose question, économique, politique, culturels et
sécuritaires. Qui est le responsable, a qui vont les intérêts
L’Europe SabineSauruggier reprend plusieurs hypothèses. Elle dit que l’Europe
peut être considérer comme organisation dans le cas où il y a des pouvoirs et
des compétences. Exemple : la politique agricole commune.
L’Europe peut être vu comme une « consociation » qui assemble plusieurs
sociétés démocratiques. Ou bien, comme une fédération réunit autour d’une
convention
2. OMC : l’organisation mondiale du commerce régule la politique commerciale au
niveau mondial
P83
Approches théoriques
Les organisations peuvent être classées aussi par les relations humaines
présentent à l’intérieur.
Le premier niveau :
Les personnes produisent en commun, utilisent leurs compétences etaavec un
sens commun. Cadre de proximité
Deuxième niveau :
C’est le comportement entre les individus qui est mis en avant.
Le comportement varie en fonction des influences, ainsi cela créer des
interactions.
Troisième niveau :
C’est le croisement de la technique et le social
Quatrième niveau :
C’est la structure qui joue le rôle le plus important. C’est-à-dire que si
l’entreprise doit avoir une bonne structure, pour que les personnes
compétentes travaillent dans des conditions maximales. Sinon elles partiront
Petite conclusion
Les relations entre la structure et le personnel est donc a soulevé. le rôle du
cadre est d’organiser les relations entre le personnel, entre la direction et le
personnel en tenant compte de l’environnement (sécurité, droits des usagers,
droit du travail, matériel utilisé, économie, productivité….)
P109
Rappel des modèles de Weber (livre sociologie des organisations)
« L’analyse stratégique développée par Crozier et Freiberg rejette l’idée d’un
modèle univers
a) l’auteur en organisation est un stratège, disposant d’une marge d’action
zone d’autonomie) grâce à ma maîtrise d’une zone d’incertitude.
3. b) Cet acteur a un comportement rationnel, mais cette rationalité est
toujours » limitée ».
c) Le pouvoir est une relation d’échange qui se négocie.
d) L’interaction entre les acteurs aboutit à la construction d’un système
d’action, plus ou moins stable que l’analyser stratégique a pour but de
mettre au jour. Ces modèles d’organisations sont toujours contingents. »
P 111.L’organisation dépend aussi des acteurs qui la composent.
Boltanski et Thévenot ont étudié les actions individuelles ayant des
répercussions sur la logique collectives. Ils ont classé 6 principes.
La cité inspirée, c’est un monde créatif, d’innovation, de nouveauté.
La cité domestique, c’est la tradition, la relation familiale.
La cité du renom, c’est la reconnaissance sociale, vedette.
La cité civique, c’est l’intérêt général pour la société.
La cité marchande, action par le marché, le commerce
La cité industrielle, c’est la productivité, l’efficacité.
P121 j.March
Pour M. les organisations sont des lieux où se prennent des décisions,
Des décisions individuelles ou collectives, dans un but d’efficacitéou de
maximiser une production, par exemple.
Mais prendre une décision dans cela est compliqué car cela se fait dans une
approche pluridisciplinaire et dans un certain environnement.
Pour M, cette hypothèse est erronée car l’individu ne peut pas prendre de
décision de façon objective. Quand il prend une décision, il prend celle qui est
la plus satisfaisant mais pas la plus optimale
« March remet d’abord en cause une des hypothèses centrales
du modèle néoclassique de la décision : il conteste la possibilité
pour les individus et les collectivités de classer, a priori, leurs
préférences et leurs objectifs. En effet, personne ne dispose
suffisamment de d’informations ou de compétences pour
connaître de façon objective toutes les conséquences futures
de ses décisions. Cette rationalité limitée amène
chacun
4. d’entre nous à arrêter un choix dès que la solution envisagée
est non pas optimale mais simplement satisfaisante »