1. 04 juin 2009
Une association
pour sensibiliser
jeunes, parents et encadrants
aux risques liés à la
pratique de jeux dangereux
Contact presse : Magali Duwelz
Tél. 06 33 63 72 06 – e-mail : sosbenjamin@hotmail.com
Association SOS BENJAMIN – ONECR (Observatoire National d’Etude des Conduites à Risques)
BP 133
89101 SENS cedex
http://www.jeuxdangereux.fr
2. Sens, le 04 juin 2009
1. Objectifs de l’association
2. Historique : une association qui existe depuis plus de 10 ans
3. Les « jeux dangereux » et leur impact sur ceux qui les pratiquent
4. En France, un million de jeunes de 7 à 17 ans pratiquent ces jeux
5. Une large palette de services proposés par l’association
6. Le coffret pédagogique de prévention
7. Ils témoignent de l’impact de nos actions
8. Ils ont rejoint l’association
9. Les jeux dangereux dans les médias
10. L’association dans les médias
Contact presse : Magali Duwelz
Tél. 06 33 63 72 06 – e-mail : sosbenjamin@hotmail.com
Association SOS BENJAMIN – ONECR (Observatoire National d’Etude des Conduites à Risques)
BP 133
89101 SENS cedex
http://www.jeuxdangereux.fr
3. Objectifs de l’association
1
Les enfants et les jeunes pratiquent de plus en plus, seuls ou entre copains, des jeux qui mettent en péril
leur santé ou celle d’autrui. Ces activités, qui vont des jeux de non-oxygénation aux jeux d’attaque,
portent au moins 90 noms différents.
L’association SOS Benjamin a pour objectif depuis plus de 10 ans de développer par tout moyen la lutte
contre ces jeux dangereux qui touchent enfants et adolescents.
Cette lutte, menée en complémentarité avec les acteurs de la prévention et de la promotion de la santé,
passe notamment par des actions de sensibilisation
des jeunes aux risques qu’ils courent en pratiquant de tels « jeux » ;
des parents et du personnel éducatif afin qu’ils prennent conscience de l’existence et de l’ampleur
de ce phénomène et qu’ils disposent d’outils pour déceler les jeunes en danger et lutter contre les
risques liés à la pratique de ces jeux.
L’association apporte également un soutien aux victimes en permettant aux parents éprouvés par le
décès de leur enfant ou de graves traumatismes générés par la pratique de ces jeux de trouver un lieu de
dialogue et d’échange pour briser le mur du silence qui les enferme trop souvent.
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4. Historique : une association
2 qui existe depuis plus de 10 ans
Le 16 novembre 1995, Benjamin Duwelz, âgé de 10 ans et demi, est retrouvé pendu à l’essuie-mains des
toilettes de son école. Il décèdera 6 jours plus tard des suites de ses blessures. Une enquête approfondie
menée par sa famille permettra de comprendre que l’enfant a succombé à un jeu dangereux conséquence
du « t’es pas cap, t’es un lâche, t’es un bouffon ». Grâce aux nombreux témoignages reçus, les parents
de Benjamin se rendront compte que leur histoire n’est malheureusement pas un cas isolé.
Le 28 juin 1998, la mère de Benjamin fonde l’association SOS Benjamin. Elle a au départ pour objectif de
regrouper des familles qui ont vécu une situation similaire à la sienne afin de les aider à se soutenir
mutuellement et à comprendre l’incompréhensible.
Fin 1998, l’association dispose déjà de plus de 3 classeurs de témoignages et de demandes d’aide de
familles d’enfants ou de jeunes décédés dans des circonstances similaires, le plus souvent à leur
domicile. Mais il n’existe à cette époque que peu d’information sur ces jeux dangereux et aucune structure
ne s’intéresse à la lutte contre ces pratiques.
L’association se donne alors pour objectif de sensibiliser le grand public à ce phénomène pour éviter de
nouveaux drames. Mais les autorités publiques ont peur de créer un appel d’air en parlant de ces
pratiques.
Début 2006, suite à une étude méthodologique sur ces jeux réalisée par l’association en lien avec des
psychothérapeutes et des magistrats, l’Education Nationale publie à destination de tous les recteurs de
France un document de 16 pages sur les jeux dangereux. Mais l’information est peu relayée dans les
établissements scolaires qui restent très réticents à aborder le sujet.
En 2007, la Fondation de France accepte de financer pour l’association une étude TNS SOFRES sur le
sujet. Les résultats, publiés le 21 septembre 2007 à la Mairie de Paris, sont alarmants : en France, près
d’un million d’enfants ont participé à au moins un jeu dangereux. A l’annonce de ces résultats, le Ministre
de l’Education Nationale publie une nouvelle note à destination des recteurs, rappelant la nécessité d’être
vigilants. Mais cette note n’est pas davantage diffusée que la précédente, vraisemblablement faute
d’outils pour agir.
En 2008, l’association réalise donc un coffret pédagogique intitulé « Il existe des jeux inoffensifs… et
d’autres pas » sous la signature de l’Observatoire National d’Etude des Conduites à Risques. Ce kit
comprend des plaquettes destinées aux adultes, d’autres pour les enfants, un guide de 48 pages, un clip
vidéo, un diaporama sur clé USB… 1.000 exemplaires sont réalisés pour la rentrée 2008. C’est peu, mais
l’association n’a pas les moyens d’en financer davantage.
En 2009, tout en continuant à multiplier les réunions de sensibilisation en France et à l’étranger,
l’association espère pouvoir faire imprimer davantage de kits si des sponsors se manifestent pour appuyer
cette action.
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5. Les « jeux dangereux » et leur impact
3 sur ceux qui les pratiquent
Il existe deux grandes catégories de jeux dangereux, présents dans tous les lieux de vie des enfants, pré-
adolescents et adolescents :
Les jeux d’asphyxie, par pendaison ou strangulation (jeu dit « du foulard », de la tomate, du
sternum, de l’aérosol…). Ces jeux consistent à freiner l’irrigation sanguine du cerveau en
comprimant une artère qui conduit le sang à la tête.
Les jeux d’attaque ou d’agression (jeu du bouc émissaire, de la mêlée, du pouilleux massacreur,
de la canette, du taureau…). Il s’agit d’une violence physique gratuite menée par un groupe
envers un enfant seul ou plusieurs enfants, membres ou non du groupe, consentants ou non.
Conséquences des jeux de non-oxygénation
La pression exercée sur la carotide, par le jeune ou par un copain, provoque une diminution brutale de
l’oxygénation du cerveau. Les conséquences immédiates recherchées sont des sensations de type
hallucinatoire. Mais elles peuvent être suivies de spasmes, de convulsions, voire d’une perte de
connaissance.
Si les jeunes cherchent à retrouver ces sensations hors de la présence de copains en utilisant un lien
pour comprimer la carotide, le décès est très probable, l’hypoxie cérébrale étant suffisante pour perdre
connaissance : en l’absence de témoin susceptible de ranimer le jeune, la situation devient irréversible en
3 minutes. Ces décès ne doivent pas être confondus avec un suicide, malgré les apparences.
En outre, même lorsque le jeu est pratiqué en présence de témoins et qu’il n’y a pas perte de
connaissance, la privation d’oxygène n’est jamais anodine : les cellules qui ont été privées d’oxygène ont
souffert et des séquelles cérébrales peuvent être observées : troubles visuels, troubles de la
communication, perte de mémoire, incapacité à faire des gestes quotidiens comme manger, marcher,
aller aux toilettes, etc.
Conséquences des jeux d’attaque
Pour la victime, même consentante, les coups reçus peuvent générer de graves traumatismes voire la
mort immédiate ou plusieurs jours après l’événement, qu’elle soit liée aux sévices subis ou au stress qu’ils
ont généré. Lorsque la victime a été prise au hasard à l’extérieur du groupe, le « jeu » vise également à
dégrader l’image de la personne et génère des conséquences psychologiques importantes.
Pour l’auteur des faits, les sanctions pénales peuvent être particulièrement lourdes et handicaper son
avenir. Selon l’article 121-3 du Code pénal, le fait de causer la mort d’autrui par maladresse, imprudence,
manquement, inattention, négligence à une obligation de sécurité ou de prudence imposée par la loi ou le
règlement constitue un homicide involontaire passible de 3 ans d’emprisonnement et 45.000 euros
d’amende.
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6. En France, un million de jeunes
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de 7 à 17 ans pratiquent ces jeux
En 2007, la Fondation de France finance pour l’association une étude TNS SOFRES sur l’impact des jeux
dangereux dans la société française.
Les résultats, publiés le 21 septembre 2007 à la Mairie de Paris pour l’association, sont alarmants : ces
jeux dangereux se multiplient. Ils portent au moins 90 noms différents, qui vont du « jeu du foulard » au
« happy slapping ». 84 % des enfants interrogés sont en mesure de citer au moins l’un de ces noms et
13 % des enfants disant connaître ces jeux les considèrent sans danger. 1 enfant sur 4 reconnaît qu’on lui
a déjà proposé de jouer à un de ces jeux : plus de 2 millions d’enfants ont donc été sollicités.
12 % des enfants admettent y avoir participé, surtout pour faire comme les copains : près d’un million
d’enfants de 7 à 17 ans ont déjà participé à des jeux dangereux. Le phénomène commence aussi à
toucher les enfants de maternelle.
Il s’agit donc d’un véritable enjeu de santé publique, d’autant que les parents sous-estiment le risque :
seuls 4 % pensent que leur enfant a déjà participé à un tel jeu et près de la moitié des enfants n’ont
jamais parlé de ces activités à un adulte, dont 9 % par peur d’inquiéter ou de faire de la peine…
Les résultats détaillés de l’étude sont disponibles sur le site Internet de la Fondation de France :
http://www.fdf.org/download/communique_presse/enquete_jeux_dangereux_FDF2007.pdf
Lors de cette étude, seule la population française a été étudiée mais des phénomènes
similaires ont été relevés dans les autres pays européens, aux Etats-Unis et au Canada.
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7. Une large palette de services
5 proposés par l’association
L’association propose principalement des actions de prévention pour alerter et informer sans psychose et
sans mode d’emploi sur la pratique des jeux dangereux :
Interventions dans les établissements dans les établissements scolaires auprès des enfants, des
préadolescents, des adolescents, des parents, des professionnels de la santé, des professionnels
de l’éducation, de la police, des mairies, des médiathèques, des entreprises, etc. A chaque public
correspondent des outils de sensibilisation adaptés.
Fourniture et mise en mains d’un coffret pédagogique de prévention intitulé « Il existe des jeux
inoffensifs… et d’autres pas » destiné aux établissements scolaires, bibliothèques, etc.
Mise à disposition de plusieurs supports audiovisuels.
Témoignages auprès des médias.
Concertation avec les organes gouvernementaux, scientifiques, les pouvoirs publics et les
associations concernées pour des actions de sensibilisation et d’information.
Coopération avec les services de police, de gendarmerie, de santé, le corps enseignant, les
éducateurs, en vue de détecter les jeux dangereux.
Publication d’un livre « Alerte aux jeux dangereux ».
Mise à disposition d’un site Internet www.jeuxdangereux.fr pour informer les familles afin de
démasquer ces conduites à risques et d’intervenir avant qu’il ne soit trop tard. Ce site est certifié
selon le Hon code, la Fondation HON étant mandatée par la Haute Autorité de Santé (HAS) pour
certifier les sites français de santé.
L’association propose également aux parents concernés un espace de parole pour les aider dans leur
épreuve.
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8. Le coffret pédagogique
6 de prévention
Depuis l’automne 2008, l’association propose un coffret pédagogique de prévention contre les jeux
dangereux.
Ce coffret, qui s’appuie sur des cas cliniques réels, met l’accent sur les dangers inhérents aux pratiques
des jeux dangereux. Il présente également une analyse du phénomène sous l’éclairage des constatations
médicales et policières. Des analyses de spécialistes sont proposées afin de permettre à chacun de
mener sa propre réflexion sur ce sujet pour que plus aucun enfant ou adolescent ne meure ou ne reste
handicapé à cause de la pratique d’un jeu dangereux dont il ignorait les risques.
Il est composé :
d’un DVD qui comprend un
diaporama destiné aux adultes,
un diaporama destiné aux
jeunes, un film documentaire et
un clip vidéo ;
de deux guides, l’un pour les
professionnels de l’éducation,
l’autre pour les intervenants en
milieu scolaire ;
de plaquettes : 30 destinées aux
adultes, 30 destinées aux
jeunes ;
d’une affiche ;
et d’un livret de présentation de
l’association.
L’association SOS Benjamin propose également une formation à l’utilisation de ce coffret.
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9. Ils témoignent
7 de l’impact de nos actions
« Comme vous, je suis convaincu que c’est en brisant les tabous, en osant dire la vérité, que nous pourrons
faire bouger les choses dans notre pays. Votre livre participe de cet effort, en informant les parents et les
professionnels de l’enfance et en sensibilisant le grand public à certains jeux dangereux pratiqués dans les
cours de nos écoles. Je ne peux que vous en féliciter. »
Nicolas Sarkozy, Ministre de l’Intérieur, octobre 2006
« Je tenais à vous adresser mes sincères félicitations pour la qualité du travail de sensibilisation et de prévention
que vous menez au quotidien, sur le terrain. Je vous assure de mon soutien dans le nécessaire combat qui est
le vôtre. »
Christian Poncelet, Président du Sénat, janvier 2007
« Votre expérience ainsi que les démarches que vous avez entreprises pour mieux connaître et faire connaître
la réalité des pratiques des jeux dangereux constituent un atout précieux pour prévenir ces risques. Améliorer la
santé des jeunes est une priorité. Je souhaite que vous soyez associée aux travaux qui seront conduits dans ce
domaine. »
Roselyne Bachelot, Ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports, septembre 2007
« Nous souhaitons vous faire part de notre gratitude pour votre intervention concernant les jeux dangereux
auprès des équipes d’animation de notre ville. Ces dernières nous ont fait part de leur méconnaissance dans ce
domaine, de leurs émotions face à ces situations qu’elles ne considéraient pas comme mortelles et leur ont
permis d’avoir un autre regard sur les attitudes des enfants qui peuvent montrer un signe de conduite à risque. »
Mairie d’Elancourt, mai 2006
« Je vous remercie d’avoir accepté d’intervenir, à ma demande, devant les représentants et les parents d’élèves
de tous les lycées de la région de Châtellerault, dans le cadre du GEPP. »
J. David, Principal du collège Bellevue, Dangé Saint Romain (86), février 2007
« Nous vous remercions vivement pour l’action de sensibilisation que vous avez faite auprès de nos élèves.
Nous souhaitons, si vous le désirez, renouveler cette action l’an prochain. »
Mme la Conseillère principale d’orientation d’un collège de l’Oise, mars 2008
« Faites davantage de sensibilisation pour tous les publics à des heures de grande écoute : nous ignorons la
diversité des jeux dangereux. »
Un enseignant à l’issue d’une réunion de sensibilisation
« Votre présentation est claire, illustrée d’exemples concrets. Elle permet une bonne prise de conscience des
pratiques dangereuses actuelles. Je suis non seulement surpris par le panel des jeux recensés, mais atterré.
J’étais loin de m’imaginer l’ampleur de ces pratiques. Il faut combattre l’insouciance par la communication. C’est
une initiative de prévention utile, agréable et nécessaire. »
Un proviseur à l’issue d’une réunion de sensibilisation
« Beaucoup de parents n’osent pas aborder le sujet avec leurs enfants par peur de leur donner de mauvaises
idées ou de les alarmer. Cette présentation devrait être obligatoire pour tous les enseignants qui souvent
négligent les actes de violence en disant que les enfants sont naturellement bagarreurs. »
Un parent d’élève à l’issue d’une réunion de sensibilisation
« Il est très important de faire des actions de sensibilisation ne passant pas que par les parents. »
Un médecin généraliste à l’issue d’une réunion de sensibilisation
« Votre présentation est vivante, intéressante, bouleversante aussi… et inquiétante, avec beaucoup d’outils
concrets. Il faudrait aussi sensibiliser les surveillants de cantine. »
Une élue locale à l’issue d’une réunion de sensibilisation
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10. Ils ont rejoint l’association
8
Président d’honneur de l’association :
Maître Gilbert Collard, avocat à la Cour
Parrains de l’association :
Maître Gilbert Collard, avocat à la Cour
Maître Sylvie de Roseux, commandant de police (Centre de formation de la Police Nationale)
M. Michel Audiard, sculpteur
M. Vincent Canaple, réalisateur de séries télévisées
Mme Isabelle Weil, présidente de BFM TV
Adhérents :
300 adhérents
21 bénévoles engagés
11 délégués régionaux
Sympathisants :
Des centaines de liens de relais de l’information en France et à l’étranger
Membres bienfaiteurs :
10 membres bienfaiteurs
Soutien scientifique :
Justice :
M. Hubert Seillan, professeur de droit à l’Université de Bordeaux
Mme Claude Beau, magistrat, vice-présidente de la Cour d’appel de Paris du Tribunal pour enfants
et Présidente de l’association Mission possible regroupant 4 centres de prévention
Maître Gilbert Collard, avocat, parrain et président d’honneur de l’association
Santé :
Professeur Grégory Michel, psychologue à Bordeaux, spécialiste des pathologies de l’enfance et de
l’adolescence
Docteur Xavier Pommereau, psychiatre au centre Abadie de Bordeaux, spécialiste de l’enfance et de
l’adolescence
Docteur Yan Bour, médecin anthropologue
Mme Fanny Georges, docteur en art culturel et cognitif de l’image
Mme Marie France Le Heuzey, psychothérapeute de l’enfance à l’Hôpital Robert Debré, Paris
M.Paul Zveguinzoff, psychologue clinicien, psychothérapeute, Président d'Agir pour sa Santé
M. Guy ISAMBART, rédacteur en chef du site Infirmiers.com, http://www.infirmiers.com
Relais de l’information :
Centre Européen de Prévention des Risques
AFNOR
Mission Prévention et Communication, Police Nationale, Service de la Délégation d’aide aux victimes
Rectorat de Seine Maritime
Mairie de Vanves
Sapeurs Pompiers
Fédérations de parents d’élèves (PEEP, FCPE, APPEL, UNAPEL, …)
Docteur Giroud, président des services SMUR de Pontoise
Mme Catherine Balaya, IUFM d'Aquitaine, Observatoire International de la Violence Scolaire
Université Bordeaux 4
M. Emmanuel Cartoux, conseiller formation référent des domaines Education, Enfance, Sport,
Animation, Centre National de la Fonction Publique Territoriale Délégation Pays de la Loire
Mme Catherine Jehanno, rédactrice free-lance, Indre-et-Loire
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11. Les jeux dangereux dans les médias
9
04/12/2008, M6 : reportage sur les « jeux de vilains »
suite à l’hospitalisation d’un collégien de 12 ans :
http://www.m6info.fr/m6info/france/ecole--jeux-de-
vilains/article.jsp?id=ri2_868733&cid=awl_787239
05/12/2008, Le Télégramme.com :
article suite au même incident :
http://www.letelegramme.com/ig/generales/france/jeux-dangereux-
un-nouveau-collegien-frappe-et-hospitalise-20081205-
4304122_1558909.php
06/12/2008, Mon Quotidien, dossier sur les jeux dangereux
18/12/2008, Metro, reportage suite au décès par asphyxie d’un
jeune internaute de 15 ans : http://www.metrofrance.com/x/metro/
2008/12/18/xt6BtEWTJdYzo/index.xml
25/12/2008, Journal Officiel du Sénat, question de Philippe Dallier,
Sénateur de Seine-Saint-Denis, au Ministre de l’Education
Nationale : http://www.philippedallier.fr/article.php3?id_article=446
01/02/2009, Mensuel Maif Magazine, dossier sur les jeux dangereux
16/04/2009,
hebdomadaire La Vie,
interview sur les jeux d’asphyxie
Dossier en ligne sur studyparents.com :
Jeux dangereux, alertez vos enfants :
http://www.studyparents.com/Jeux-dangereux-alertez-vos-enfants.html
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12. L’association dans les médias
10
2 26/01/2001, Stop Danger :
Un jeu qui fait des ravages
23/03/2005, l’Yonne Républicaine :
L’association à la télévision canadienne
Mars 2006, Préventique sécurité :
L’enfant est vulnérable
20/09/2006, LCI : interview de la présidente de l’association
suite à la publication de son livre : http://tf1.lci.fr/infos/france/societe/
0,,3328164,00-alerte-aux-jeux-dangereux-cri-alarme-maman-.html
08/04/2007, l’Yonne Républicaine :
Soirée de gala des sapeurs-pompiers
au profit de l’association
Le Progrès, 19 mars 2008 : Le collège
Clémenceau dit : stop aux jeux dangereux ! Des reportages seront diffusés
prochainement sur Al-Jazera
BFM TV, 27 mai au 10 juin 2009 : et sur une chaîne de télévision
4 diffusions quotidiennes canadienne.
d’un clip de prévention
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